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forum abclf » Messages de Perkele

Sujets de Perkele Recherche définie par l’utilisateur

Messages trouvés [ 51 à 100 sur 1 380 ]

Je pourrais dire aussi qu'il a "hérité un funeste destin", mais c'est sans doute trop littéraire... "Il a tiré le mauvais numéro à la naissance", peut-être ?

À mon avis, une "personne qui s'est trompée d'époque" n'est pas forcément malchanceuse, elle peut être simplement décalée, bizarre, sans subir constamment des échecs. La "mauvaise étoile" va mieux avec la malchance.

53

(12 réponses, dans Pratiques linguistiques)

Certains prétendent le contraire sur le fait qu'"entendre" signifie aussi "comprendre".

Une petite page sur le fourgon cellulaire.

Le véhicule que montre Orientale ressemble assez à un véhicule frigorifique... ;D

Faut-il lui trouver un nom spécial (frigo, glacière ?) ou faut-il fournir le terme qui est employé couramment en France pour désigner un véhicule qui transporte les prisonniers ?

Dans le deuxième cas, la réponse a été donnée dès le début.

Un grand boulevard ou une grand' rue sont larges et importants. Ils ne sont pas forcément longs.

Bookish Prat a écrit:
Perkele a écrit:

Dans l'armée on trouve "bien vouloir" (qui est un ordre) et "vouloir bien" (qui est une sollicitation).

Chère Perkele, le parler militaire français ne m'est pas familier et je ne comprends pas le  changement de sens de l'expression selon la place de « bien ». Pourriez-vous l'illustrer par des exemples ?


- Bien vouloir (BV) fermer la porte derrière soi.

- J'ai l'honneur de vous demander de vouloir bien m'accorder une permission.

Mais dans le civil tout cela est bonnet blanc et blanc bonnet.

Dans l'armée on trouve "bien vouloir" (qui est un ordre) et "vouloir bien" (qui est une sollicitation).

"On ne peut que constater" ?
"On est conduit à constater" ?
"Il devient évident que" ou " X devient une évidence" ?
"Il ressort que" ?
"Il s'avère que" ?
...

Abel Boyer a écrit:
glop a écrit:
Perkele a écrit:

Je n'ai jamais lu ni entendu ce mot dans aucune région de France.

Moillier, oissour; tout est ci dessous, page 235.

http://books.google.fr/books?id=smaQOEh … mp;f=false

Oui, c'est de l'ancien français, bien présent et avec de nombreuses variantes dans Godefroy. Quel que soit l'âge de Perkele, elle est sûrement trop jeune pour avoir entendu autour d'elle parler l'ancien français !

Très certainement, M'sieu Boyer, et merci de le souligner.
Le message de (pas) Glop laissait entendre qu'il avait rencontré ce mot récemment dans la vie de tous les jours...

glop a écrit:
Charles a écrit:

Bonjour,
Doit-on dire "Ma femme" ou "Mon épouse".
Dans quelles circonstances s'utilise l'une ou l'autre de ces expressions.
Un homme dit souvent "ma femme" mais une femme ne dit jamais "mon homme" sauf dans certains milieu; elle utilise "mon mari".
Merci de me préciser l'emploi de ces expressions.


Certains parlent de leur « moitié ».
La femme est dans ce cas présentée comme la moitié du couple. Mais, par ailleurs, J’ai récemment rencontré le mot « molier » qui peut s’écrire « moillier », c’est pourquoi je m’interroge.
Le mot « moillier » est-il devenu « moitié », dans l’expression « Je te présente ma moitié », tout comme les pâmes sont devenues les pommes dans l’expression « tomber dans les pommes » ?

Je n'ai jamais lu ni entendu ce mot dans aucune région de France.

Pas de témoignage direct mais un lien

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(23 réponses, dans Pratiques linguistiques)

glop a écrit:

Oui, mais ce C est suivit par un E. Il échappe donc à la prononciation [k], même sans cédille.

Précisément, je ne vois pas d'où peut venir cette cédille : gars / garçon / garce / garcette.

64

(23 réponses, dans Pratiques linguistiques)

Le C n'a-t-il pas pris la cédille au seul gré des prononciations (agacer/agaçant ; amorcer/amorçage...) ?

Il y a bien des "filles à soldats"... sans doutes des prostituées pas chères pour des clients à faible revenus.

Piotr a écrit:

Le "bachenou" est-il vraiment un mot d'argot auvergnat?
Ou n'est-ce qu'un joli néologisme transgénérationnel ?

      Il faut demander à Stella.

(j'ai pas pu résister au plaisir...)

Ça ne nous rajeunit pas !

Vous avez de la chance d'avoir à décliner des propositions d'embauche !

68

(3 réponses, dans Réflexions linguistiques)

Et pourquoi se contenter de translittérer quand ça ne correspond pas à la prononciation (Ex Potemkine) ?

69

(3 réponses, dans Réflexions linguistiques)

1. Il s'agit d'Alexandre Ivanovitch Tolstoï.

2. "Lutter avec" = "lutter contre". Comme "se battre avec" quelqu'un.

Perkele a écrit:

Organisme
Titre Prénom Nom
666, rue Méphisto-Félès
11111 LANFERT

Chaque information est séparée par une virgule :

Organisme, Titre Prénom Nom, 666, rue Méphisto-Félès, 11111 LANFERT

Un nom de personne servant de nom de rue prend un trait d'union entre le prénom et le nom.

Organisme
Titre Prénom Nom
666, rue Méphisto-Félès
11111 LANFERT

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(22 réponses, dans Écriture et langue française)

Argyre a écrit:

suite à la note relative aux nouvelles horaires, j'ai l'honneur de vous demander bien vouloir ajouter monsieur Ribou et Matouri à la liste des agents bénéficiant de la prime.

Si je puis me permettre, « suite à » me semble bien peu grammatical, bien que ce soit devenu courant, bref, ça a toutes les allures du solécisme. Il me semble donc que « d'après » ou même « selon la note relative » ou à la rigueur « en vertu de », « conformément à » seraient bien plus heureux. L'expression non fautive serait de toute façon « à la suite de », qui ne me paraît pas s'imposer ici.

"En application de..."

Rien n'empêche d'imaginer un monde où hier est dans le futur.

Il ne s'agit donc pas purement de grammaire.

C'est parce qu'à l'heure actuelle nous employons souvent un passé composé là où le sens voudrait un passé simple (dont nous n'aimons plus la sonorité).

75

(22 réponses, dans Écriture et langue française)

"J'ai l'honneur" est une formule qui était indispensable dans les lettres administratives en forme administratives (lettres qui ne quittent pas l'administration) pour y compenser l'absence de formule d'appel et de formule de courtoisie.

Elle tombe en désuétude en dehors de quelques administrations conservatrices.

Sans doute pour une oeuvre que l'on a épluchée puis mondée pour la rafraîchir par l'ajout de substances nouvelles soigneusement blutées afin que les lecteurs la goûtent avec délectation.

pétrir, brasser, malaxer, triturer ?

relever ?

"pourlécher" ?

79

(16 réponses, dans Écriture et langue française)

Pour ma part, j'écrirais "Nous avons demandé à monsieur le maire". Je ne vois pas, en français moderne, de cas où cette tournure est suivie du patronyme.

80

(16 réponses, dans Écriture et langue française)

Il suffit de suivre le lien.

En formule d'appel d'une lettre on écrira "Monsieur le Maire".

Dans un texte on écrira "le maire de Trifouillis-les-Oies a déclaré que" ou "monsieur Tartampion a déclaré que", voire "monsieur Tartampion, maire de Trifouillis, a déclaré que".

81

(16 réponses, dans Écriture et langue française)

Quand on ne s'adresse pas à la personne, pas de majuscule à son titre.

82

(27 réponses, dans Pratiques linguistiques)

Ce que je connais de la mode de Bretagne, ce sont les oncles qui sont en fait les cousins germains des parents.

83

(27 réponses, dans Pratiques linguistiques)

On peut également consulter le dictionnaire de droit canon.

Cela dit, je n'ai jamais rencontré, lors de recherches généalogiques, de termes français spécifiques à la famille de chacun des époux comme c'est le cas dans d'autres langues. Mais les membres de la famille de l'un devenaient des parents au même degré pour l'autre.

84

(27 réponses, dans Pratiques linguistiques)

S'allier avec une famille établissait des liens d'affinité qui calquaient exactement les mêmes degrés que la consanguinité mais produisaient des empêchements au mariage différents de ceux produits par des liens consanguins car le lien d'affinité ne se répercute pas indéfiniment comme le fait le lien consanguin. Autrement dit, je n'ai aucun empêchement avec le parent de l'allié qui crée l'alliance, e.g. les parents, oncles ou tantes, frères ou soeurs, enfants, neveux ou nièces de mon gendre ou de ma bru.

85

(27 réponses, dans Pratiques linguistiques)

Mes grands-parents paternels et maternels se présentaient comme beaux-frères et belles-soeurs.

Mike01 a écrit:

Pour en revenir à la concordance des temps, que pensez-vous de Après qu’on eut identifié cette immatriculation, des recoupements ont permis de supposer que ce véhicule Fiat avait quelque chose à voir avec le vol déclaré par Ferrer. On le recherchait donc. Nous en étions là ?


Selon moi :

Après qu’on eut identifié cette immatriculation, des recoupements ont permis (le passé composé exprime une action passée dont le résultat se répercute sur le présent ; les actions suivantes doivent donc être au présent) ... On le recherche donc. Nous en sommes là.

Pour ma part, je n'emploie pas le subjonctif derrière "le fait que"... et de toutes façons, j'évite cette tournure.

Charles a écrit:

Bonjour,
Doit-on dire "Ma femme" ou "Mon épouse".
Dans quelles circonstances s'utilise l'une ou l'autre de ces expressions.
Un homme dit souvent "ma femme" mais une femme ne dit jamais "mon homme" sauf dans certains milieu; elle utilise "mon mari".
Merci de me préciser l'emploi de ces expressions.

Selon les principes enseignés par ma grand-mère, en société on emploie "ma femme" et "mon mari". Épouse et époux seraient du style juridique et administratif.

Elle rajoutait que c'était les ignorants propulsés dans un milieu qui n'était pas le leur qui croyaient bien faire, corrigeant leur habitude et disant "mon époux", "mon épouse".

coco47 a écrit:

Votre exemple tiré de La Fontaine est truqué, puisqu'il illustre le passage au présent de narration, qui procède d'une autre logique.

Truqué ?

coco47 a écrit:
Perkele a écrit:
Mike01 a écrit:

* Après qu’on avait identifié cette immatriculation, des recoupements permettaient de supposer que ce véhicule Fiat avait quelque chose à voir avec le vol déclaré par Ferrer. On le recherchait donc. Nous en étions là.

* Après qu’on eut identifié cette immatriculation, des recoupements permettaient de supposer que ce véhicule Fiat avait quelque chose à voir avec le vol déclaré par Ferrer. On le recherchait donc. Nous en étions là.

Le passé antérieur de la seconde phrase convient mieux, selon moi, pour exprimer l'action brève qui a eu lieu au cours du déroulement des faits passés rapportés.

D'accord, mais si on veut exprimer la brièveté, il faut aussi écrire permirent de supposer et On le rechercha donc. Ce qui a en outre le mérite de respecter la concordance des temps.

Dans une série d'action toutes ne sont pas brèves. La concordance des temps c'est employer le temps et le mode qui conviennent pour chacun des verbes.

Un agneau se désaltérait (Impf) dans le courant d'une onde pure. Un loup survient(prés) à jeun qui cherchait aventure et que la faim avait en ce lieu attiré(pqf).

Employer le subjonctif après "après que" c'est perdre totalement de vue ce que représentent les modes dans le système verbal.

Autant annuler tous les modes et ne garder comme temps qu'un passé un présent et un futur. Qu'on se débrouille avec ça pour exprimer des nuances !

Lorsqu'une action est accomplie (puisqu'on se situe après) c'est un fait avéré qui s'exprime par le mode  indicatif. Le subjonctif exprime les actions incertaines.

Mike01 a écrit:

* Après qu’on avait identifié cette immatriculation, des recoupements permettaient de supposer que ce véhicule Fiat avait quelque chose à voir avec le vol déclaré par Ferrer. On le recherchait donc. Nous en étions là.

* Après qu’on eut identifié cette immatriculation, des recoupements permettaient de supposer que ce véhicule Fiat avait quelque chose à voir avec le vol déclaré par Ferrer. On le recherchait donc. Nous en étions là.

Le passé antérieur de la seconde phrase convient mieux, selon moi, pour exprimer l'action brève qui a eu lieu au cours du déroulement des faits passés rapportés.

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(4 réponses, dans Réflexions linguistiques)

Je considérerais, pour ma part qu'il s'agit de compléments de quantité et je n'accorderais pas.

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(5 réponses, dans Pratiques linguistiques)

En référence au sens traditionnel du verbe "acter", je donnerais plutôt le sens de "c'est noté", "c'est enregistré" à cette expression.

Je pense tout à coup au novlangue de Geroge Orwell et à ses niveaux A, B, C...

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(8 réponses, dans Écriture et langue française)

Et le misérabilisme dévalorise votre protégé.

BakaGaijin a écrit:
Perkele a écrit:

Une illustration

Une illustration de quoi ??

Il semblerait qu'un enfant de 3-4-5 ans connaisse en moyenne 1750 mots, par quel miracle cette enfant une fois ado n'en connaitrait-il plus que 400 !!
(cf: http://fr.wiktionary.org/wiki/Wiktionna … s_courants)

Il y a toujours une difference entre le nombre de mots que l'on connait et le nombre de mots que l'on utilise.

Une illustration de ce dont nous sommes en train de parler : le témoignage de quelqu'un qui s'est penché sur la même question.

Qu'on soit d'accord ou non avec ses propos est une autre histoire.

Majesté a écrit:

No comment... smile

Sincèrement je ne comprends pas si vous confirmez, si vous êtes choquée, si vous êtes perplexe, si vous subodorez une manipulation...

Ornithorynque a écrit:

Sait-on combien de mots connaît une personne très cultivée?

Les statistiques annoncent :

- 3000 mots pour une personne peu cultivée

- 10 000 mots pour une personne moyennement cultivée

- 50 000 et au-delà pour une personne cultivée

Majesté a écrit:

Sans commentaire...

Mais encore ?

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