Décidément Alco ne vit pas sur la même terre que moi. Il a réussi à sortir 5 mots sur ma liste de 75 pour tenter d’invalider ma théorie ( vérifiée au moins 71 fois selon lui, donc) et ainsi, sans s’en rendre compte, il la valide !!! Freud avait raison de montrer la puissance des défenses contre le retour du refoulé !
Alco ne donne en fait que des définitions personnelles.
Si on consulte les dictionnaires la purée est définie comme un mets à base de légumes (parfois de fruits) cuits, écrasés et/ou passés. En purée c’est écrasé en bouillie. Par extension on parle de préparation pilée, écrasée ou moulinée.
Pour l’inconscient, la purée est :
l’écoulement d’éléments (ée) aux limites physiques (ur) petites.
Mais le p peut avoir le sens péjoratif de répugnance associé au sens de coup explosif : jeter ou lâcher la purée c’est éjaculer en argot ! Le sens unique de coup explosif est évident dans une rafale de projectiles : balancer la purée. Faire une purée de marrons c’est appliquer un vigoureux coup de poing en pleine figure.
Le p peut même avoir le sens de petitesse quantitative : avoir le dix de purée = être réduit à la dernière misère, à la pauvreté, au peu. D’ailleurs employé en adverbe invariable il est synonyme de pauvre et en interjection : Purée ! le terme peu acquérir un sens de petitesse méprisable: = Mince ! Purée!
Et ce n’est pas ma subjectivité qui est à l’origine de ces définitions de purée mais le dictionnaire en ligne lexilogos, légèrement plus plus fiable que l’impression subjective personnelle d’Alco. Au lieu de réfuter ma théorie il ne fait que la valider !
Passons à postillon que la langue de l’inconscient lit ainsi : couvre (on) pénètre (ill) saute (ot(ot) développe(os) de petits éléments (sous entendus de salive (et non de pétrole) quand on est en face du postillonneur référentiel.
Lexilogos définit postillon comme : gouttelette de salive projetée involontairement en parlant. Sans doute que pour Alco gouttelette est un tsunami. Toujours pas de pot pour lui, le dico définit la gouttelette comme: une petite goutte ! Alco est peut-être une apocope d’alco... ol avec ol dans le sens de tourner en dérision, rigolo, drôle, gaudriole, lol ! Alco met peut-être un masque pour éviter je ne sais quelle masse compacte lui arrive au visage car tout le monde sait que le risque d’attraper le Covid19 ce n’est pas la projection de gouttelettes de salive mais un seau complet ! Je crois qu’Alco marche à côté de ses pompes avec p de progression et op de saut comme dans galop.
Quant à l’autre postillon, le conducteur d’une voiture de poste qui comme un pilote est là pour faire avancer son véhicule, pour qu’il progresse ce n’est pas le p de petitesse mais le p de progression, car tous les mots sont motivés n'en déplaise à Lévine ! (sourire)
Quand le postillon claque son fouet (Hugo, Rhin 1842) c’est pour faire avancer le cheval et -tillon n’a aucun sens péjoratif ici mais un sens plutôt agressif, car il signifie « couvre de coups répétés pénétrants !
Passons à potins dont le 1er sens selon le dico : Faire des potins sur qqn. Faire de petites médisances.
Mais Alco cette fois a lu l’étymologie de potin qui viendrait de pot. Sans doute le pot aux roses ! Ce mot pot est un rébus simple puisque qu’il associe ‘’ot’’ = ôter/saut à p = répugnant/explosion/ progression. Sans doute qu’Alco ne connait pas non plus le pot d’échappement ! Il ne faut pas croire à toutes ces étymologies fantaisistes !
Venons en à porcelet que j’ai défini comme le petit de la truie et que le dico définit comme un jeune porc qui n’est pas encore sevré (donc qui tête encore sa mère truie)
Alco s’exclame alors :
Et le porc, qui contient la même lettre P, vous ne lui accordez pas la petitesse ?
Ben non, le p de porc est celui du dégout, du mépris: « tu es un vrai porc » car porc se lit : oc-o-p , soit choc de limites dégoutantes (sale comme un porc).
Pour les autres mots, j’ai déjà répondu, mais dans les bacs à sable certains enfants ne savent pas en core lire !
Je répète pour Alco:
p en initiale de mot en consonante expressive évoque TROIS SENS
p = mépris, répugnance, bassesse qui s’est généralisé au sens de petitesse qualitative et quantitative (et les 150 mots présentés ne sont pas initiés par hasard par ce p)
p de coup explosif dont j’ai déjà établi une liste
p de progression, progrès
et P majuscule qu’il faut entendre comme une Progression intérieure, dans sa Tête O pour comprendre la Vie N de la Personne M qui lui permettra d’atteindre la Lumière puis de descendre dans les Ténèbres K (Enfers) avant le Passage J de la Langue Sacrée G....F, E, D, C, B, A (Eternité).
Il suffit de monter l’Alphabet du A de la Création au A de l’Eternité pour appréhender quel est le Chemin à suivre lors de l’Apocalypse. Mais là ce serait trop demander à Alco qui n’a pas encore atteint le stade du b a ba de la langue de l'inconscient dont il refuse d'entendre les évidences.
Alco, vous avez, comme moi, été manipulé lors de l’acquisition de votre langue maternelle. Oubliez votre pseudo-science linguistique, quittez vos certitudes apprises, faites vous petit comme un Enfant dans ce Bac à Sable et vous passerez peut-être un Jour par la Porte étroite ! Je ne l'ai pas encore franchie mais j'avance 8
Pardon pour mes mots d’agacement mais c’est tellement énervant d’être si mal entendu, on a vraiment l'impression d'être en face de quelqu'un de mauvaise foi. Si la purée est pour vous une masse épaisse, c'est peut-être que vous avez de mauvais souvenirs de gavage et qu'elle ne passait pas ? Ce sens accessoire ne fait que démontre que l'on peut retenir plusieurs caractéristiques du référent pour le désignez mais il est difficilement interprétable avec mon code sauf peut-être : écoulement d'éléments qui limitent physiquement sa progression (la purée du brouillard peut être entendue en ce sens).
Science sans conscience n’est que ruine de l’âme !