Passer au contenu du forum

forum abclf

Le forum d'ABC de la langue française

Mise à jour du forum (janvier 2019)

Remise en l'état – que j'espère durable – du forum, suite aux modifications faites par l'hébergeur.

Options de recherche (Page 130 sur 133)

forum abclf » Messages de éponymie

Sujets de éponymie Recherche définie par l’utilisateur

Messages trouvés [ 6 451 à 6 500 sur 6 650 ]

6 451

(110 réponses, dans Réflexions linguistiques)

amandine07 a écrit:

Alors je viens de trouver (de faire) je pense à  :
remercier - traiter - répéter - structurer. j'ai remplacé à chaque fois par faire.

Vous avez trouvé remercier et répéter.

Pour les deux autres, non. On touche probablement à la limite de la méthode par substitution.

Si on vous dit (je l'écris comme vous l'avez écrit) "Structuré votre pensé !" Qu'est-ce que c'est ? Une recommandation générale ? Un conseil ferme ? Un ordre ? Dites la même phrase en utilisant le verbe construire.

Si vous dites (je l'écris comme vous l'avez écrit mais avec votre substitution), "Oui j'ai un problème qui n'a pas était faire" vous trouvez la phrase normale ? Vous la trouveriez aussi normale avec finir ? "Oui j'ai un problème qui n'a pas était finir"

En tout cas, vous en avez corrigé 3 sur 5 smile

6 452

(110 réponses, dans Réflexions linguistiques)

Avant

Je ne sait comment vous remerciez. Donc je commence par aprendre par coeur les verbes suivant : être allez, avoir et faire.

Oui j'ai un problème qui n'a pas était traité à l'enfance d'orthophonie. Quand je parle on me fait répété surtout pour : concert et cancer il n'y pas longtemps que j'ai découvert qu'ils étaient différents. 

Je fais des phrases longue du coup mon lecteur ne comprends pas. Dernièrement j'était à un jury. Et mon jury (deux femmes m'on dit donnez moi le sens de votre phrase en ne comprend pas voici la phrase de mon mémoire :  J'ai pris en compte les facteurs de progression et de régression en définissant et en actualisant la grille d'identification des acquis mis en place des objectifs ciblés en m'appuyant sur les grilles d'évaluation et en objectivant les projets réalistes avec l'équipe pluridisciplinaire.

Conclusion j'ai obtenue mon diplôme mais a chaque fois, les préconisation du jury : faites attentions à l'orthographe structuré votre pensé vous êtes confuses dans vos dires. J'ai fait un master il y a 2 ans (une question de recherche : je me suis faite ramassé par le jury trop de faute. Mais il m'on accordé mon sujet (question pertinente sur la sanction -Dans quel mesure la sanction peut être un moment positif du processus éducatif ? La sanction comprise c'est une socialisation assuré. Mais je ne sais plus comment faire, j'ose plus écrire et je le ressent j'ai ce sentiment que les gens pointes la faute orthographique au détriment du pensé sur les balbutiement de l'éducation dites spécialisé.

Donc je m'y met merci de me donné de votre temps

Après

Je ne sait comment vous remerciez. Donc je commence par aprendre par coeur les verbes suivant : être allez, avoir et faire.

Oui j'ai un problème qui n'a pas était traité à l'enfance d'orthophonie. Quand je parle on me fait répété surtout pour : concert et cancer il n'y pas longtemps que j'ai découvert qu'ils étaient différents. 

Je fais des phrases longue du coup mon lecteur ne comprend pas. Dernièrement j'étais à un jury. Et mon jury (deux femmes m'ont dit donnez moi le sens de votre phrase ont ne comprends pas ! voici la phrase d'une des pages de mon mémoire :  J'ai pris en compte les facteurs de progression et de régression, en définissant et en actualisant la grille d'identification des acquis mis en place. Des objectifs ciblés en m'appuyant sur les grilles d'évaluation, et en objectivant les projets réalistes, avec l'équipe pluridisciplinaire. (manque des ponctuations) peut être des points aussi.

Conclusion :  j'ai obtenue mon diplôme, mais a chaque fois, les préconisation du jury sont :  faites attentions à l'orthographe. Structuré votre pensé, vous êtes confuses dans vos dires !. J'ai fait un master il y a 2 ans (une question de recherche : je me suis faite ramassé par le jury trop de faute. Mais ils m'ont accordé mon sujet (question pertinente sur la sanction -Dans quel mesure la sanction peut être un moment positif du processus éducatif ? La sanction comprise, c'est une socialisation assuré.
Mais je ne sais plus comment faire ! J'ose plus écrire par peur  que les gens pointes seulement la faute orthographique au détriment de ce que j'ai à dire.

Donc je m'y met merci de me donner de votre temps

Il y a 5 infinitifs en ER, vous en avez trouvé un (en bleu). Cherchez les quatre autres. Il y en a 3 dans les 2 premiers paragraphes et 1 dans le quatrième.

Si vous ne voulez pas le faire immédiatement, pouvez-vous, pour changer un peu, écrire le texte de cette chanson (c'est pas de la grande littérature, c'est le moins que l'on puisse dire lol ), en écrivant le refrain une fois seulement bien entendu. Seulement jusqu'à la première phrase que dit le garçon.

Mais écrivez-le sans vous préoccuper des erreurs, comme il vous vient. Il y a un seul infinitif, en ER, si vous le trouvez tant mieux, sinon tant pis.

Si vous avez trop de problème de compréhension du texte, dites-le et on arrête pour passer à une autre chanson.

http://www.youtube.com/watch?v=qczB20_I5Cs&ob=av2e

6 453

(110 réponses, dans Réflexions linguistiques)

Encore une fois, ça me fait plaisir de vous aider et de vous voir progresser. Ce qui m'intéresse aussi beaucoup c'est de relever le défi de vous faire progresser uniquement en utilisant une communication écrite et les outils qu'Internet met à notre disposition.

Quand vous aurez le temps, il faudrait aussi que vous révisiez votre message #12. Entretemps je cherche un document audio ou vidéo qui va nous servir de base pour l'étape 2 (vous savez les 5 fameux verbes smile ). Pour ça, on ne peut pas commencer en travaillant sur vos messages. Ce serait trop compliqué.

6 454

(110 réponses, dans Réflexions linguistiques)

amandine07 a écrit:

Après
J'ai les larmes au yeux de tant de générosité. Mille mercis. Je vais un peu mieux me présenté. [ ... ] . Je sais trouvé des solutions pour travaillé le (moi désorganisé= le désordre psychique qui fait d'une personne qui devient non soumise au loi des hommes) mais là je suis paralysé.
Générositer
je sais trouver des solutions pour travailler
Mais là je suis paralyser

Vous avez corrigé les deux dernières erreurs sur infinitif : "Je sais trouver des solutions pour travailler"

Est-ce que vous diriez "J'ai les larmes au yeux de tant de faire",  "Mais là je suis finir" ?

La première erreur était "Je vais un peu mieux me présenter" ("je vais un peu mieux me faire/finir").

Générosité n'est pas un verbe : diriez-vous "je générosite" ou "je veux générositer" ?

Se présenter est un verbe : "je me présente" / "je veux me présenter"

Donc en deux coups, vous avez fait la plupart des corrections : 9 dans votre texte d'origine, 6 à la première révision (2 sur 3 donc), 2 à la deuxième.

Il n'en restait qu'une et, hypothèse, l'esprit paralysé à l'idée de faire une erreur, vous en avez ajouté deux autres. Vous voulez une camomille smile ?

On continue ? J'ai les courses et la tambouille (même en cuisine, le doigté, c'est pas mon truc) à faire donc je risque de ne pas pouvoir répondre avant ce soir voire demain en fin de matinée. Mais je suppose que vous avez l'impression d'avoir progressé smile : sinon je vous le dis avec mon infinie délicatesse de char d'assaut VOUS AVEZ PROGRESSÉ.

On devrait pouvoir très rapidement commencer l'étape 2 (la 3, ce sont les marques du pluriel pour les verbes : ONS, EZ, ENT).

6 455

(110 réponses, dans Réflexions linguistiques)

amandine07 a écrit:

Après
J'ai les larmes au yeux de tant de générosité. Mille mercis. Je vais un peu mieux me présenté. Je suis éducatrice spécialisée mais en réalité une femme de terrain. Je lis beaucoup et je trouve que c'est injuste car on me la toujours conseillé de lire, mais je  ne vois pas de résultat à l'écrit. Je me suis toujours arrangé pour faire vérifier  mes fautes avant de les envoyer ce qui me connaisse ne vois  pas de faute je ne comprend pas d'ailleurs. Je suis d'origine Palestinienne mon mari et Français et lui ses parents son profs (sa mère de Français d'ailleurs) je ne me suis pas permise de l'ai solliciter par honte bien sûre. Mon mari ne comprend pas les fautes que je fais lui il ne travail pas dans l'enseignement ni dans l'éducation il fait un travail manuel. Je suis une adepte de Foucault surveiller et punir etc... Ma direction me change de poste je dois envoyer des rapports aux juges. Vous comprenez que je suis morte... Je dois faire des propositions sur des jeunes et des orientations sauf que je vais dans mes rapports me retrouver seule... Comment faire, j'ai refusé, mais ma direction pense que je suis la seule à être capable et me demande de trouver la solution. Je sais trouvé des solutions pour travaillé le (moi désorganisé= le désordre psychique qui fait d'une personne qui devient non soumise au loi des hommes) mais là je suis paralysé. Voilà je vais donc appliquer déjà vos conseilles que je viens juste de découvrir mais que je n'ai pas mis en application. Ah j'oublié j'ai contacté le cned (enseignement à distance) mais elle douté (la dame au téléphone d'avoir un résultat rapide. Voilà merci de votre lecture.

Vous avez fait des corrections mais il manque 3 ER (un au début et deux vers la fin) avec finir et faire, vous devriez y arriver .

6 456

(110 réponses, dans Réflexions linguistiques)

amandine07 a écrit:

C'est avec grand plaisir que je vais suivre vos conseils. Mais il m'est important d'avoir quelques outils rapidement sous la main donc également je profite des règles qu'on me donne. Actuellement je dois lire Graine de crapule de Fernand Deligny. Et pour mon grand plaisir "la plaisanterie" de Milan Kundera. Puis j'ai pris note des livres, que vous me conseillez je vais les faire commander à ma bibliothèque. (normalement c'est un sans faute !!)

C'EST UN SANS FAUTE (LES INFINITIFS ET TOUT LE RESTE) !!! BRAVO.

Pour parler d'expérience, la mienne n'est rien par rapport à la vôtre, j'avais un étudiant qui était complètement désespérément bloqué à l'oral : le pauvre, il voulait toujours, désespérément comprendre, il lui fallait une langue qui fonctionne dans sa tête comme un moteur d'aiguillage. Pas moyen de le débloquer, et ça a duré quasiment un an : jusqu'au jour où je l'ai mis avec un collaborateur de son équipe, je leur ai fait parler de leur expérience au passé et comme il tenait à chambrer son subordonné, et à parler au moins aussi bien que lui, ils se sont mis tous deux à parler au passé et à utiliser correctement l'imparfait.

Ce qui est amusant, c'est que toute la connaissance que je lui avais "infligée" auparavant est enfin sortie dans les cours suivants : le fait de se rendre compte qu'il pouvait parler sans réfléchir lui a permis de sortir des phrases aussi complexes que "JE NE LE LUI AI PAS DONNÉ" alors que ça n'avait strictement, définitivement aucun rapport avec le contenu grammatical du cours qui avait déclenché l'illumination. Tout était là et attendait de sortir. C'était un cas particulier et "extrême".

6 457

(110 réponses, dans Réflexions linguistiques)

amandine07 a écrit:

Après
Comment je peux en si peu de temps apprendre (tout au moins a diminuer mes fautes d'orthographes). Je n'arrive pas a intégrer les règles et surtout les appliquer. Conséquence je n'écris plus ou presque plus. Pourtant j'ai des choses à dire ! Merci

PARFAIT !!!

6 458

(110 réponses, dans Réflexions linguistiques)

P'tit prof a écrit:

Je vais probablement me faire siffler, mais je vous conseille, moi, d'oublier les exercices.

Je ne vais pas vous siffler, vous ne m'avez pas traité de gras graisseux lipideux. Et vous avez raison de lui conseiller de lire. Mais elle lit déjà beaucoup et comprend parfaitement (voir le dernier échange justement). Et est aussi habituée à argumenter.

Mais il faut répondre à son urgence et la déstresser par rapport à l'écriture : que vous le vouliez ou non, il va bien falloir en passer par des exercices. Je me donne pour objectif de lui faire reconnaitre, isoler (vous avez vu la troisième personne du singulier du verbe avoir ?) et écrire correctement les verbes. J'ose croire que cela va mettre en branle une mécanique d'analyse qui va la décoincer.

Pour le petit jeune et Dieu, vous avez raison. Mais votre explication n'est pas incompatible avec Dieu; je ne sais pas si avec la sienne la compatibilité aurait été à toute épreuve.

Mais j'ai bien compris qu'un éducateur spécialisé ne doit pas faire entrer ça en ligne de compte : ce fut magistralement et très clairement expliqué. Alors l'orthographe n'est vraiment qu'un détail. Une épine dans le pied à retirer.

6 459

(110 réponses, dans Réflexions linguistiques)

amandine07 a écrit:

Oui si cela ne vous embête pas, j'ai du mal avec les anciens messages mais si il faut pas de souci.

Il faut. Vous devez vous corrigez toute seule, pour acquérir des automatismes.

Vous avez écrit correctement 4 infinitifs, mais il manque encore 5 finales ER. Et vous avez réussi le tour de force de trouver un exemple où il peut y avoir discussion en fonction de la ponctuation (les virgules dans ce cas), laissez donc "instrumentalisé" tranquille. Et ne vous inquiétez pas pour ça.

amandine07 a écrit:

Ecouté l'autre et éviter de travailler et de (tricoter dans mon jargon) de son côté tel et la leçon que j'ai tiré avec ce jeune.
Mais à aucun moment je n'ai et je ne dois  instrumentalisé Dieu pour arrivé à mes fin (non que je sois croyante, d'ailleurs je suis agnostique.)

Mais pour moi non ! parce que je dois travailler sur du long terme par que sur l'instant té.
Imaginé que ce jeune décide d’abandonné Dieu, parce que celui ci l'aurais abandonné, qu'est ce  qu'il va faire et devenir ? : s'adonné au vol, avec aucune retenue justement !. Donc je suis bien obligé d'intervenir dans ses propos et lui posé justement la question suivante : et si demain Dieu toi ou lui vous vous séparé... Qu'est ce que vous allez faire, surtout vous ? (pour Dieu je ne m'on fait pas ! )

Et je n'ajoute rien d'autre pour que vous ne soyez pas tentée de nous éblouir avec votre prose et votre expérience. Bavarde que vous êtes. On blablatera quand vous saurez placer correctement vos ER.

6 460

(110 réponses, dans Réflexions linguistiques)

amandine07 a écrit:

Je fais une recherche sur le net pour savoir ce que c'est les verbes irréguliers !!!

Surtout pas, vous allez avoir des tonnes de réponses différentes. Pour ce qui nous concernent disons que les verbes irréguliers au présent sont :

être, avoir, aller, faire et dire. C'est tout.

La régularité, c'est le fait de suivre une ou plusieurs règles. Un verbe régulier suit des règles communes à tous les verbes, un verbe irrégulier, non.

Ces 5 verbes ne suivent pas les règles d'écriture valables pour tous les autres : c'est pour ça que c'est mieux de les connaitre immédiatement.

Donc : 

étape 1) identifier l'infinitif du verbe et pour les verbes en É/ER, utiliser correctement cet infinitif (vous n'avez pas ce problème avec les autres verbes quand vous savez ce que vous voulez dire) et écrire ER quand il faut. C'est tout.

étape 2) écrire correctement au moins être, avoir, aller, faire quand il sont au présent (le futur, les temps du passé, on verra plus tard).

amandine07 a écrit:
glop a écrit:

Si ça peut l’aider,
Je propose à  amendineo7, d’essayer le verbe finir.

En fait fini/ é
              finir/er

Hé bé voilà !!! smile

En bleu ce qui est bon, en rouge les erreurs

amandine07 a écrit:

Un jeune de 20  ans me dit : j'ai compris pourquoi ce n'est pas bien de voler.
moi (je pense dans ma tête) :  Ah enfin le résultat du travail accompli se paye enfin....)
Moi : Alors dis moi qu'est ce qui ta fait prendre conscience que le vol ce n'est pas bien...
Lui : Et bien j'ai remarqué que quand j'ai de l'argent du schit (canabis), et bien cet argent part comme il est venu. Dés fois j'arrive à gagné 1000 euros par jour, et je ne retiens pas un centime. Et par contre j'ai remarqué quand je travail, et bien cet argent je le garde longtemps.
Et j'ai trouvé  l'explication !.
Moi : Alors explique moi ?
Lui : Et bien c'est Dieu, Dieu fait en sorte que l'argent sale, le fait disparaître de mes mains. Tandis que l'argent propre l'argent de mon patron et celui de la sueur de mon front et bien celui là il à un prix !!. L'explication c'est Dieu qui gère mon argent. Et me montre le chemin.
Moi : Et bien c'est très alors !!!...

Ou alors c'est le Diable qui lui fait dépenser son argent pour qu'il vole de nouveau, Dieu ne ferait que (façon de parler) lui faire voir la différence en lui donnant l'occasion de travailler. Mais qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse.

Il semble que vous préférez écrire de nouveaux messages plutôt que de relire les précédents. À la fin, ça fera peut-être une chouette livre ou un beau blog smile

6 461

(110 réponses, dans Réflexions linguistiques)

Cest pas mal de montrer des cas de figure où peut intervenir l'infinitif.

J'ai trouvé ça pour les verbes irréguliers :

http://www.alphal2.org/oef/grammaire/verbes.htm

les exercices ne portent que sur être, avoir et aller mais ce sont les trois plus irréguliers, faire n'est irrégulier qu'au pluriel et dire seulement pour le vous.

Vous devriez faire tous les exercices, ils sont faciles et c'est une manière d'apprendre ces trois verbes de façon plus efficace sans vous stresser.

6 462

(110 réponses, dans Réflexions linguistiques)

Et si vous lisez le message en parlant à haute voix ?

6 463

(110 réponses, dans Réflexions linguistiques)

amandine07 a écrit:

Et bien je comprend mieux certaines chose pour é ou er mon mari me dit de remplacé par mordre ou mordu. Sauf que des fois je trouve que les deux vont bien du coup son truc ne me conviens pas parce que je mettrais bien les deux. Mon mari lui il est dépité, il me corrige mes fautes quand je lui demande mais ne cherche plus à m'expliqué.

Je vais mordre ou je vais mordu, il n'y a pas de quoi sauté au plafond je trouve que les deux passent bien..
Je sait pas qu'on pensez vous ? Honnêtement c'est très compliqué. Le temps de comprendre j'oublie ce que je veux écrire, bon je continue à travailler (à faire). Je pense que c'est bon. Merci de votre aide

Les verbes ou les formes verbales en bleu sont bons.

Et en cherchant des synonymes ?

EXPLIQUER/EXPLIQUÉ = FAIRE COMPRENDRE/FAIT COMPRENDRE

SAUTER/SAUTÉ = BONDIR/BONDI

REMPLACER X PAR Y/REMPLACÉ X PAR Y = METTRE X À LA PLACE DE Y/MIS X À LA PLACE DE Y

Au lieu de chercher n'importe quel verbe qui ne soit pas terminé par É/ER, est-ce que ça va mieux si vous mettez un verbe ou une expression de même sens, qui corresponde donc à ce que vous voulez dire ? Vous pouvez corriger sans trop chercher votre texte avec les synonymes fournis ?

6 464

(110 réponses, dans Réflexions linguistiques)

yd a écrit:

et n'étant pas moi-même enseignant je n'y mettais bien-sûr pas le sens, bien à eux, hélas pour eux, qu'y mettent les enseignants, en ajoutant de leurs grasses mains à mes lettres leur propre graisse, ceci bien-sûr en guise d'enseignement de la doigté.

lol

Le doigté n'est pas mon fort, et c'est une litote. Ce n'est certes pas ce que je prétendais enseigner.

Si je me tue à dire qu'il n'y a pas fondamentalement de difficultés à une personne qui ne cesse de dire qu'elle ne sait pas écrire, qu'elle ne supporte pas de se relire et d'autres choses de ce genre, c'est primo parce que je le pense vraiment (voir ci-dessous et ce que j'ai dit de diverses manières plus haut), secondo parce que c'est BASIQUE d'éviter de risquer de conforter les personnes dans la fausse idée qu'ils ont d'eux-mêmes et de leurs capacités et de tout faire pour qu'ils prennent conscience que le mur qu'ils voient n'est qu'un talus. Pour ce genre de choses mon approche est plus celle d'un char d'assaut.

Je suis plus que probablement un gros gras enseignant aux gros doigts gras et graisseux, confit dans mes lipides et je ne fais pas dans le subtil en cherchant la façon dont "difficulté" peut être perçu pas plus que je ne vais chercher midi à quatorze heures pour trouver des raisons au fait que quelqu'un qui sait s'exprimer à l'oral et sait lire n'a pas acquis les mécanismes de l'expression écrite.

Et je persiste à affirmer qu'avec le niveau d'expression orale qu'elle a, elle dispose déjà de tous les outils pour mieux écrire. Il suffit de lui donner les clés. Sans trop s'embarrasser de notions dont elle n'a que faire. Ensuite je suis moi aussi persuadé qu'une fois décomplexée et lancée, tout roulera tout seul.

Maintenant si mon intervention a heurté votre susceptibilité tant pis, je ne cherchais pas à vous vexer mais à aider au mieux cette dame qui est venue chercher des réponses très concrètes et n'a pas besoin de blabla.

Troisième et dernière pique : essayez-vous à enseigner avant de juger.

6 465

(110 réponses, dans Réflexions linguistiques)

P'tit prof a écrit:

Si vous croyez que les journaux vont vous apprendre l'orthographe et la syntaxe !

Bien entendu que ça sert pour l'orthographe, il suffit de voir toutes les fautes qu'elle ne fait pas.

amandine07 a écrit:

Merci dés que je quitte mon domicile je vais à la bibliothèque.

Oui et il y a encore plus aberrant, l'année dernière l'institution ferme. Tout les jeunes dehors (en famille) et nous en vacance... Sauf que un des jeunes avait interdiction de rentré chez lui par le juge. (famille maltraitante). Et bien à mon retour et notre retour les éducs nous avons fait chanté Ave maria à notre chef de service et plusieurs fois il est un des première à tiré la sonnette d'alarme. Bon bref l'institution peut être aussi responsable... Oui pour ce fait divers plus que malheureux je ne comprend pas pourquoi il n'était pas pris en charge dans un milieu spécialisé... Ce retrouvé en milieu ordinaire c'est vraiment tenté le diable. Sa vie à lui et brisé et cela, j'entant tout à fait le discours du papa quand t'il dit " ne me dites pas que c'est la faute à pas de chance" . Mais je pense que les lois à elle seules ne seront pas les seules à résoudre les problèmes de la récidive. Il faut vraiment mettre des véritable technicien sur le terrain. Les éducateurs PJJ sont excellent mais malheureusement pas nombreux. Mettre des jeunes de 20 ans diplomé dans un CER centre educatif fermé c'est du pure délire. Certains me disent que c'est formateur j'y crois pas un seconde. Demain je ne travail pas je vais me prendre en main pour tout vos bon conseil Merci

4 infinitif en ER à rétablir. Je vous mets en gras tous les verbes à l'infinitif que vous avez mis correctement parce qu'ils ont une prononciation différente des autres formes verbales.

6 466

(110 réponses, dans Réflexions linguistiques)

amandine07 a écrit:

Je suis née en Palestine, puis pour des raisons économique et d'Etat mes parents ont émigré en France (suite aussi à la mort de ma soeur) et beaucoup d'autres problème. la France était intéréssante au point vu géographique, puis je suis retourné à plusieurs reprises en Palestine. Puis depuis mon mariage les ont changé je suis tout simplement interdit de séjour (pas sur papier mais les mariages mixte c'est pas ça encore). Je suis venue en France à l'age de 2 ans. Mais mes parents m'interdisé de parlé Français. Pour la simple et bonne raison qu'il ne comprenais rien. J'ai fréquenté l'école avec (modération). Puis ils m'ont inscrit au cours du soir non pour apprendre le Français mais l'arabe littéraire. Mes parents ont toujours pensé qu'une femme scolarisé était un dangé.... Donc les souvenirs que j'ai de l'école sont des mauvaises notes, et même une maîtresse d'école qui distribué des bonbons à ceux qui avais zeros fautes ou de bonne notes. J'en ai pas gouté un seule...forcément
Aujourd'hui dans ma profession je suis très attaché à certaine méthode, celle ou il n'y pas de carotte à la fin mais le dialogue....Je trouve que c'est une honte mais peut être que j'en était victime je sais pas.
Mais cela et un autre sujet.
Paradoxalement j'ai toujours aimé lire, et je lis beaucoup les journaux mais aussi tout ce qui touche à ma profession. Voilà en revanche c'est une véritable torture de me relire. Il faut bien pourtant lol.

Un seul et unique infinitif fautif.

6 467

(110 réponses, dans Réflexions linguistiques)

amandine07 a écrit:

Nous avons l'autorisation du juge de rendre visite à la famille et du jeune que je vais appelé Arnaud.

QUE JE VAIS FINIR donc QUE JE VAIS APPELER

Votre écriture est parfaitement compréhensible. On voit que vous avez fait attention avec être et avoir. Il y a de petites erreurs mais ce n'est pas grave.

Par contre il faut résoudre l'infinitif : quand votre verbe n'est pas un verbe en É/ER vous ne faites pas d'erreur parce que vous entendez la différence entre l'infinitif (PARTIR) et les autres formes (PARTEZ/PARTI).

Regardez donc toutes vos formes en É ou EZ et vérifiez si vous ne pouvez pas les remplacer par PARTIR/FINIR/DEVOIR/etc. Si vous pouvez, vous devez écrire ER.

Au début c'est très artificiel et lourd mais avec la pratique ça deviendra réflexe et vous ne ferez pas plus de fautes que les francophones "de naissance".  Avant de continuer avec vos très intéressants messages, corrigez ça.

Il y a 12 erreurs de ce type en plus de la première (mais il y a aussi des infinitifs bien marqués). Si vous n'y arrivez pas, réécrivez, on essaiera de reformuler pour vous faire comprendre.

Repostez donc exactement le même message (ou le précédent, il était plus court) corrigé. Nous avons vu et compris que vous vous exprimez bien, que vous communiquez bien. On peut converser - ça intéresse même tout le monde ici - mais je pense qu'il faudrait discipliner cette conversation pour corriger progressivement vos petites erreurs. Et cessez de vous complexer pour des bêtises, c'est super ce que vous nous racontez smile

6 468

(110 réponses, dans Réflexions linguistiques)

yd a écrit:

Je voulais juste demander à Amandine si sa langue maternelle était ou non ce qu'on appelle une langue normalisée, utilisable par exemple dans les études secondaires et supérieures, comme l'arabe, l'anglais, le français, l'italien, l'espagnol, etc. Si la réponse est non, on pourrait tenir là une bonne partie de l'origine de ses difficultés en grammaire et en orthographe, et elle ne serait en réalité victime que de sa réussite universitaire, d'autant plus méritante. À l'inverse, ces difficultés qui tiennent strictement à la différence de nature entre langue maternelle dite « spontanée », ou orale, et langue normalisée, ou scolaire, ou scientifique, etc. sont peu connues dans les cultures où la langue maternelle est une langue normalisée, ce qui expliquerait les difficultés pour aider Amandine à les surpasser. Ceux qui pourraient beaucoup l'aider - si les difficultés sont bien de cette nature - sont probablement des linguistes, ou bien des enseignants qui ont une longue carrière auprès de populations aux langues maternelles orales ou spontanées. L'exemple de l'enseignement en Algérie depuis 1962 est très instructif. Pardon par avance pour mes propres lacunes en terminologie.

Je trouve que c'est bien de parler avec Amandine de son expérience pour lui donner du grain à moudre afin qu'elle ait des tonnes et des palanquées de choses à nous écrire.

Par contre inutile de surutiliser le terme "difficulté". Il n'y a pas de difficultés, juste un mécanisme à acquérir.

Vu le niveau que l'on peut imaginer facilement comme étant élevé à l'oral, il s'agit de lui faire acquérir les mécanismes simples de l'écrit (l'orthographe grammaticale d'abord) pour ensuite lui faire apréhender en quoi l'expression écrite ne reprend pas tous les mécanismes de l'expression orale. Mais pour ce dernier point, je ne sais pas si un forum est adapté. On verra bien.

Certaines reprises qu'elle fait sont typiques de l'oral et ne se retrouvent pas à l'écrit. En outre, la pensée s'articule aussi  d'une manière naturelle à l'oral (la pensée spirale ou associative), elle doit être bridée à l'écrit en français (la pensée cartésienne ou linéaire) sous peine d'être difficile à suivre pour les linéaires que nous sommes. Mais son niveau à l'oral est tel encore une fois que je pense qu'il ne s'agit que d'acquérir simplement et progressivement (mais le progressif va parfois très vite) des mécanismes simples.

Sa seule "difficulté" réelle est la distinction de deux voyelles nasales, elle en a déjà parlé et c'est un détail.

Je ne vois pour l'instant pas de différence entre elle et un Italien ou un Européen de l'Est qui ne connaitrait le français qu'à l'oreille (ces derniers sont très forts pour ça). Ils parlent des langues normalisées ces gens-là. Pour reprendre vos termes yd, leur français oral est "spontané" et leur français écrit n'est pas "normalisé" du tout.

Amandine, corrigez vos 4 infinitifs et répondez à yd en continuant à mettre ces infinitifs à leur place smile

Et si vous n'en trouvez que 3 sur 4, postez quand même, on vous expliquera smile

6 469

(110 réponses, dans Réflexions linguistiques)

Vous n'imaginez pas combien cela peut me faire plaisir de consacrer un peu de temps à ce genre de chose. Et à mon avis, il y a un tas de gens à qui ça peut faire plaisir.

Il y a 4 erreurs, 4 infinitifs en ER à mettre dans votre dernier message. Appliquez la méthode FINI/FINIR et renvoyez le message corrigé.

Pour plus tard,  apprenez pas cœur vos 4 verbes. Quand vous les saurez, ce sera la deuxième chose pour laquelle vous n'aurez plus droit à l'erreur.

6 470

(110 réponses, dans Réflexions linguistiques)

Ma direction me change de poste je dois envoyer des rapports au juges.

La virgule mise à part, c'est PARFAIT !!!

Ma direction me change de poste, je dois envoyer des rapports au juges.

Vous comprenez que je suis morte...

Ce n'est pas vrai et  c'est PARFAIT !!!

Je dois faire des propositions sur des jeunes et des orientations sauf que je vais dans mes rapport me retrouvé seule...

L'infinitif habituel et un pluriel (pas grave pour le moment), c'est PRESQUE PARFAIT !!!

Je dois faire des propositions sur des jeunes et des orientations sauf que je vais dans mes rapports me retrouver seule...

Comment faire, j'ai refusé mais ma direction pense que je suis la seule à être capable et me demande de trouvé la solution.

L'infinitif habituel, c'est PRESQUE PARFAIT !!!

Comment faire, j'ai refusé mais ma direction pense que je suis la seule à être capable et me demande de trouver la solution.


Je sais trouvé des solutions pour travaillé le (moi désorganisé) mais là je suis paralisé.

L'infinitif habituel, plus un féminin et un y (pas grave pour le moment). Je ne comprends pas – c'est la première fois – ce que vous avez mis entre parenthèses.


Je sais trouver des solutions pour travailler le (moi désorganisé) mais là je suis paralysée.

Voilà je vais donc appliqué déjà vos conseilles que je viens juste de découvrir mais que je n'ai pas mis en application.

L'infinitif habituel et un mot masculin en -EIL, c'est PRESQUE PARFAIT !!!

Voilà je vais donc appliquer déjà vos conseils que je viens juste de découvrir mais que je n'ai pas mis en application.

Ah j'oublié j'ai contacté le cned (enseignement à distance) mais elle douté (la dame au téléphone d'avoir un résultat rapide. Voilà merci de votre lecture

Ici, nous avons un autre temps verbal, l'imparfait. Ce serait à voir plus tard.
Ah j'oubliais, j'ai contacté le cned (enseignement à distance) mais elle doutait (la dame au téléphone d'avoir un résultat rapide. Voilà merci de votre lecture.

On vous l'a déjà dit, je le répète à ma façon quand vous avez un doute entre

CONTACTER et CONTACTÉ
APPLIQUER et APPLIQUÉ

voyez si vous pouvez utiliser FINIR ou FINI (si la phrase est absurde, ce n'est pas grave). Si c'est FINIR, mettez CONTACTER/APPLIQUER/PARLER/etc., si c'est FINI, mettez CONTACTÉ/APPLIQUÉ/PARLÉ/etc.

Exemple :  “j'ai contacté le cned

j'ai FINI le cned
[s]j'ai FINIR le cned[/s]

j'ai contacté le cned” est donc juste

Vous avez appris le français “à l'oreille” et vous l'avez très bien appris : vous faites un complexe par rapport à l'écriture. Mais c'est une convention stupide, si vous savez parler, communiquer, comprendre, vous avez fait le plus difficile. Il suffit d'un tout petit peu de méthode pour acquérir les bases de l'orthographe.

Et en plus, point positif, votre œil a mémorisé bien plus de points d'orthographe que vous ne l'imaginez.

Et je vous assure que je sais de quoi je parle.

Pour votre prochain message, faites attention seulement à une chose. Écrivez-nous un roman si vous voulez mais vous n'avez pas le droit de confondre  le É final avec un ER final, quand il s'agit d'un verbe (en cas de doute FINIR/FINI). C'EST TOUT, pour le reste faites vos efforts d'écriture habituels.

6 471

(110 réponses, dans Réflexions linguistiques)

J'ai lu votre réponse mais ai déjà préparé la suite. J'ai compris.

LE VERBE REPRÉSENTE CE QUE VOUS FAITES, dans une phrase très simple ce qui suit je est le verbe

je parle
j'écris
je connais
je viens
j'apprends

L'INFINITIF C'EST LE NOM DU VERBE, pour le connaitre dans les phrases précedentes utilisez le verbe VOULOIR (il s'appelle comme ça smile )

je veux PARLER
je veux ÉCRIRE
je veux CONNAITRE
je veux VENIR
je veux APPRENDRE

COMME VOUS POUVEZ LE VOIR, L'INFINITF EST CARACTÉRISÉ PAR UN R OU UN RE FINAL.

LE VERBE QUI N'EST PAS À L'INFINITIF EST CONJUGUÉ.

Le participe passé est une forme conjuguée mais je crois que vous allez devoir vous concentrer d'abord sur l'infinitif et sur la conjugaison au présent. Tout le reste en découle.

Je continue, à la fin vous devriez remarquer que tout compte fait vous ne faites pas tant d'erreurs que ça, ce sont toujours un peu les mêmes qui reviennent.

Comme ça vous pourrez les traiter les unes après les autres. Et comme vous l'avez déjà vu dans les premières réponses, il va falloir vous concentrer sur les verbes. MAIS CE N'EST PAS DIFFICILE.

Je lis beaucoup et je trouve que c'est injuste car on me la toujours conseiller de lire, mais je ne vois pas de résultat à l'écrit.

PRESQUE PARFAIT !!! Petit problème de construction, ici il y a le verbe avoir qu'il faut nous faire voir et comme c'est le verbe avoir, le verbe qui en dépend n'est pas à l'infinitif  (avec un r final donc)

on me l'a toujours conseillé de lire

mais la construction pèche encore. Deux possibilités :

lire, on me l'a toujours conseillé

ou

on m'a toujours conseillé de lire

Je me suis toujours arrongé pour faire vérifié mes fautes avant de les envoyer ce qui me connaisse ne vois pas de faute je ne comprend pas d'ailleurs.

Là, on voit que vous avez du mal à distinguer certaines voyelles le AN de temps et le ON de pont

Le verbe conjugué est être son verbe dépendant s'écrit é (PARFAIT !!!), ceux qui suivent sont tous à l'infinitif.

Encore une histoire de phonétique : ce/ceux. CEUX signifie “les gens, CE c'est plutôt “la chose/les choses” 

Arrangée est au féminin (avec un e final) et ensuite il y a des désinences de verbes non prononcées qui ne sont pas écrites ou le sont mal.

Je me suis toujours arrangée pour faire vérifier mes fautes avant de les envoyer ceux qui me connaissent ne voient pas de faute je ne comprends pas d'ailleurs.

Je suis d'origine Palestinienne mon mari et français et lui ses parents son profs (sa mère de français  d'ailleurs )je n'ai les ai jamais sollicité par honte bien sûre.

Attention aussi à la ponctuation : en fait vous avez trois phrases accollées, mettez au moins des virgules

Première correction :

Je suis d'origine Palestinienne, mon mari et français et, lui, ses parents son profs (sa mère de français  d'ailleurs ), je n'ai les ai jamais sollicité par honte bien sûre.

Il y a 4 verbes dont vous devez connaitre la conjugaison écrite par cœur : ÊTRE, AVOIR, ALLER et FAIRE, et plus accessoirement DIRE. Ils ne respectent pas les règles générales d'écriture (et de prononciation).

JE SUIS, TU ES, IL/ELLE/ON  EST, NOUS SOMMES, VOUS ÊTES, ILS/ELLES SONT
J'AI, TU AS, IL/ELLE/ON A, NOUS AVONS, VOUS AVEZ, ILS/ELLES ONT
JE VAIS, TU VAS, IL/ELLE/ON VA, NOUS ALLONS, VOUS ALLEZ, ILS VONT
JE FAIS, TU FAIS, IL/ELLE/ON FAIT, NOUS FAISONS, VOUS FAITES, ILS FONT
JE DIS, TU DIS, IL/ELLE/ON DIT, NOUS DISONS, VOUS DITES, ILS DISENT

Les deux dernières erreurs sont accessoires pour le moment (encore une histoire de pluriel et une orthographe erronée)

Je suis d'origine Palestinienne, mon mari est français et, lui, ses parents sont profs (sa mère de français  d'ailleurs ), je n'ai les ai jamais sollicités par honte bien sûr.


Mon mari ne comprend pas les fautes que je fais lui il ne travail pas dans l'enseignement ni dans l'éducation il fait un travail manuel.

Des virgules et un verbe, à part ça, c'est PARFAIT !!!

Mon mari ne comprend pas les fautes que je fais, lui il ne travaille pas dans l'enseignement ni dans l'éducation, il fait un travail manuel.

Je suis une adepte de Foucault surveillé et punir etc...

encore une histoire de verbe à l'infinitif. Vous commencez probablement à voir que quand vous aurez résolu les verbes, et ce n'est pas difficile, vous aurez fait 60% du travail.

Si vous écrivez (et dites) “punir”, il faut un r à “surveiller” aussi.

Je suis une adepte de Foucault surveiller et punir etc...

Je termine dans le message suivant et vous nous direz ce que vous en pensez.

Ce qui pourrait être fait, ce serait de vous corriger dans un premier temps seulement et uniquement sur les formes verbales au présent et à l'infinitif, en laissant pour plus tard les accords au féminin et au pluriel.

6 472

(110 réponses, dans Réflexions linguistiques)

Oh bé alors, si vous êtes une pratique, il est juste que les théoriques se mettent à votre service.

J'ai les larmes au yeux de tant de générosité.

PARFAIT !!! Ou presque : les yeux est pluriel, il faut un x

J'ai les larmes aux yeux de tant de générosité.

Mille merci.

Ils sont mille ces mercis. En français le pluriel se prononce comme le singulier mais il est marqué par un s.

Mille mercis.

Je vais un peu mieux me présenté.

Vous avez un verbe conjugué, le verbe qui dépend de lui est qui n'est pas être ou avoir est à l'infinitif, il se termine donc par r ou re

Je vais un peu mieux me présenter. (pensez à "Je vais un peu mieux connaitre")

Je suis éducatrice spécialisé mais en réalité une femme de terrain.

PARFAIT !!! Ou presque, en français le féminin est marqué par un e

Je suis éducatrice spécialisée mais en réalité une femme de terrain.

Je vais continuer hors ligne pour ne pas risquer que mon intervention fasse doublon avec d'autres qui auront plus que probablement aussi envie de vous répondre.

Certains ici savent ce qu'est la dysorthographie, ils auront peut-être des conseils pratiques à vous donner.

On trouve aussi cet article smile

LA GOMMEUSE (25/01/1883)

La gommeuse est un mammifère carnassier qui s'apprivoise assez facilement ; cependant, même à l'état domestique, elle est peu susceptible d'attachement.

Sans avoir la timidité de la hyène, elle en a néanmoins les habitudes voraces; comme celle-ci, elle sort de son repaire à la tombée du crépuscule pour chercher sa nourriture, et vient armée de ses griffes roses, déterrer les petits gommeux, qu'elle dévore tout vivants. Son coeur présente la forme d'un porte-monnaie à compartiments multiples, et l'appareil de la digestion, très compliqué chez cet animal, est d'une force et d'une élasticité prodigieuses qui ne reculent devant rien : fortune, héritages, sentiments virils, cet animal mange tout, ronge tout, détruit tout, et ne lâche sa proie que pour courir à une victime moins vidée.

Mode de reproduction : contrairement à la loi qui régit les êtres, la gommeuse ne se reproduit que par des moyens artificiels, qui sont les suivants:

Prenez une gardeuse d'oies que vous raclez proprement après l'avoir lavée à grandes eaux. Faites infuser le sujet ainsi préparé dans plusieurs litres de paresse mélangée d'une forte addition de gourmandise et de coquetterie ; ajoutez quelques verres de Champagne, un faux chignon, plusieurs pincées de piments erotiques. Faites alors sécher l'objet saupoudré avec du blanc de perle, arrosez légèrement avec du rouge végétal et quelques gouttes de parfums assortis ; enveloppez le sujet dans du velours et de la soie, et servez froid.

Pour finir (?), une série de photos de Polaire en gommeuse épileptique :

http://2.bp.blogspot.com/_2eWazr4uBa0/S8DHgtdhQBI/AAAAAAAADAU/vvJmNRDrzW8/s640/polaire_revue_panorama.jpg

Le sujet n'est pas si vieux mais il y a déjà du nouveau (façon de parler smile ) sur la toile. Je suis même surpris de trouver autant de nouveautés seulement en mettant gommeuse et chanson sur google. Au moment où le sujet a été lancé la pêche était bien plus maigre.

LA GOMMEUSE PUDIQUE (Gaston Couté, 1880-1911)

J'étais une petit' chanteuse
Sorti' tout fraîch'ment de pension ;
Je n'étais pas encor noceuse
Et n'en avais pas l'intention.
J'voulais quand mêm' rester honnête,
Avec mon art gagner mon pain ;
Mais quand j'chantais mes chansonnettes
Chaqu'soir l'public criait au r'frain :

La jambe, la jambe,
La jambe avec sa chanson !
Nous somm's venus pour ses nichons
Et pour qu'ell' nous fass' voir ses jambes !
Ses jambes, ses jambes,
Si nous ne voyons pas ses jambes
Dans un retroussis frétillard
Nous ferons du pétard !

Je n'leur chantais pas de ces choses
Qui font pâmer d'ais' les fauteuils ;
Je n'montrais pas de dessous roses
En clignant gentiment de l'oeil ;
Car je n'pouvais pas devant l'monde
M'résoudre à c'qu'on r'luqu' mes mollets
Et j'rougissais lorsqu'à la ronde
On me disait à chaqu' couplet :

La jambe, la jambe,
La jambe avec sa chanson !
Nous somm's venus pour ses nichons
Et pour qu'ell' nous fass' voir ses jambes !
Ses jambes, ses jambes,
Si nous ne voyons pas ses jambes
Dans un retroussis frétillard
Nous ferons du pétard !

Bien qu'la vertu soit mon idole
C'est un'monnaie qui n'a plus cours
Aussi, dés ce soir je m'enrôle
Dans le bataillon de l'amour ;
Tout comm' ces dames de la Butte
Je veux sauter comme un cabri
Seul'ment, messieurs, pour qu'je chahute
Faudra que vous y mettiez l'prix.

La jambe, la jambe,
La jambe avec ma chanson !
Ressentez-vous le p'tit frisson
A regarder ainsi mes jambes !
Mes jambes, mes jambes !
Si vous voulez mieux voir mes jambes
Je vous attends, gros polissons,
Demain à la maison.

Voici le lien vers le site : http://gastoncoute.free.fr/

Edmonde Charles-Roux n'a pas tout dit neutral

On trouve aussi ça dont voici un extrait :

La chanson entre alors dans un véritable âge d'or, où l'extravagance le dispute à la prodigalité. Des quartiers chics aux faubourgs, on se rue sur ces théâtres consacrés à la chanson. Ouvriers, bourgeois, artistes, commerçants, militaires et bonnes d'enfants s'assemblent là, devant la même scène, la même cerise à l'eau-de-vie, dans la bonne ambiance, chaude, bruyante et enfumée, pour se repaître de l'admirable floraison de refrains nouveaux reflétant l'âme du pays tout entier. Des artistes encore jamais vus entrent en scène, ne reculant devant aucun moyen pour se distinguer.

Les « gommeuses », ou « épileptiques », exhibent généreusement leurs jambes et leurs décolletés, se trémoussent, grivoisement, abusant de tout un arsenal de grimaces. C'est l'époque de Polaire, à la taille douloureuse de minceur, de Mistinguett, qui apporta au genre l'audace excessive de sa gouaille populaire, d'Yvette Guilbert, l'incomparable, immortalisée par Toulouse-Lautrec, qui remit tout en question. Le choix, la qualité de son répertoire (au service des poètes), sa manière de « jouer » la chanson provoquèrent un bouleversement total. Elle demeure, avec Thérésa, la plus illustre représentante de l'histoire du « Caf'Conc' ».

Pour les images ce fil d'ABC a largement contribué à alimenter les résultats de recherches (on y trouve aussi le coup de chapeau de Bookish Prat !) mais il y a aussi :

http://t2.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcTTuMFdxnOK5dF8UR0TZO36daXR3ZGJSfd2E0vX4VGGeI1FvRtQnA

Et 5 de plus pour alimenter la liste 9 smile, en allant racler dans les fonds de tiroir japonais on trouve :

La miko : « jeune vierge du sanctuaire » Elles sont vêtues d'une jupe rouge recouverte d'une tunique blanche. Aux temps anciens, les miko étaient des shamans.

La kogo (k?g?) : (??, littéralement « Souveraine de l'Empereur ») est l'épouse de l'empereur du Japon.
La kotaigo (k?taig?) est l'impératrice douairière
La taikotaigo (taik?taig?) est l'impératrice douairière qui survit également au successeur de son défunt mari
La tenno (tenn?) est l'impératrice régnante

Pour les 4 dernières on rencontre aussi la graphie en français avec ô

yd a écrit:

Dans le même article, ils placent en introduction la conquête arabe au VIe s. (au lieu de fin VIIe s. - début VIIIe s.), semblant la confondre carrément avec celle de Justinien (avec Bélisaire).

Heureusement que c'est un dico historique de la langue française, on peut passer sur le fait qu'il dise des bêtises sur l'histoire des autres langues. Mais ça la fout mal. Bien plus que les fautes d'orthographes que vous relevez.

Il faudrait que vous recopiiez à d'autres sources. Vous y trouveriez plus de satisfaction.

6 477

(3 réponses, dans Écriture et langue française)

P'tit prof a écrit:

j'ai toujours noté que le pourcentage de fautes était plus élevé dans cet exercice que dans les écrits spontanés. Parce que, me dira-t-on, les apprenants n'écrivent que les mots qu'ils connaissent...

Il m'arrive, rarement, d'utiliser la dictée justement pour forcer la spontanéité. La dernière fois c'était avec une élève (adulte) qui avait d'excellentes connaissances mais s'exprimait mal à l'oral parce qu'elle réfléchissait en permanence à sa manière de parler. Le genre de personne à tourner 32 fois sa langue dans sa bouche.

Elle détestait les petites dictées que je lui faisais faire parce que je ne lui laissais pas le temps de réfléchir à sa guise à la façon d'écrire. Quand elle a fini par prendre conscience que - et c'est là que je rejoins la constatation de P'tit prof - elle faisait plus de fautes en réfléchissant qu'en suivant son inspiration, on est passé à autre chose.  Et elle s'est aussi "lachée" à l'oral (suivant un mécanisme que  je ne sais trop expliquer).

Voilà l'utilité que j'ai trouvé à la dictée.

Sinon pour l'orthographe les "règles" ne servent selon moi qu'à l'autocorrection. Elles ne servent à rien pour écrire spontanément correctement : c'est la pratique de la lecture (toujours systématiquement précédée, parfois avec beaucoup d'avance, par l'oral, expression et compréhension) qui crée une mémoire visuelle. Est emblématique à ce sujet l'écriture des accents.

grenouille27 a écrit:

tant elle a résolu des énigmes jusqu'alors inconnues.

problème de sens : une énigme inconnue n'est pas une énigme et si elle est résolue, ce n'en est plus une.

grenouille27 a écrit:

Ils appelleront cette méthode la curiethérapie

problème de sens : ils qui ?

Petites corrections complémentaires :
   

grenouille27 a écrit:

équipé d'une dynamo, d'un appareil à Rayon X, d'un câble pour relier l'appareil à la dynamo, d'un rideau pour [s]faire[/s] l'obscurité et d'un matériel photographique.

J'ai essayé de barrer le e final de équipée (suite logique de la correction de Krokodilo) mais le résultat ressemble toujours à un e smile

grenouille27 a écrit:

Elle va également installer plus de deux-cents salles de radiologies dans un maximum d'hôpitaux

problème de sens : ce maximum c'est un peu plus de deux-cents. C'est tout.

grenouille27 a écrit:

Malgré, qu'elle ne veut plus retourner dans son pays natal, une société savante va être créée grâce à son support.

proposition : bien qu'elle ne veuille plus retourner

grenouille27 a écrit:

Marie Curie sera une parmi de  nombreuses femmes, qui donnera l'exemple aux autres,

proposition : sera une des nombreuses femmes, qui

Il faudrait voir ce que ça donne après toutes les révisions ou corrections indiquées ou proposées.

glop a écrit:

Je renonce !

Z'auriez au moins pu me reprendre sur mon incapacité à distinguer le conditionnel de l'imparfait pour le verbe mourir.

Krokodilo a écrit:

@Eponymie, vous avez commis la même distraction que moi : "Le grand Ronsard j'ai été, qui voulait une belle !" n'est pas un alexandrin.

J'ai pas hémistiché effectivement, alors :

"Le grand Ronsard je fus, qui voulait une belle !"

S'il bave et tremblote, et s'il est lucide, il ne dira pas "je suis"

reste à résoudre la seconde hémistiche :

"Le grand Ronsard je fus, qui te voulait ô belle !"

Donc :

Demain vous serez vieux, éteinte la chandelle,
Assis tout près du feu, tremblotant et bavant,
Direz vos derniers vers tout en vous lamentant :
"Le grand Ronsard je fus, qui te voulait ô belle !"

Excusez-moi de me prendre au jeu. Vous faites comme vous voulez bien entendu smile

Krokodilo a écrit:

Quand vous serez bien vieux

Demain vous serez vieux, éteinte la chandelle,
Assis près du feu, tremblant et bavant,
Direz vos derniers vers tout en vous louangeant :
"Le grand Ronsard je suis, qui voulait une belle !"

Je serai sur la terre, assez jolie encore,
À l'ombre courtisée par un bel homme fort.
Vous serez au-delà, par les années flétri,

Regrettant de l'amour la jeunesse et le teint.
Vivez, si m'en croyez, peut-être jusqu'à demain...
Gagnez dès aujourd'hui la chaleur d'un abri.

Bravo ! Pour le problème de la longueur des vers, le quatrain irait mieux ainsi ?

Demain vous serez vieux, éteinte la chandelle,
Assis tout près du feu, tremblant et béguayant,
Direz vos derniers vers tout en vous louangeant :
"Le grand Ronsard j'ai été, qui voulait une belle !"

glop a écrit:

Pour commencer le récit d’un conte, l’expression : « il était une fois » a supplanté « Il y a bien longtemps », mais l’expression «  ça fait bien longtemps » ne viendrait pas à l’esprit, puisqu'elle sous entend « ça fait bien longtemps  que ça dure » ou « ça fait bien longtemps que c’est fini » ; ce qui est à contre courant de la nature à la fois mémorielle et intemporelle d’un conte.

Encore une fois les deux expressions ne sont pas équivalentes (les torchons et les serviettes) :

« Il y a bien longtemps » : vous datez dans le passé, « Il y a à peu près 1200 ans, Charlemagne mou[s]r[/s]rait » ÉVÈNEMENT PONCTUEL

« ça fait bien longtemps  que ça dure » : vous parlez d'un processus qui est encore actuel « ça fait à peu près 1200 ans que les langues romanes vivent leur vie » PROCESSUS LONG

Alors naturellement « ça fait ...  que ... » tout comme « il y a ...  que ... » ne sont pas utilisés pour introduire un conte qui est, effectivement, ou intemporel ou complètement détaché du présent. Leur utilisation ne viendrait certes pas à l'esprit.

Par contre « Il y a ...» sans le que est tout à fait indiqué.

glop a écrit:

C’est la concordance des temps qui est en question.
Expression populaire :
Il y a belle lurette que l'on ne s’est vus. C’était….
Avec l'accord  des temps, ça donne:
Il y a belle lurette que l'on ne se voit plus. C’est…. (Expression inusitée)
Approximation :
« Il y a » se complaît devant un verbe conjugué à un temps passé.

Ce n'est pas une histoire de concordance de temps.

Il y a belle lurette que l'on ne s’est vus.
Il y a belle lurette que l'on ne se voit plus.

Les deux phrases expriment la même chose tout comme :

On ne s’est pas vus  depuis belle lurette.
On ne se voit plus depuis belle lurette

Et les phrases qui suivent sont indépendantes et peuvent commencer par c'est ou c'était selon ce que l'on veut dire.

http://t1.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcRAXz1ECGyvEfa54ySYc28gWxF75LQas1vybN6snhF5L3kv6JsTndnOgkxlNQ

greg a écrit:

On a oublié la triso !

On a aussi oublié la dicho et la pento. Sniff.

N'empêche que les très officiels décrets de la RF mentionne le nom est avec un o (voir le lien que tu as obligeamment fourni).

Et que personne ne fait usage du ö sauf les officiers d'état-civil, les diptéro-sodomites aériens ou ceux qui ont une idée derrière la tête.

greg a écrit:

Je n'irai pas plus loin à ce sujet.
Revenons à <zérolingue> et <rugbymens>.

J'arrête moi aussi sur le sujet et me carapate.

http://www.rugbyclub-webbellis.com/documents/album/regles-01/normal/melee-rugby.jpg

glop a écrit:

Ça fait 3 minutes que la fusée s’élève.
Il y a 3 minutes, la fusée était encore à la base.
En faisant intervenir « que », l’impossibilité d’intervertir « ça fait » et «  il y a » se réserve une petite place. Non ?
Ou Bien , il faut changer la façon de conjuguer les verbes.
Il y a trois minutes, la fusée a commencé son ascension.
Ça fait 3 minutes que la fusée n'est plus à la base.

http://t0.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcTHn7ZD1kyl6T3FZ2T2X9EtwEDMUQA1HqJwNqCN8e3MS7m9LOLcvQ

Reprenons :

1) exprimer une durée pour un évènement qui dure encore au moment de référence :

Ça/cela fait 3 minutes que la fusée s’élève.
Il y a 3 minutes que la fusée s’élève.
Depuis 3 minutes/15 heures/la fin du compte à rebours , la fusée s’élève.

2) dater un évènement (non vu dans sa durée) dans le passé :

il y a 3 minutes, la fusée a commencé son ascension.

You are fatting a beautiful casino, mixare the torchons and the serviettes is not cute. Yes smile

Mais il va peut-être y avoir des développements intéressants. Je hasarde une explication : le que est absent pour dater justement parce que l'évènement passé est disjoint du moment présent (ou de référence).

greg a écrit:
éponymie a écrit:

Avec en plus la (subtile ?) allusion aux origines hongroises d'un français.

Comme skirlet, je note l'absence du "F". Toujours pas corrigée. Ton antisarközisme sournois me choque profondément, éponymie. smile

On en a tellement parlé de ce F/f que la correction serait malvenue voire mal perçue.

greg a écrit:

Plus sérieusement, la graphie Sarközy est la seule officielle, qu'elle soit troncation de Sarközy de Nagy-Bocsa ou pas. Tu devrais donc rediriger ton indignation et t'en prendre soit à l'état civil républicain soit à la famille Sarközy de Nagy-Bocsa. Ou peut-être aux deux réunis dans un même accès de xénophobie, qui sait ?

La graphie Sarkozy est un alias ou pseudonyme sans aucune valeur, ne t'en déplaise.

Plus royaliste que le roi. Étrange.

greg a écrit:

Tu auras remarqué que je n'ai utilisé ni Sárközy ni Nagybócsai Sárközy, auquel cas j'aurais mérité tes reproches.

Quand je parlais de subtilité... (qu'un á inusité chez nous aurait mis à mal).

greg a écrit:
éponymie a écrit:

Si on se foutait de la gueule d'un Monsieur-tout-le-monde à propos de sa manière de parler et de ses origines, la même bien-pensance pousserait de haut-cris et clamerait son indignation.

Il se trouve que le Sarközy en question n'est pas Monsieur Tout-le-monde : cet individu fait la chasse aux pauvres, aux malades, aux vieux, aux chômeurs, aux immigrés — entre autres. On a bien le droit de rire d'un aussi sinistre personnage, non ?

1) ma  réponse serait totalement hors sujet
2) je voudrais te forcer à te disputer sur autre chose. Malheureusement je ne suis pas certain d'avoir le temps, la patience, la persévérance et la disponibilité d'esprit pour me lancer dans de longs échanges sur la notion de neutre sémantique/grammatical. Ce n'est pas l'envie qui m'en manque : c'est certainement plus intéressant que de disserter sur le fondement théorique de l'accord du participe passé. Mais plus prenant que de dresser des listes de mots féminins se terminant par o. On verra ça d'ici un mois. Si je me décide à m'y mettre tu ne perds rien pour attendre smile. Tremble carcasse big_smile

Et ce cas-là, qu'en pensez-vous ?

éponymie a écrit:
skirlet a écrit:

L'autre minuscule - c'est une faute persistante ou quand même une allusion ?

Ni l'une, ni l'autre. Ou alors l'un de nous deux doit réviser ses classiques.

P.S.: tiens je suis tombé sur un alors exprimant la conséquence qui ne peut être remplacé par donc. Je m'en vas de ce pas sur le fil voisin avec cette découverte, merci beaucoup smile
(message #72 de ce fil)

skirlet a écrit:

L'autre minuscule - c'est une faute persistante ou quand même une allusion ?

Ni l'une, ni l'autre. Ou alors l'un de nous deux doit réviser ses classiques.

P.S.: tiens je suis tombé sur un alors exprimant la conséquence qui ne peut être remplacé par donc. Je m'en vas de ce pas sur le fil voisin avec cette découverte, merci beaucoup smile

J'ai ajouté l'otorhino (liste 1bis) bien que ce soit une apocope "pure" (je ne touche plus aux listes 1 et 1bis). Arrivent aussi la kéblo (liste 7) et la parto (liste 4) et … la numéro (liste 9)

Une huître de calibre numéro 5 est plus petite qu'une numéro 3.

Rama Yade devient la numéro trois du Parti radical

C'est peut-être contestable et les contestations sont bienvenues. Comment considérer numéro dans ce cas ?

Nous avons dépassé les 100 mots féminins qui ne sont pas des apocopes pures. Je doute que l'on fasse guère plus.

Glop, s'il vous plait cessez de modifier vos messages plusieurs jours après (et une page plus tard). À moins que vous ne vouliez écrire que pour l'Histoire. Ou alors signalez la modif.

Signalons encore et toujours l'article du CNRTL sur « O, finale par apocope »

J'ai aussi intégré la liste 3bis qui comprend des mots masculins et féminins et reprend des termes d'autres listes.

1) les apocopes non grecques : 47 mots ou acceptions
l'accro (addict)
l'agglo(mération ?)
l'ado(lescente)
l'asso(ciation)
l'audio
la blenno(rragie)
la bolo(gnaise, sauce)
la braco(nne)
la claustro(phobie)
la collabo(ratrice)
la colo(nie)
la compo(sition)
la conso(mation)
la croco (chaussure en croco ou simili)
la déco(ration)
la diplo(matie)
la dispo(nibilité)
l'expo(sition)
l'impro(visation)
l'info(rmation)
l'interro(gation)
l'intro(duction)
la loco(motive)
la mao(ïste)
la mammo(graphie)
la maso(chiste)
la mayo(nnaise)
la météo(rologie)
la mongolo(ïde)
la moto(cyclette)
la perfo(ratrice)
la piro(plasmose), on rencontre l'orthographe erronée « pyro »
la pro(fessionnelle)
la promo(tion)
la provo(cation)
la rando(nnée)
la sadomaso(chiste)
la séropo(sitive)
la socio(logie)
la sodo(mie)
la sono(risation)
la tensio(n)
la toxico(mane)
la transfo(rmation)
la valo(risation)
la visio
la Yougo(slave)

1bis) les apocopes sur racines grecques : 90 mots ou acceptions
l'archéo
l'aristo(crate)
la bactério(logie)
la bactério(scopie)
la balnéo(thérapie)
la bio(graphie)
la biblio(graphie)
la cardio(graphie)
la catho(lique)
la chimio(thérapie)
la chrono(logie)
la copro(culture)
la cryo(génie)
la dactylo(graphe)
la démago(gie)
la démo(graphie)
la démo(nstration)
la dendro(chronologie)
la dendro(philie)
la dermato(logue)
la diapo(sitive)
la dynamo(électrique)
l'éco(graphie)
l'écolo(giste)
l'électro (musique électronique)
la galvano(plastie)
la gastro(entérite)
la géo(graphie)
la gonio(métrie)
la grapho(logie)
la gynéco(logue)
l'hélio(graphie)
l'héro(ïne)
l'hétéro(sexuelle)
l'homo(sexuelle)
l'hydro
la lepto(spirose)
la lino(type)
la lino(typiste)
la litho(graphie)
la macro
la mégalo(mane)
la météo(rologie)
la méthodo(logie)
la micro
la microbio(logie)
la morpho(logie)
la mytho(mane)
la nécro(logie)
la neuro
la nitro(glycérine)
la nympho(mane)
l'ophtalmo(logiste)
l'otorhino(laryngologiste)
l'ostéo(pathe)
la paléo
la parano(ïa)
la parasito(logie)
la pédago(gie)
la pharmaco(logie)
la philo(sophie)
la photo(graphie)
la phyto(thérapie)
la pneumo
la polio(myiélite)
la porno(graphie)
la psycho(logie)
la radio(communicatio)
la radio(graphie)
la rhino(pharyngite)
la ronéo(typie)
la schizo(phrénie)
la spéléo(logue/logie)
la sténo(graphie)
la stéréo(phonie)
la stomato(logue)
la synchro(nisation)
la techno(logie)
la thalasso(thérapie)
la topo(graphie)
la toxo(plasmose)
la trachéo(tomie)
la trigo(nométrie)
la typo(graphie)
la vidéo(phonie)
la zoo(logie)
la zoo(philie)
la zoo(technie)

2) les noms constitués d'une double apocope dont la dernière en o  : 2 mots
la bobo (bourgeoise-bohème)
la rebo (rebelle-bourgeoise)

3) les noms faussement apocopés, avec ajout d'une consonne avant le <o> final : 8 mots     
l'Amerlo (américaine)
la clodo (clocharde)
la derjo (dernière, argot parisien)
la dirlo (directrice)
la chinago (chinoise)
la conno (conne, imbécile)
la gauldo (gauloise)
la goldo (gauloise)

3bis) les noms apocopés ou faussement apocopés, avec ajout d'une ou plusieurs lettres avant le <o> final : 16 mots

l'Amerlo (américain/e)
le biscoto (le biceps)
le champerlo (le champagne)
le/la chinago (chinois/e)
le/la clodo (clochard/e)
le/la conno (con/ne, imbécile)
le/la derjo (dernier/ère, argot parisien)
lela dirlo (directeur/trice)
l'Espago (Espagnol/e)
la gauldo (gauloise)
la goldo (gauloise)
l'Italgo (Italien/ne)
le/la pharmago (pharmacien/ne)
le/la Prusco (prussien/ne)
le travelo (travesti)
le/la/zigoto

4) les noms apocopés, avec ajout d'un  <o> final : 31 mots
l'alcoolo (acoolique)
l'Afro (Africaine)
l'Alsaco (Alsacienne)
l'Anglo (Anglaise)
la bolcho (bolchévique)
la bricolo (bricoleuse)
la clando (clandestine)
la convalo (convalescence)
la dégo (dégauchisseuse)
la facho (fachiste)
la gaucho (gauchiste)
l'hystéro (hytérique)
l'intello (intellectuelle)
la mécano (mécanicienne)
la métallo (la métallurgiste)
la modo (modératrice)
la mono (monitrice)
la parto (partition)
la populo (femme du peuple, issue des milieux populaires)
la projo (projection)
la prolo (prolétaire)
la proprio (propriétaire)
la proxo (proxénète)
la Ritalo (ritale, italienne)
la Romano (Romanichelle)
la socialo (socialiste)
la syphilo (syphilis)
la syphilo (syphilitique)
la trotsko (trotskiste)
la ventilo (ventilation)
la véto (vétérinaire)

5) les noms populaires : 15 mots   
la barjo
la crado
la dingo
l'Espago (Espagnole)
l'Espingo (Espagnole)
la fangio (as du volant)
la go (la petite amie)
la golio (stupide)
la kholoto (personne d'origine maghrebine)
la Moco (place Maubert)
la narvalo (folle)
la ramollo
la roloto (personne d'origine maghrebine)
la vago (voiture)
la zigoto

6) les noms constitués d'une double syllabe en o  : 7 mots ou acceptions
la coco (communiste)
la coco (cocaïne ou coke)
la gogo
la lolo
la nono
la popo (police)
la zozo

7) le verlan (apocopé ou non) : 9 mots   
la barjo
la ceko (coke)
la charclo (clocharde)
la depo (dope)
la gue(u)dro (drogue)
la kéblo (bloquée)
la némo (monnaie)
la peuclo (clope)
la pineco (copine)

8) les voitures (apocopés ou non) : 6 mots
la clio
l'hispano
la merco (Mercédès)
la moco (voiture japonaise)
la torpedo
la volvo

9) les noms d'origine étrangère ou latine (on ne va pas dire que c'est une langue étrangère) : 24 mots   
l'alto
la bimbo
la bonobo
la canso (chanson courtoise)
la contralto
la dendro (un crustacé) à confirmer
la gestapo
la Gadjo
la Gringo
l'Ibo
la Jivaro
la kapo
la Latino
la libéro (défenseure au volley)
la libido
la miso (soupe japonaise)
la Moko (souche bactérienne)
la mezzo-soprano
la numéro
la pelo (tortue)
la soprano
la tenso (variante de la canso)
la torero
la virago

Pour le moment 239 acceptions ou mots féminins se terminant par o, dont 137 apocopes pures.

Les autres (102 mots ou acceptions) se répartissent ainsi :

- les catégories assimilables à des apocopes (2, 3, 4) : 40%
- les catégories 5, 6, 7, 8 : 37%
- les noms non apocopés(catégorie 9) : 23%

skirlet a écrit:

Avec en plus la (subtile ?) allusion aux origines hongroises d'un français.

Éponymie, faut-il croire que la minuscule du mot "français" est, elle aussi, une (subtile ?) allusion ?.. tongue

Non c'est une erreur. Vous reconnaitrez qu'il est plus facile de mettre par inadvertance (ou crasse ignorance) une minuscule à la place d'une majuscule qu'un tréma sur un o.

skirlet a écrit:

Greg, bien trouvé ce "zérolingue" : pour une personne née en France et ayant grandi dans de beaux quartiers, qui en plus a fait une carrière de politicien, de telles lacunes du français paraissent vraiment curieuses, d'autant plus que c'est sa langue maternelle...

Comme quoi les lacunes en français n'empêchent pas de grandir dans les beaux quartiers, ni de faire une carrière de politicien, ni d'être français. La preuve.

Et on peut aussi imaginer un étranger qui n'a pas né avec la cuiller en argent, qui n'a pas grandi dans de beaux quartiers, qui n'est pas entré à faire partie de la soi-disant élite et qui parle un français chatié. La langue ne fait pas le moine, ni le président.

Que de préjugés et d'illusions.

Je ne vois pas en quoi ce "zérolingue" serait bien trouvé.

P.S. : tongue
http://t3.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcR0R7oDJYflEbr2_HNhAAv1FytatGqpSAQQaynSEtI9PF4c1Imb0w

Krokodilo a écrit:

Greg a écrit : (...) ou zérolingues (Sarközy),

smile

On est au ras des pâquerettes, c'est du zéro-quoi ça ?

Avec en plus la (subtile ?) allusion aux origines hongroises d'un français.

Si on se foutait de la gueule d'un Monsieur-tout-le-monde à propos de sa manière de parler et de ses origines, la même bien-pensance pousserait de haut-cris et clamerait son indignation.

Et à Brive ou à Béziers on dira toujours RUDBI. Et aux pays du rugby - en tout cas dans le mien -  j'ai peu entendu les gars dire rugbyman/men (et je suis issu d'une dynastie du ballon ovale). Bien plus joueurs. Le problème a déjà été réglé depuis longtemps par les premiers concernés. Le reste n'est qu'un problème de règles à donner à ceux qui en éprouvent le besoin.

Comment on dit à Carcassone ?

Sylvain B a écrit:

P.-S. : Pour info, cyclo est l’apocope de cyclorama.

Et merci de rétablir le droit fil de la discussion. 5 pages sans trop dériver nous ne sommes pas loin de l'exploit.

glop a écrit:

Ce mot "cyclo" fait il partie d'une espèce rare?
Je me permets de le nommer provisoirement "apocope orpheline", en attendant mieux. hmm

L'apocope orpheline c'était amusant mais guère viable.

Krokodilo a écrit:

Il me semble que les deux sont possibles, mais pour faire simple on peut dire que "donc" sonne davantage comme une démonstration, une conclusion logique.

Votre lien ne marche pas : session expirée

C'est mon impression aussi mais ce n'est pas facile de trouver des exemples probants qui excluent l'usage de alors :

"Vous êtes donc chirurgien !" / "Donc vous êtes chirurgien !"/ "Alors vous êtes chirurgien !" / "/ "Vous êtes chirurgien alors !""
"Faites donc quelque chose !" / "Donc faites quelque chose !"/ "Alors, faites quelque chose !" / "Faites quelque chose alors !"
"On n'entend pas, parle donc plus fort !" / "On n'entend pas alors parle plus fort" / "On n'entend pas, parle plus fort alors"
"Ils étaient insupportables, je leur ai donc dit de sortir" / "Ils étaient insupportables alors je leur ai dit de sortir"

Alors et donc permettent des constructions différentes. Voici un exemple ou seul le donc me semble possible (je n'arrive pas à changer la construction pour mettre alors) :

"Il est Italien donc cynique"

Pour mettre alors, je dois supprimer l'élision du verbe :

"Il est Italien alors il est cynique" / "Il est Italien donc il est cynique"

Mais on peut peut-être dire que la succession temporelle implique parfois la conséquence (alors) et que la conséquence implique toujours la succession temporelle (donc). Alors peut donc systématiquement remplacer donc moyennant quelques aménagement dans la construction mais le contraire n'est pas vrai. Sauf dans le dernier exemple : pour pouvoir utiliser alors il faut "simuler" une succession d'évènements et rétablir le verbe être.

Hubert G. a écrit:

L'expression "autant pour moi" n'existe pas, on doit toujours écrire "au temps pour moi" : il s'agit d'une expression tirée probablement (dixit l'Académie) du vocabulaire de la Marine, qui est heureusement plus souvent dite qu'écrite car à l'écrit bcp font la faute. Mais il est  vrai que cette orthographe a eu ses adversaires, il apparaît plus raisonnable toutefois de l'écrire ainsi.

Comme quoi les préjugés ont la vie dure malgré les évidences :

http://books.google.com/ngrams/chart?content=autant%20pour%20moi%2Cau%20temps%20pour%20moi&amp;corpus=7&amp;smoothing=3&amp;year_start=1800&amp;year_end=2008

Ngram est impitoyable avec votre "au temps pour moi".

Fi du fripon fourguant du fraisil pour du charbon, une framée pour une épée, du fragon pour du houx, etc. Frustrez la fripouille sans frémir en frappant ce faux-frère. Une fois vaudra pour toutes.

SE RETRAIRE / RHOTACISME / RIBOTE

6 496

(28 réponses, dans Pratiques linguistiques)

Il y a au moins un fan de Perec sur ce forum qui a parlé au moins une fois du roman sans e.

À part ça :

1) on peut ignorer qui est Perec sans être d'une ignorance crasse et insondable

2) on peut faire des allusions et on peut relever les allusions. Pas de problème. C'est léger et c'est sympa. Mais si on commence à dire qu'y en a qui saisissent pas les allusions, il est normal qu'il y ait des réactions : je fus le premier, Dom a renchéri à sa manière. Pas plus méchante l'une que l'autre. Et j'en ai rajouté une couche.

3) ajoutons que je ne soupçonne pas P'tit prof d'être d'une ignorance crasse et insondable, ni même d'avoir besoin de google pour savoir qui est Perec. Le propos n'était pas là.

Comme je ne sais pas si les propos de Piotr relèvent du lard ou du cochon, je préfère préciser.

P.S. : j'ai vérifié sur google qu'il s'agissait bien de Perec. Petite couche de crasse smile

6 497

(28 réponses, dans Pratiques linguistiques)

En fait celui qui a googlé, c'est P'tit prof smile

glop a écrit:

Je n'ai pas bien compris non plus, pourquoi le mot "gringo" est écrit avec une majuscule, dans la liste d'éponymie

Comme l'Italco, l'Espago, le Gadjo, le Romano, ...

Il s'agit d'une personne et d'une "nationalité".

Z'êtes sûr ?

À part ça, une liste qui serait intéressante, masculin et féminin confondus, c'est la 3) : apocope/mot + suffixe + o

3bis) les noms apocopés ou faussement apocopés, avec ajout d'une consonne avant le <o> final : 16 mots

l'Amerlo (américain/e)
le biscoto (le biceps)
le champerlo (le champagne)
le/la chinago (chinois/e)
le/la clodo (clochard/e)
le/la conno (con/ne, imbécile)
le/la derjo (dernier/ère, argot parisien)
lela dirlo (directeur/trice)
l'Espago (Espagnol/e)
la gauldo (gauloise)
la goldo (gauloise)
l'Italgo (Italien/ne)
le/la pharmago (pharmacien/ne)
le/la Prusco (prussien/ne)
le travelo (travesti)
le/la/zigoto

Au boulOt (moi, je n'ai fait que reprendre tout ce que je pouvais dans les 4 pages de ce fil smile et dans l'article du TLFi)

6 500

(28 réponses, dans Pratiques linguistiques)

P'tit prof a écrit:
zycophante a écrit:

Ah ! la disparition des «e», tout un roman !... smile

Bravo ! Nul n'a saisi l'allusion, on dirait...

Perec ? En plus vous ne saurez jamais si l'allusion a été saisie ou si google a agi.

Messages trouvés [ 6 451 à 6 500 sur 6 650 ]

forum abclf » Messages de éponymie