Bye.
Non connecté Se connecter S'inscrire
forum abclf » Histoire de la langue française » les doublets en français » Répondre
Tous le champs doivent être remplis avant d’envoyer ce formulaire, ou alors vous avez utilisé la fonction copier/coller qui n'est pas supportée par l'éditer de texte.
Bye.
...
Un escrimeur dirait plus élégamment : « A moi, touché ! »
...
Je pourrais affiner la définition des doublets, mais franchement, ça ne me botte pas.
Bé oui. Facile de trouver une définition que personne ne conteste, c'est une définition, il suffit de l'appliquer. Bien plus dur d'en trouver une qui donnera satisfaction à tous les chercheurs de doublets.
Dans ce vaste travail, qui vous a vu arriver dans le rôle de l'inspecteur des travaux finis et dans lequel vous ne vous seriez probablement jamais lancé puisque le sujet ne vous intéresse pas, les seuls doublets exclus sont ceux issus de dérivation, de fabrication - pas forcément voulue et consciente - de mots.
Comme les doublets ne sont qu'un incident de l'histoire des mots (ce en quoi il ne vous "intéressent pas" je suppose), votre affinage arbitraire consisterait à nous priver de curioisités de la langue selon votre bon vouloir. Et pourquoi ? C'est justement cette originalité des doublets qui fascinent tant de monde (sauf vous qui, malgré tout, tenez à avoir votre mot à dire).
Heureusement que vous n'avez pas eu envie d'affiner plus tôt, vous auriez tari toute la joyeuse recherche de ce fil à force de professer et pontifier. Il se tarit lentement tout seul par épuisement de la matière première. Je n'ai plus le temps d'alimenter le site avec les nombreuses découvertes qui ont continué à se succéder mais l'essentiel est fait. Et ceux qui avait quelque chose à apprendre l'ont fait. On aura compris que vous saviez déjà tout, désolé que vous mettiez tant d'énergie à nous le faire savoir, vous pourriez mieux l'employer ailleurs.
Pour moi, seuls val et vau sont des doublets, (ou, mais c'est à contrôler, aval et avau (chez Montaigne) < ad vallem). Vous êtes à cheval sur le fonds latin et les dérivés français, cela ne me semble pas rigoureux.
Oui, ego et je est une exception provenant du fait qu'on ne peut rien substituer à je ; un dérivé de ego ne peut donc être pris comme indice personnel.
Je pourrais affiner la définition des doublets, mais franchement, ça ne me botte pas.
J'ai dit que les doublets sont nécessairement de même nature.
Tiens donc, hé bien, je vous dis qu'ils ne le sont pas nécessairement. Sauf si vous vous en tenez à une définition restrictive des doublets.
je tombe immédiatement sur aval / à vau, égo / je
Le site fonctionne bien en ce moment, promenez-vous-y.
Il s'agissait de répondre à votre affirmation sur la nature immuable des mots.
Je n'ai jamais dit que les mots ne changeaient pas de nature !!!!!!
J'ai dit que les doublets sont nécessairement de même nature. Les évolutions sémantiques ultérieures n'y font rien.
Il s'agissait de répondre à votre affirmation sur la nature immuable des mots.
Quant à votre dernière phrase : je l'ai écrit bien avant vous, c'est su et resu. Les doublets sont une curiosité qui permet de se promener dans l'histoire des mots (y compris ceux sans doublets). C'est pour cela que cela amuse tant de gens.
Et si cela ne vous intéresse pas...
Quel est le rapport entre vos exemples et les doublets (hormis chez) ???
Diriez-vous que dîner (le verbe) et déjeuner (le nom) sont des doublets ? Et réciproquement ?
Pour moi, on a deux doublets verbaux ; le fait que ces formes puissent être substntivées est une autre histoire...
Tout cela pour dire que l'étude des doublets en soi n'a guère d'intérêt.
forum abclf » Histoire de la langue française » les doublets en français » Répondre
Propulsé par PanBB, soutenu par PunBB Info.