Une chose est sûre, une mise à jour n'a jamais nuit à personne.
Il faut disposer d'une certaine dose de savoir-faire pour faire valoir ses droits quand on passe pour un faire-valoir.
Tout balayer d'un revers de main est la preuve que l'on aspire à pas grand-chose.
Il fallait s'y attendre. Le fort déséquilibre de la balance commerciale d'un pays finit toujours par peser sur son économie. Un vrai fléau.
Le Gin ne Suze que si l'on Sancerre. Jeu de mots à consommer avec modération.
Bouche et gueule sont des mots souvent employés indifféremment. Et pourtant, avoir une tarte dans la bouche est toujours plus agréable qu'une tarte dans la gueule.
Senteurs d’été
Peut-on se sentir bien après avoir perdu l’odorat ? Pour un résident proche d’une tannerie, d’une fromagerie de Munster, d’une raffinerie de carburant ou de disciples de la secte des adorateurs de la sardine grillée, la question a du sens. J’ajouterais même qu’elle est bien sentie. Si ne rien sentir peut être un atout dans ces situations, prévenant tout risque de se sentir mal, un odorat trop sensible peut s’avérer rédhibitoire. Jusqu’à se sentir de trop, rejeté ou visé en permanence, c’est-à-dire très loin de se sentir en odeur de sainteté. A ce stade, certains diront que ça commence sérieusement à sentir le roussi.
Une perte partielle ou transitoire est heureusement plus répandue qu’une perte totale d’odorat. Des individus qui ne peuvent pas se sentir ne se privent pas d’échanger des réparties bien senties loin de respirer à plein nez la cordialité. Vous noterez au passage qu’avoir quelqu’un dans le nez et ne pas pouvoir le sentir est soit un pied de nez à la logique, soit à vue de nez symptomatique d’une perte manifeste de l’odorat. Mais vous faites comme vous le sentez, je ne me sens pas de vous imposer quoi que ce soit. Une certitude nez en moins, pardon, néanmoins, la vie ne sentant pas la rose tous les jours, mieux vaut pour vous que l’envie d’être au parfum de tout ce qui peut se passer ne se fasse pas trop sentir.
A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !