Cesse, en voiture, d'avoir un comportement agressif envers autrui.
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forum abclf » Messages de Alco
Cesse, en voiture, d'avoir un comportement agressif envers autrui.
Un cru si vert ! Bistrot de néophytes ! Servez-moi du meilleur de votre cave.
Rave et queue, tout est bon à mettre dans le potage.
Or, ta jeunesse s'enfuit à tire d'ailes. Profite donc bien de tous les instants.
Sa Renault Mégane était tout ce qu'il léguait à ses petits-enfants.
Dans mon entourage je le constate beaucoup moins souvent. ça reste pour l instant au niveau du "c'est" prononcé cé, "tout à
fait" prononcé toutafé, ou "j'étais" prononcé j'été.
J'ai passé mon enfance et mon adolescence en région parisienne, où on prononçait bien « j'étais » et « tout à fait », mais jamais « c'est » n'était prononcé sè. J'ai toujours entendu « c'est vrai » comme « sévrè » et je ne suis plus tout jeune.
Néanmoins, en position finale, certains peuvent avoir tendance à prononcer sé, par exemple dans : je sais ce que c'est.
Tout dépend de la région. Le Nord, par exemple, a tendance a toujours prononcer /e/ en finale. La prononciation parisienne traditionnelle est /ɛ/.
Aidant le prélat dans le déroulement de la cérémonie s'affairaient une demi-douzaine d'enfants de chœur.
De l'ail psy ? Gare à ces charlatans qui prétendent tout soigner par les plantes !
Je pense que l'influence de l'écrit fait qu'on voudrait que le t soit maintenu, mais je pense que si on enchaîne les deux, c'est un d qu'on entend. L'insistance sur le t fait enchaîner sur un ch, si on ne fait aucune coupure.
Inflammée ? Le résultat d'une inflammation, c'est d'être enflammé...
Je reprends : ... sur le bord de votre paupière enflammée.
Oh ! Pierre enfle ! Ah mais, il faudrait peut-être voir un médecin en urgence !
J'endure, j'ensevelis ma misère sous une vie de labeur.
Rempart contre la bêtise et la haine, la curiosité doublée de raison devrait naître en chaque esprit, dans l'idéal...
On t'écrit c't' odieuse bafouille pour te faire plier. Te laisse pas influencer.
Tes coûts pérennisés seront à prendre en compte dans ton futur budget.
L'imper y a laissé une trace d'humidité. Le président aurait dû passer par le vestiaire.
Un dais pend, dans cet hémicycle, au-dessus du fauteuil du président.
Tantôt prend, selon les régions, le sens de « dans peu de temps », « il y a peu de temps », « cet après-midi » ou un après-midi quelconque.
Vois : crie « Staline » dans une ville russe et tu attireras l'attention tout de suite.
Des rations de Muscadet attendent les vendangeurs au caveau.
Je trouve le subjonctif inadéquat dans ce cas. Tout comme Piotr, j'utiliserais le futur ou le présent.
C'est un peu la même question que « une tassse à café / une tasse de café ».
Pas à mon avis. Une tasse à café est un contenant fait pour recevoir du café. Pour la médaille, qu'elle soit d'or ou en or, c'est l'or qui la constitue. Pas de médaille sans or, mais une tasse sans café, oui.
Apporte à Clémentine l'andouille qu'elle a laissée à la maison.
La distinction que fait le TLFI entre l'adjectif et le verbe (donc son participe passé) est un peu illusoire.
Dans le cas de l'adjectif, (« On dit qu'un homme est bien casé, pour dire qu'il est parvenu à obtenir une bonne place ») l'idée viendrait de la case, terme de jeu.
Pour le verbe (exemple donné : « Établir dans le mariage, marier. Caser sa fille. ») il serait dérivé de case, maison.
On pourrait dire facilement qu'un père a casé sa fille parce qu'il lui a trouvé « un bon parti », socialement et affectivement.
Qu'un zèbre quelconque, bien entraîné, fût passé devant le Blaireau, et on aurait écrit autrement l'histoire du cyclisme.
Voir Gérardmer, dans les Vosges, prononcé [ʒeʁaʁme].
Ermont fait remplir chaque année cinquante bouteille du vin produit localement grâce à ses six cent cinquante pieds de pinot noir.
J'en ai connue une, à la voix assez grave pour prendre les parties de ténor.
Danse ! Je prends un verre et je t'attends à la sortie de la salle.
Je ne l'ai pas visitée mais je suis passé plus d'une fois devant.
Ah non. Si je suis né dans la première localité, je n'ai jamais eu l'occasion de visiter le château du malheureux Fouquet.
Heures indicibles où les premières lueurs de l'aube lèvent le voile sur le jour qui vient, vous êtes mes moments favoris.
cahoua / caoua c'est aussi un café par chez nous (Bretagne)
Pas seulement en Bretagne. C'est un mot d'argot, d'origine arabe.
Il paraît que "cahouet" désigne un chat-huant dans l'ouest de la France.
Oui, au nord de la ligne Joret. D'après l'ALF, on trouve (trouvait ?) cahouet dans la Manche, l'Oise, la Somme, le Nord. Les autres départements de cette partie de la France ont aussi cahoua.
Voir l'ALF à l'entrée Hibou. L'entrée chouette ne donne que la partie sud de la France, et mélange allégrement la hulotte (chouette), l'effraie (ferzaie en Deux-Sèvres) et la Chevêche.
On danse. Est-il autorisé de danser ici ?
Ôte du rôt noirci la croûte indigestible.
(alexandrin, quand tu nous tiens )
Chez le comte, heureux du travail de ses vignerons, on fit honneur à la tradition du vin champenois.
On tend comme un ressort sa colère et sa haine
Envers ses ennemis, on laisse aller sa rage,
Et on comprend plus tard, dans la force de l'âge,
Que ces ressentiments n'en valaient pas la peine.
Osez chez Crébillon rechercher l'aventure
Lisez Idoménée, puis Atrée et Thyeste,
Enfin, si vous trouvez Rhadamiste digeste,
Vous pourrez par Pyrrhus finir votre lecture.
J'avoue que je ne connaissais Crébillon que de nom, et que j'ignorais les titres de ses œuvres.
Oint de rustiques onguents, il dégageait une odeur d'herbes et de graisse de mouton.
Motte ardue ? Dis-m'en, cher ami, un peu plus.
- Eh bien, c'est le sens propre de cet adjectif. J'ai eu beaucoup de mal à gravir ses pentes escarpées.
Il me semble que c'est du langage enfantin.
Du vil agissement dont tu es l'auteur tu devras répondre.
Oh ! N'est-ce qu'une affaire de crâne quand la main joue un rôle non négligeable ?
L'affaire se complique un peu avec « médecin », épicène masculin traditionnel. Encore que le mot soit tout simplement en train de passer de la catégorie 1 à la 2 : « une médecin » devient courant. Tout de même, en contradiction avec « une cousine », « une gamine », « une lapine »… Mais faut-il expliquer pourquoi « médecin » ne peut suivre ces modèles au féminin ?
Bien sûr, la médecine qui fait de la médecine sonne bizarrement. Je m'en sors en parlant de ma généraliste.
Âge de la vie qu'on tait souvent, l'adolescence est celui de tous les excès, de toutes les incertitudes, qu'on oublie ensuite à l'âge adulte.
Oui, tout à fait. Les deux sont équivalents.
Préfixe, je ne sais pas. C'est la graphie de l'ancienne prononciation de bec d'ane et bec jaune. Cf. aussi pivert pour pic vert.
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