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Revue du sujet (plus récents en tête)

9

Inconnaissant a écrit:

L'époque à laquelle l'auteur est associé est-ce le Haut Moyen Âge ou bien l'Antiquité tardive ?

Aurelius Augustinus est classé dans l'Antiquité tardive, si artificiel que soit ce découpage.
Le chat qui pète semble n'avoir pas entendu parler de Psychè, la curieuse emblématique par excellence et il attribue à la curiosité, le geste d'Eve et d'Adam dicté par l'ambition  : se faire l'égal de Dieu.
Ne réveillons pas le chat qui dort !

8

C'est vrai que l'on peut se demander si l'auteur des Confessions peut être considéré comme ayant fait partie d'une période que les historiens nommeront bien plus tard Moyen Âge.

L'auteur a vécu jusqu'au début du Ve siècle et la très longue période que la science historique a appellé rétrospectivement et un peu arbitrairement Moyen Âge s'étend justement du début du Ve siècle jusqu'à la fin du XVe siècle.

L'époque à laquelle l'auteur est associé est-ce le Haut Moyen Âge ou bien l'Antiquité tardive ?

7

Lévine a écrit:

D'ailleurs ce n'est un alexandrin que si l'on observe la diérèse.

Oui, mais, comme je l'ai mentionné, il me semble que dans la poésie classique on reprend les diérèses du latin.

6

Inconnaissant a écrit:

J'ai posé la question suivante à l'outil d'intelligence artificielle en ligne "perplexity.ai" :
Quelle est l'origine de l'expression la curiosité est un vilain défaut ?

Voici la réponse, à prendre comme l'on sait évidemment toujours avec des pincettes :
L'expression « la curiosité est un vilain défaut » trouve ses origines dans des récits mythologiques et religieux. Elle est souvent associée à des figures comme Ève, qui croqua la pomme interdite, ou Pandore, qui ouvrit la boîte contenant tous les maux, illustrant les conséquences négatives d'une curiosité excessive. Au Moyen Âge, Saint Augustin considérait la curiosité comme un vice détournant de la contemplation divine. Étymologiquement, le mot « curiosité » vient du latin cura (soin), indiquant à l'origine une qualité positive avant de prendre une connotation négative dans certains contextes sociaux.

(J'ai bien des doutes sur la parfaite validité de la réponse mais je suis tout de même assez impressionné par la qualité de rédaction du texte et sa parfaite cohérence "interne").

Inutile de commenter....

5

D'ailleurs ce n'est un alexandrin que si l'on observe la diérèse.

Le proverbe existe peut-être en AF, mais ni avec curiosité, ni avec curieux, qui sont de faux amis.

4

La curiosité est un vilain défaut n’est peut-être pas une phrase très ancienne, bien qu’elle nous semble proverbiale. En en cherchant les premières attestations, je ne remonte pas plus haut que la première moitié du XIXe siècle, avec notamment une citation de Dumas, bien propre à passer dans l’usage populaire. Auparavant, je trouve en 1806, une forme différente : « Voilà ce que c'est que la curiosité; c'est un vilain défaut », dans tous les cas, en prose et non en vers.

3

Merci d'avoir fait cette recherche Elle ne répond pas, toutefois, à ma question, qui portait plus sur la forme que sur le fond.

2

J'ai posé la question suivante à l'outil d'intelligence artificielle en ligne "perplexity.ai" :
Quelle est l'origine de l'expression la curiosité est un vilain défaut ?

Voici la réponse, à prendre comme l'on sait évidemment toujours avec des pincettes :
L'expression « la curiosité est un vilain défaut » trouve ses origines dans des récits mythologiques et religieux. Elle est souvent associée à des figures comme Ève, qui croqua la pomme interdite, ou Pandore, qui ouvrit la boîte contenant tous les maux, illustrant les conséquences négatives d'une curiosité excessive. Au Moyen Âge, Saint Augustin considérait la curiosité comme un vice détournant de la contemplation divine. Étymologiquement, le mot « curiosité » vient du latin cura (soin), indiquant à l'origine une qualité positive avant de prendre une connotation négative dans certains contextes sociaux.

(J'ai bien des doutes sur la parfaite validité de la réponse mais je suis tout de même assez impressionné par la qualité de rédaction du texte et sa parfaite cohérence "interne").

1

Je viens de saisir que l'expression « la curiosité est un vilain défaut » constitue un alexandrin, selon les règles de la versification classique, où l'articulation est calquée sur le latin. Ici, curi-eux, d'après le latin cūrĭōsus. Cette formulation en alexandrin suggère la création d'un fabuliste ou d'un moraliste. Google ne dit rien à ce sujet. Quelqu'un a-t-il une piste ?