Merci , toujours un plaisir de vous lire , le sourire aux lèvres
Merci pour le commentaire sympa.
Non connecté Se connecter S'inscrire
forum abclf » Jeux de mots... » Quelques mots d'humour... » Répondre
Tous le champs doivent être remplis avant d’envoyer ce formulaire, ou alors vous avez utilisé la fonction copier/coller qui n'est pas supportée par l'éditer de texte.
Merci , toujours un plaisir de vous lire , le sourire aux lèvres
Merci pour le commentaire sympa.
Merci , toujours un plaisir de vous lire , le sourire aux lèvres
Lassé de construire des ponts, il rend son tablier.
Pour un politique, s'obstiner à serrer la vis est une démarche qui, de l'avis général, tourne au vice.
Se lever au chant du coq après s'être couché avec les poules tue dans l'œuf toute velléité de grasse matinée.
Pour ne pas risquer de se faire un sang d'encre, le mieux est de limiter l'usage du stylo à bile.
Se prénommer Benjamin et être l'aîné d’une fratrie c'est comme s'appeler Lejeune et entrer en Ehpad, déroutant.
Les individus qui savent ce qu'ils veulent veulent que ça se sache.
Une histoire de trous
Force est de reconnaître que le trou a toujours occupé une place essentielle dans le monde qui nous entoure. Son absence créerait indiscutablement un grand vide. L’espace lui-même, déjà si troublant, serait orphelin de ses trous noirs. La Terre serait peuplée de populations errantes qui n’auraient pas la possibilité de vivre dans un trou perdu. Ou même à Trouville, qui n’est pas un trou perdu mais qui aurait eu beaucoup plus de mal à faire son trou dans le monde du tourisme, au même titre que le trou normand dans la gastronomie française. L’Homme serait aveugle, incapable d’avoir les yeux en face des trous sans même avoir bu comme un trou, qu’ils soient borgnes ou non. Serge Gainsbourg n’aurait pas percé grâce au poinçonneur des Lilas.
Il serait facile de rétorquer qu’une absence de trous ne manquerait pas d’avantages. Que plus personne n’aurait à se plaindre de trous dans ses chaussettes, dans les caisses de l’Etat, dans la raquette, que le trou de la Sécu n’occuperait plus l’espace médiatique, que les voyageurs aériens n’aurait plus à craindre les trous d’air et que les trous de mémoire ne hanteraient plus les esprits.
Et que, et ce n’est pas le moindre des avantages, on aurait échappé à tous ces trous de balle qui dirigent le monde et qui n’hésitent pas depuis des siècles à envoyer des troufions se faire trouer la peau à leur place.
A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !
Celui qui ne recule devant rien pour se mettre en avant se retrouve bien avancé lorsqu'il doit faire machine arrière.
Entre un gnon et une beigne, la ressemblance est frappante du coup.
Mieux vaut une suite de remarques frappées au coin du bon sens qu'être frappé dans un coin de Sens à la suite d'une remarque.
Faire courir un bruit marche beaucoup mieux dans un couloir.
Chéri est l'anagramme de riche, anagramme plutôt pauvre et un peu merdique, j'en conviens, mais tout de même d’un niveau supérieur à chier.
Qui veut voir assez loin ménage ses montures.
Avec accusé de déception
- Il m’en est arrivée une bonne hier soir
- Une bonne nouvelle ?
- Ah non, plutôt mauvaise celle-ci
- Il faudrait savoir !
- Vers 20h, je me pointe avec mon carton d’invitation à l’entrée de la réception à laquelle j’étais convié
- Jusque-là, rien de plus normal
- Attends la suite. Le vigile me dit de passer à la réception de la réception
- Ça se complique ton histoire
- Je me présente devant le réceptionniste qui me demande si j’ai le laissez-passer. Je lui réponds « quel laissez-passer, j’ai un carton d’invitation , il vous faut un mot de passe de 12 caractères et une photo dédicacée pour pouvoir entrer ? ». Il a été bien reçu.
- Bien envoyé !
- Il me rétorque « pour des raisons de sécurité, on n’entre pas sans laissez-passer, j’ai des consignes à appliquer. Si je vous laisse passer, je serai accusé de laisser-aller ». Là-dessus, je me laisse un peu aller à la colère, et lui ordonne d’appeler son responsable, ce qu’il fait à contrecœur.
- C’était Fort-Chabrol ta réception !
- C’était surtout fort de café. Le responsable arrive comme une fleur après 5mn à bouillir, moi pas le café, me signifie une fin de non-recevoir à ma réclamation et finit devant mon impatience par m’envoyer sur les roses
- Je comprends que tu l’aies eu mauvaise. Tu as dû rebrousser chemin ?
- Je n’ai pas eu le choix. Mais crois-moi que dès ce matin j’ai envoyé une lettre salée à l’organisateur en recommandé avec accusé de réception pour dénoncer ma mauvaise réception à sa réception !
A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !
Le facteur chance est là pour éviter au destin de prendre un mauvais pli.
On ne fait pas progresser l'art lyrique de façon significative en poussant la chansonnette.
Semez la confusion, vous récolterez des salades.
Gare au retour de bâton si vous tentez de faire chanter un ténor du barreau !
L'humour est devenu une attraction en réaction à la gravité.
C'est lorsqu'il n'y a plus personne à la ronde que la situation tourne à l'isolement.
Ici c’est paris !
Les paris sont partout. On trouve même vingt-trois localités nommées Paris aux Etats-Unis et je parie que beaucoup ne le savent pas. Ce n’est bien sûr pas nouveau. Sous l’influence romaine, les paris n’étaient déjà pas rares dans les rues de Lutèce. En remontant plus loin encore dans le temps, les Perses n’hésitaient pas à parier sur des courses de chevaux. L’émergence des premiers pronostiqueurs et de leurs célèbres tuyaux persans datent de cette époque. Des tuyaux qui au fil des années et des nombreux parieurs qui ont fini au tapis, persan ou non, sont devenus par déformation les tuyaux percés dont tous les turfistes contemporains ont fait les frais au moins une fois dans leur carrière. Aujourd’hui, on parie sur tout et surtout on parie. Officiellement sur les numéros du loto, le quinté gagnant de la 5ème à Auteuil ou de la 3ème à Deauville, le vainqueur de Paris-Brest (ce n’est pas du gâteau), de Bayonne-Pau (en espérant un coup de Pau). Officieusement sur les chances qu’un politique ne raconte pas de conneries pendant trente jours consécutifs, qu’un prêtre ne soit pas pédophile ou sur la nationalité du prochain pape. Le champ d’action est illimité et l’addiction profonde. Seul l’amer du pari, n’intégrant jamais le clan des heureux élus par la chance, prendra le parti de ne plus la tenter en risquant de passer pour un paria auprès des parieurs invétérés.
Mais il y a fort à parier que la fin des paris ne soit pas pour demain. Les paris seront toujours paris !
A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !
Tout-à-fait et, vous allez rire (c'est le but recherché), j'avais inscrit cette variante de bon mot de Jean Yanne dans la liste de mes prochaines parutions (mot pour mot)
Pierre de Jade a écrit:Mieux vaut passer de Longwy au Tréport que de vie à trépas.
Votre bon mot me fait penser à un autre, celui d'un humouriste, un peu saltimbanque touche-à-tout, assez populaire dans les années 1970 :
"Mieux vaut avoir l'âge de ses artères que l'âge de César Franck."César Franck, c'est je crois un musicien et compositeur français du XIXe siècle.
Qui connaît aujourd'hui, et qui même connaissait hier, cet artiste, excepté dans le cercle finalement assez restreint des vrais mélomanes et férus de musique classique, et de ceux qui aiment dénicher ou redécouvrir des créateurs considérés comme de seconde zone ou oubliés ?Naïvement je me demande si ce mot n'aurait pas acquis une pérennité plus grande, n'aurait pas été plus compréhensible et connu si l'humoriste, Jean Yanne, puisqu'il s'agit de lui, avait plus simplement dit :
"Mieux vaut avoir l'âge de ses artères que l'âge de César Jules."
Mieux vaut passer de Longwy au Tréport que de vie à trépas.
Votre bon mot me fait penser à un autre, celui d'un humouriste, un peu saltimbanque touche-à-tout, assez populaire dans les années 1970 :
"Mieux vaut avoir l'âge de ses artères que l'âge de César Franck."
César Franck, c'est je crois un musicien et compositeur français du XIXe siècle.
Qui connaît aujourd'hui, et qui même connaissait hier, cet artiste, excepté dans le cercle finalement assez restreint des vrais mélomanes et férus de musique classique, et de ceux qui aiment dénicher ou redécouvrir des créateurs considérés comme de seconde zone ou oubliés ?
Naïvement je me demande si ce mot n'aurait pas acquis une pérennité plus grande, n'aurait pas été plus connu et compréhensible, et même plus drôle, si l'humoriste, Jean Yanne, puisqu'il s'agit de lui, avait plus simplement dit :
"Mieux vaut avoir l'âge de ses artères que l'âge de César Jules."
Procrastiner reste le meilleur moment de l'ajourné.
Que le détartrage soit une activité récurrente est dans la logique des choses.
Dieu soit loué, peut-être, mais il a surtout été bien vendu.
Comme son nom l'indique, l'écorché vif n'est pas bien dans sa peau.
Je suis toujours à l'heure mais ce n'est jamais la bonne.
Il est déconseillé de faire l'autruche quand on est pris pour une buse, c'est très peu ressemblant.
Développer le négatif
Si la dépression vous guette, il vous est fortement conseillé pour votre santé mentale de détourner les yeux et les oreilles des chaînes d’info, précurseurs indiscutables dans le domaine controversé du suicide assisté. Le contenu véhiculé est si anxiogène que certains n’hésitent pas à se rabattre sur des films d’horreur pour ne pas sombrer dans le désespoir et retrouver un peu de légèreté. Certes, les événements internationaux n’incitent pas à l’hilarité au-delà du raisonnable mais noircir allègrement le tableau au quotidien relève d’un art à faire passer Soulages pour un débutant. La quête du drame est la nouvelle quête du Graal pour ces chaînes, prêtes à bondir sur le plus petit fait divers comme des morts de faim sur un sandwich SNCF. Mettre en musique tous les malheurs du monde pour tenter d’en faire des hits comme à la parade est devenu leur credo. Partant des constats éprouvés que le malheur de quelques-uns fait le bonheur de beaucoup d’autres et des patrons de chaînes et que les trains qui arrivent à l’heure n’intéressent que ceux qui les prennent, l’objectif visé est de monter en épingle le négatif pour ne pas planter l’audimat. Une démarche qui n’est pas la meilleure façon de présenter une photographie objective de la Société dans son ensemble. Mais certainement la plus efficace pour ne pas faire broyer du noir aux annonceurs publicitaires.
A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !
Aristote a déclaré un jour que l'homme était un animal politique. Il aurait pu ajouter que le risque était grand de tomber sur une chèvre.
Les individus qui enfoncent des portes ouvertes feraient mieux de la fermer.
Il est logique que lors d'une opération escargot, beaucoup en bavent.
Les pertes financières sont toujours difficiles à encaisser.
Il est fortement déconseillé d'emboîter le pas lorsqu'on s'est déboîté le genou.
Il faut se donner un mal de chien pour tenir une foule en liesse.
Chausse qui peut
L’origine de la chaussure remonte à la plus Haute Antiquité. L’Homme antique a très vite pris conscience que courir pieds nus sur des cailloux derrière, ou pire, devant des aurochs était une activité plutôt casse-pied. De là sont apparues les premiers mocassins et sandales en peaux de bêtes, ancêtres des multiples modèles actuels plus sophistiqués et moins rustiques donnant parfois la sensation de participer à une véritable foire d’empeignes. Au point qu’il n’est pas rare de voir des mélomanes charentaises se rendre à l’Opéra en Méphisto. Je vous propose d’effectuer un tour d’horizon d’un échantillon de ces modèles plus ou moins contemporains (chaussez vos lunettes si nécessaire).
Les crocs : plébiscités par les mordus qui exhibent leurs crocs en sortant le chien, répétant avec aplomb que porter des crocs aux pieds évite les crocs-en-jambe.
Les claquettes : beaucoup plus agréable que la paire de claques, la paire de claquettes a permis à Fred Astaire de faire parler de lui.
Les escarpins : malgré les nombreux messages d’alerte relatifs aux fourberies de l’escarpin, celui-ci reste l’étalon de la chaussure des grandes occasions
Les mules : tiennent leur nom d’individus têtus comme des mules qui s’entêtaient à les porter aux pieds sous prétexte qu’elles s’accordaient à leur coupe mulet
Les sabots : leurs derniers adeptes affirment que les sabots les bottent alors que les porteurs de bottes ne trouvent pas ça beau, ce n’est pas très clair.
Les baskets : Il arrive qu’on les porte pour jouer au tennis et que l’on porte des tennis pour jouer au basket, comportement tendant à semer la confusion et risquant à terme à conduire tout un chacun à se retrouver à côté de ses pompes.
Je pourrais poursuivre cet inventaire mais je n’en ferai rien pour ne pas vous lasser, attitude d’autant plus incongrue si vous portez des chaussures à boucles.
A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !
Ne nous étonnons pas que la multiplication des noms d'oiseaux conduise à des prises de bec.
Hier j'ai croisé un rouquin pèlerin. Il avait les dents de sa mère.
Que l'on puisse finir ivre mort avec de l'eau de vie relève d'une tromperie manifeste sur la marchandise.
On commence par avoir maille à partir, on se retrouve avec les nerfs en pelote et on finit par se mettre en boule.
Tomber à bras raccourcis sur une personne qui a le bras long est une démarche risquant de très vite tourner court.
Porte de la Muette aussi, il y a plus de portes qui se voient que de voix qui portent.
Des pompes qui marchent
Les pompes funèbres. Nous avons affaire là au plus bel exemple d’entreprise à clients captifs. Qui n’y a jamais mis les pied ne perd rien pour attendre. Impossible d’enterrer librement, à l’exception de la hache de guerre ou de sa vie de garçon, et encore, des célébrations en grandes pompes de ces événements ayant déjà été observées. Pas moyen de finir sa vie à côté de ces pompes, même quand on n’a plus toute sa tête, sauf à se faire éparpiller façon puzzle sur un champ de bataille ou à finir avec des chaussures en béton au fond de la baie de Naples, des alternatives économiquement viables mais loin de rallier tous les suffrages.
Lorsque d’un air aussi cérémonieux que contrit, le préposé de l’entreprise funéraire vous présente le devis de la mort après ses condoléances, dans cet ordre car il est bien élevé, et vous rappelle en ces circonstances funestes le sens d’une douloureuse, vous comprenez que vous avez affaire à une entreprise à défunts, lucrative. Une addition déclenchant le fameux coup de pompes qui vous fait ressortir de l’agence avec une gueule d’enterrement de circonstance. Un passage à la caisse qui nous coûte beaucoup plus que les sorties en boîte, c’est une certitude.
A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !
forum abclf » Jeux de mots... » Quelques mots d'humour... » Répondre
Propulsé par PanBB, soutenu par PunBB Info.