L'idée de rupture de stock se justifie à mon avis s'agissant du stock constitué inévitablement lors de la production. Pour peu qu'une telle rupture de stock soit régulièrement à l'origine d'un défaut d'approvisionnement, elle aurait connu un usage par extension qui se comprend.
Ceci dit, pour le distributeur final, le stock dans son arrière boutique joue un rôle symétrique à celui du stock à la production, et pour lui peu importe de préciser si la rupture a lieu chez lui, à la distribution, ou à l'usine, à la production, ou même dans la chaîne d'approvisionnement, d'autant qu'on peut considérer comme ininterrompu, ou du moins comme ne devant jamais être interrompu, l'ensemble du processus de la production à la distribution.
Fille légère ne peut bêcher.