C'est quoi la réponse à cette  charade ???

Mon premier indique la possession
Mon second est un coût
Mon troisième sert à chanter
Mon quatrième doit être taillée

Mon tout doit être fait pour attirer la confiance

REPONSE: Apprivoiser( A/Prix/Voix/Haie)

a prix voix haie ?

C'est quoi la réponse à cette  charade ???

Mon premier indique la possession
Mon second est un coût
Mon troisième sert à chanter
Mon quatrième doit être taillée

Mon tout doit être fait pour attirer la confiance

Mon premier indique la possession
Mon second est un coût
Mon troisième sert à chanter
Mon quatrième doit être taillée

Mon tout doit être fait pour attirer la confiance

A vous de jouer !

Jolie !

Et celle-là :
1) est un relecteur qui rabat la lumière d'une lampe * Abat-jour *
2) un département français  * Meurthe-et-Moselle *
3) vêtement antique * tunique *

Mon tout : drague brutale.

Je vois pas la charade Dumas...

J'en met une petite que j'aime bien (peut-être certains la connaissent?), elle me viens de Marie-Thérèse Porchet (Humoriste Suisse) dans une émission de télé française. Bon, Si vous ne connaissez pas, c'est introuvable, alors je dis tout de suite.

Mon premier est un relecteur qui rabat la lumière d'une lampe (définition du dico Hachette, M-T P. ne l'avait pas dit ainsi)  *Abat-jour*
Mon deuxième est une mèche de cheveux comme celle de tintin  *houpette*
Mon troisième c'est ce que suce les bébés  *tétine*
Mon quatrième est le contraire du jour  *nuit*

et Mon tout est un rapace!

Ceux qui ne la connaisse pas ne trouveront pas, alors
réponse: C'est L'aigle Noir (de Barbara)!

"Abat-jourrrr, houpette tétine nuiiiiit" (faut chanter là)

Ah ! Quel beau moraliste. J'aurais pu écrire les vieux manuels d'école primaire.

Vérification effectuée : la traduction existe bien.
Je n'ai jamais dit, ni pensé, que Dumas avait écrit Ivanhoë, juste que ces références constituaient les seules que je connaissais.
  Lorsque je joue aux échecs, j'élabore mon raisonnement en imaginant que l'autre joueur ne va pas commettre d'erreur. Il me semble sain de ne pas présumer des gaffes d'autrui.