Sujet : astique que j'astique (énigme bernanosienne)
Bonjour à tous !
J'ai relevé dans mes lectures une construction curieuse dont le sens exacte m'échappe pour l'instant. Voici le passage :
Les huit premiers jours, astique que j'astique, la maison du bon Dieu s'était mise à reluire comme un parloir de couvent, je ne la reconnaissais plus, parole d'honneur !
Georges Bernanos, Journal d'un curé de campagne, p. 37 (Pocket)
Une tournure plutôt de l'oral, ce « astique que j'astique » ? Est-ce un équivalent de « à force d'astiquer » ?