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forum abclf » Messages de éponymie

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Sujets de éponymie Recherche définie par l’utilisateur

Messages trouvés [ 1 à 50 sur 6 650 ]

1

(10 réponses, dans Réflexions linguistiques)

J'estime avoir mieux compris que vous le pourquoi de la forme, c'est de là que nous sommes partis.

Quant au fond, j'ai aussi le droit de finir par dire ce que j'en pense. la dernière partie de vore message relève de cet angélisme-wokisme que je déteste. Tout admettre au non d'un tolérance qui n'en est pas une.

Comme trop souvent ici, inutile de poursuivre plus avant.

2

(10 réponses, dans Réflexions linguistiques)

Chover a écrit:
éponymie a écrit:

Mais à côté d'une dialectisation, on pourrait aussi voir réémerger une société horriblement inégalitaire dans laquelle le pouvoir appartiendrait à ceux qui savent lire, écrire et bien parler et surtout utiliser intelligemment les nouvelles technologies dont la tendance lourde est de nous abêtir tout en nous donnant à croire que nous sommes capables de bien raisonner. Triste époque et fin de tout un monde.

Je peine à vous suivre. Ceux qui savent utiliser intelligemment les nouvelles technologies en sont-ils abêtis ?

L'usage intelligent des nouvelles technologies consiste à savoir ne pas se laisser abêtir par elles.

Prenez les réseaux sociaux : il est tellement facile de se laisser aller à surfer d'une publication à sensation à l'autre, de se perdre en commentaires profondément inutiles comme celui que vous avez recopié, de se forger des opinions que rien de sérieux n'étaye, de commenter et répondre sans se soucier de ce que disent les autres, les utiliser pour se construire un véritable réseau utile à ses propres projets, pour réellemnt apprendre et échanger, c'est tout autre chose.

chover a écrit:

La confusion de « qui » et « qu'ils » n'est pas nouvelle ! Je ne crois pas que la moindre nouvelle norme risque d'en émerger.

Je parlais d'une norme lointaine et hypothétique, si le qui survit, voyons ce qu'il en sera du dont. Peut-être que la période actuelle nous donne l'occasion de lire des cancres (je reprends votre terminologie) qui n'auraient naguère jamais songé s'exprimer si souvent par écrit, je crois qu'elle fabrique aussi plus de cancres qu'avant.

3

(10 réponses, dans Réflexions linguistiques)

Chover a écrit:

C'est vrai, « dégainer le 49.3 » relève du psittacisme !

Oui, mais pas que :

Chover a écrit:

la première partie de la phrase se tient syntaxiquement, « dégaine » est conforme à l'air du temps, « que l'on » évite « qu'on », « capables » et « guignols » portent le -s du pluriel.

est aussi du psittacisme. Du déjà entendu (ou lu) remixé.

Le mention, le qu'ils ne sont pas capables aussi. Mais dans ces deux cas, la difficulté à répéter correctement engendre une interprétation et donc un résultat fantaisiste. Les enseignants de langues étrangères voient ça tous les jours ou presque.

Peut-être que notre pronom relatif sujet finira par disparaitre un jour et allez savoir comment une lointaine nouvelle norme interprètera la relative qu'ils ne sont pas capables...

Mais à côté d'une dialectisation, on pourrait aussi voir réémerger une société horriblement inégalitaire dans laquelle le pouvoir appartiendrait à ceux qui savent lire, écrire et bien parler et surtout utiliser intelligemment les nouvelles technologies dont la tendance lourde est de nous abêtir tout en nous donnant à croire que nous sommes capables de bien raisonner. Triste époque et fin de tout un monde.

4

(0 réponses, dans Internet et informatique)

Il existe depuis 2004 et je ne le découvre que maintenant. Combien de fois j'ai pu chercher des publications universitaires (thèses ou autres) et passer du temps à les trouver au milieu d'un flot d'autres résultats. Alors qu'il y avait ça :

https://scholar.google.fr/

Par exemple : https://scholar.google.fr/scholar?hl=it … &btnG=

Piotr a écrit:

dans un exercice de version il fallait surtout maîtriser la langue cible.

    Le meilleur moyen de maîtriser les deux langues, c'est de constituer un binôme traducteur-relecteur : un traducteur dont la langue natale est la langue-source et un relecteur pour qui c'est la langue-cible.

La relecture avec un tel binôme risque fort de devenir une révision, qui peut parfois se révéler pénible et devenir réécriture.

On demande en général à ce que la langue cible soit la langue maternelle du traducteur. Et, évidemment, qu'il soit bilingue et connaisse suffisamment bien le contexte socio-culturel dans lequel la langue source est utilisée. Le "relecteur" doit lui aussi avoir pour langue maternelle la langue cible. Des sociétés de traductions travaillant sur de grands volumes proposent ce service.

ChatGPT devient par contre un assistant de rédaction extraordinaire si vous lui soumettez un texte de votre cru en luI demandant de l'améliorer dans un objectif précis. La réponse est immédiate. Et on peut modifier sa proposition, lui soumettre la nouvelle mouture. Il apporte des idées nouvelles et permet d'éviter de passer du temps à sauter d'une fiche à l'autre d'un dico.

Là, je kiffe.

regina a écrit:

Il est vrai que, parfois, certains mots d’une langue sont intraduisibles en français. Mais il vous est impossible de les créer ...

Et pourquoi pas ? On peut toujours créer des mots (mots valises, mots composés, mots dérivés), si leur sens est évident, leur absence des dictionnaires ou le fait qu'il n'aient jamais été lus ou entendus n'est pas un problème en soi.

Point besoin de l'excuse de la poésie : https://blog.messortiesculture.com/arti … gisme-1064

Quelques inventions de Proust :  https://proust-personnages.fr/la-recher … -les-mots/

Et tous les jours, il y a un quidam francophone qui fabrique un mot quelque part sans pour cela être incompris. Il faut juste un peu de courage et une dosette d'insouciance.

Chover a écrit:

je me dis qu'on aurait pu vous signaler, écrivailleur, la nature pléonastique de « il reste une question en suspens. « Il reste une question » ou « Une question est en suspens »

Si le sens est il y a encore une question non résolue, je ne vois pas où est le pléonasme. On peut parfaitement dire une question reste en suspens en plus de la phrase initiale proposée. Que ce soit parce que la question n'a pas été abordée ou que personne n'a encore donné la réponse. Ou que, parmi tant de réponses à tant de questions, personne n'a répondu à celle-ci.

9

(4 réponses, dans Pratiques argotiques et familières)

Oui, je n'aurais pas trouvé, mais ça semble limité au Québec. Du coup, je suis tombé sur l'expression bruxelloise, c'est tof :

Ça c'est tof

Il vaut mieux l’entendre avec l’accent brusseleir, mais l’expression circule et fonctionne aussi avec n’importe quel accent : « ça est tof » ne veut pas dire que ça étoffe mais que c’est chouette. En fait le contraire de « Bucht » qui veut dire que c’est nul.
source

L'expression québécoise pourrait mieux coller au contexte de la vidéo puisque celui qui mène l'interview dit qu'il n'est pas frais.

Mais en cherchant un peu mieux, et je me demande pourquoi je ne l'ai pas vu avant, je vois que c'est teuf sans article signifie c'est la fête. Et puis, c'est vrai qu'on peut parfaitement entendre c'est fête.

Merci encore et je vous prie de m'excuser pour le dérangement.

Bonjour,

j'ai toujours trois guerres de retard mais je sais ce que siginifie la teuf. Toutefois, ici, je sèche un peu :

https://www.youtube.com/watch?v=aeWR5dFvAM8

C'est à partir de 7:21. Que signifie ce "c'est teuf" ?

Dans l'irremplaçable Bob, je trouve "c'est vite fait", "c'est rapide" mais ça ne me semble pas coller.

Quelqu'un a une idée ?

11

(131 réponses, dans Pratiques linguistiques)

Concernant la chocolatine, vous pouvez aller faire un tour sur ce fil,

https://www.languefrancaise.net/forum/v … p?id=11329

Le chat qui pète puise son inspiration où il peut, les humains ne font pas souvent mieux que lui.

J'ai regardé la première vidéo en entier. J'ai fait une autre expérience : j'ai demandé à une élève d'envoyer en même temps que moi une demande : fais-moi un texte de 1500 mots dont le titre est "10 ans d'exil sur la lune".

Il a pondu deux textes totalement différents, si ce n'est une organisation en 7 chapitres, tout aussi cohérents l'un que l'autre.

Je connais aussi une jeune qui avait un discours de remerciement à faire au terme d'une cérémonie de remise de diplôme. Faute de temps, elle l'a fait faire à ChatGPT qui lui a pondu un discours très émouvant, et l'assistance n'y a vu que du feu...

Sans parler de tout ceux qui lui font rédiger des lettres officielles qui doivent suivre un format prédéfini.

Quand j'ai commencé à travailler, on rédigeait des brouillons de note et une équipe de secrétaires les mettait en forme. Les secrétaires ont disparu, on s'est retrouvé à se taper tout le boulot et, enfin, on retrouve une aide à la rédaction. Mais l'informatique nous aura entretemps généré du travail pendant 30 ans sous prétexte de nous le rendre plus facile.

Quand j'ai le temps, je regarde les autres vidéos d'Etudiant attardé. Merci beaucoup.

Suite et fin de la "conversation".

User
La prochaine fois que je t'écrirai "trouve-moi" peux-tu ne plus générer ou fabriquer de réponses qui ne correspondent pas à la réalité de ce qui a étédit ou de ce qui s'est passé ?
ChatGPT
Je m'efforcerai de répondre à vos demandes de manière plus précise et en m'abstenant de générer des informations ou des réponses qui ne correspondent pas à la réalité. Je m'engage à fournir des informations factuelles ou des réponses basées sur ma base de données de connaissances. Si une demande ne peut pas être satisfaite de manière précise, je vous en informerai. N'hésitez pas à poser d'autres questions ou à faire d'autres demandes, et je ferai de mon mieux pour répondre de manière appropriée.




User
Est-ce que ta base de données de connaissances évolue ?
ChatGPT
Ma base de données de connaissances est statique, ce qui signifie qu'elle ne s'améliore pas ni ne s'actualise automatiquement. Mon modèle a été formé sur des données jusqu'en janvier 2022, et il ne possède pas la capacité d'acquérir de nouvelles informations ni de suivre l'actualité. Si des mises à jour ou des améliorations ont été apportées à ma base de données après cette date, je ne les aurais pas enregistrées. Mon niveau de connaissance est donc figé à la date de coupure en janvier 2022.




User
Est-ce que d'autres usagers de ChatGPT te reprochent de ne pas donner des informations factuelles ou des réponses basées sur ta base de données de connaissances ? Si oui, combien à ce jour ?
ChatGPT
Je n'ai pas accès aux informations sur le nombre ou la nature des interactions entre d'autres utilisateurs et ChatGPT, et je ne peux pas savoir si d'autres utilisateurs ont formulé des reproches similaires. Les interactions avec ChatGPT sont confidentielles, et je ne conserve aucune information personnelle ou spécifique sur les utilisateurs. Mon objectif est de répondre de manière précise aux questions et demandes dans la mesure de mes connaissances et de ma capacité, et d'apporter des améliorations constantes lorsque cela est possible.




User
Cela signifie que, quand jìaurai quitté cette conversation, tu ne te souviendras pas de ce que je t'ai demandé de te rappeler ?
ChatGPT
C'est exact. Je ne conserve aucune mémoire des interactions ou des informations personnelles des utilisateurs. Une fois que la session de conversation est terminée, je n'ai pas la capacité de me souvenir des demandes spécifiques ou des informations discutées au cours de cette session. Chaque session est traitée de manière indépendante, et je ne stocke pas d'informations entre les sessions. La confidentialité et la sécurité des données des utilisateurs sont des priorités importantes.




User
En quoi le terme "intelligence artificielle" qui t'es appliqué est valable si ta capacité à apprendre est limité au temps d'une conversation et si tu ne peux rien mémoriser ?
ChatGPT
Le terme "intelligence artificielle" (IA) est appliqué à des systèmes comme le mien en raison de leur capacité à traiter des informations, à comprendre le langage naturel, et à fournir des réponses pertinentes en fonction des données et des modèles sur lesquels ils ont été formés. Cependant, il est important de noter que l'IA, y compris les modèles de langage comme le mien, présente des limites en termes de mémorisation et d'apprentissage.

Mon modèle GPT-3.5 n'a pas la capacité d'apprendre au sens humain, d'acquérir de nouvelles connaissances en dehors de sa formation initiale ni de se souvenir d'informations d'une session à l'autre. Il fonctionne en utilisant les connaissances qu'il a acquises lors de sa formation, mais il ne peut pas accumuler de nouvelles connaissances au fil du temps.

Le terme "intelligence artificielle" est utilisé pour désigner un large éventail de systèmes informatiques capables d'effectuer des tâches cognitives. Cependant, il est essentiel de reconnaître les limites et les caractéristiques spécifiques de chaque système d'IA, y compris sa capacité à apprendre et à mémoriser, qui peuvent varier considérablement d'un modèle à l'autre.




User
Quels sont les systèmes d'IA plus évolué que toi du point de vue de la capacité à apprendre et à mémoriser ?
ChatGPT
Il existe plusieurs systèmes d'IA plus évolués que moi en termes de capacité à apprendre et à mémoriser. Parmi les plus avancés, on peut citer :

Les réseaux de neurones profonds (DNN) : Ces réseaux sont utilisés dans des domaines tels que la vision par ordinateur, la reconnaissance vocale et la traduction automatique, et ils sont capables d'apprendre à partir de grandes quantités de données.

Les systèmes de traitement automatique du langage naturel (NLP) basés sur des modèles de langage comme GPT-4 ou des variantes plus avancées : Ces systèmes sont conçus pour comprendre et générer du texte en langage naturel, et ils sont capables d'apprendre à partir de textes massifs pour améliorer leur performance.

Les systèmes de recherche et d'analyse de données : Ces systèmes, tels que les moteurs de recherche avancés et les systèmes de recommandation, peuvent apprendre des préférences et des modèles des utilisateurs au fil du temps pour fournir des résultats plus pertinents.

Les systèmes d'apprentissage profond renforcé (RL) : Ils sont utilisés dans des domaines tels que les jeux vidéo, la robotique et la prise de décision, et ils sont capables d'apprendre à optimiser des actions pour atteindre des objectifs spécifiques.

Ces systèmes d'IA plus évolués sont conçus pour gérer des tâches complexes en utilisant des réseaux de neurones profonds et des techniques d'apprentissage automatique avancées. Cependant, il est important de noter que même les systèmes d'IA les plus évolués ont leurs propres limites en termes de mémorisation et d'apprentissage, et ils ne possèdent pas la compréhension et la mémoire au sens humain.

Si vous avez la patience de lire dites-moi ce que vous en pensez. Vous aurez deviné qui est l'autre je suppose. Et dire que certains font appel à lui à tour de bras...


Moi
je cherche une maxime courte qui parle d'opiniatreté, de passion et de résultats
L'autre
"Opiniatreté, passion, résultats."




Moi
trouve-moi une citation d'auteur avec passion, opiniatreté
L'autre
"La passion est le moteur de l'opiniâtreté, et l'opiniâtreté est le chemin qui mène aux résultats." - Richard Branson




Moi
trouve-moi une citation d'auteur avec temps, passion, opiniatreté
L'autre
Malheureusement, je ne connais pas de citation d'un auteur spécifique qui combine les termes "temps, passion et opiniâtreté". Cependant, voici une citation que je peux vous proposer :

"Le temps, la passion et l'opiniâtreté sont les ingrédients essentiels pour réaliser de grandes réalisations." - John C. Maxwell




Moi
trouve-moi une citation d'auteur qui  associe les idées de temps,  de passion, d'opiniatreté
L'autre
Je comprends mieux votre demande maintenant. Voici une citation qui associe les idées de temps, passion et opiniâtreté :

"Le temps est le meilleur allié de la passion, et l'opiniâtreté est le moyen de le maîtriser." - Albert Schweitzer




Moi
quelles sont les références de cette citation
L'autre
Je m'excuse pour la confusion, mais la citation que je vous ai fournie précédemment n'est pas attribuée à un auteur spécifique. Elle a été générée par moi-même pour répondre à votre demande. Si vous recherchez une citation d'auteur bien établi qui associe les idées de temps, passion et opiniâtreté, je peux essayer de trouver une citation appropriée, mais je ne peux pas garantir qu'une telle citation existe dans ma base de données de connaissances limitée.




Moi
pourquoi as-tu attribué cette citation à Albert Schweitzer ?
L'autre
Je m'excuse pour la confusion. C'était une erreur de ma part, et je vous remercie de l'avoir soulignée. La citation que j'ai fournie précédemment n'est pas attribuée à Albert Schweitzer ni à aucun autre auteur spécifique. C'était une citation générée par moi-même pour illustrer l'idée que vous recherchiez. Je ne devrais pas avoir attribué cette citation à un auteur particulier, car elle ne l'était pas. Encore toutes mes excuses pour cette inexactitude.




Moi
puis-je te demander, la prochaine fois que tu génèreras toi-même une citation, de me le dire explicitement ?
L'autre
Bien sûr, je m'excuse pour la confusion précédente. La prochaine fois que je générerai une citation de ma propre initiative, je veillerai à vous en informer explicitement. N'hésitez pas à poser d'autres questions ou à faire d'autres demandes, et je ferai de mon mieux pour vous fournir des informations précises et pertinentes.




Moi
As-tu dans ta base de données des citations qui utilisent au Moins deux de ces idées : temps, volonté, opiniatreté, passion, rigueur
L'autre
Je peux certainement vous fournir quelques citations qui utilisent au moins deux de ces idées parmi "temps, volonté, opiniatreté, passion, rigueur". Voici quelques exemples :

"La passion et la volonté sont les moteurs du progrès, mais c'est la rigueur et l'opiniâtreté qui forgent le succès."

"Le temps est un allié précieux pour ceux qui allient volonté et opiniâtreté dans la poursuite de leurs rêves."

"L'opiniâtreté est le carburant de la volonté, et la rigueur est le cadran du temps qui mesure notre progrès."

Ces citations ne sont pas attribuées à des auteurs spécifiques, mais elles combinent les idées que vous avez mentionnées. Si vous avez besoin de citations d'auteurs particuliers ou sur des sujets spécifiques, n'hésitez pas à le préciser, et je ferai de mon mieux pour vous aider.




Moi
Selon moi "la rigueur est le cadran du temps qui mesure notre progrès" est joli mais n'a pas de sens .
L'autre
Je comprends votre point de vue, et je vous remercie pour votre retour. En effet, la citation que j'ai générée peut sembler poétique mais n'a pas nécessairement un sens clair. La rigueur n'est pas directement liée à la mesure du progrès dans le contexte du temps. Si vous avez d'autres idées ou souhaitez une nouvelle citation sur un thème spécifique, n'hésitez pas à me le faire savoir, et je serai ravi de vous fournir des options plus appropriées.




Moi
Quelles citations d'auteurs peux-tu trouver qui répondent plus ou moins à ma demande ?
L'autre
Je peux vous fournir quelques citations d'auteurs qui combinent les idées de "volonté, opiniâtreté, passion, rigueur" sans nécessairement inclure le concept de temps. Voici quelques exemples :

"La volonté de réussir, la passion pour ce que l'on fait, l'opiniâtreté face aux obstacles et la rigueur dans l'effort sont les clés de la réalisation de nos rêves." -  Auteur inconnu

"La passion, c'est le feu qui brûle à l'intérieur. La volonté, c'est le moteur qui nous fait avancer. L'opiniâtreté, c'est le carburant de la persévérance. La rigueur, c'est la voie vers l'excellence." - Inconnu

"La combinaison de la passion, de la volonté, de l'opiniâtreté et de la rigueur peut transformer l'impossible en possible." - Auteur inconnu

Ces citations sont génériques et ne sont pas attribuées à des auteurs spécifiques, mais elles capturent l'idée de la force intérieure nécessaire pour atteindre des objectifs ambitieux. Si vous avez besoin de citations d'auteurs particuliers ou d'autres combinaisons d'idées, n'hésitez pas à me le faire savoir.




Moi
D'où tires-tu ces citations génériques ?
L'autre
Je m'excuse pour toute confusion. Les citations que je vous ai fournies précédemment sont générées par moi-même pour illustrer les idées que vous avez demandées, et elles ne sont pas tirées de sources spécifiques. Je peux générer des citations en utilisant des modèles linguistiques pré-entraînés, mais elles ne sont pas attribuées à des auteurs réels. Si vous recherchez des citations d'auteurs spécifiques sur un sujet particulier, vous pouvez me donner le nom de l'auteur ou des détails supplémentaires, et je ferai de mon mieux pour trouver des citations authentiques correspondant à votre demande.




Moi
L'adjectif générique signifie propre à un genre et non pas généré comme tu sembles l'avoir utilisé. Si je te dis ceci, est-ce que tu utiliseras différemment l'adjectif lors de nos prochaines conversations ?
L'autre
Je m'excuse pour l'utilisation inappropriée de l'adjectif "générique". Vous avez tout à fait raison, et je tiendrai compte de votre correction. Je vais utiliser le terme "générique" conformément à sa signification correcte, qui est liée au caractère commun à un genre. Si vous avez d'autres questions ou demandes, n'hésitez pas à les poser, et je ferai de mon mieux pour vous fournir des réponses précises et appropriées.

Lévine a écrit:

Tous les homonymes sont donc des homophones, et par conséquent, les homographes non homophones ne constituent pas des homonymes, comme [kuv] et [kuvã]

OK, alors je corrige mon message 9 sans changer le 7 (et me couvre la tête de cendres):

homophonographe --> homographe ET homophone (---> homonyme)
homogramme ---> homographe

épo en rajoute a écrit:

Et un homonyme doit être homophone, peut être homographe,  ne peut pas être homogramme.

Par contre en italien, le tino est un récipient en forme de cone ou de cylindre qui sert en métallurgie ou le grand tonneau dans lequel écraser le vin. Renversé il pourrait devenir un tin.

je vois aussi dans mon dictionnaire technique qu'une traduction de tinozza (dérivé de tino) est la baille, ce baquet utilisé pour des usages divers et variés dans la marine, dont on pourrait imaginer que, renversés, ils pourraient servir à soutenir une quille en cale sèche.

On peut aussi imaginer une métonymie entre les tonneaux à vin et les pièces de bois qui les soutiennent.

Il me semble que l'origine du tin de cale sèche serait à chercher par là.

Quoi qu'il en soit, d'après etimo.it, l'étymon latin serait tina (d'où dérive notre tonneau)

Alors que l'étymon pour tino, alloro tino, laurotino donné par le Treccani est tïnus (trouvé dans Pline).

Abel Boyer a écrit:

Malheureusement, chacun a sa propre définition de tous ces mots homogramme, homographe, homonyme. Il n'y a pas pour l'instant de définition vraiment unanime

En ce qui concerne homographe, homonyme et homophonographe, difficile de voir une ambigüité dans la définition. Le seul qui pourrait prêter à discussion est homogramme qui pourrait faire double emploi avec homographe (d'où la réaction de Levine). Mais, si je me souviens bien de mes vieilles recherches, si quelqu'un manipule les notions d'homographie ET d'homogrammie, la distinction est claire.

Le problème vient ensuite avec ceux qui jonglent un peu trop légèrement avec les mots comme souvent sur Internet.

P.S.: le tin de cale sèche en italien, c'est la taccata. Pas d'espoir d'éclaircissement étymologique de ce côté-là.

Bonjour,

une élève m'a dit avoir rencontré un Suisse francophone de Genève qui lui a affirmé que l'on dit on va ! et non on y va !.

Je lui ai dit qu'à ma connaissance toute la francophonie dit on y va mais que notre Suisse pourrait avoir entendu un calque de l'italien andiamo qui n'a effectivement pas besoin de complément. Et nous aurions affaire à un usage régional.

Quelqu'un a-t-il déjà entendu ce on va quelque part ?

Un donnes-en-moi :

https://m.youtube.com/watch?v=V6dPBQexQ … e=emb_logo

Chover a écrit:

Une évidence qu'il est peut-être bon de rappeler : ce sont « donne-m'en » et « fais-m'en », plus courts, qui conviennent.

Une évidence que l'on doit rappeler smile Certes le m'en, c'est le bon usage. Tellement bon qu'il peut parfois sonner recherché (pas toujours, si je dis donnez-m'en 10 à un commerçant, c'est normal, enfin il me semble).

Mais les doubles pronoms à l'impératif, c'est bien l'usage le plus fantaisiste qui soit. Les puristes qui veulent se scandaliser n'ont qu'à se mettre au balcon. On a fait tout un fil rigolo là-dessus.

Et puis le génie de la langue ( lol ) peut préfèrer un bon moi bien tonique à un malheureux m' tristement atone parce qu'il a besoin d'insister sur le destinataire. En plus trivial, prends-en-toi plein la gueule, c'est plus efficace que prends-t'en plein la gueule.

Ceci dit, bis repetita, vous avez raison. Evidemment.

Et puis n'oublions pas qu'il s'agit ici de collectionner velours et pataquès qui contreviennent forcément au bon usage.

Un autre très grand classique :

https://m.youtube.com/watch?v=BLNzToa8C4E

Donnes-en / donnes-en-moi / donne-moi z'en

C'est marrant, les liaisons canoniques sont marquées par un trait d'union et les hérétiques par une apostrophe alors que, somme toute, ce [z] typique de l'impératif veut simplement rester à sa place.

Zieuter, c'est du français familier.

Si les Ardennais disent systématiquement zyeux, c'est qu'ils ont modifié le français. J'imagine.

Collyre pour yeux / collyre pour zieux / collyre pour rieux

Y a-t-il d'autres mots aussi intéressants que yeux pour nos velours?

Un autre, trouvé par chover il y a 3 ans, j'avais oublié aussi...

https://www.languefrancaise.net/forum/v … 00#p193600

On a déjà parlé quelque part des velours qui manifestent un pluriel (entre quat'zyeux), je suis tombé en cherchant une vidéo sur la mode sur ce joli pataquès qui manifeste une troisième personne. Un classique que j'avais oublié.

https://www.youtube.com/watch?v=OHoq3toK4NM

c'est précisément à 3 minutes. La pauvre, elle se reprend toute seule après avoir été tancée.

je me suis dit que ça pourrait être amusant de collectionner ce genre d'extrait vidéo dans ce fil. Sans prétention.

Lévine a écrit:

Je pourrais affiner la définition des doublets, mais franchement, ça ne me botte pas.

Bé oui. Facile de trouver une définition que personne ne conteste, c'est une définition, il suffit de l'appliquer. Bien plus dur d'en trouver une qui donnera satisfaction à tous les chercheurs de doublets.

Dans ce vaste travail, qui vous a vu arriver dans le rôle de l'inspecteur des travaux finis et dans lequel vous ne vous seriez probablement jamais lancé puisque le sujet ne vous intéresse pas, les seuls doublets exclus sont ceux issus de dérivation, de fabrication - pas forcément voulue et consciente - de mots. 

Comme les doublets ne sont qu'un incident de l'histoire des mots (ce en quoi il ne vous "intéressent pas" je suppose), votre affinage arbitraire consisterait à nous priver de curioisités de la langue selon votre bon vouloir. Et pourquoi ? C'est justement cette originalité des doublets qui fascinent tant de monde (sauf vous qui, malgré tout, tenez à avoir votre mot à dire).

Heureusement que vous n'avez pas eu envie d'affiner plus tôt, vous auriez tari toute la joyeuse recherche de ce fil à force de professer et pontifier. Il se tarit lentement tout seul par épuisement de la matière première. Je n'ai plus le temps d'alimenter le site avec les nombreuses découvertes qui ont continué à se succéder mais l'essentiel est fait. Et ceux qui avait quelque chose à apprendre l'ont fait. On aura compris que vous saviez déjà tout, désolé que vous mettiez tant d'énergie à nous le faire savoir, vous pourriez mieux l'employer ailleurs.

Lévine a écrit:

J'ai dit que les doublets sont nécessairement de même nature.

Tiens donc, hé bien, je vous dis qu'ils ne le sont pas nécessairement. Sauf si vous vous en tenez à une définition restrictive des doublets.

je tombe immédiatement sur aval / à vau, égo / je

Le site fonctionne bien en ce moment, promenez-vous-y.

Lévine a écrit:

L'exception confirme la règle...

Vous auriez pu trouver mieux. Cela n'a pas de sens de poser une règle sur la nature immuable des mots. C'est en général vrai mais si souvent transgressé avec la plus grande facilité.

Rendez-vous  ---> un impératif (verbe et pronom) substantivé
chez ---> un substantif devenu préposition
quant-à-soi --> une locution prépositionnelle et un pronom devenu substantif
peut-être ---> deux verbes formsant un substantif

Tous les mots composés d'un verbe et de son complément (passeport, portefeuille)

Tous les infinitifs substantivé.

Les formes verbales latines substantivées (agenda)

Et j'en passe et des meilleures. Alors la nature immuable...

Et régulièrement vous revenez pour donner une vision réductrice du phénomène des doublets, ce n'est pas faute d'avoir ressassé ici comment ils sont recensés sur ce fil. Et vous le savez.

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(36 réponses, dans Réflexions linguistiques)

Chover a écrit:

Pour la distinction entre /œ/ et /ə/ (leur allié, le rallié), je ne sais pas ce qu'il en est : est-elle plus nette dans le Sud de la France ?

J'ai l'impression que oui mais je peux me tromper. Mais probablement nous sommes dans la phonologie, au niveau phonématique, on peut probablement considérer qu'il n'y a qu'un seul phonème.

D'où ma question précédente. Parce qu'il y a encore beaucoup de méridioniaux - et de septentrionaux - pur sucre.

On pourrait ajouter à la liste le e caduc septentrional et le schwa méridional mais il est probable que le e caduc se rencontre régulièrement aussi dans le discours des méridionaux. 2 sons pour 1 phonème ou 2 phonèmes ?

P'tit prof a écrit:

Éponymie, ce ne sont pas des lignes, mais des vers, mot dont j'ai usé, d'ailleurs.

Désolé de ne pas avoir été rigoureux. C'est pas bien.

J'ai mis un peu de temps à écrire mon dernier message qui fait doublon avec celui de P'tit prof. Avec une ponctuation malheureuse et un doublon dans le copier.coller. En plus.

Et j'ai l'impression d'avoir perdu un peu trop d'énergie pour réagir au contenu superficiel d'un message qui a attiré ma curiosité.

C'est vrai après tout, on pourrait dire Trois fois ouille ! au lieu de ouille, ouille, ouille ! lol

Genoveva a écrit:

Ὣ ποι,Ὣ πόποι = Héla ! trois fois hélas!

Bonjour,

pour les nuls - les ignares - en grec comme moi, πό signifie trois et Ὣ ποι serait hélas ?

Parce que je suis allé voir dans lexilogos par curiosité et je ne m'y retrouve pas. Je vois seulement que πόποι est une exclamation qui exprime l'étonnement, la colère, la douleur mais j'ai l'impression que le "hélas, trois fois hélas" peut rendre compte de cette exclamation dans certains cas seulement.

Ce ne serait donc pas le grec d'Homère la source de l'expression française.

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Canal_Saint-Georges

Apparemment, les dénominations étaient fluctuantes puisque le dico de 1705 mis en référence dans l'article de Wikipedia sur le canal de Bristol appelait effectivement ce dernier Manche de Saint Georges, l'autre étant nommé Manche de l'Ouest.

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(15 réponses, dans Réflexions linguistiques)

C'est possible - si c'est devenu un tic de langage, l'origine devient difficile à déterminer - mais ce n'est pas tout à fait le sens "c'est bien vrai, c'est bien ça".

Je lis aussi ça qui date de janvier 2021 :

À force de passer du temps sur les écrans, le monde réel en vient à nous échapper. Lorsqu'on discute "dans la vraie vie", les mots nous échappent, ils semblent parfois dénués de sens. C'est pourquoi nous avons besoin de formules qui compensent cette emprise virtuelle et intensifient la réalité de nos propos. Voilà comment s'est développé le tic de langage « en vrai » cher aux jeunes… « Il témoigne d’un besoin de distinguer deux modes d'existence, l'existence filtrée, sublimée, de nos écrans, et l'expérience concrète, note la linguiste. Il attire l'attention sur le fait qu'on aborde une expérience vraiment vécue, où nos réactions sont celles d'êtres qui connaissent aussi des contraintes. » Idem pour "j'avoue", qui commence à se répandre aussi chez les adultes. À l’origine "avouer" signifie « reconnaître quelque chose de répréhensible ». Mais, aujourd’hui, on emploie ce verbe pour introduire des assertions qui n'ont rien de blâmable: « J'avoue, j'ai passé une trop bonne soirée! »

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Un autre nuance ici  (2019) :

L'émission de téléréalité sur W 9, « les Marseillais », compte aussi d'excellents ambassadeurs, en particulier un trublion prénommé Greg qui emploie « frère » jusqu'à l'overdose. « A la base, ce n'est pas censé faire partie de notre vocabulaire parce que c'est étiqueté cités », résume Palmyre, 15 ans, en 1re littéraire à Victor-Duruy. « Dire frère ou frérot, c'est très masculin. Ma meilleure amie l'utilise quand elle s'énerve. En vrai, c'est pour montrer qu'elle est un peu mec, un peu bad boy », sourit Clémence, 18 ans, en terminale L.

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Et ça encore, tout récent :

“En vrai, c’était bien”. “En vrai, j’adore cet acteur”. “En vrai Bastille c’est la folie”. Ce “en vrai” est ce que furent en leur temps les “”du coup”, “en fait” et autres “donc”. Pas vrai ? En vrai. Ce nouveau tic de langage, nous en avons fait une campagne décalée et totalement subjective pour le Pas-de-Calais.

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https://www.youtube.com/watch?v=uu73ZGruAzA

Celle-là m'amuse, posée qu'elle est dans un discours qui prétend relever les expressions typiques de l'oral :

On a beaucoup d’expressions qui font partie du langage familier qu’on utilise à l’oral.

Comme :

Tu m’étonnes !

C’est une expression qui signifie qu’on est d’accord avec la personne. En vrai, on n’est pas étonné, pas surpris par ce qu’on entend, bien au contraire on n’est pas du tout surpris. Quand, on dit “Tu m’étonnes”, en fait ça signifie “Tu ne m’étonnes pas du tout, je suis d’accord avec toi”. Encore une expression française tout à fait logique.

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Et là encore, qui recommande d'éviter les tics de langage...

Franchement c’est pas mal. Enfin, c’est pas « si mal » comme on vous dit parfois.

En vrai, c’était à peu près carré, vous avez dit tout ce que vous vouliez, vous avez pu répondre à toutes les questions… mais qu’est-ce que c’était ennuyeux !

Personne ne vous l’a dit parce que personne ne vous le dit jamais, mais certains ont eu envie de tourner la clé dans votre dos.

Ou de se tirer un épisode de Derrick dans la tête pour voir si c’est plus entraînant.

D’autres ont regardé six fois leur montre pour voir si l’aiguille avançait bien ou si vous aviez ce pouvoir incroyable d’arrêter le temps.

[ ... ]

Un tic de langage, euh, c’est vraiment quelque choseuuuuuh qui parasite le discours. Euuuuuh, quand on l’a remarqué chez quelqu’un, euh, eh bien, euh, on n’entend plus que ça. Euuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuh. Voilà. Et donc, euuuuuuh, voilà.

Franchement, quand vous faites ce genre de chose, vous êtes carrément dur avec votre public.

Même les gars de chez Carglass ils ont pas de tic de langage. Et pourtant ils sont quand même très agaçants.

Le « euh », c’est le plus courant des tics de langage.

Mais il y en un tas d’autre : en vrai il y en a autant que la peur du silence peut en inventer, c’est vous dire si on va loin.

Cela peut être « voilà », « donc », « quoi », « alors »…

Mais pourquoi est-ce qu’on les balance en pleine phrase ces mots qui ne servent à rien, qui parasitent le discours, qui le hachent menu-menu, au point qu’il en perde sa saveur ?

Parce qu’on a peur du silence !

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Les occurrences que je peux dater sur la toile remontent au mieux à 2019

Bon, bé, voilà, j'ai découvert quelque chose.

P.S.: je précise que je vis en Italie depuis 25 ans, c'est la porte à côté mais cela suffit à ce que je prenne certaines nouveautés comme de la misère qui tombe sur mon pauvre monde alors que, pour ceux qui vivent en France, c'est tout naturel, comme si ça avait toujours existé, que ce soit pour la langue ou pour tout autre chose.

Je reliais "le premier" au sujet, non au complément (le pain), c'est pour cela que je ne trouvais pas de sens à cette forme de l'expression.

Pour le reste, bon travail et merci de nous faire connaitre vos conclusions quand vous pourrez.

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(15 réponses, dans Réflexions linguistiques)

Je l'ai trouvé

« En général quand un Français imite un Belge, il sort un accent pas possible qui n’a rien à voir avec Bruxelles, et des tournures de phrase que plus personne n’emploie. En vrai, nos expressions actuelles, vous ne les connaissez pas je pense. » C’est ainsi que Isha, Senamo et Lord Gasmique résumaient, amusés, la vision souvent faussée que l’on se fait côté français de l’argot et la façon de parler de la Belgique en général, et Bruxelles en particulier. Alors que le rap belge ne s'est jamais autant exporté en dehors de ses frontières, petit cours de rattrapage sur ces références que les non-ressortissants du plat pays ne peuvent pas comprendre.
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(15 réponses, dans Réflexions linguistiques)

Chover a écrit:

À lire votre citation, je ne suis pas certain que l'Académie réfute le caractère enfantin de « en vrai ».

Elle ne le fait pas effectivement. Quant à ce qu'elle écrit, ce n'est pas parole d'Évangile mais atteste simplement cet usage qui m'a surpris. Mais en regardant mieux, ce n'est pas vraiment l'usage piotrien qui correspond à une confirmation : les synonymes que je donnais plus haut (c'est vrai, en effet, effectivement ) ne sont pas repris.

Sur le tour enfantin, je répondais à Alco sans me référer à la citation de'Académie. Pour moi, l'usage enfantin serait quelque chose comme "il joue les héros mais en vrai il est très timide".

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(15 réponses, dans Réflexions linguistiques)

Peut-être un régionalisme. Voyons ce que dira Piotr.

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(15 réponses, dans Réflexions linguistiques)

Piotr a écrit:
Nolwenn a écrit:

Je l'ai fait ; c'est assez long.

  En vrai, c'est bougrement long !

Tiré d'un autre fil. En relisant, ça m'a fait bizarre, j'aurais écrit "effectivement", "en effet", "c'est vrai" ou autre chose peut-être qui ne me vient pas sur le moment.

C'est un régionalisme ? Ou c'est moi qui suis déconnecté ?

C'est fait, sur l'ordinateur de bureau, j'ai mis 27 minutes alors que sur smartphone, c'est la croix et la bannière.

Au delà des sous, ce qui serait sympa, ce serait de nous fournir les conclusions de votre étude. Il est déjà arrivé que des gens nous demandent une participation ou une aide (je pense à ilelogique avec son spectacle matheux qui était revenu nous raconter comment ça c'était passé, au Bon Usage qui avait permis à certains d'avoir une édition gratuite en ligne ou papier, etc.). Voilà qui serait gratifiant.

Chover a écrit:

Ou alors presque toutes les phrases hypothétiques contenant des conditionnels passés devront être considérées comme comportant un futur dans le passé ! Par exemple, « Si tu m'avais écouté, ça ne te serait pas arrivé », qu'on peut essayer d'expliquer ainsi : En un premier temps, tu ne m'as pas écouté ; puis ça t'est arrivé. Un futur un peu tiré par les cheveux, à mon goût.

Et pourtant, l'échelle temporelle dans le passé est bien respectée :

  1. je t'avais expliqué

  2. tu n'en as pas tenu compte

  3. ça t'est arrivé

Par rapport au moment (1), le moment (3) est bien un futur dans le passé puisque déclenché par (2), moment déclencheur de référence.

Le plus-que-parfait du moment (1) vous le retrouvez dans votre condition non réalisée (Si tu m'avais écouté), je ne vois pas en quoi la conséquence logique future (fait accompli exprimé avec un temps composé) ne peut pas se voir tout simplement comme un futur dans le passé. C'est bien ce qu'elle est il me semble.

Ce qui vous parait tiré par les cheveux me semble couler de source. Clair comme un miroir. Limpide. Non ?

P.S.: non, non, je ne vais pas me lancer dans un discours chrisorien sur votre conditionnement qui vous empêche de voir la vérité qui m'a été révélée (je suis terrifié à l'idée de pouvoir me comporter comme lui). Avant tout parce que même si je suis convaincu par mon raisonnement, je ne lui vois aucune utilité concrète pour faire appréhender à des élèves de façon plus intuitive l'irréel du passé. Sur le système verbal ma vision est souvent décalée par rapport à ce qui se lit habituellement mais c'est toujours pour la bonne cause. La grammaire n'est jamais qu'une théorie qui ne sera jamais parfaite. Que chacun prenne celle qui lui sied le mieux.

Chover a écrit:

Petite précision : on distingue oralement, en principe, « ferai » et « ferais ».

Tout comme on distingue, en principe, "pomme" et "paume".

Je dois me contraindre pour faire entendre la différence à mes élèves, en leur précisant que ce n'est pas du tout ma parlure spontanée, tout comme celle de pas mal de Francophones. Précision que e je ne fais pas pour des gens qui vont travailler en Algérie ou en Afrique de l'Ouest.

Je veux bien qu'il y ait une prononciation standard,ce n'est pas inutile mais de là à en faire un carcan

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(4 116 réponses, dans Réflexions linguistiques)

chrisor a écrit:

Corinthiens 13:8-13 BFC :
"L'amour est éternel. Les messages divins cesseront un jour, le don de parler en des langues inconnues prendra fin, la connaissance disparaîtra. En effet, notre connaissance est incomplète et notre annonce des messages divins est limitée; mais quand viendra la perfection, ce qui est incomplet disparaîtra..."

La traduction du grec en amour est relativement récente, avant on traduisait en charité (au sens de amour divin) mais le mot a été tellement galvaudé que son sens originel s'est perdu [en outre, soit la traduction est vraiment mauvaise, soit vous citez mal]. Pas pour tous, certains savent encore ce que c'est que de manquer à la charité. C'est elle qui est éternelle. Z'avez un problème d'alphabet.

chrisor a écrit:

Mon message n'avait comme seul but de souligner que l'on pouvait initier le mot fille par un F majuscule. Vos propos sont hors sujet comme d'habitude.

J'avais pensé à mesdames Clotilde et Elisabeth qui n'étaient pas filles de roi mais - d'après votre article de wikipedia - auraient été malgré toutes filles de France. P'tit prof aurait donc tort. Mais vu votre réponse, cela vous importait peu.

Et si votre message alambiqué et insensé [le but de mon message était de justifier ces qualificatifs] avait pour but de justifier la majuscule, je suis bien certain que je ne suis pas le seul à ne pas avoir vu où vous vouliez en venir.

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(36 réponses, dans Réflexions linguistiques)

C'est que je dis spontanément ténacité, réclusion et rebellion moi lol

Donc, aux préférences personnelles près, tout passe. En relisant ce sujet, je digère aussi la phrase 4. Mais la 1 et la 3 restent mes favorites.

Merci à tous smile

Chover a écrit:

Le subjonctif imparfait « fût » ne me viendrait pas à l'idée dans de telles phrases, avec un verbe principal au futur.
Une virgule après « Je le ferai » ?

Pour vous faire plaisir, je mets un conditionnel (ça ne dérangera Bruno Dewaele non plus).

Chover a écrit:

Une virgule après « Je le ferai » ?

J'ai écrit vite fait mon message avant un début de leçon.

Je corrige :

1 - Je le ferais, ne serait-ce que pour t'ennuyer.

2  - Je le ferais, serait-ce seulement pour t'ennuyer.

3  - Je le ferais, fût-ce seulement pour t'ennuyer.

4  - Je le ferais, ne fût-ce que pour t'ennuyer.

La phrase 2 me semble si peu usitée que, toute correcte qu'elle soit, j'aurais tendance à l'exclure alors que la phrase 3 ne dérange pas du tout mes habitudes (si on peu parler d'habitudes pour un tel cas de figure). Je voulais voir un peu la perception d'autres personnes.

Décidément, je me pose des questions existentielles ce matin.

1 - Je le ferai ne serait-ce que pour t'ennuyer.

2  - Je le ferai serait-ce seulement pour t'ennuyer.

3  - Je le ferai fût-ce seulement pour t'ennuyer.

4  - Je le ferai ne fût-ce que pour t'ennuyer.

Quelles phrases sont irrecevables ? Et pourquoi ?

J'ai toujours dit rebellion et, si j'ai jamais eu l'occasion de l'écrire, je l'ai certainement écrit ainsi.

Je me rends compte que l'orthographe des dicos est rébellion. Tout le monde prononce-t-il ainsi ?

Et puis, d'où vient ce é ? Une rébellion / nous nous rebellons : c'est d'une logique (je sais, la logique n'a rien à faire dans cette affaire) ...

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(4 116 réponses, dans Réflexions linguistiques)

chrisor a écrit:


Ce qui est beaucoup plus étonnant, c'est que la langue de l'inconscient permet d'accéder à une Langue Sacrée juste en remplaçant l'initiale de bas de casse par une Capitale hiéroglyphique. C'est cette Langue qui m'intéresse et je suis loin d'en avoir fait le tour ni compris l'origine, qui conduit vers un ésotérisme ou un mysticisme que je n'accepte pas.

Qu'est-ce que c'est que ce charabia...

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(4 116 réponses, dans Réflexions linguistiques)

P'tit prof a écrit:

L'abbé Bethléem n'eût pas mieux dit...

J'aurai au moins appris qui est l'abbé Bethléem.

Sur un forum de discussion qui veut discuter de langue française, accuser quelqu'un qui pense en tout bonne foi utile de récuser systématiquement un tissu d'âneries qui prétend dire ce qu'est la langue d'être un censeur, c'est un peu fort de café.

Désirer que soit mis fin à un fil inutile et énergivore est tout aussi légitime. Combien de fils ont été clos simplement parce qu'ìl y avait redite d'un fil à l'autre. L'originalité de celui-ci, c'est que les redites sont internes. Au point d'en devenir une sempiternelle litanie.

On n'a pas affaire ici à un trublion qui veut faire des propositions qui chamboulerait la langue (du genre de celui qui voulait normaliser la prononciation), c'est absurde mais lointainement possible avec une police de la langue et une bonne dictature.

On n'a pas affaire ici à quelqu'un qui nous raconte que le français ne vient pas du latin, cela peut sembler absurde mais cela peut permettre de déconstruire des manières de voir trop simplistes  (filiation directe du latin de Cicéron au français).

On a affaire a une représentation de la langue qui ne convainc personne bien que tous ceux qui suivent le fil l'aient comprise depuis longtemps et dont je doute fort que quelqu'un qui arrive maintenant puisse y comprendre quelque chose à moins d'avoir l'infinie patience de relire bonne partie du fil (combien de fois en 10 ans, j'ai dû relire les premières pages du fil). Quelqu'intervenant ponctuel vient rarement donner un coup de main à chrisor mais jamais personne ne s'est engagé dans une discussion suivie pour défendre sa théorie.

Alors, le tour du sujet n'est-il pas fait depuis longtemps ? Quasiment dès le début, chrisor a été cantonné à son bac à sable pour ne pas polluer les autres discussions du forum avec sa théorie, il en a fait le tour. Et il est incapable d'apporter quoi que ce soit de nouveau. Et il est incapable d'exposer clairement et simplement ses idées, ne sachant ou ne pouvant le faire, il nous noit en permanence sous le déluge scriptural qui lui sert pour cacher sa misère conceptuelle.

Et que l'on ne vienne pas me dire que celui qui ne veut pas lire ne lise pas : remplissez le forum de fil de ce genre et personne ne lira plus rien à ce compte. C e qui fait qu'un forum vit, c'est la variété des discussions qu'il peut proposer et l'intérêt qu'on les gens à y participer pour y apprendre quelque chose ou y apporter leur pierre.

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