Sujet : Jeu des antonymes imaginaires.
Si l’on jouait à : Non (X) n’est pas le contraire de (Y)
Exemple (phonétique):
- Non quelqu’un qui se désaltère n’est pas le contraire d’un haltérophile.
À vous de jouer!
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Si l’on jouait à : Non (X) n’est pas le contraire de (Y)
Exemple (phonétique):
- Non quelqu’un qui se désaltère n’est pas le contraire d’un haltérophile.
À vous de jouer!
dérailler n'est pas le contraire de railler.
Il ne cessait de railler ses collègues, maintenant il déraille.
Je propose le titre suivant :
Jeu des antonymes imaginaires.
Non, un enfant qui braille n'est pas le contraire d'un enfant débraillé.
Pas plus qu'une personne qui raille n'est le contraire de quelqu'un qui déraille...
Gueuler n'est pas le contraire de dégueuler.
On lui a dit d'arrêter de gueuler que la soupe était immangeable, alors il a dégueulé.
Non le petit verdot ne s’oppose pas au grand verre de vin.
Se débrouiller n'est pas le contraire de se brouiller.
Ils avaient été longtemps brouillés mais se sont débrouillés pour se réconcilier.
Non, dessécher n’est pas le contraire de sécher.
Défiler n'est pas le contraire de filer.
Elle filait puis elle défilait.
Je ne déteste pas de tester.
(je constate en passant que tester + infinitif peut être construit avec ou sans la préposition de.
Un prêtre culotté n’est pas forcément le contraire d’un ecclésiastique défroqué.
Il a monté son cheval mécanique, puis l'a démonté.
un dessein défendu n'est pas le contraire d'un objet fendu.
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