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Le forum d'ABC de la langue française

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forum abclf » Messages de Piotr

Sujets de Piotr Recherche définie par l’utilisateur

Messages trouvés [ 51 à 100 sur 5 677 ]

51

(5 réponses, dans Parler pour ne rien dire)

Lévine a écrit:

ce n'est pas cela qui importe,

    Nous sommes bien d'accord...

52

(5 réponses, dans Parler pour ne rien dire)

1)  Ce n'est pas la première fois que nous fermons un fil (qui reste cependant accessible à la lecture).

2) Vous savez tous très bien pourquoi.

3) Tous les sujets restent ouverts à tout contributeur civil et auto-régulé.

Bonsoir Badaboum.

Je voulais créer un poste où parler des syntaxes

question 1) par « un poste », entends-tu un post anglicisme pour un fil / un sujet ?

question 2) tu voulais, tu voudrais ou tu veux ?

   Dans tous les cas la réponse est simple : dès l'instant que tu poses une question nouvelle, tu crées un nouveau sujet avec ton premier message.
    Tu peux ensuite t'inscrire : c'est beaucoup plus facile pour intervenir, mais ce n'est pas obligatoire.

Bonjour à toi, sois le bienvenu.

    Certes, on écrit « Vive les vacances et le caramel mou ! / Vive le bon goût et le raffinement à la française ! », au sngulier, mais c'est parce que le mot « vive » est ici considéré comme un simple introducteur, comme « bravo ! » (Grevisse, 13e, 901).

    Dans les expressions figées (si ce n'est / qu'importe / soit / n'était...), l'usage est fluctuant et les deux accords se voient, mais le singulier reste le plus fréquent (ibidem).

   Avons-nous ici une expression figée ? Pour moi, c'est non : il s'agit d'une simple inversion du sujet, un choix stylistique pour attirer l'attention sur ce qui va suivre.
    J'accorderai donc le verbe avec son sujet pluriel, ce d'autant plus que ce sujet (les termes) est explicité par deux noms coordonnés.

« En témoignent les termes « unité » et « harmonie », que le lecteur retrouvera à chaque page du Salon de 1846. »

   Cela dit (et si c'est ta question), on ne peut pas lui couper la tête pour cet accord au singulier.

   Par ailleurs, il n'y a pas lieu de mettre une virgule entre le verbe (témoignent) et son sujet (termes).

Bonjour Binoclard,

   je rejoins Chover dans sa réponse, surtout quand il dit : « une virgule avant le deuxième "et" ne me scandaliserait pas ».

    J'ajouterai la possibilité de placer en incise « à la fois » entre deux virgules :

« Il lui fallait être, à la fois, une ville remplie de béton et de lampadaires, et une campagne agréable.»

Puisque vous n'êtes pas capables de vous causer correctement, le sujet est clos.

Désolé pour JPMain.

Piotr

En résumé, ne tiennent la route que :
  - verbal et lexical, adjectifs,
  - terme et vocable, noms.

58

(2 réponses, dans Réflexions linguistiques)

C'est même assez stylé.

C'est assez stylé, même.

C'est finement écrit, stylé même.

C'est finement écrit, et même stylé.

Bonjour Bada,

    dans quelle situation, quel type de phrase, as-tu besoin d'un adjectif dérivé de « mot » ? As-tu un exemple ?

    En attendant mieux, je te propose « verbal », qui conviendra dans certains usages ou expressions, p. ex. « la pensée conceptuelle et verbale » => portée par les idées et les mots.
    Mais il ne convient pas à toutes les situations, par exemple en grammaire, où « verbal » est indissociable de la définition grammaticale du verbe.

Alco Fribas (message 20) a écrit:

Je veux pouvoir mesurer un pas de marche, et donc, savoir où il débute, où il finit.

   Vos désirs sont des ordres :

La marche est une succession de pas.
   Le pas se définit comme la caractéristique d’un moment spécifique à un côté, jusqu’à la reproduction de ce même moment [du même côté]. Classiquement on détermine le contact talon en avant comme le début de l’analyse d’un pas.
    L’enjambée ou demi pas est l’intervalle qui sépare le contact talonier d’un côté et celui de l’autre pied.
    Le cycle de marche se définit comme l’intervalle de ces deux événements précédents successifs que l’on caractérise aussi par le pas.
   Donc un pas = 1 demi pas + 1 demi pas. Ceci est un cycle de marche.
La marche en kinésithérapie

AlcoFribas a écrit:

Désolé si je pose des questions tordues.

  Te souvient-il de ces échanges de l'année dernière ? Ne répondaint-ils pas à cette même question ?

Il y a aussi :

   « Tu sais que Paul a un cancer ? Je l'ai vu l'autre jour : qu'est-ce qu'il a décollé ! il a perdu au moins dix kilos. »

Merci PP !

Lien inactivé. Sujet clos.

64

(9 réponses, dans Réflexions linguistiques)

AV a écrit :
   [...] vous pouvez même retrouver cette tournure de phrase dans un poème de Victor Hugo appelé « Le malade imaginaire ».

  Petite erreur, c'est dans une chanson de Molière intitulée « Les Misérables ».

Lévine a écrit:

Charge poétique faible hélas...

   ... et c'est un euphémisme ! Je ne vois pas de quoi il s'agit mais, dans cette rubrique, tout – ou presque – est permis.

Chocou a écrit:

Est-ce la couleur ou la visibilité du corps par rapport à son environnement ?

Chover a écrit:

La couleur et la visibilité du corps ne vont-elles pas de pair ?

    Selon moi, il ne peut s'agir que de la couleur : une couleur claire sur un fond sombre.
    S'il s'agissait de définir une image bien visible, on utiliserait le terme « nette », en tant que « bien découpée », ce qui correspond aux conditions de lumière (à midi, le soleil éclaire verticalement).

Alco  a écrit:

on pourrait remplacer « va promener son chien » par « part promener son chien

vh a écrit:

je ne le vois pas comme un futur proche, je le vois comme un présent

Chover a écrit:

je ne vois pas de futur proche dans cette sorte de phrase

    Je ne vois, moi non plus, pas de futur [proche] dans ce verbe aller qui n'est pas, ici, utilisé comme semi-auxiliaire.
    C'est, soit un présent narratif (Alco => il sort promener son chien), soit un fréquentatif (Chover => le samedi, il va faire ses courses).

Bonjour,

    j'aurais tendance à considérer « c'était pareil » comme plutôt familier et « c'était la même chose » comme plutôt standard, même si l'emploi du polysémique « chose » relève aussi du familier ; mais tout cela reste du domaine de la nuance et du discutable.
    Le remplacement de « chose » par un terme plus précis fait tout de suite apparaître un autre registre de langage :
  - c'était la même difficulté / ambiance / sérénade / gabegie...
  - c'était le même tohu-bohu / laisser-aller / problème...

Oui, c'est très bien comme ça.

    C'est ce qu'indique Abel :

On utilise cette expression généralement pour indiquer qu'on va maintenant traiter d'une question qu'on n'a pas encore abordée.

et tu la formules dans la foulée.

Abel a écrit:

Une exception qui me vient à  l'esprit est cependant la Juventus de Turin. Y en a-t-il d'autres ?

La Sampdoria de Gênes me vient à l'esprit.

71

(6 réponses, dans Pratiques linguistiques)

Ce n'est pas une locution adverbiale, mais je pense à « brouiller les cartes ».

Parlant de « c'est le coup de fusil »,

vergara a écrit:

Est-ce qu'on peut encore l'employer à l'oral ?

    Paradoxalement, je dirai qu'il vaut mieux l'éviter à l'oral, pour la réserver à l'écrit. Pourquoi ? Parce qu'elle était déjà peu usitée à la fin du siècle dernier, et que je ne l'ai ni entendue ni lue au cours de ce premier quart de siècle.
   Ceci me laisse à penser qu'elle ne serait pas comprise de nos jours dans une conversation en français standard, alors que, à l'écrit, on a le temps de réfléchir.

73

(6 réponses, dans Réflexions linguistiques)

C'est un peu la même question que « une tassse à café / une tasse de café ».

Salyc a écrit:

Le temps que tu VOUDRAS qu'elle dure Ou le temps que tu VEUILLES qu'elle dure.

et Abel a écrit:

Les deux formulations sont correctes...

   J'avoue avoir un fort doute à l'égard du subjonctif : je ne perçois pas – sauf référence à l'emploi classique du subjonctif – le « doute » dont tu fais état.
   La concordance des temps, et la logique de la chronologie, m'incitent à mettre tout au pluriel ; à défaut, j'utiliserais le présent : « le temps que tu VEUX qu'elle dure ».

  Mais, pour moi, la vraie réponse à Salyc est : pourquoi veux-tu utiliser un autre temps que le futur ?

Abel a écrit:

Intéressante question. J'aurais spontanément dit équipement et matériel.

   Je dirai même plus : matériel et équipement.


   D'ailleurs, le fournisseur de ces objets accessoires est, de nos jours, appelé équipementier.

76

(15 réponses, dans Réflexions linguistiques)

Épo a écrit:

Peut-être un régionalisme. Voyons ce que dira Piotr.

   Tempête dans un verre de grenadine !

   À vrai dire, pour dire vrai, au vrai (merci Abel), pour vous le faire entendre (merci Clément), j'ai utilisé « en vrai » sans plus y mettre d'intention littéraire ou de nuance.
    Régionalisme ? je ne saurais le dire; reliquat infantile ? c'est peut-être possible ; sénilité précoce ? et pourquoi pas ?

   Toujours est-il que votre érudition n'a d'égale que votre curiosité intellectuelle et votre agilité à mener la recherche, ce qui nous donne un de ces moments délicieux qui font le charme d'icelui forum.
   Comme diraient les Pieds Nickelés : « Sarah Vigote ! »

Nolwenn a écrit:

Je l'ai fait ; c'est assez long.

   En vrai, c'est bougrement long ! Je m'y suis repris à plusieurs fois (à cause d'interruptions inopinées), pour n'arriver qu'à la moitié. Il y a tant de choses à dire, tant d'hypothèses, pour répondre à des questions qui sont souvent posées sur ce forum.

   Je suis désolé pour toi, Nicole, mais je jette l'éponge.

78

(4 116 réponses, dans Réflexions linguistiques)

raissa/chrisor a écrit:

On ne s'insulte pas pour des idées !

On ne s'insulte pas pour des idées !? Regarde l'histoire du monde : on tue et on meurt tous les jours pour des idées.

Les jeunes linguistes que je fréquente sont plus sages !

Tu ferais mieux de t'abstenir de ce genre de mensonge imbécile.

Oui, le terme est ambigu : MP = messagerie privée / messagerie perso...

Revenons à nos moutons.

80

(6 réponses, dans Pratiques linguistiques)

Tu as parfaitement raison, c'est Robert qui se coupe :

- Robert le grand (2004, en CD) indique pour « orthopédie »

de ortho- et grec pais, paidos « enfant »

- Robert l'historique (DHLF, 1992, papier) écrit

est formé avec les mots grecs orthos « droit » et paideia « éducation d'un enfant »

J'avais regardé l'un et omis l'autre, persuadé qu'ils seraient univoques.  C'est la flemme d'ouvrir le gros deux-volumes qui m'a enduit d'horreur.

  C'est également Robert le grand qui écrit, pour « orthopédie »

Orthopédie des membres inférieurs (par rapprochement avec le lat. pes, pedis « pied »).

Lévine a écrit:

quand je réponds à une question posée à la cantonade !

   Mais quand tu réponds à une question posée à la cotonnade, nous v'la dans de beaux draps !

   Pour ce qui est de la MP, cela fonctionne effectivement comme tu le décris. Ce n'est évidemment pas le panard mais, pour changer, faudrait demander au grand boss. Cela dit, je doute que ce soit possible, sinon je pense que ce serait déjà fait.

82

(6 réponses, dans Pratiques linguistiques)

Le mot « orthopédie » est construit sur deux racines grecques, notamment πάις, πάιẟός qui signifie « enfant » (=> pédophile, pédagogue...).

  Il a ensuite été phonétiquement contaminé par le latin pes, pedis qui, lui, signifie « pied ».

Abel a écrit:

Hélas, plus personne ou presque ne la comprend et personne ne sait qu'on la doit à une opérette "Les Brigands" !

   Je l'utilisais, dans ma jeunesse, et j'ai toujours cru qu'il s'agissait d'une pique en direction des policiers transalpins, de même que nous avons des clichés désobligeants envers nos voisins belges, anglais, écossais ou espagnols.

Rappel :

   les débats sur le forum abc sont réputés être publics, conviviaux et... courtois.  C'est-à-dire que tout forumeur peut s'y inviter, avec son grain de sel et sa bonne humeur.

   Si des interlocuteurs souhaitent instaurer une discussion particulière, ils le font par MP. Hors cela, les échanges appartiennent à tous.

85

(5 réponses, dans Jeux de mots...)

Tornade a écrit:

Je l'ai décrypté une première fois pour en obtenir ceci :

    Comment as-tu procédé : la bonne vieille méthode classique du comptage des lettres et leur classement par fréquence d'utilisation ?
    Pour les objets cachés, as-tu une idée de leur nombre, de leur nature et de leur taille ?

86

(8 réponses, dans Pratiques linguistiques)

Oui, la lentille, comme le flageolet, est une graine tirée du fruit.

Et, diététiquement parlant, c'est une légumineuse protéagineuse.

Erratum :

    Dans mon précédent message, je me suis aperçu qu'il manquait le futur simple :

Les spécialistes se seront rapidement mis au travail, c’est-à-dire sitôt qu’on leur eut confié l’objet qu’avaient révélé les fouilles, et ils ont eu raison : les bailleurs de fond furent très satisfaits de la tournure que prenaient les évènements : « Pour une bonne nouvelle, c’est une bonne nouvelle ! »

Rectification :

Les spécialistes se seront rapidement mis au travail, c’est-à-dire sitôt qu’on leur eut confié l’objet qu’avaient révélé les fouilles, et ils ont eu raison : ainsi, ils réussiront. Les bailleurs de fond furent très satisfaits de la tournure que prenaient les évènements : « Pour une bonne nouvelle, c’est une bonne nouvelle ! »

À l'envers, c'est plus délicat :

Les spécialistes se seront rapidement mis au travail, c’est-à-dire sitôt qu’on leur eut confié l’objet qu’avaient révélé les fouilles, et ils ont eu raison : les bailleurs de fond furent très satisfaits de la tournure que prenaient les évènements : « Pour une bonne nouvelle, c’est une bonne nouvelle ! »

89

(42 réponses, dans Promotion linguistique)

vh a écrit:

Je propose :
Taurauder

    Je dirais plutôt taureaudage.

90

(2 réponses, dans Réflexions linguistiques)

Bonsoir Rabah.

Je dirai :

   Qu'en est-il pour vous ? = Quelle est votre opinion sur le sujet ? [ce qui répond à ta question]

   Qu'en est-il de vous ? = Que devenez-vous ? Comment évolue votre situation ? [ce qui n'a rien à voir avec ta question]

Voici un petit aperçu de ce qu'on peut pondre strictement : présent – imparfait – passé simple – futur simple – passé composé – plus-que-parfait – passé antérieur – futur antérieur :

Je ne vous dis pas dans quel état nous étions quand nous arrivâmes sur les lieux : trouverons-nous à manger ?  Nous nous sommes renseignés auprès des villageois, mais ils étaient devenus méfiants, et même agressifs quand nous eûmes demandé un abri. Notre seule apparence aura déclenché leurs craintes.

Chover a écrit:

Les reproches faits à ce verbe depuis maintenant assez longtemps me paraissent justifiés.

et Alco a écrit:

C'est effectivement une curieuse construction.

   À une époque pas si lointaine (le XXe siècle) j'utilisais volontiers ce mot, mais il ne m'est jamais venu à l'idée de le chercher dans le dico, tellement j'étais certain de son incorrection : pour moi, il a toujours relevé du vocabulaire plaisant, moqueur, ironique.
   Je constate aujourd'hui, avec un léger étonnement, qu'il figure – daté de 1864 – au petit et au grand Robert (qui cite Proust), avec toutefois la mention « fam. et par plais. » Que vouloir de plus ?

    Vos autres remarques sont justes, mais je retiens surtout celle d'Abel :

Les reproches qu'on lui fait sur son manque de correction grammaticale, on pourrait les faire sûrement à nombre de mots  que l'usage a finalement acceptés et qui sont tout aussi mal formés.

    Sic nascit omnia.

Dans un autre fil, un abécien demandait si on peut mélanger les temps dans un même texte.
   Je lui ai d'abord répondu ceci :

Et même parmi tous les temps du passé, et même du présent, et même du futur, tu peux tous les utiliser dans un tout cohérent :

   « Ce soir-là, comme j'ai toujours aimé le faire, je me suis mijoté une soirée détente : il faisait bon, j'avais pris une douche et je m'installai dans mon fauteuil préféré après m'être sorti une bonne bière (j'adore les lambics !) : je me préparais à écouter un CD de Mingus que j'avais dégoté sur Internet quand quelqu'un sonna... meeerde ! Mais c'était Caroline : sa visite me rend fou de joie et je l'acceuille à bras ouverts. Elle se sera souvenue de mon anniversaire... Nous jetterons le voile pudique de la vie privée sur les évènements qui vont s'ensuivre. »

   Puis je me suis aperçu que ça  pouvait peut-être donner lieu à un jeu rigolo : écrire un court texte qui comporterait chaque temps de la conjugaison.

   Plusieurs catégories :

  1) en vrac, c-à-dire dans le désordre, et en pouvant utiliser plusieurs fois le même temps (c'est l'exemple ci-dessus) ;

  2) strictement, c-à-dire en les prenant dans l'ordre des tableaux de conjugaison (présent, imparfait, passé simple...) et en n'utilisant qu'une seule fois chaque temps.

    Y a-t-il des amateurs ?

Bonjour Picariale, et bienvenue parmi les abéciens.

Chover a écrit:

Oui, vous pourriez proposer une phrase ou un passage avec un présent illustrant une vérité générale parmi des passés simples.

Et même parmi tous les temps du passé, et même du présent, et même du futur, tu peux tous les utiliser dans un tout cohérent :

   « Ce soir-là, comme j'ai toujours aimé le faire, je me suis mijoté une soirée détente : il faisait bon, j'avais pris une douche et je m'installai dans mon fauteuil préféré après m'être sorti une bonne bière (j'adore les lambics !) : je me préparais à écouter un CD de Mingus que j'avais dégoté sur Internet quand quelqu'un sonna... meeerde ! Mais c'était Caroline : sa visite me rend fou de joie et je l'acceuille à bras ouverts. Elle se sera souvenue de mon anniversaire... Nous jetterons le voile pudique de la vie privée sur les évènements qui vont s'ensuivre. »

    Il suffit juste de savoir ce que tu veux raconter et selon quelle chronologie.

95

(9 réponses, dans Réflexions linguistiques)

Oui.
D'un point de vue strictement arithmétique, ce sont les durées de ces missions qui sont cumulées. D'un point de vue courant, cela donne un total qui est ... la durée cumulée.

96

(9 réponses, dans Réflexions linguistiques)

J'allais le dire !

C'est le plus simple et le plus clair, et qui correspond bien à la réalité.
Tu peux même faire plus bref :
- diverses missions, durée cumulée : deux ans.

Tu peux aussi insérer les dates, ce qui introduit l'aspect discontinu. Ici, je penche pour le pluriel.
2010 – 2016 => diverses missions, durées cumulées : deux ans.
(tu noteras la modification de la ponctuation : on n'enchaîne pas deux fois le signe "deux points".)

Merci.

Puisque ce vieux fil est ressorti, profitons-en !

Je suis étonné que « égocentrique » n'y soit pas apparu. Quoiqu'il en soit, je me suis amusé à y réfléchir, et j'ai pondu ça :

L’individualisme est une thèse sociale, selon laquelle l’individu est la référence, la valeur suprême d’un  groupe social :  c’est-à-dire que les choix du groupe pèsent moins que ceux de chaque individu.
L’individualiste n’est pas forcément égoïste : il peut œuvrer pour le bien commun, mais seul dans son coin. En ce sens, il peut être égocentrique.
Les contraires d’individualiste sont : collectiviste, associatif, communautaire.
Les synonymes d'individualiste sont : indépendant, libertaire, solitaire, égotiste.
Sa phrase type : pas besoin des autres… / enfin seul !

L’égoïsme est une attitude intellectuelle, un état d’esprit, une personnalité morale.
L’égoïste sait qu’il y a d’autres personnes autour de lui, mais ne s’en soucie en rien. Cela engendre des comportements du type « moi / mes intérêts d’abord ! ».
Les contraires d’égoïste sont : altruiste, charitable, désintéressé.
Les synonymes en sont : intéressé, sans-cœur, amoral.
Sa phrase type : moi d’abord, les autres après !

L’égocentrisme est une caractéristique psychique de la personne, entraînant un mode de fonctionnement particulier : elle ignore qu’il y a d’autres sujets sensés qu'elle-même.
L’égocentrique se perçoit comme le seul sujet digne d’intérêt, le seul être réfléchi et donc le seul apte à prendre des décisions utiles. Ses choix sont donc les seuls valables et s’imposent logiquement à tout son environnement.
Les contraires d’égocentrique sont : humble. empathique, compatissant.
Les synonymes en sont : nombriliste, orgueilleux, égotiste,  tyrannique.
Sa phrase type : j’ai décidé que… il faudra que…

Cela doit répondre, en partie au moins, à la question posée il y a 12 ans. smile

Bonsoir.

Qu'est-ce qui te gêne dans « Madame, Monsieur » ?

100

(1 085 réponses, dans Jeux de mots...)

@ Chover : j'ai cherché à la placer, celle-là (Oman/Onan), mais je n'ai rien trouvé qui me satisfasse : bravo à toi !

Messages trouvés [ 51 à 100 sur 5 677 ]

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