Et que je suis riche.
Pas sûr du tout ! Il va falloir tout mettre aux normes sanitaires actuelles, vous allez devoir faire plein de travails.
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forum abclf » Messages de Zolurne
Et que je suis riche.
Pas sûr du tout ! Il va falloir tout mettre aux normes sanitaires actuelles, vous allez devoir faire plein de travails.
Mon raisonnement est le suivant : si j'ai 450 "local", j'ai 450 * local ==> local = singulier, j'ai donc bien 450 * 1. Alors que si j'ai 450 "locaux", j'ai 450 * locaux ==> pluriel, j'ai donc 450 * des locaux, soit plus de 450 au final.
Dans quel cas pensez-vous qu'on peut appliquer le pluriel ? Est-ce que "j'ai de nombreux locaux disponibles" vous agrée ?
En suivant le même raisonnement, allez-vous dire que vous avez deux main, dix doigt ?
Pensez-vous que dire "j'ai 10 doigts" implique que vous en avez forcément plus que 10 ?
Derrrière la nouvelle.fonction, l'homme nouveau point.
L'homme nouveau poinD, sapristi !
Le mot "formule" me paraît mal choisi. L'auteur ne rapporte pas les paroles de J. Chirac.
Aitonnudieu n'a pas recopié les guillemets mais ils sont présents dans le Parisien et la formule est bien de Chirac :
"Notre maison brûle et nous regardons ailleurs."
Tectonique des plaques ?
La Terre est bleue comme une orange ?
pierre à affûter :
Un coticule ?
Je propose un "réveille-lame".
TOURNEVIS
pfinn60 : Dans le plus simple appareil !
C'est gai ce jeu ! Mais ne comptez pas trop sur moi pour proposer des images. Jusqu'à présent, mon cerveau s'y refuse absolument.
Trevor : mise en abyme ?
Le vilain à la cour resté
fut aussitôt tondu, rasé
et vêtu de robe écarlate.
Lors d'un … il se place,
quand les malades du pays
qui étaient bien quatre-vingt-dix
s'en vinrent au palais royal.
Chacun au roi conta son mal.Le roi, le vilain appela
“Maitre” dit-il “entendez-ça,
de ces gens ... occupez-vous.
Allez guérissez-les-moi tous”
“Trop il y en a, ayez pitié
beau sire. Ha !" le vilain criait
“je n'en pourrais à bout venir
oncques ne les pourrais tous guérir.”
J'entends "Lors d'en être quitte il se flatte" et "de ces gens vite occupez-vous".
Oufti ! Ça, c'est du bruxellois ! je n'en comprends que 20 % et j'en utilise encore moins, quelques termes à peine : brol, bardaf, stoemelings, vollegaz...
Bonjour à tous.
La question suivante est posée dans la perspective de la rédaction d’un dictionnaire de belgicismes.
Qu’évoque pour vous le mot « jeannette » quand il désigne une personne.
Les Belges peuvent répondre mais je leur demande de s’identifier comme tels.
Merci d’avance.
René Meertens
Sur les six Belges autour de moi, trois répondent "planche à repasser" et les trois autres ne connaissent aucun sens particulier à "jeannette".
Ce belgicisme est-il vraiment si répandu ?
La question qui suit est posée dans l'optique de l'établissement d'un dictionnaire de belgicismes.
En français standard, qu'entend-on par "chocolat fondant" ?
Entendez-vous encore souvent cette expression ?
Ne serait-ce pas un belgicisme pour anciens Belges ?
J'ai quelque problème à comprendre la signification du verbe "bailler" dans la phrase qui je vous colle.
"Parlerai-je de ces imitationes bouffonnes que la déclamation joint quelquefois à la Musique, come de rire, ou de BAILLER en chantant, de contre-faire le ton cassé et le babil ridicule d'un vieillard, etc. etc."
C'est un texte du 18ème siècle et il n'y a pas d'accent sur la A de "bailler".
C'est une erreur présente dans l'édition de 1779 mais qui a été corrigée dans celle de 1785. C'est bien "bâiller" qu'il faut lire.
loutreau a écrit:Damned ! Je suis démasquée !
Attention ! C'est ou « damn ! » ou « I'll be damned ! »...
Oui mais non !
Pour Blake et Mortimer, c'est Damned !
Bonjour à toutes, et à tous.
Vous me rendriez un grand service, et pas qu'à moi, mais à toute une communauté, si vous auriez l'amabilité, et l'élégance de transcrire ce mot vedette "fille" afin qu'il puisse être lu et prononcé à l'aide de l'alphabet phonétique international, communément appelé API. (HAPPY pour l'intime).
(En espérant avoir fait sourire Regina, qui je ne doute pas, est en train de lire ce post.)
Je vous gratifie par toute avance. En l'attente. Courtoisement. :-)
[fij]
C'est dans le dico.
http://www.cnrtl.fr/definition/fille
J'écris une nouvelle et j'aimerais utiliser le verbe "croquer" dans le sens "plier en laissant une marque irréversible dans la matière", (croquer une feuille, etc.) or les différents dictionnaires que j'ai consultés semblent ne pas relever ce sens. Existe-t-il?
Attention, dans ma nouvelle il s'agit de "se croquer la nuque" en essayant de trouver dans un autocar, une position plus ou moins favorable au sommeil.
Croquer une feuille, je ne connais pas, mais croquer la reliure d'un livre en l'ouvrant trop fort, ça oui. Il paraît que c'est une de mes sales manies.
Et si je ne me suis jamais croqué la nuque, il m'est hélas arrivé de me croquer le dos en portant des charges trop lourdes.
Ce "croquer", c'est du belge !
Je confirme, c'est du belge !
Je ne comprends pas cette phrase exactement de la même façon. Il me semble qu'elle signifie que l'Angleterre s'arrange pour que les autres états perdent leur temps et leur énergie à se disputer pour tenter de lui piquer une partie du gâteau indien mais elle ne leur donne pas pour cela de subsides au sens moderne du terme. Il me semble qu'ici "subsides" doit être pris au sens de "profits".
Les souverains se déchirent pour quelques profits qu'on pourrait prendre à l'Angleterre en faisant une expédition en Inde.
Je voix dans le TLFi qu'un sens ancien de "subsides" est "impôts, contribution", ce qui conforte mon sentiment.
Votre batterie de cuisine est suspendue à une archelle.
Bonjour,
"Vous aurez toujours moins de risques sur des sites dont l'irréputation n'est plus à prouver"
J'entends les mêmes sons mais j'aurais écrit "l'e-réputation".
et devant ‹ là › que dans l'expression : par-ci par-là.
Cette affirmation-là me paraît bien téméraire.
Paris, paris, Paris, Paris, Paris...
Ses larmes sont taries rendrait peut-être mieux compte de la situation.
[ Cicéron lui-même n'a-t-il pas écrit le célébrissime De viris illustribus urbis Romae où de nombreux potaches ont poli leurs humanités ?
Euh... non.
Cicéron a certes écrit des œuvres commençant par "De", comme De Republica ou De Oratore, mais le bon vieux De Viris est de l'abbé Lhomond.
http://fr.wikipedia.org/wiki/De_viris_i … Lhomond%29
.
Dites-nous tout : c'est du Marcel Proust, pas vrai ?
Pas tout à fait. C'est de Julien Gracq.
L’omission de "par" est une chose, mais l’homme en question n’est pas passé par les armes ; il a été passé par les armes.
Si le récit est au présent (ce que suggère la phrase suivante), "est passé par les armes" peut fort bien être un présent à la voix passive.
Et tant qu'à faire dans le hors-sujet (ou espace d'appropriation comme dirait quelqu'un), le p bizarre juste avant ?
Oui, je l'ai trouvé intrigant aussi. Google a certes de mauvais yeux mais l'étendue de son savoir est immense. Il suffit de demander.
http://books.google.fr/books?id=_HhEAAA … mp;f=false
Si je vois bien, il s'agit d'un p avec petite boucle à gauche (une cédille ?) signifiant pro et non d'un p à la queue barrée qui signifierait per.
J'ai bien l'impression que vous avez le même problème que moi hier à peu près à la même heure : ne vous fiez pas à la numérisation du texte et regardez bien, l'avant dernière lettre est un i pas un l (et j'ai mis mes lunettes), regardez le mot erpillum deux lignes plus bas.
Bien vu pour le i mais il faudra frotter encore un peu les lunettes. Le mot en question est empetigine.
Primo, le t peut se confondre facilement avec le r mais quand ils sont côte à côte comme dans erpolitricum un peu plus bas, on les distingue mieux.
Secundo, le i n'est pas surmonté d'un point mais d'un petit tilde qui indique qu'il doit être suivi d'un n ou d'un m.
Entre l'herpès et les dartres (serpigine), nous avons attrapé l'impétigo...
Mon problème, c’est vraiment le bruit (shhhhhhhhhh) que l’on entend quand on met le son des hauts-parleurs au maximum : je l’entend trop bien, quand j’écoute de la musique. Je poste ici pour connaître le mot et ensuite pouvoir faire des recherches sur ce son, ce que c’est exactement, et ce que je peux faire pour moins l’entendre.
Eh bien je pense que ça c'est vraiment le souffle, et je crains que l'entendre moins passe par dépenser plus (ou mieux).
Ensemble de bruits parasites internes émis par un haut-parleur que l'on perçoit surtout durant les intervalles d'une transmission et qui a pour origine l'agitation thermique des atomes.
Prenez des haut-parleurs, ne faites rien jouer et mettez le son au maximum. Ou bien prenez une vieille télé et mettez sur un poste tout enneigé (il y a un mot pour ça, au fait ?). Vous aurez un son très désagréable qui n’est ni grinçant ni aigu. C’est de ça que je parle.
Le souffle ?
Ou le bruit de fond ?
la correction orthographique de word donne :
"elles nous ont obligés"à priori, je ne mettrai pas de "s" à obligé
Qu'en pensez-vous ?
On ne met pas de "s" uniquement si le "nous" représente une personne unique. C'est le cas si c'est le Roi qui parle ou si un auteur utilise le "nous" de modestie pour signifier que, bien qu'il soit auteur unique, son travail n'aurait pas pu se faire sans l'aide d'autres personnes.
Dans tous les autres cas, il faut "s" (obligés), et même "es" (obligées) si le "nous" représente un ensemble exclusivement féminin.
Insouciance oui, mais insouci ça n'existe pas en bon français.
Peut-être pas dans le "bon français" tel que vous le concevez, mais dans les bons dictionnaires, cela existe bel et bien.
(Avez-vous entendu parler du CNRTL ?)
il ne donne même pas à peine.
La première :
C'est toi qui m'as donné à boire
(C'est vous qui m'avez donné à boire)
T'as renversé le flacon ?
Tu cocottes !
Oh non, il ne s'agit pas de coulpe mais bien d'une coupe, la coupe de l'élan vital, de la jeunesse, de l'appétit de vivre. Ivan pense que cette coupe contiendra quelque chose jusque ses trente ans. Après, elle sera irrémédiablement vide, il lui faudra la jeter.
On trouve un passage dans le chapitre 3 qui éclaire cette histoire de coupe :
« Sais-tu ce que je me disais, tout à l’heure : si je n’avais plus foi en la vie, si je doutais d’une femme aimée, de l’ordre universel, persuadé au contraire que tout n’est qu’un chaos infernal et maudit — et fussé-je en proie aux horreurs de la désillusion — même alors je voudrais vivre quand même. Après avoir goûté à la coupe enchantée, je ne la quitterai qu’une fois vidée. D’ailleurs, vers trente ans, il se peut que je la regrette, même inachevée, et j’irai… je ne sais où. Mais, jusqu’à trente ans, j’en ai la certitude, ma jeunesse triomphera de tout, désenchantement, dégoût de vivre, etc. »
Si nous nous attachons au fond et non plus à la forme, nous découvrons que Proust lorsqu'il s'essaye à "philosopher", cherche à épater son lecteur jouant sur des associations de mots avec leur contraire.
Ce jeu stupide lui fait écrire des aneries.exemple
De même qu'il y a des avares qui entassent par générosité, nous sommes des prodigues qui dépensent par avarice,.........
in "la prisonnière"On ne s'attardera pas sur l'erreur grammaticale relative à la conjugaison du verbe "dépenser".
Il y en a tellement dans ce livre !
Sans vouloir faire injure aux forumeurs, il aurait fallu, bien entendu, l'écrire correctement nous sommes des prodigues qui dépensont
Eh bien, voilà une magnifique gamelle ! Non seulement l'accord de Proust est correct mais votre correction est tout à fait fantaisiste...
dans ce même livre, on peut lire :
C'est en effet pure charité de ne pas divulguer le titre de l'œuvre et le nom de l'auteur !
Mieux vaut ne pas savoir...
Bah... ça ne vaut pas tout le foin qu'on en a fait, mais ça se laisse gentiment lire.
Premier point :
Je connais ce pas ; c'est celui de (...) qui, à la manière dont il plisse les yeux quand il se tient sur le seuil de mon logis, dit penser que je vis dans une grotte obscure, bien que ce qu'il en [voir] lui apprenne le contraire.
Le subjonctif s'impose, après bien que.
Eh bien, il y est, le subjonctif après bien que ! Mais dans la proposition qui sert de sujet à apprenne, pourquoi le subjonctif serait-il également obligatoire ?
Je rejoins tout à fait l'avis de lutin et d'Abel Boyer : je mettrais voir à l'indicatif.
J'ai trouvé la vidéo, ce n'est pas un député mais un délégué CGSP et il dit "que cet argent-là soye pas gaspillé comme ça à gauche et à travers" (à partir de 8:03)
http://www.rtbf.be/video/v_jt-13h?id=1578493
Avec en sus une régularisation des désinences du subjonctif irrégulier.
Héhé... un gars de par chez moi.
Je n'ai jamais non plus entendu cette expression. Je penche pour un mélange avec à gauche et à droite.
Pour ce qui est du subjonctif, sachez que dans nos riantes contrées, il faut qu'il aille et il faut qu'il ait se prononcent de la même manière et riment avec Mireille !
Encore un trou...
Faut-il écrire : les mensonges qu'ils avaient dit sur moi ou les mensonges qu'ils avaient dits sur moi...
La seconde solution qui semble être la bonne me fait très drôle...
Merci à vous
Le participe passé "dits" s'accorde avec le COD "que" mis pour "mensonges". La formulation correcte est donc bien les mensonges qu'il avait dits.
Je parie que vous trouvez encore plus drôle la formulation où l'accord s'entend, en plus de s'écrire : les vérités qu'il avait dites.
Je n'ai toujours pas trouvé comment le démarrer ce fameux quiz.
À moins qu'il ne faille cliquer sur "j'aime" ? Mais là, c'est sans moi !
Moi, c'est pire ! Je n'ai même pas trouvé le moyen de démarrer le quiz.
Je n'ai malheureusement pas eu le temps de lire toute la discussion qui m'a l'air fort complexe mais un point dans les derniers messages me fait sursauter.
Je suis entièrement d'accord avec greg pour dire qu'un critère de classement est forcément arbitraire, c'est l'essence même d'un critère d'être arbitraire.
Je ne comprends pas comment un critère pourrait être logique ou cohérent. L'âge ou le sexe sont des critères fréquemment employés, mais qu'ont-ils de particulièrement logique ou cohérent ?
Cette peinture murale n'est pas une reproduction, c'est une œuvre originale de Pascal Dagnan-Bouveret intitulée "Apollon et les muses au sommet du Parnasse".
http://phototheque.univ-paris1.fr/app/p … ure+murale
Point d'Amphitrite là-dedans.
Chez Asimov, on trouve Andrew dans "L'Homme bicentenaire" et R. Daneel Olivaw, qu'on retrouve dans divers romans et qui dure 20.000 ans.
Un soupçon trop grand
Un tantinet trop chaud
(Je découvre un usage vieilli de tantinet : "donnez-moi un tantinet de pain", dit l'Académie)
Pour plus de clarté encore, vous pourriez séparer la partie historique de la partie étymologique, qui se rapporte à l'ensemble de l'article.
b]Étymol. et Hist.[/b]
3. 1870 sports (Almanach Vélocipède Illustré ds Petiot).Terme d'arg. des joueurs dont le développement sém. est obsc., peut-être une création métaph. à partir de poule1* (v. E. G. Lindfors-Nordin ds Z. fr. Spr. Lit. t. 62, pp. 36-39).
Ici il ne faut pas oublier la jupe ou les jupes: si c'est les jupes, c'est leurs mères, et de là il est logique d'opter pour leurs têtes.
Le choix de tout mettre au singulier convient en effet aussi bien:
... et cachent leur tête dans la jupe de leur mère.
Notons tout de même que toute mère a cette caractéristique bien connue d'avoir plusieurs jupes, surtout s'il s'agit de s'y cacher ou d'y rester... L'enfant qui reste dans la jupe de sa mère est assez rare mais celui qui reste dans les jupes de la sienne s'appelle souvent Tanguy.
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