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Le forum d'ABC de la langue française

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forum abclf » Messages de GuillaumeR

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Sujets de GuillaumeR Recherche définie par l’utilisateur

Messages trouvés [ 1 à 50 sur 113 ]

Bonsoir,

je reviens à ce fil âgé de plus de deux ans (mince alors), pour préciser la question y posée, savoir les expressions verbales supprimeuses de prépositions...

Je voudrais affiner l'interrogation sur celles qui concernent non pas les COD, mais les COI (sauf erreur de terminologie...)

Parler chiffons
Causer politique
discuter affaires...

Dans nos listes, on ne trouve le cas qu'avec des verbes du dire.

Je penche pour la piste de Ptitprof :

Cet effacement de l'article ne se produit que dans des expressions « désuètes », formées du temps où l'article n'était pas obligatoire, c'est-à-dire en ancien français.

Mais en l'occurrence, ce n'est pas seulement l'article qui disparaît, c'est aussi la préposition !

Je livre cette interrogation à vos/nos sagacités.

Bien à vous
Guillaume

2

(66 réponses, dans Histoire de la langue française)

Bonsoir,

vous avez peut-être dégotté sur ce Glossaire de noms de lieux de Suisse Romande, Savoie et environs http://henrysuter.ch/glossaires/topoE0.html que l'ancien français escorchevel, littéralement écorche-veau, a donné leurs noms à plusieurs hameaux et villages là-bas : Ecorchevel en Savoie, Ecorchevez dans le Jura, jusqu'à... Courchevel !!

À noter que ces noms de hameaux proviendraient soit d'une activité d'abattage, soit de la présence d'un vent violent nommé précisément l'escorchevel : un vent à écorcher un veau...

Joli, non ?

Bien à vous
Guillaume

Mais tout ceci nous éloigne de "c'est de la balle !"...

Bonsoir !

à propos de la balle et de son enfant, le Dictionnaire de la langue du cirque pose comme origine de cette balle celle du jeu de paume :
"La première chose qu'on inculque à l'enfant, c'est de savoir sauter... comme une balle".
Et d'ajouter que l'expression convient mieux au milieu du cirque qu'à celui du théâtre :
"Le premier apprentissage [du cirque] n'est-il pas de réaliser un flic-flac* ? Le grand art n'est-il pas de sauter comme une balle qui rebondit ?"
* saut périlleux arrière

L'argumentation me semble un peu faible, en vérité...

Toujours est-il qu'on y atteste l'expression en 1852, à propos de la pièce Les Enfants de la balle de Bayard et Biéville : ça fait avant l'attestation côté typographie.

Bien à vous.
GuillaumeR

5

(84 réponses, dans Promotion linguistique)

Mais précisément, cher Olso !

Je parle bien de mailles, en toutes lettres  : j'ai donc droit à votre "pourquoi pas" !

Vous dites que ça vous fait trop penser à l'anglais mail : certes...

Il m'amuse de franciser en maille ce mail qui vous déplaît tant, et que j'évite aussi, sans colère. Qui pourrait d'ailleurs nous dire l'étymologie de ce mot anglais ? Ne viendrait-il pas du français, des fois ?...


Bien à vous
Guillaume

6

(84 réponses, dans Promotion linguistique)

Bonsoir !

en ce qui me concerne, je suis très content d'adresser des mailles à mes correspondants.

Je trouve ce mot pertinent, avec un champ sémantique réunissant le tricot, le réseau, l'enchevêtrement et le croisement, voire la chaîne (cf. maillon) ou le tissu.

Soit dit en passant, le tissu est, en tout cas d'après Rey, la substantivation d'un adjectif tissu, -ue, lui-même issu du participe passé de l'infinitif tistre ou titre, dont l'origine latine est texere : tramer, entrelacer, qui a également abouti, par substantivation de son participe passé textus, au texte.

CQFD.

Qu'en dit-on ?

Bien à vous.
Guillaume

Bonjour

pour moi, je ne proposerais que ces deux possibilités :

- C'est son nom de famille, dont je ne me souviens pas.

- C'est de son nom de famille que je ne me souviens pas.

Le redoublement du "de" par le "dont" me semble inadéquat.


Bien à vous
Guillaume

8

(10 réponses, dans Réflexions linguistiques)

Vercoquin a écrit:

Ohhh ! Les extases de la langue !!!

tu m'étonnes !

9

(10 réponses, dans Réflexions linguistiques)

Bonjour

au présent, on aurait : "j'ai beau sonner, ça ne répond pas"
et au passé composé : "j'ai eu beau sonner, ça n'a pas répondu"
imparfait : "j'avais beau sonner, ça ne répondait pas"
etc.

Les verbes des deux propositions sont conjugués aux même temps.
(Encore qu'on peut imaginer un "tu as beau sonner, ça ne répondra pas", et sûrement d'autres cas identiques...)

Notons qu'on ne trouvera pas "j'ai beau sonner, mais ça ne répond pas", le mais ne trouve pas sa place ici : la contradiction (?) est impliquée par l'expression elle-même "avoir beau" + infinitif.

Oooh ! à force de rester dessus, je me prends d'une belle affection pour cette structure "avoir beau"... je trouve ça bien beau !

Bien à vous
Guillaume

Vous allez rire, c'était le quatrième sur ce bout de nappe en papier, mais j'ai décidé de continuer sur des triplettes...

Bien à vous
Guillaume

Bonjour

Comme me voilà en verve sur les "jolis mots" !

J'ajoute TRONÇON, FRONTON et RENFROGNER.

Bien à vous
Guillaume

Bonsoir Papy

j'ai cliqué sur le lien hypertexte "Site Web" indiqué sous ton pseudo, et je me permets de te demander s'il s'agit bien de "ton" site... Je crois que j'ai une des plus grosses frayeurs de l'année, et j'ai du mal à croire que ça puisse venir de toi...
Si je ne me trompe pas, alors tu t'es fait parasiter;
Si je me trompe, alors je fais ta connaissance...

Bien à toi !
Guillaume

Allez, voilà pour moi aujourd'hui :

badin

fugace

joncher


Bien à vous !
Guillaume

14

(4 réponses, dans Parler pour ne rien dire)

gb a écrit:

Oui, donc la prochaine fois, trouvez-nous mieux.

Je ne peux m'empêcher de m'arrêter sur ce fort joli "trouvez-nous mieux", potentielle 2è personne du pluriel de l'impératif présent du verbe nous trouver mieux...

En l'occurrence, effectivement, pas difficile de "nous trouver mieux" que ce pseudo-site de citations !

Bien à vous
Guillaume

Bonsoir !

je rencontre chez Antoine Blondin la phrase suivante :

Fort avant dans la soirée, je rentrais du cinéma avec une Sonia qui prétendait avoir contracté un rhume à Colombes, quand le téléphone retentit.

Cet sens temporel de avant ne m'était certes pas inconnu, mais jamais son étrangeté ne m'était apparue auparavant.
Et j'ai trouvé ça bien beau.

Non ?

Je vais faire mes petites recherches pour piger cette apparente contradiction, ou avant n'est pas le contraire d'après.

Bien à vous
Guillaume

16

(54 réponses, dans Réflexions linguistiques)

P'tit prof hors les murs a écrit:

Vive la France est une phrase injonctive, avec verbe au subjonctif, puisque l'impératif n'a pas de troisième personne.
On peut aussi y voir un souhait : que la France vive.

Vive est une forme verbale, troisième personne du subjonctif présent du verbe vivre. La formule s'est figée à une époque ou le que n'était pas obligatoire devant le subjonctif optatif.

Pour est une préposition, tout simplement.


Bonjour !

la formule "soit dit en passant" présente la même structure, n'est-ce pas ? = Que soit dit en passant

Bien à vous
Guillaume

gb a écrit:

Bon, que «mince !» soit utilisé comme forme atténuée de «merde !», de même que «amuse-bouche» remplace parfois «amuse-gueule», c'est probable. Même passage de «foutre» à «fiche». Mais alors il s'agit d'une substitution de convenance, et pas du tout d''une relation linguistique, étymologique ou morphologique par exemple, n'est-ce pas ?

Absolument d'accord !
Aucun chemin autre qu'un saut entre deux mots, l'un remplaçant l'autre. On imagine la situation où je m'apprête à dire "Putain !", et oups ! je corrige en cours de route, et c'est "Pu-naise !" ou "-rée !"que je prononce.

En ce sens, il ne s'agit pas tout à fait du même système que amuse-bouche pour amuse-gueule : on est là dans le synonyme, n'est-ce pas, dans l'équivalence de sens entre langage soutenu et langage familier.

En ce qui concerne le couple foutre-fiche, je me demande.
Il se trouve que ces deux mots commencent par la même lettre, mais pour moi ce n'est pas aussi clair que "mer-credi !" pour "merde !".

gb a écrit:

Mais là où votre question me gêne, c'est quand vous laissez supposer qu'il y a le même rapport de «merde !» à «mince !» que, par exemple, de «sacredieu !» à «sacrebleu ! » : dans un cas, on a un échelonnage dans la familiarité, avec remplacement d'un mot par un autre bien différent, mais moins corés, et dans l'autre, quelque chose comme un tabou, avec un mot et son avatar. Non ?

Je ne pensais pas laisser entendre de choses aussi précises !
J'ignore le chemin de "sacredieu !" à"sacrebleu !" mais en quoi serait-ce finalement si différent ? Si on reprend la même situation fictive que tout à l'heure, je m'apprête à dire "sacredieu !" et gloups, je dégotte ce bleu, même voyelle finale, une seule syllabe : "Sacre...bleu !"

Non ?

18

(10 réponses, dans Tests et essais)

la différence étant que votre image n'est pas "cliquable", contrairement à la vôtre.
J'ai copié le code proposé par hiboox.
J'ignore pourquoi, à mon premier essai, l'image est apparue en petit format, et à mon deuxième, en grand format.

19

(10 réponses, dans Tests et essais)

ce qui ferait ceci ?

http://www.hiboox.com/images/1507/23097b36.jpg

gb a écrit:

Et est-on certain que «purée !», «mince !», «putain !» soient à relier à «merde !» ? «Miel», comme forme euphémisée de «merde», oui, d'accord, mais «putain !» ?

Cher gb, vous avez lu trop vite ! Ou alors ma manie d'utiliser le gras a obscurci mon intention !
Je postulais (mais va savoir...) que
d'une part :
"Merde !" est euphémisé en "Mince !", et donc "Miel" ! grâce à la maman de Lionel,
et d'autre part :
"Putain !" l'est en "Purée !" ou "Pétard !"

Effectivement, le passage de Merde à Putain serait difficilement défendable...


Ceci dit, j'ajoute volontiers le "Punaise !" à notre liste.

Bien à vous
Guillaume

Bonjour

je m'interroge sur le "choix" de la langue familière d'euphémiser l'interjection "Merde !" en "Mince !", ou "Putain !" en "Purée !" ou "Pétard !".

À votre avis, ces  choix sont-ils théorisables ?
      Trois logiques dans ces trois exemples : même nombre de syllabes, même première syllabe, mêmes consonnes.
Il faudrait d'autres exemples. Je renonce pour l'instant à les chercher dans des ouvrages, pour lancer la collecte ici.

Qui en a en stock ?

Bien à vous
Guillaume

Bonjourbonjour !

et bien voilà... ce fut fait ici :

http://www.hiboox.com/vignettes/1507/23097b36.jpg

Le jeu remotivant dont vous parlez Zycophante est précisément l'objet du Précis de conjugaisons ordinaires, dont je me suis déjà bêtement désespéré de ne pas avoir d'échos dans notre forum.
Quel impatient ce Guillaume..

Bien à vous
Guillaume

23

(10 réponses, dans Tests et essais)

Bonjourbonjour !

et bien je vous remercie donc.
Une affaire rondement menée.

Bien à vous
Guillaume

Bonsoirbonsoir !

est-il possible d'insérer une image dans un message  ?
Il me semble bien que oui, puisque j'en vois de temps à autres.
Mais proviennent-elles exclusivement du réseau internet ?
Ou puis-je insérer une image provenant de mon ordinateur ?

mes recherches dans l'aide n'ont pas abouti...

merci de me dire !

Bien à vous
Guillaume

Orientale a écrit:

@ Vox : merci de bien vouloir préciser le sujet dans le titre du message

et aussi, Vox, l'accent grave que tu ajoutes à ça n'est pas juste...
Il ne se trouve que lorsque çà est un adverbe de lieu, à mon sens uniquement dans l'expression çà et là.

26

(22 réponses, dans Écriture et langue française)

Mais je dirais que non, ça n'est pas tout à fait pareil :

« Plusieurs abéciens se sont inquiétés, par courriel à Gb, de la lenteur de connexion au serveur »

Ici,  "à gb" se rapporte au courriel, pas au verbe s'inquiéter.

Alors que dans la phrase initiale : 

« s'en est étonné verbalement... aux policiers »

, le "aux policiers" se rapporte au verbe s'en étonner.

La phrase comparable serait "Plusieurs abéciens se sont inquiétés à Gb de la lenteur de connexion au serveur".
Ce qui ne semble pas bien possible.

bonjour à tous

je m'interrogeais hier avec des amis sur cette expression épatante, que l'on utilise en fin d'argumentation pour atténuer l'importance de ce qu'on vient d'exprimer, avec parfois un brin de douce hyprocrisie (sur le thème "ce que je viens de dire n'est pas nécessairement capital pour faire avancer la discussion, mais bon, tout de même, mine de rien, je considère que c'est un chouïa important...") :

Je dis ça, je dis rien.

Quelles attestations ? Et notamment les premières ?

Bien à vous
Guillaume

28

(7 réponses, dans Internet et informatique)

si j'osais, je ferais allusion au Précis de conjugaisons ordinaires, tentative d'étirement du français figé, que j'ai commis il y a quelques mois avec deux collègues, où nous nous appliquons à pousser quelques limites idiomatiques...

Eh ben, allez, j'ose.
Même, je vous livre le lien hypertexte vers la page de notre éditeur : http://www.exb.fr/livres_notice.php?cat=4&id=27

Bien à vous !
Guillaume

29

(28 réponses, dans Promotion linguistique)

Pour toutes les questions de pourcentages, s'adresser à monkey003...
(sourires)

Pierre Enckell a écrit:

Grisbille, n.
en grisbille « en dispute »

C’est, citoyens, le plan des ennemis de la patrie de foutre en grisbille le peuple avec la garde. (Lemaire, Lettres bougrement patriotiques, 1791, n° 49, 5.) […] et tout cela pour le partage des bien communaux sur lequel on est bougrement en grisbille. (Ibid., 1792, n° 308, 3.)

[…] cette engeance toujours en gris-bille entre elle […]. (Journal du bon homme Richard, 1795, n° 4, 30.)

Quel est le rapport entre la grisbille (que je ne connaissais pas) et la jolie bisbille ? Direct ? Croisé ?

Bien à vous
Guillaume

31

(13 réponses, dans Histoire de la langue française)

Je vous remercie Pierre, je relie enfin la composition de soutien-gorge à celle d'autres mots.
Ouf !
Je vous avoue maintenant que je pensais tout de même pas soulever un lièvre inédit dans la morphologie de la langue française...

N'empêche, le mot corselet-gorge me laisse pantois.

Bien à vous
Guillaume

32

(13 réponses, dans Histoire de la langue française)

Tiens ! le Larousse des difficultés de la langue française (fait-il référence ?) précise :

"La forme soutient-gorge (...qui soutient la gorge), n'a pas prévalu."

Pas d'autre attestation dans mes maigres sources, ni sur le réseau, si ce n'est "par erreur". Preuve, soit dit en passant, de la logique de cette forme conjuguée !

Me fourvoyé-je en me (dé)colletant à bra raccourcis à cette problématique de grande tenue ? ou est-ce bonnet blanc et blanc bonnet ?*

Guillaume

*si je ne m'étais pas promis de ne pas utiliser les icônes, là, j'en aurais placé une qui rit...

33

(13 réponses, dans Histoire de la langue française)

Je comprends le "Mais non", mais moins le "justement".
Je continue de trouver que la composition de ce mot n'est pas banale.

Je me suis mal exprimé, je connais et reconnais le nom soutien.
Juste, je n'arrive pas à dire d'autres mots construits de la même manière.
Ce que vous ferez peut-être ?

Soutien-gorge = soutien de gorge
chef-lieu = chef de lieu ? non, d'après le TLFi, chef est considéré comme adjectif;
peut-être timbre-poste = timbre de poste ?; mais poste est là pour préciser de quel timbre il s'agit, sachant que le timbre est un objet déjà assez déterminé, plus que le soutien en tout cas.
...

En même temps, je lis qu'on a d'abord parlé de maintien-gorge, et même de corselet-gorge. On pourrait repartir de ce mot-là, assez étonnant, non ?


Bien à vous !
Guillaume

34

(13 réponses, dans Histoire de la langue française)

Bonjour

moi ce qui m'épate dans ce mot, ce serait plutôt sa composition, je m'en rends compte à l'instant : ne serait-il pas plus logique de porter un soutient-gorge ?
Le soutien-gorge est ce qui soutient la gorge, à l'instar du porte-plume, qui porte la plume, ou le couvre-chef qui couvre le chef, etc.


Dans le Précis de Grevisse, je vois 4 modes de mots composés, et je ne parviens pas à y caser complètement le soutien-gorge :

1/ Nom + nom en apposition, ou nom+ adjectif
chef-lieu, oiseau-mouche, coffre-fort, arc-boutant

2/nom + nom complément
arc-en-ciel, timbre-poste

3/ mot invariable + nom
arrière-garde, haut-parleur

4/ verbe + complément d'objet direct
bouche-trou, couvre-lit

C'est un 1/, car composé de 2 noms, mais tout de même, la composition de soutien-gorge décrit l'action de nom1  - soutien - sur nom 2 - gorge ==> c'est un 4/ !

Ce mot ne fut-il pas écrit soutient-gorge ?

Ah, les femmes ! quel mystère !...

Bien à vous
Guillaume

35

(7 réponses, dans Réflexions linguistiques)

piotr a écrit:

Ici la particularité vient de ce que la principale n'est pas vraiment à un temps du passé, mais utilise un semi-auxiliaire (venir de ...) qui exprime le passé récent, ce qui autorisera quelques libertés supplémentaires.
   Je ne veux pas te noyer sous des exemples exprimant les différentes nuances possibles, mais je les tiens à ta disposition (je dis, je disais, j'ai dit, j'avais dit, je viens de dire, je venais de dire ...)

Oui, et d'autant plus que le verbe de la seconde partie de la phrase est également à ce drôle de temps aller + inf, qui dit un futur proche.  C'est un semi-auxiliaire aussi ?

Bien à vous !
Guillaume

P'tit prof hors les murs a écrit:

Rien ne s'éclaire.
Un tacle, c'est l'action qui consiste à piquer le ballon d'un adversaire.
Gouingouin nous dit qu'il s'attendait à un tacle pour l'accent sur le où : il n'a pas de ballon, nous non plus, personne n'a pris de ballon à personne en l'affaire...
Ce tacle doit avoir un sens métaphorique, que je pressens, tel que « coup sur les doigts », et j'aimerais bien que Gouingouin lui-même me le confirme.

Bonsoir
parmi mes joies, il y a le rugby (et oui). Il me semble que l'anglais « to tackle »* y correspond au français « plaquer », le «tackle» étant le «plaquage» (et non le placage, qui est plus... délicat).
À ce compte-là,  Gouingouin s'attendait plus  à un gros bouchon qu'à une tape sur les doigts...

Bien à vous tous.
Guillaume

*merci pour les raccourcis de guillemets !

37

(23 réponses, dans Parler pour ne rien dire)

papy a écrit:
Si je l'avais gratis !

Aurait-il osé écrire ce que tout le monde pensait ?
Quelle est la diffusion en librairie ?

Et bien ma foi notre "Précis de conjugaisons ordinaires" est disponible... un peu partout ! Le diffuseur en est Volumen, qui, à ce que j'ai compris, diffuse fort largement.
D'ores et déjà, la Fnac le met en tête de gondole...

Il n'est guère ratable, avec sa couverture rose buvard.
Le titre exact en est : "Précis de conjugaisons ordinaires, tentative d'étirement du françias figé";
Nos noms (Guillaume Rannou, Florence Inoué, David Poullard) n'apparaissent pas en couverture;
L'éditeur est Xavier Barral/la Ferme du Buisson;
Il coûte 20 €.

Quant à de l'exemplaire pour mes chers coabéciens, que vous dire ? Si j'en avais les moyens, je l'offrirais à chacun, mais seulement voilà...

Bien à vous
Guillaume

En tout cas, moi, je conclus volontiers par  "Bien à vous". D'où sort-ce ? c'est ce que j'ignore.

Bien à vous.
Guillaume.

39

(23 réponses, dans Parler pour ne rien dire)

Bonsoir !

Cher gb... figure-toi que nous avons, après moult tergiversations, renoncé à ce verbe ! Aucun infinitif ne me convenait complètement, je trouvais toujours à tiquer, et les réflexions de Pierre Enckell me revenaient en permanence, sur l'(in)utilité de la démarche... (impatient je suis de son éventuelle lecture du Précis...)

Je le jure, pour le tome 2, je le dégotte, cet infinitif !

Bien à vous tous
GuillaumeR

40

(23 réponses, dans Parler pour ne rien dire)

Bonsoir !

et bien je ne me serais guère senti autorisé à intervenir ici, si je ne venais de me rendre compte que mon premier message abécien date de quasi exactement 1 an ! (le 9 octobre 2005 exactement)

je fête donc itou une année de passages dans ce forum qui me réjouit. Hourra !

Bien à vous tous
GuillaumeR

ps : si j'osais, je vous annoncerais humblement la sortie prochaine d'un ouvrage que je coécrivis, dont j'ai fait mention une fois ou deux... ça s'appelle le Précis de conjugaisons ordinaires, c'est édité par les Éditions Xavier Barral, et ça sort le 2 novembre...
Ce n'est pas sans trac que j'attends vos éventuelles critiques à tous !

Bonsoir !

moi, j'aime le mot y.

Je suppose que la question de son origine a déjà été lancée et expliquée depuis belle lurette dna notre forum, je tâcherai d'y songer de l'y dégotter.

GuillaumeR

Bonsoir

mais c'est toujours le cas, d'ailleurs. On peut acheter les tickets (verts), voire la carte (orange, bien sûr) au bureau de tabac, si je ne m'abuse !

43

(34 réponses, dans Promotion linguistique)

Bonsoirbonsoir,

je m'empresse de vous indiquer que dans l'argot des acteurs, une panouille c'est une figuration, en général au cinéma. Souvent l'occasion de passer une journée entière à lire un bon bouquin, en se disant que vraiment, c'est le théâtre qui t'intéresse...

Par exemple, j'ai fait une panouille dans "Les grands ducs", de Patrice Leconte (si, si, c'est vrai !).

Pour les gouguelistes, on trouve une occurrence, sur le blogue d'un acteur :

Concernant les tournages, j’ai été pris sur un téléfilm pour Arte qui se tourne au mois d’août. Philippe Fernandez, avec qui je tourne aussi sur la même période est prêt à me libérer pour les 3 dates. Mais j’apprends que le salaire que l’on me propose est inférieur à celui que je percevais quand il m’arrivait de faire une panouille dans des téléfilms bordelais, il y a dix ans. Mon agent ne signera pas !

http://www.blancan.org/archive-6-2005.html

Je dis ça, je dis rien.

GuillaumeR

44

(14 réponses, dans Pratiques argotiques et familières)

Bonsoirbonsoir,

la brêle (brèle, brelle ?), pour moi c'est une mobylette, en fait.

Et, effectivement, il me semble qu'on disait parfois, à Angers : "mais quel brêlon, çui-ci !", dans le sens imbécile, incapable, bêta.


Je dis ça, je dis rien.

GuillaumeR

Des lectures sans intérêt ; un prêt sans intérêts
On peut nier un pluriel aussi bien qu'un singulier

Bonjour les gens,

je n'ai pas lu tout ce débat, mais en lisant cet exemple de Papy, il semble clair qu'il n'est pas possible de bannir toute forme plurielle après sans :

on voit bien la différence entre un prêt sans intérêt et un prêt sans intérêts.

Non ?

Bien à vous
GuillaumeR

Le mot "Etat" s'écrit avec une majuscule lorsque cela désigne l'Etat et non un état de fait par exemple...

Bonsoir

J'ajoute qu'une certaine orthodoxie demande d'écrire l'État, avec accent aigu. Sur les PC, faire Alt+0201, sur les Mac, je crois que c'est plus simple, genre Maj Verrouillées+é.

Question subsidiaire : écrira-t-on "sur les Mac" ou "sur les Macs" ?*

Bien le bonsoir
GuillaumeR

* finalement, on n'a qu'à écrire "sur un Mac" !

y'a du hara-kiri dans l'air...
(vous savez, ce mot d'origine française, qui provient des chevaux de commerçants de chez nous, qui surprenaient les Japonais par leurs hennissements joyeux...)

quelle humiliation...

Papageno,
vous êtes dur avec moi... des années que je colporte cette légende, donc !
Fondée et tout, sur le fait que les Portugais étaient, avant l'ouverture de l'Empire, les seuls gaijin, étrangers, admis au Japon... et que ça avait donné quelques mots japonais, dont arigato et la tempura, cette friture si bonne...

Je vais essayer tout de même de retrouver ma source, car je me décevrais de m'être emballé trop vite !
(je crains que ce ne soit un ami japonais, sur place, qui m'ait affirmé cette étymologie, je vais creuser ma mémoire)

Quoi qu'il en soit, mille excuses pour cet obLigado... et pour cette étymologie crânement exprimée, alors que.

Je me souviens qu'en japonais, bimboo signifie pauvre.
Probablement rien à voir, mais quand on sait que quelques mots japonais viennent du portugais, comme arigato, merci qui vient de obligado, on se prend à imaginer des chemins étonnants...

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