D'abord merci a gb d'avoir rétabli le titre complet du titre de ce fil devenu incompréhensible à la suite d'une amputation inopinée.
Que "pas pire pareil" soit un euphémisme de type "pas mal" pour "assez bien" voire "vraiment bien", je m'en doutais un peu, mais je ne comprenais pas à la suite de quel processus la juxtaposition de "pas", de "pire" et de "pareil" pouvait prendre le sens de "bien".
Merci donc à Grenadine qui m'explique que "pareil" veut dire "quand même". J'extrapole à peine en concluant que "pire" correspond à "mal", lequel veut parfois dire "bien" par antiphrase.
Maintenant je voudrais une précision sur l'usage, principalement oral donc, de cette expression:
étant donné que je l'ai trouvée dans une publicité sur internet (voir la référence dans mon premier message) je suppose qu'elle est considérée comme "branchée". Néanmoins, en prenant pour indice le nombre d'occurences trouvées par Google, son utilisation ne me paraît pas énorme : une recherche (cantonnée aux pages en français) donne seulement 350 occurences, tandis que d'autres canadianismes tels "mon chum" et "clavardage" en donnent, respectivement, 60 000 et 138 000.
Bref, est-ce une expression très récente, éventuellement utilisée principalement à Montréal, ou bien est-elle trop familère pour être vraiment fréquente sur internet (ce qui serait le comble, parce que vraiment on trouve tout) ?
PS Je serai sans ordinateur pendant tout le week-end, qui du fait du décalage horaire commence dans quelques heures pour moi, et je ne pourrai pas lire vos messages avant lundi.