La forme lonza ne peut descendre directement de lynx (ou lunx), il faut poser un dérivé féminin *luncea.
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La forme lonza ne peut descendre directement de lynx (ou lunx), il faut poser un dérivé féminin *luncea.
Bonjour,
pas mal. Merci beaucoup.
lynx et once (panthère des neiges)
Prob. issu, par aphérèse, de lonce «lynx», le l ayant été pris pour l'art. déf. élidé; lui-même prob. empr. à l'ital. lonza «panthère» (xiiies. ds Batt.) qui semble avoir été formé, au temps des premières croisades, directement sur le gr. λ υ ́ γ ξ (v. lynx) prononcé lúnx
Bye.
...
Un escrimeur dirait plus élégamment : « A moi, touché ! »
...
Je pourrais affiner la définition des doublets, mais franchement, ça ne me botte pas.
Bé oui. Facile de trouver une définition que personne ne conteste, c'est une définition, il suffit de l'appliquer. Bien plus dur d'en trouver une qui donnera satisfaction à tous les chercheurs de doublets.
Dans ce vaste travail, qui vous a vu arriver dans le rôle de l'inspecteur des travaux finis et dans lequel vous ne vous seriez probablement jamais lancé puisque le sujet ne vous intéresse pas, les seuls doublets exclus sont ceux issus de dérivation, de fabrication - pas forcément voulue et consciente - de mots.
Comme les doublets ne sont qu'un incident de l'histoire des mots (ce en quoi il ne vous "intéressent pas" je suppose), votre affinage arbitraire consisterait à nous priver de curioisités de la langue selon votre bon vouloir. Et pourquoi ? C'est justement cette originalité des doublets qui fascinent tant de monde (sauf vous qui, malgré tout, tenez à avoir votre mot à dire).
Heureusement que vous n'avez pas eu envie d'affiner plus tôt, vous auriez tari toute la joyeuse recherche de ce fil à force de professer et pontifier. Il se tarit lentement tout seul par épuisement de la matière première. Je n'ai plus le temps d'alimenter le site avec les nombreuses découvertes qui ont continué à se succéder mais l'essentiel est fait. Et ceux qui avait quelque chose à apprendre l'ont fait. On aura compris que vous saviez déjà tout, désolé que vous mettiez tant d'énergie à nous le faire savoir, vous pourriez mieux l'employer ailleurs.
Pour moi, seuls val et vau sont des doublets, (ou, mais c'est à contrôler, aval et avau (chez Montaigne) < ad vallem). Vous êtes à cheval sur le fonds latin et les dérivés français, cela ne me semble pas rigoureux.
Oui, ego et je est une exception provenant du fait qu'on ne peut rien substituer à je ; un dérivé de ego ne peut donc être pris comme indice personnel.
Je pourrais affiner la définition des doublets, mais franchement, ça ne me botte pas.
J'ai dit que les doublets sont nécessairement de même nature.
Tiens donc, hé bien, je vous dis qu'ils ne le sont pas nécessairement. Sauf si vous vous en tenez à une définition restrictive des doublets.
je tombe immédiatement sur aval / à vau, égo / je
Le site fonctionne bien en ce moment, promenez-vous-y.
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