certes, «on est un con», mais ça se dit.
c'est bien pour ça que
une affirmation péremptoire d'abord: on ne doit jamais remplacer nous
sur ce point je reste dramatiquement puriste et vieux jeu.
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certes, «on est un con», mais ça se dit.
c'est bien pour ça que
une affirmation péremptoire d'abord: on ne doit jamais remplacer nous
sur ce point je reste dramatiquement puriste et vieux jeu.
Je ne suis pas totalement d'accord avec vous Piotr, sur la deuxième partie : on dit bien on ; certes, «on est un con», mais ça se dit.
Pour ce qui est du pluriel/singulier de on, ce n'est pas peut-être pas facile : ehmb a dit quelque chose de pas simple mais d'intéressant sur le sujet (http://www.languefrancaise.net/forum/vi … 272#p12272) . Il faudrait gratter un peu le sujet.
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À la première question ;
je dis : "imagine que tu es à la mer et que tu vois 2 enfants" et pas "imagine que tu sois à la mer et que tu vois 2 enfants"
je dis les deux : "imagine qu'il se fait arrêter par la police" ou "imagine qu'il se fasse arrêter par la police?" (dans le premier cas j'imagine qu'il se fait réellement emballer par les policiers ; dans le deuxième cas j'imagine la possibilité qu'il se fasse emballer).
Michaaa0001,
en réponse à ta première question, je pense que, pour trancher, il nous manque un élément, c'est le contexte ou la suite de laphrase.
En effet avec imagine que tu es à la mer et que tu vois deux enfants, la suite pourrait être du genre raconte une histoire avec ces éléments, ou qqch d'approchant: on est dans la narration à l'indicatif d'un fait inventé.
Avec imagine que tu sois à la mer et que tu voies 2 enfants on peut avoir une suite du genre que ferais-tu si l'un des deux se noyait ? : on est devant un potentiel où le conditionnel s'impose.
Pour la deuxième question, une affirmation péremptoire d'abord: on ne doit jamais remplacer nous. C'est un pronom indéfini et non le pronom pesonnel 2ème du pluriel, il sert à exprimer le cas général. Et on ne devrait jamais dire (ou en tout cas jamais écrire) "on est arrivés" pour "nous sommes ...".
Ainsi on dira: "nous sommes tous égaux devant la mort" (ce qui d'ailleurs reste à prouver ...).
Sinon pourquoi ne pas écrire carrément "on ne devraient pas écrire ...", puisque cela concerne tous les hommes et toutes les femmes ?
En effet, passées les bornes il n'y a plus de limite, on ne connait plus de limite !
Bonjour,je suis membre mais me suis pas connecté:michaaa001.Voilàa ma question enfin mes questions.Dites-vous :"imagine que tu es à la mer et que tu vois 2 enfants ou alors imagine que tu sois à la mer et que tu vois 2 enfants"? .Dites-vous"Imagine qu'il se fait arrêter par la police ou imagine qu'il se fasse arrêter par la police?".2 eme question:il paraît que le pronom ON lorsqu'il signifie nous se met au pluriel je suis d'accord.Mais quand il signifie n'importe qui ,tout le monde il reste au singulier.Pourtant lorsqu'on dit"on est tous egaux devant la mort" le on signifie nous mais signifie egalement tout le monde....Comment des lors faire la difference entre on qui signifie nous et on qui signifie tout le monde dans certains cas.Ex on est capable de soulever 20 kgs en parlant des hommes ou on on est capables de soulever 20 kgs car le on signifie nous mais signifie egalement tout le monde,n'importe qui....Qui sait m'aider?
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