Sujet : bien qu'il en ait
Il me revient en mémoire une expression que j'ai rencontrée à plusieurs reprises; il me semble que c'est plutôt dans la langue du XIXème Siècle (Maupassant, A. France ?...): "bien qu'il en ait" ou "quoique ...".
C'est généralement dans une phrase du type: " [sujet + verbe d'action], bien qu'il en ait." ou "Bien qu'il en ait + [sujet + verbe d'action] ...".
Non seulement je n'ai jamais bien saisi la construction grammaticale de l'expression (quel est le sous-entendu, à quoi renvoie le "en" ?), mais non plus son exact sens littéraire, mise à part la notion de restriction ou de mauvais gré.
Evidemment je n'en ai trouvé trace ni chez Robert (à "bien que" ou à "avoir") ni chez Grévisse (idem).
Qui pourrait m'éclairer sur ces deux points ?