Bonjour,
Voir à ce sujet le site internet qui apporte une réponse à votre question : "http://www.lefigaro.fr/langue-francaise … -faute.php"
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Bonjour,
Voir à ce sujet le site internet qui apporte une réponse à votre question : "http://www.lefigaro.fr/langue-francaise … -faute.php"
Auparavant je n'avais pas regardé la date et j'avais donné suite à une phrase de 2016.
Aujourd'hui je pense donner une suite correcte : "Non, c'est toi le chat qui a croqué la petite souris ! pas besoin de te cacher."
J'aime bien le quatrain de Voltaire que je me récite de temps en temps.
Quant au vôtre , loin de "parler pour ne rien dire" il en dit plus long qu'il ne paraît.
En effet, il serait intéressant de savoir quel est le serpent concerné, le sens que l'on doit donner au verbe "déboutonner" et bien sûr, quel est le train auquel est accroché le wagon que vous évoquez dans votre quatrain. D'autres questions pourraient encore se poser en parlant pour ne rien dire.
Clapet ouvert ou bien fermé est bien utile au robinet.
J'ai répondu à ce questionnaire et j'ai pu constater une fois de plus que nous utilisons quasiment toujours le même vocabulaire avec des mots très simples.
Voici une autre origine du mot - Voir l'ouvrage « Œuvres de Rabelais/Tome 2 avec des remarques historiques et critiques de La Duchat & Le Motteux ; publiée par Paul Favre,…1875-1880 »
« L’huille de Maguelet. Si, comme on le prétend, c’est le fruit de l’Aubépine vulgairement appelé Senelles, dont les noyaux servent à faire l’huile nommée de maguelet, il y a bien de l’apparence que ce mot vient de l’Espagnol majuelas qui signifie ce même fruit. Les mots corrompus de l’Espagnol sont fréquents à Montpellier, à cause des Rois de Majorque de la Maison d’Aragon qui ont été longtemps Seigneurs de cette ville. Si aussi, comme il semble qu’on puisse l’inférer de ce que dit ici Rabelais, cette huile se tire indifféremment des amandes de toutes sortes de petits noyaux, Maguelet pourra bien avoir été fait d’amygdaletum qu’on aura dit par métaplasme pour amygda. De Magdelaine on a fait de même Maguelone, & Maguelon, comme on veut que s’apppelait le château de la Madelaine. »
Voir aussi le journal "LE MATIN du 29 janvier 1908 - page 1 " où figure cette expression : "Allume ta pipe à la pompe" disent couramment les titis parisiens, pour narguer leurs camarades présomptueux."
Bonjour, je reviens sur le forum après un long temps et voyant votre question j'ai recherché:
dans le journal LA LANTERNE du 21 mars 1899 - page 2 il y a un texte intitulé "MANOEUVRE DÉLOYALE"
où un ivrogne essaie d'allumer sa pipe avec des allumettes. Il ne réussit pas. Un garçon de café arrive alors dans la cour et remplit une carafe à la pompe. Un ami de l'ivrogne lui crie alors par trois fois "Allume donc ta pipe à la pompe !..."
La réponse à votre question est dans les exemples donnés par l'auteur de l'article :
"Et c'est sans parler de la véritable usine à gaz imaginée dans ce petit cerveau, avec intervention du juge et tutti quanti.
Exemples : «les plateformes se verront imposer des obligations de transparence accrue sur tous les contenus sponsorisés afin de rendre publiques l'identité des annonceurs et de ceux qui les contrôlent mais aussi de limiter les montants consacrés à ces contenus» ; «en cas de propagation d'une fausse nouvelle, il sera possible de saisir le juge au travers d'une nouvelle action en référé qui permettra, le cas échéant, de supprimer le contenu mis en cause, de déréférencer le site, de fermer le compte utilisateur, voire de bloquer l'accès au site Internet.» ; ou enfin : «le CSA pourra lutter contre toute tentative de déstabilisation par les services contrôlés ou influencés par des États étrangers», ce qui pourra passer par «la suspension ou l'annulation» de leurs conventions avec le régulateur !
Inutile de vous demander qui définira ce qu'est ou n'est pas une fausse nouvelle ! Sans plaisanter, l'heure est grave, chers amis démocrates.
Qui peut encore croire que cet individu est un libéral ?"
Bonjour,
Je reviens sur le Forum ce jour et je lis les messages laissés sans réponse dont le vôtre. Il est dommage que personne n'ait eu la gentillesse de répondre à votre message mais j'espère que vous avez cependant envoyé votre mail et obtenu le stage pour lequel vous vous portiez alors candidate. Si j'avais eu l'occasion de répondre à votre message je vous aurais suggéré d'apporter quelques changements dans sa rédaction. Aujourd'hui je ne pense pas que cela vous soit utile. Bonne journée.
Bonjour,
Je reviens sur le Forum ce jour et je vois qu'il n'y a pas eu de réaction écrite à votre message. Aussi, je m'empresse de vous répondre que non seulement "ça valait la peine de verser ça aux archives" (bien qu'il s'agisse d'une coquille) mais que vu sous l'angle des mathématiques , le 32 était bienvenu après le 31 !...
Bonjour,
Dans le contexte d'une narration au passé il est préférable d'écrire la 2ème ou la 3ème phrase.
Comment accorder le participe passé dans la phrase : "Les richesses dont ils se sont [emparer]" et pourquoi ?
(Je me pose la question "De quoi se sont-ils emparé ?" réponse : "Des richesses")
et j'écris : "Les richesses dont ils se sont emparé."
Les siècles qu'a [voir] passer cet homme. (Je me pose la question "Cet homme a vu passer quoi ? " réponse : "Des siècles"
et j'écrit : "Les siècles qu'a vu passer cet homme."
Bonjour,
J'ai fait connaissance du poète Luis de Góngora lorsque je faisais mes études à Toulouse . Merci de nous le remettre en mémoire. Je vais m'empresser de revoir ses oeuvres.
Bonjour,
Sans m'attarder sur la rédaction de votre proposition je vous dirai que chaque être réagit à sa façon devant une situation donnée. Nous devons accepter les émotions que nous éprouvons de même que nous ne pouvons qu'accepter celles des autres.
Par exemple, face à une personne qui a eu le bras coupé par une tronçonneuse vous pouvez tout aussi bien être pris de panique, vomir, pleurer ou comme c'est le cas des secouristes chevronnés, rester de marbre extérieurement tout en accomplissant les gestes de premiers secours avant la conduite à l'hôpital.
Autre exemple, vous pouvez ne ressentir aucune émotion particulière devant une oeuvre d'art alors que vous allez être saisi d'une intense émotion devant une autre.
ACASIO
Bonjour Husskar,
Revenant sur ce site sur lequel je ne reviens que de temps en temps, j'ai pris connaissance de votre lettre de motivation et je l'ai trouvée excellente. J'espère que vous avez trouvé à ce jour un poste de travail à votre convenance.
ACASIO
Bonjour,
YOOMI se demande simplement pourquoi on écrit "je ,soussigné," au lieu de"je soussigne".
Si elle souhaite utiliser la 2ème formule elle peut commencer son attestation par les mots : "Moi, YOOMI, je soussigne que..."
Si elle écrit : "Je, soussignée, YOOMI, .... atteste que...".
Il m'est arrivé de rédiger des certificats ou des attestations lorsque j'étais en activité commençant par : "Nous, UNTEL, Maire de la commune de..., soussignons que ce jour , ..., avons fait le constat suivant :..."
Bonjour à tous,
je retiens pour ma part une des suggestions de DB :
"Nous tenons à préciser qu’à ce jour, nous n’avons toujours pas reçu de convocation de la part de X, ni de la part de Y."
Bonjour,
Je me permets sans vouloir vexer personne de préciser que le "TLF" indiqué par M. Pierre Enckell correspond à "Trésor de la Langue Française", site Internet que je n'oublierai pas de consulter à partir d'aujourd'hui.
Bonjour,
Juste une précision: les gnous ne transpirent pas, ils halètent. Il faut peut-être lire "transpirer comme un boeuf (ou comme un taureau)". Pour celui qui l'emploie, "gnou" fait moins commun que "boeuf" et donne du piquant à son expression .
Bonjour,
Tout d'abord (Réf. Petit Larousse) tous les termes commençant par "multi" sont d'un seul tenant sans trait d'union.
Quant aux accords éventuels, je lis dans mon Larousse que l'adjectif "multifonction" peut se mettre indifféremment au singulier ou au pluriel lorsqu'on qualifie un appareil possédant cette qualité ou ces qualités; que le terme "multisupport" est un adjectif invariable et un nom masculin.
Sauf exceptions, les termes débutant par "multi", adjectifs ou noms, doivent suivre les règles d'accord que vous connaissez : par exemple, "un accord multlatéral" " des accords multilatéraux".
Pour répondre à votre question, bien que l'adjectif "multisalle" peut aussi être écrit sous la forme du pluriel : "un cinéma multisalle" ou "un cinéma multisalles", je vous répondrai que je préfèrerai écrire "un tournoi multitables" (ce mot n'est pas dans mon Larousse).
Bonjour,
En disant "je combattions" le soldat raconte une action générale. S'il parlait seulement de lui, il dirait "je combattais" : c'est du langage populaire. De plus "combattions" rime avec "nation" et c'est peut-être une des raisons de cette forme de conjugaison.
Une chanson me revient en tête où un petit berger disait " Quand j'étions chez mon père apprenti pastouriau..." langage d'autrefois.
(Dans "Google books" voir "Patois de la Saintonge,... de A. Boucherie - 1865 - Page 108)
Bonjour,
Dans un livre de 1969 traitant de "Chimie analytique", on peut lire à la page 532 le texte suivant : "Au lieu d'ajouter un diluant, on peut également ajouter un tiers composant très absorbant tant à l'échantillon qu'au standard supposés initialement homogènes."
Dans le "Journal de chimie physique et de physico-chimie biologique de 1979 de la Société de chimie physique " on relève cet extrait :"Elle consiste à utiliser un tiers composant et à extrapoler la courbe des variations à la concentration nulle de ce composant. Ainsi nous avons mesuré les déplacements chimiques de l'alcool à une concentration de 2 % dans des solutions ...".
J'ai trouvé la formule "composant tiers" dans un ouvrage traitant d'informatique et plus spécialement des paramètres d'Internet Explorer : "...de telle sorte que les utilisateurs n'auront pas la possibilité d'altérer cette valeur ainsi que les paramètres de mise à jour d'Internet Explorer, ses composants et aussi les composants tiers." On parle aussi de "logiciels tiers".
Voilà ! Personnellement j'utiliserai la formule "tiers composant" qui me paraît beaucoup plus française que "composant tiers".
Bonjour,
Si l'on applique la règle de grammaire correspondant au cas souligné, on doit accorder le participe passé du verbe "regarder" avec le complément d'objet direct " toi " mis pour la personne de sexe féminin :
"Le participe passé employé avec "avoir" et suivi d'un infinitif s'accorde si le C.O.D. placé avant fait l'action exprimée par l'infinitif. On dit aussi qu'il est sujet de l'infinitif."
"Je t'ai regardée me parler." La personne de sexe féminin fait l'action de parler : sens actif d'où accord.
Bonjour,
Pour ma part, la phrase n'étant pas terminée (et elle doit obligatoirement appeler une action) , j'écrirai "incité". Pas d'accord. Si vous utilisiez le verbe "exciter", vous pourriez écrire indifféremment : "excitées" (les générations de collégiens) ou "excités" (les collégiens).
Pour mémoire: Le participe passé conjugué avec l'auxiliaire "avoir" s'accorde en genre et en nombre quand son COD le précède.
Bonjour,
Vos réflexions linguistiques m'ont rappelé le nom d’un sultan de Djokdjokarta (île de Java) qui s’écrit en un seul mot . Il est recommandé, pour le lire, de prendre son souffle avant !
Hamannkœboéouonocénopaïtinngalgonngabggourrachmannsaïdinnpanotagomode
(En privé on l’appelait « Biquet ! »).
Bonjour,
Remettons les pendules à l'heure : Kenza-Farah demandait une définition compréhensible du mot "heure". C'est vrai qu'il y a des heures qui nous semblent plus longues que les autres. Il y a aussi des secondes et des minutes qui ressemblent à des heures. N'empêche que l'heure est définie comme étant "l' unité de temps (symbole : h) valant 3600 secondes, soit 60 minutes, contenue vingt-quatre fois dans un jour." Peu importe le dictionnaire : toutes les définitions sont bonnes du moment qu'elles s'accordent entre elles.
Bonjour,
OBFUSQUER est un terme d'origine française : obscurcir
"Obfusquer la lumière du ciel c'est empêcher d'être vu en obscurcissant.".
Le terme "obfusquer" était employé par François RABELAIS, dans le sens d'obscurcir (...qui peussent vos espritz animaulx troubler et obfusquer.).
De même , je l'ai relevé aussi dans un ouvrage documentaire français de 1861 - Bulletin du bibliophile et du bibliothécaire- (...,combien que ceux de la nouvelle religion ayent quelque lumière de raison , qui les vient obfusquer et obnubiler...) .
Bonjour,
Je retiens ces deux phrases :
- "cette lettre partira avec la levée de 16h00";
- "cette lettre partira à la levée de 16h00".
Bonjour,
Pour rester dans le domaine de la question qui a été posée par GIVAN "Existe-t-il une différence entre "activer" et "actionner"?
je pense que la phrase suivante permet d'appréhender cette différence
"Le forgeron actionne le soufflet pour activer le feu."
Bonjour,
C'est vrai que lorsqu'on cherche la définition d'un mot dans un dictionnaire on doit très souvent pour en comprendre vraiment le sens, chercher la définition des mots servant à la définition du premier mot. Ainsi pour le mot "heure" nous sommes renvoyés notamment à la définition du mot "jour" dont l'heure est la vingt-quatrième partie.
Lisant votre question je me suis empressé de consulter le "Petit Larousse grand format - Édition 2004" où j'ai relevé en première définition , celle-ci :
"Heure : Unité de temps (symbole : h) valant 3600 secondes, soit 60 minutes, contenue vingt-quatre fois dans un jour."
Le jour dont il s'agit est "le jour solaire moyen qui est la durée moyenne, constante par définition, d'un jour solaire vrai , fixée à 24 heures, et commençant à midi." OU "le jour civil qui est le jour moyen dont la durée est de 24 heures exactement et commençant à minuit." etc.
Bonjour DeSICA,
le nom de la figure de style que vous recherchez n'est-il pas
"la prosopopée" (qui signifie : faire une personne de ce qui n'en est pas une) ?
Bonjour,
Apparemment vous écrivez en français. Vous devez aussi certainement le parler. Il faudrait que vous précisiez en quoi nous pourrions vous aider.
Bonjour,
Oui, l'emploi de l'imparfait de simultanéité pour le verbe "annoncer" dans la phrase en question, est très justifié. L'alternance "passé simple" et "imparfait" est inhérente à la narration de faits au passé : cela produit du relief.
Bonjour,
À mon avis, l'emploi de la proposition relative est préférable à celui du participe présent qui alourdit la phrase.
Bonjour,
Puisque vous nous le demandez, je me permets de vous signaler qu'il manque un "ne" avant "vous inquiétez pas" , un trait d'union entre "pourriez" et "vous", un "ne" avant "arrive" (je n'arrive pas).
Exemples d'emploi de l'expression "mine de rien" :
"Un conseil : en visitant un nouveau logement, passez, mine de rien, la main sur les murs pour déceler d'éventuelles traces d'humidité ." (sans en avoir l'air pour que le propriétaire ne puisse pas deviner votre intention).
"Mine de rien cet homme est un bon travailleur." (ce qui suppose qu'on pourrait douter du contraire à la première impression).
Bonjour,
Pour ma part, s'il m'arrivait de prononcer l'expression posant dilemme à Muriel je la placerais dans une phrase où les propositions "à" et "de" seraient à mon sens employées correctement :
1 - "J'ai envie de casser la gueule à quelqu'un." (n'importe qui à mon avis ce qui permettra à notre ami de se défouler).
2 - "J'ai envie de casser la gueule de quelqu'un." ("Ah! bon, de qui ?)
Il vaut mieux essayer de ne pas prononcer ces phrases en public car on ne sait jamais sur qui on tombe !
Bonjour,
S'agirait-il du verbe "INTERPOLER" ?
Le verbe DIGRESSER que vous citez peut être utilisé puisque "passer du coq à l'âne" est une digression mais le discours est rompu et en général on ne revient pas à l'idée principale lorsqu'on saute du COQ à l'ÂNE puisqu'on bifurque complètement.
Le verbe S'ÉGARER peut être utilisé dans le cas où le discours devient complètement illogique. J'ai pour habitude de passer du coq à l'âne mais je ne m'égare pas. Je sais d'où je suis parti et c'est pas association d'idées que je saute d'un sujet à l'autre. Il y a tout de même un fil conducteur.
Le verbe DÉRAILLER peut être utilisé surtout lorsque l'interlocuteur pratiquant le saut du coq à l'âne ne sait plus où il en est et de quoi il parlait.
Je me permets de recopier ci-après la définition de l'expression en question recueillie dans l'ouvrage "Dictionnaire étymologique, historique, et anecdotique des proverbes et des locutions proverbiales de la langue française Par Pierre-Marie Quitard - 1842 – Page 254"
COQ-À-L’ÂNE . — Faire des coq-à-l'âne.
C'est dire des choses sans suite et sans liaison, comme ferait un discoureur qui, par un brusque changement de propos, passerait du coq à l'âne. — Ménage prétend que Marot a inventé le terme de coq-à-l'âne, en intitulant ainsi une de ses épîtres. Mais on voit dans l'Art poétique français, de Thomas Sibilet, contemporain de Marot, que nos anciens poëtes appelaient coc-à-l’asne certaine espèce de satire, pour la variété des non-cohérents propos que les François expriment par le proverbe du SAULT DU COQ A L’ASNE.
Il y a une fable très ancienne dans laquelle figure un coq raisonnant avec un âne. Comme le dialogue, dans cette pièce burlesque, n'a pas le sens commun, il est probable que c'est à cause de cela qu'on a désigné un raisonnement absurde par le mot composé coq-à-l'âne, et qu'on a dit faire des coq-à-l'âne et sauter du coq à l'âne.
Il y a parmi les chansons de Collé un coq-à-l'âne en proverbes, dont voici le premier couplet : Trop parler nuit, Trop gratter cuit, Trop manger n'est pas sage. A barbon gris Jeune souris. L'amour est de tout âge. Enfants d'Paris, quel temps fait-il ? Il pleut là bas, il neige ici. Pendant la nuit Tous chats sont gris. Pour faire route sûre, Si l'amour va Cahin-caha, Ménage ta monture.".
Bonjour,
Veuillez tout d'abord pardonner la faute de frappe que j'ai commise (mort à la place de mot) , ce n'est pas la première et ce ne sera pas la dernière.
En ce qui concerne la culture des typographes je ne la mets pas en cause car ils étaient certainement plus sérieux que certains en activité de nos jours si l'on considère les multiples fautes d'orthographe relevées dans les écrits périodiques et autres : drôles de coquilles !.
Il est indéniable que le mot VACARNE était utilisé d'une façon incorrecte à la place du mot VACARME et que les typographes (qui peut-être eux-mêmes commettaient cette erreur de langage) se contentaient de poser pour l'impression les lettres qu'ils lisaient.
Bonjour,
L'extrait du Tartuffe que j'ai recopié a été édité avec le mort "vacarne" en 1866. Je prends donc note que dans l'édition de 1669 Molière a écrit "vacarme".
J'ai retrouvé le mot "vacarne" à la place de "vacarme" dans différents autres textes. Ce n'est pas à proprement parler ce qu'on nomme "coquille". Cette confusion vient plutôt d'une façon de parler incorrecte.
VOIR LES DEUX TEXTES CI-APRÈS :
1 - Dans l'ouvrage "Origine et formation de la langue française, Volume 2 Par A. de Chevallet - 1857 - Page 84" nous lisons :
"A Paris et dans ses environs, le peuple dit:
Selon les Omnibus du langage : Chat Angola , pour chat angora ; FIÈVRE CÉLÉBRALE , pour fièvre cérébrale; Colidor, pour corridor; ESQUILANCIE , pour esquinancie; ALLER À LA BONNE FLANQUETTE , pour à la bonne franquette; PANTOMINE , pour pantomime; CRÉZANE , pour crassane; VACARNE , pour vacarme; VIRGOUREUSE , pour virgouleuse ; CANEÇON , pour caleçon; MARIGOULE , pour barigoule.".
2 - Dans l'ouvrage "Les omnibus du langage: corrigé des locutions vicieuses employées ...Par David Eugène Levi-Alvarès - 1843 - ¨Page 171" nous lisons :
"VACARME, grand bruit de gens qui se querellent ou se battent. — On a fait un grand Vacarme. —
VACARNE n'est pas français.".
Bonjour,
En cherchant bien c'est sûr que l'on trouve mais il faut surtout se poser la bonne question : pourquoi est-on passé de VACARNE à VACARME ?
(Origine : Néerlandais Wacharme ! Pauvre de moi !)
Bonjour,
Il n'y a pas que vous qui avez utilisé le mot "VACARNE" à la place de "VACARME" . Voir les textes ci-dessous .
Extrait de TARTUFFE de MOLIÈRE - Acte 1 - Scène 1
DORINE
Oui ; mais pourquoi, surtout depuis un certain temps,
Ne saurait-il souffrir qu'aucun hante céans?
En quoi blesse le ciel une visite honnête,
Pour en faire un vacarne à nous rompre la tête?
Veut-on que là-dessus je m'explique entre nous?...
( montrant Elmire. )
Je crois que de madame il est, ma foi, jaloux.
Extrait de l'ouvrage "Romans et nouvelles Par Stendhal,Romain Colomb - 1856 - (Page 7)
"Les jeunes gens fument, boivent, se disputent, jouent aux cartes, crient, gesticulent, font un vacarne épouvantable. Tout cela n'amuse pas Perlin. Il prie Magister de le conduire à la meilleure auberge de la commune. Là, il espère respirer dans une atmosphère moins chargée, et pouvoir honnêtement remercier le clerc de sa société."...
Bonjour,
Cocio a écrit : «?J'ai décidé que j'allais laver des paniers [plus tard dans la journée].?»
C'est l'expression d'un futur proche , temps verbal qui permet d'indiquer que l'action du verbe aura lieu dans un futur presque immédiat ou pas très lointain.
La conjugaison utilisée est donc correcte :
«?J'ai décidé que j'allais laver des paniers plus tard dans la journée.?»
Si on écrivait : «?J'ai décidé que j'allais laver des paniers." sans préciser le moment de l'action cela supposerait une action immédiate .
Bonjour,
Suffixes péjoratifs :
ace populace âtre marâtre
aille antiquaille aud lourdaud
ailleur écrivailleur ouillet grassouilet
aillon avocaillon esque livresque
ard chauffard eux grincheux
asse paperasse ichon maigrichon
asson molasson inet blondinet
assier écrivassier
Le suffixe issime bien que considéré comme suffixe mélioratif a souvent une valeur ironique ou péjorative.
Je ne connais pas à part issime d'autre suffixe mélioratif ou peut-être ne se présentent-ils pas à mon esprit. Par contre il y a des préfixes mélioratifs tels que archi (archicélèbre).
Bonjour Christian,
J'espère que vous avez terminé votre poème pour votre "douce". Si les mots que vous écrivez viennent du coeur peu importe leur place dans la phrase car , comme vous le savez, amour n'a pas d'oreilles.
Bonjour Sylvain,
Votre idée d'écrire chaque mot sur un papier puis de mettre tous ces papiers dans un chapeau et tirer au sort l’ordre des mots dans le vers me paraît excellente car elle nous invite à rêver ce qui est le propre du poète. Avez-vous essayé ? Le hasard fait parfois bien les choses et nous laisse surpris.
Levraut - lièvre - hase - bouquin (mâle adulte et vieux)
Agneau - bélier - brebis (mouton = bélier castré)
Porcelet - verrat - truie (cochon = porc châtré)
Bonjour,
À la lecture de différents ouvrages on peut s'apercevoir qu'Anaïs et sa soeur ont toutes deux raison et qu'on peut écrire indifféremment "Les éléments cités seront donnés à titre d'exemples." ou "Les éléments cités seront donnés à titre d'exemple."
En effet, même si les exemples donnés par un auteur sont au moins de deux nous pouvons lire souvent "À titre d'exemple" au singulier. (S'il n'y a qu'un exemple, la question ne se pose pas).
JE CITE :
"Les mots que l'on cite à titre d'exemples sont écrits en italique..."
(In "Rédiger, présenter, composer : l'art du rapport et du mémoire par Guy Jucquois" - 1996)
__________________________________________________
"Wailly, qui a construit une théorie , fuyante et incertaine, d'après laquelle le sens figuré précède, et le sens propre suit, cite à titre d'exemple - les exemples de Wailly sont choisis pour les besoins de la cause - fruit mûr et mûre délibération."
(In "Leçons de linguistique : 1946-1947. Grammaire particulière de français et...par Gustave Guillaume" - 1989)
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"Nous nous bornons à signaler, à titre d'exemple, quelques-unes des particularités les plus saillantes, ..."
(In "Nouveau recueil complet des fabliaux (NRCF), volume 2 par Willem Noomen, Nico van den Boogaard" - 1984)
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Bonjour,
Vous dites PIMPOUM que vous apprenez à lire à votre fille avec une méthode syllabique et que vous rencontrez la difficulté que vous exposez en prenant comme exemple le mot "reste".
J'ai donc consulté la méthode syllabique que j'ai toujours près de moi, avec laquelle mes garçons ont appris à lire et que j'ai rachetée pour mes petits-fils ainsi que pour d'autres petits enfants en dernière section de maternelle ou entrant au CP : c'est la "MÉTHODE BOSCHER ou la Journée des Tout Petits" dont vous avez dû certainement entendre parler .
Page 42 de l'édition que j'ai en mains les sons " ec - el - er et es " sont étudiés. L'enfant sachant lire la lettre "r " apprise en page 9 peut lire alors le son "r + es" , par exemple, qui se lit d'une seule émission de voix "res" . Le mot "reste" a donc deux syllabes "res + te" : l'enfant n'a donc aucune difficulté à lire les mots contenant les sons étudiés jusqu'à la page 42 incluse.
Bonjour,
REGINA a raison quand elle écrit : "Si un grand pourcentage de la population francophone adoptait spontanément, sans y réfléchir, le pluriel locals , peu importe alors ce que dirait l'Académie laquelle finirait au bout d'un certain temps par entériner une évolution passée dans l'usage." .
Voici un extrait de l'ouvrage "La grammaire selon l'Académie Par B. Bonneau" écrit en 1842 - PAGE 18
"4° Les noms terminés en al ont leur pluriel en aux : général, tribunal, journal, cheval, maréchal, bocal, local, etc., font donc, généraux, tribunaux, journaux, chevaux, maréchaux, bocaux, locaux (1).
Il n'y a que trois exceptions : bal, carnaval et régal, dont le pluriel est bals, carnavals et régals.
(1) On trouve dans quelques dictionnaires, des bocals, des locals ; mais l'Académie dit des bocaux, des locaux : on doit la féliciter de diminuer ainsi le nombre des exceptions.". (FIN DE L'EXTRAIT)
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