Je ne vous suis pas lorsque vous dites que l'orthographe était meilleure autrefois si vous vous basez sur les performances des élèves de collèges et de lycées pour les raisons que j'ai déjà exposées (écrémage à l'entrée en 6°). La lecture des cartes postales de collection et des courriers écrits pendant les guerres nous montre les difficultés rencontrées par nos aïeux.
Vous ne voulez pas entendre ce que je dis : je ne me fonde pas sur les lettres de poilus (ce n'est pas moi qui ai dit cela, mais d'autres personnes) ni sur les épreuves de lycées. Je suis né avant la guerre, et je peux comparer, à 60 ans d'écart, le niveau général de la population, par les livres, les écrits privés, les journaux, les lettres commerciales, les publicités, les tracts politiques etc.
Je ne suis pas d'accord lorsque vous jugez l'ensemble de la profession des enseignants en vous basant sur les tristes cas que vous avez rencontrés.
Je vous ai dit plusieurs fois que je ne jette pas l'opprobre sur l'ensemble du milieu enseignant, que je ne juge pas l'ensemble d'une profession à partir de cas isolés, que je respecte le monde de l'enseignement à qui je dois beaucoup, qu'il y a simplement, là comme ailleurs, des brebis galeuses, et que l'on ne doit pas généraliser. N'était-ce pas assez clair ?
- Je ne suis pas d'accord lorsque vous dites que la dictée est la méthode idéale pour enseigner l'orthographe.
Ce n'est pas moi, encore, qui ai dit cela. Je n'ai jamais parlé de dictée.
Je peux vous dire tout cela sans vous "écharper". Donner son avis, même contraire, ce n'est pas écharper les gens.
Il y a la manière, et vous êtes agressif. En outre, vous déformez mes paroles et m'attribuez des intentions que je n'ai pas, des propos que je n'ai pas tenus. Dire gentiment qu'on n'est pas d'accord, c'est entretenir les bonnes relations.
Vous dites qu'il ne faut pas chercher de bouc émissaire, c'est pourtant ce que vous faites en me collant sur le dos les griefs que vous avez envers d'autres.
L'histoire du suicide et du psychiatre, c'était une plaisanterie. Je reprends vos arguments : Je peux vous dire cela sans vous "écharper". Vous voyez, c'est réciproque.
Maintenant, j'abandonne la polémique. Je ne viens pas sur le forum pour me coltiner avec les autres. Alors j'aimerais savoir si vous décidez d'arrêter de disputer sur des malentendus, d'appliquer une tolérance mutuelle (j'emploie souvent ce terme), ou si vous préférez continuer les hostilités. Dans cette dernière hypothèse, vous serez seul parce que j'aime mieux la paix que la guerre. Pour moi, le sujet est clos et j'enterre la hache de guerre.