Rechercher les contrepèteries cachées des grands auteurs : ça  paraît faisable. Excellente idée de programme ! ( Si je l'écris, il devra se farcir Corpatext. )
J.Martin en a d'ailleurs indiqué quelques unes de ce genre.
Par exemple, Musset à Georges (encore) :

Est-ce que ce programme, ou une révision, pourrait chercher et trouver les contrepèteries (volontaires ou pas) d'un texte ?
Ça pourrait être intéressant, pour la littérature, et plus anecdotiquement, ce serait amusant de recenser les contrepéteries cachées chez certains politiciens, ou encore des philosophes sérieux, etc. Y'a de quoi faire un bouquin ! (donc du pognon transformable en sensations...)

ps : il n'y a avait pas quelqu'un de connu qui employait «putréfaction !» comme interjection, une sorte de «zut !» ?

Et non gb, à part J. Martin et quelques autres, tout le monde et moi ont du mal à décoder ces jeux qui sont sans doute plus faciles à composer.

  Et la remarque mystérieuse de Gilles qui met en évidence la poésie

me fait honte. C'est tellement bien "L'ami chante." et moi qui ne l'ai exhibé que pour la putréfaction !

Évidemment ! Que je suis c.. andide. Encore une occasion de me taire que je perds. Mais c'est très réussi. Quel talent !

Ben gb, parce qu'en tant que verlan et anagramme, c'est un titre autocontrepétant qui donne le ton de la crasse à venir. C'est vrai qu'il n'y a là que du caca-pipi, pas de sexe.

Pourquoi Tosca, Ercirbaf ?

J'ai la tête dans tes nuages.