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Le forum d'ABC de la langue française

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forum abclf » Messages de skirlet

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Messages trouvés [ 1 à 50 sur 776 ]

Oui, vous avez raison. Le traducteur doit "s'effacer" pour arriver à faire de bons textes. D'ailleurs, quand les écrivains ou les poètes connus s'essaient dans la traduction, dans la plupart des cas ça donne plutôt une réécriture...

Si je peux me permettre... Être bilingue n'est pas la même chose qu'être traducteur ou interprète. Et le fait que dans une langue il y a des expressions dont la traduction ne vient pas rapidement à l'esprit ou s'avère plus longue ou lourde est parfaitement vrai dans le sens inverse. De plus, chaque langue a ses propres moyens d'expression, et si on traduit par mot-à-mot ou presque, le résultat ne sera pas élégant à coup sûr. Ce qui ne présume en rien de richesse ou pauvreté d'une telle ou telle langue.

Merci beaucoup pour vos réponses ! Pour ma part, je n'adopterai pas cette tournure non plus, il me paraît trop illogique.

Avec le langage de djeuns, j'ai réussi moins bien smile

Ma question est dans le titre, et j'ai besoin de vos lumières smile Quand il s'agit, par exemple, d'un vêtement, les expressions "il me va trop petit" ou "il me va trop grand" sont-elles correctes ? Merci d'avance smile

Je ne sais pas si c'est la bonne section et je demande de déplacer le sujet le cas échéant.

La presse n'en parle pas beaucoup...

Suite à l’ annonce par le ministère de la Culture et de la Communication de deux accords passés pour la numérisation de 70 000 livres et 200 000 vinyles de la Bibliothèque Nationale de France avec les sociétés ProQuest, Believe Digital et Memnon Archiving Services, l’Association des Bibliothécaires de France s’inquiète vivement des conditions d’accès à ces documents numérisés.
La revente durant 10 années de ces contenus numériques, dont une partie importante relève du domaine public, que ce soit par des firmes privées ou par la filiale commerçante de la BNF, sans autre possibilité d’accès gratuit en ligne sur le site des institutions concernées, serait tout à fait contraire à l’égalité d’accès au patrimoine commun.

http://www.abf.asso.fr/pages/interieur- … um=twitter

http://www.savoirscom1.info/2013/01/18/ … 2246093750

Pétition :
http://www.avaaz.org/fr/petition/Non_a_ … e/?cHMTkdb

Jargon, certes, mais qui signifie qu'une tâche est proposée aux jeunes, souvent par petits groupes

La réalité que je constate dans quelques établissements est la suivante : cette fameuse "participation" signifie que le prof râle que les élèves ne participent pas, autrement qit qu'ils ne trépignent la main levée pour dire des trucs. Et comme, malgré les râles, la plupart ne participe toujours pas, on baisse les notes pour inciter à la participation. Sans parler de cette non moins fameuse "note de participation"... Et je constate que le phénomène s'étend : maitenant d'autres profs des autres matières exigent de "participer" en baissant les notes.

Éponymie, comme d'habitude, vous attribuez à l'interlocuteur des mots et des idées qui ne sont pas les siens. Exemple : je n'ai pas dit que le français était mal enseigné aux Français, mais que je constate certaines complications et certaines insuffisances ; d'ailleurs, je ne suis pas la seule à le penser. Et je n'ai rien dit du tout sur la façon d'enseigner le français aux étrangers, je n'ai aucune expérience dans ce domaine, car mes profs n'étaient pas Français. Je ne connais que les livres de G.Mauger que j'apprécie beaucoup. Je n'ai pas dit non plus que vous preniez vos "apprenants" pour des imbéciles.

Il y avait bien autre chose à dire, à documenter et à apprendre pour le plus grand bénéfice de tous.

Faites donc.

Quant à vos avis, émettez-les mais ne vous étonnez pas qu'on y réponde

Au contraire, une ou plusieurs réponses sont les bienvenues. À condition d'éviter les leçons de morale et de ne pas déformer les propos des autres.

Ils peuvent aussi se passer de notions de COD ou de COI.

Ça, c'est dommage, parce que cette distinction est importante et, en plus, existe dans plein d'autres langues. Par contre, la longue liste des espèces de COI n'est pas indispensable.

Et personnellement je suis persuadé que le français est simple à enseigner, parce que simple à apprendre

Moi pas convaincue. Faire comprendre qu'une langue est simple, c'est exposer les élèves aux frustrations : ils peuvent mettre les difficultés qui surgissent inévitablement sur le compte de leurs capacités intellectuelles insuffisantes. Ce qui se passe actuellement avec l'anglais : à force de répéter que cette langue est facile, les gens culpabilisent de ne pas la parler correctement. Ma préférence va vers le dicton "nulla tenaci invia est via", alias "aux persévérants, nulle route n'est impossible".

Alors ce que je retiens de vos commentaires, c'est qu'il n'y a aucune règle concernant la prononciation.

Meuh si. Comment, sinon, apprendre les langues étrangères, par exemple ? La religion actuelle "écoute, et tu l'auras" (la prononciation correcte) est plutôt limitée dans son efficacité : rien ne vaut une bonne explication.

En ce qui concerne l'accent tonique, c'est simple : il y a l'accent tonique du mot (à partir des deux syllabes), puis du groupe de mots, puis d'une phrase.

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(57 réponses, dans Promotion linguistique)

Une langue bricolée sur le tas pour servir à l'intercommunication de locuteurs de diverses origines se nomme selon les lieux sabir, ou lingua franca,  ou pidgin, ou créole.

Et quand elle n'est pas "bricolée sur le tas", c'est une langue construite.

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(57 réponses, dans Promotion linguistique)

Ce que j'ai trouvé :

"On appelle langue vernaculaire la langue locale communément parlée au sein d’une communauté.
Son sens s’est rapproché de celui des mots « autochtone » ou « indigène »."

Donc, ce n'est pas une langue auxiliaire qui, par définition, n'est point autochtone. De plus, pourquoi les échanges dans cette langue seraient forcément basiques et rudimentaires ? Elles peuvent l'être, certes, mais sans obligation aucune. Et une langue auxiliaire peut posséder sa littérature - en tout cas, telle est la réalité.

Hum, c'est discutable...

Tout dépend des précisions que vous pouvez apporter.

Les Français n'y font pas attention, parce que l'accent tonique ne leur pose aucun problème : il est toujours au même endroit, on ne réfléchit pas où le mettre, et en français il y a bien d'autres choses embêtantes smile Mais prenons un mot à plusieurs syllabes : on peut le prononcer comme "cOnstitution", "constItution", "constitUtion" ou "constitutiOn"... "jOliment", "jolIment" ou "jolimEnt"... La syllabe accentuée est plus appuyée. Dommage qu'à l'école, on ne l'explique pas aux enfants, et plus tars, ils prononcent les mots dans une langue étrangère à la française, en mettant l'accent tonique là où ils ont l'habitude de le mettre. Un locuteur d'une langue avec l'accent tonique mobile se pose tout de suite la question : où on met l'accent tonique ? On nous a dit d'emblée où il faut le mettre en français, une phrase suffit, et la question a été réglée smile

Dans l'exemple avec Berlusconi il s'agit de l'accent tonique. En français il est fixe, sur la dernière syllabe prononcée, et quand cette place ne correspond pas avec celle de la langue d'origine, ça fait drôle. Mais, comme j'ai déjà dit, il faut le mettre quelque part dans un mot...

Encore une fois, je n'envisage pas une langue qui imposerait une façon de l'utiliser, en interdisant tout écart à la norme.

Il y des langues avec l'accent tonique fixe (français, hongrois, polonais, tchèque, slovaque...), non fixe mais avec des règles claires (espagnol...) ou non fixe avec place aléatoire (anglais, russe, ukrainien, bielorusse, italien...) Le plus simple, c'est quand sa place est fixe.

Je parlais d'une langue sans intonation (accent tonique est peut-être plus indiqué), normalisée, et enseignée comme telle.

Palomar, moi plus comprendre. Pouvez-vous donner la définition d'intonation ? Et quel rapport avec l'accent marseillais ou n'importe quel autre ?

Justement parce que c'est très difficile à réaliser. C'est pour ça que la langue "idéale" évoquée au début avec les critères tels qu'ils ont été énoncés, restera cantonnée aux belles idées.

Difficile si une langue a une écriture chaotique au départ. Et il faut se souvenir qu'une langue utilisée par la communauté internationale est bien moins soumise à ce genre de changement.

J'ai fait une mauvaise manipulation, mais je ne peux pas modifier mon message, parce que je reçois la missive suivante (en bon français, of course) :

You can't edit this post anymore as either editing time is expired or someone else replied after your post. If you need to correct anything please report to Admin and Moderators. They will take care of that.

Je continue donc :

Si l'espéranto devenait une langue vraiment courante, avec des interlocuteurs de langue maternelle, des interactions avec d'autres langues, il subirait le sort commun.

Elle est déjà la langue maternelle pour quelques milliers de personnes, et se trouve en interaction constante avec d'autres langues, parce que le plus souvent seconde, et jamais unique, mais reste stable.

Si le son est représenté uniquement par ces deux caratères et si ces deux caractères pris ensemble ne sont pas associés à un autre son.

Deux, c'est déjà pas très phonétique. Une lettre = un son est la meilleure formule.

Ma découverte graduelle, au cours de plus de cinquante ans, de la langue française m'a offert des joies sans nombre. En quoi la situation pré-babélique esquissée ci-dessus pourrait-elle être comparable ? C'est justement l'altérité des langues vivantes qui fait tout le bonheur de ceux qui ont tant soit peu de curiosité humaine. J'avoue être plus aristotélicien que platonicien...

Ma découverte graduelle de plusieurs langues a été très intéressante, et nul ne remet en question l'altérité des langues et l'importance de leur grande variété. Mais, ne vous en déplaise, l'apprentissage d'une langue imposée n'est point la joie. Et pourquoi on impose l'anglais à tant d'élèves, sans aucun choix possible ? Le prétexte habituel : parce que tout le monde le parle, et si on veut être compris dans le monde entier, faut apprendre l'anglais. Mais avec tout mon respect pour l'anglais en tant que langue nationale, il n'est pas "outillé" pour être la langue auxiliaire internationale.

Pensez-vous que les exceptions aux règles ne sont pas une dictature ?

C'est est une, en effet.

Pensez-vous vraiment que les accents toniques apportent des nuances aux idées qu'on veut émettre ?

Il faut bien les mettre quelque part, sauf à créer une langue où chaque mot sera monosyllabique. Mais dans ce cas, l'autres accents viendront, comme les tons du chinois...

on ne peut pas obliger les marseillais à parler normalement (à l'école des débuts, on n'apprend pas que pain se prononce paing)

Ça ce n'est pas un accent tonique smile

Que la prononciation d'une langue évolue toujours et que la convention d'écriture suit - plus ou moins bien, voir le français.

Déjà, il faut préciser les raisons de cette évolution. Et se seouvenir qu'elle n'intervient pas en l'espace d'une génération, donc là aussi on peut parler de la dictature.

Et la supposée langue idéale de Palomar prétendrait fixer un caractère qui est minoritaire parmi les langues actuelles.

N'étant pas linguiste, je ne connais que deux langues qui n'en ont pas (mais possèdent une autre sorte d'accent).

Se poserait le problème de l'évolution de la prononciation et d'avoir toujours une norme d'écriture en phase.

L'écriture du français a-t-elle vraiment reflété les changements de la prononciation ?

Et cette pratique implique l'évolution, non uniforme et peu prévisible.

S'il y a beaucoup de locuteurs qui ont des origines différentes, que l'on veuille ou non, un noyau se forme et qui permet d'être compréhensible à touts. Ce qui n'exclut point des variations...

Si le son est représenté uniquement par ces deux caratères et si ces deux caractères pris ensemble ne sont pas associés à un autre son.

je pensais que le but de cette langue était surtout d'être universelle, sans pour autant avoir les qualités que j'ai citées

Ben, c'est le contraire smile

une dictature permanente pour que les locuteurs parlent toujours selon les conventions que la convention d'écriture fixerait

Que signifie cela ?

Pour un Roumain ou un Italien, les accents toniques ne posent aucun problème, c'est d'une langue monocorde dont ils ne voudraient pas.

Toutes les langues indo-européennes ont l'accent tonique. Et j'en connais quelques-unes appratenant à d'autres groupes linguistiques qui en ont également.

Quant à l'esperanto, si elle devenait vraiment une langue usuelle, elle n'échapperait pas aux problèmes évoqués dans ce message.

???

On peut dire que c'est une langue qui reste cantonnée à la théorie et aux bonnes idées.

La pratique pour une langue, c'est le fait qu'elle parlée, non ?

Si on veut représenter la consonne unique de chat par ch plutôt que par ș. Il s'agit bien d'une association arbitraire des lettres c et h.

C'est une adéquation imparfaite.

Il me semble que l'anglais satisfait plus ou moins les points 3 et 4

Les verbes irréguliers ne sont pas placés dans une groupe, mais ça ne change rien. Le point 3 n'est pas rempli.

- la phonétique serait en adéquation parfaite avec l'écrit
- une association de lettres ne pourrait se prononcer que d'une seule façon

Ça c'est contradictoire. Une phonétique en adéquation parfaite avec l'écrit exclut l'existence des associations de lettres.

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(57 réponses, dans Promotion linguistique)

Une langue auxiliaire - c'est celle qui est utilisée pour la communication dans les situations où les interlocuteurs ne parlent pas la même mangue maternelle, qui ne prend pas beaucoup de temps pour l'apprendre et ne porte pas le poids d'une culture étrangère aux interlocuteurs.

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(57 réponses, dans Promotion linguistique)

Elle laisse entendre que chaque langue est amenée à établir son propre code phonétique, et supposer que l'idée de langue universelle ne restera qu'une douce utopie.

Une langue universelle dans le sens "celle qui remplace avec succès les langues existantes" est, évidemment, impossible. Elle serait d'une telle complexité qu'il ne serait pas possible de l'apprendre et l'utiliser.
http://www.russievirtuelle.com/textes/superlangue.htm

Mais je ne vois pas en quoi une langue auxiliaire serait en contradiction avec le fait que chaque langue a ses particularités phonétiques.

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(57 réponses, dans Promotion linguistique)

Concernant "zapping" : vous avez déjà la réponse pour l'anglais, et en américain c'est  "channel surfing".

Pour remplacer baby-foot, je crains qu'un nouveau mot ne passerait jamais dans le langage courant...

Celui qui l'a inventé mérite les baffes smile

j'ai toujours trouvé étonnant le talkie-walkie français, là où en anglais on dit walkie-talkie !

Ouais, on se le demande, pourquoi avoir inversé les mots big_smile

L'anglais en France n'est pas un problème linguistique.
C'est un problème de collaboration et d'intelligence avec l'ennemi : le grand, très grand, capital.

Tout à fait d'accord. Teinté, de façon individuelle, de frime à deux balles.

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(57 réponses, dans Promotion linguistique)

Palomar, je parle des faux anglicismes. On ne dit pas en anglais ni en américain "baby-foot", "tennisman" ou "zapping", donc il ne s'agit pas d'un emprunt mais bien d'une invention franco-française ayant les airs d'un mot anglais. Et à inventer, pourquoi ne pas inventer un mot français ?

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(57 réponses, dans Promotion linguistique)

Plusieurs anglicismes qui trainent ne viennent pas d'une invention anglo-saxonne (pickpocket, par exemple). Les équivalents français, il faut les avoir, c'est plus facile à comprendre et à prononcer. Mais je pose une autre question : pourquoi inventer des faux anglicismes ?! Baby-foot, brushing, camping-car, flipper, fooding (et son dérivé "foodeuses", encore plus horrible), forcing, pin's, speakerine, tennisman, zapping, relooking, people et j'en passe ? Récente découverte dans une revue dite "féminine" - "nesting". Apparemment, ça signifie "l'art de décorer son intérieur". À quoi servent ces inventions ?

Tiens, chuis également femme et immigrée big_smile Néanmoins, je ne pense pas qu'un écrivain qui montre un personnage méprisant un Juif est lui-même antisémite ; que celui qui décrit un xénophobe l'est également, pas plus qu'un écrivain montrant un misogyne en est un, plus ou moins caché. L'abus du politiquement correct peut donner des résultats contraires à ceux que l'on voudrait.

Sinon je régrette que le fil d'Orientale s'est retrouvé pollué par les considérations qui n'ont rien à voir.

Ce raisonnement ma paraît quelque peu capillotracté, et fait penser à une blague.
Un mari dit à sa femme :
- Chérie, peux-tu parler un peu moins fort ?
La dame réfléchit : "S'il me dit que je parle fort, ça veut dire que je crie ; si je crie, je gueule ; si je gueule, j'aboie ; si j'aboie, je suis une chienne ; si je suis une chienne..."
- Mamaaaan !!! Il m'a traitée de pute !!!

Un début de réponse, mais je ne perds pas l'espoir wink

Z'avez pas honte de me faire passer pour encore plus bête que je ne le suis déjà.

Oh, mais vous vous débrouillez parfaitement bien tout seul.

Donc, le présence ou l'absence du "t" (absent par écrit) dépend de la quantité des médaillées olympiques ? Cette approche linguistique est très intéressante tongue

éponymie, je ne vous ai pas demandé pourquoi on a éprouvé le besoin de fabriquer un féminin marqué à l'oral à judoka, qui ne s'écrit pas "judokat". Et la question reste entière : pourquoi n'y a-t-il pas de "karatékate", "kendokate "etc. ?

ÀMHA il ne s'agit pas d'une ségregation mais d'une constataton de la réalité. Si tous les métiers étaient au masculin, j'aurais admis que "masculin = neutre", mais ce n'est pas le cas. Je ne suis point opposée à la féminisation, mais il y a un mot que je trouve agaçant : judokate. D'où il sort, ce "t", et pourquoi ne dit-on pas "karatékate" ?..

Moi pas comprendre les critères qui déterminent le poids de langues.

Chuis à moitié juive, mais je ne vois vraiment pas d'antisémitisme dans la phrase qui a provoqué tant de remous. Si à l'époque les Juifs avaient cet aspect-là:
http://skasan.ru/wp-content/uploads/2010/05/161.jpg
on pouvait anéfé les reconnaître.

Sinon au sujet de la discussion : ma proposition vaut ce qu'elle vaut, mais si on veut garder l'expression d'origine pour l'exotisme smile , on pourrait dire "il l'a regardé d'un demi-oeil avec mépris". Ça fait imagé smile

La réponse est  non.

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(10 réponses, dans Pratiques linguistiques)

Merci, Piotr smile

Littré dit que "concision" est une qualité du style qui dit ce qu'il veut dire en peu de mots. L'information a été livrée sous forme de liens, tout autre commentaire est inutile wink

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(10 réponses, dans Pratiques linguistiques)

http://fr.wikipedia.org/wiki/Mot-valise
http://alain.crehange.pagesperso-orange … tval_p.htm

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(105 réponses, dans Histoire de la langue française)

Bon, c'est vrai, cela a vite dévié, rendons-en grâce à « Squeurlette » qui prend toujours un malin plaisir à malmener notre chère langue française ...

Le coupable est trouvé, on peut dormir tranquillement. Précision : mon pseudo ne vient pas de l'anglais, donc se prononce [skirlet]. Tout ce qui n'est pas français n'est pas forcément anglais, Aubert...

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(105 réponses, dans Histoire de la langue française)

Primo : je ne faisais que résumer votre attitude, soupçonner systématiquement la langue française de se carpettiser devant l'anglais.

Primo, la discussion ne concernait pas mon attitude mais un mot précis (bien que la carpettisation du français ne relève plus de soupçons). Secundo, ma remarque faisait suite à la vôtre, plutôt péremptoire, que je recopie encore une fois :

Mais le phénomène est similaire : comme nous sommes incapables de prononcer à l'anglaise, nous francisons la prononciation, puis l'orthographe.

Vous aviez l'air de connaître le sujet, et moi, j'ai fait confiance - à tort, je vous l'accorde. Tertio, vous avez accusé Aubert d'inventer un anglicisme, tandis que rien dans son message ne l'indiquait, ce qui n'est pas correct.

Voir la réaction des anglo-saxon à l'info donnée par Amat que je ne me risque pas à traduire en français pour ne pas me faire reprocher mon english de kitchen

Si, si, traduisez-le, svp (en français, bien entendu). J'ai peur de mal comprendre cette langue si riche et si nuancée tongue

Et faites un article en russe pour contribuer à la diffusion de cette vérité et résister encore et toujours aux méchants anglo-saxons qui se croient sortis de la cuisse de Jupiter.

Plusieurs réponses me viennent à l'esprit, mais je n'en écris qu'une: ne diru al mi, kion fari, kaj mi ne diros al vi, kien iri.

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(3 réponses, dans Réflexions linguistiques)

C'quoi ces transcriptions bancales ? Pourquoi tant de "w", tandis qu'il faut transcrire Souvorov, Koutouzov, Orlov ?..

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(105 réponses, dans Histoire de la langue française)

Il faudrait savoir si ce tongue est arrivé en français directement du khmer (hypothèse 2) ou s'il a transité par l'anglais

Il a pu transiter anéfé. Hier, j'ai cherché si un auteur SF russe a été traduit en français ; quelques-unes de ses nouvelles ont bénéficié d'une traduction... de l'anglais. Je sais que ce n'est pas tout à fait dans le sujet, mais quand même...

Et puis tout ça, c'est pour vous faire réagir

Ça, c'est ясно как день http://www.russievirtuelle.com/locutions/23/592.htm tongue

Je n'ose vous demander la traduction du dicton en cyrillique.

Pourquoi donc ? Osons, comme le disait la marionnette d'Elkabbach wink
http://www.russievirtuelle.com/locutions/02/034.htm

Que les origines de ce mot sont khmers, c'est plus rassurant smile

Isn't it ?

roll

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(105 réponses, dans Histoire de la langue française)

Merci, Orientale smile

éponymie :

qu'Aubert a imaginé un anglicisme ? et que Skirlet a été mauvaise langue en s'en prenant à d'innocents anglo-saxons et en accusant les français de ne pas avoir vérifié leurs sources ???

Chez nous, on appelle un tel procédé "свалить с больной головы на здоровую" tongue Kicéki a dit ça :

Alors passer de thong à tongue... Mais le phénomène est similaire : comme nous sommes incapables de prononcer à l'anglaise, nous francisons la prononciation, puis l'orthographe.

A défaut de logique voilà une explication :

    Mais ils ne l'appelaient pas "tong", c'est aux Américains qu'on doit ce nom.

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(105 réponses, dans Histoire de la langue française)

Et comment vous les appelez aujourd'hui, ces chaussures?

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(105 réponses, dans Histoire de la langue française)

"On doit aux Américains", c'est logique smile Chez nous, on appelle ce truc " vietnamki", au moins il y a un lien avec l'Asie.

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(105 réponses, dans Histoire de la langue française)

C'pas vraiment pareil wink Emprunter un mot "local" (pasque "mayonnaise" est un mot français pour un truc français), c'est logique. Emprunter un mot anglais pour un truc oriental - c'pas logique...

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(105 réponses, dans Histoire de la langue française)

Encore une fois, le français fait fort pour adopter un anglicisme pour les chaussures traditionnellement orientales big_smile
Pourtant, il y a d'autres variantes...

Les profs d'anglais et la pub prétendent que l'anglais est un truc indispensable pour le travail, les voyages etc. etc. Autrement dit, je ne sais même pas où il est présenté comme une fin en soi... Si on donnait le vrai choix, à commencer par les établissements scolaires, ce serait bien smile

Il y a d'autres, disons, imprécisions dans le texte. Par exemple, l'anglais n'est pas la langue qui possède le plus de mots : c'est juste que leurs dictionnaires ratissent large, en mettant tous les mots possibles, techniques, scientifiques, combinés etc. etc.

“L’on constate enfin que ces enfants acquièrent une troisième ou une quatrième langue (anglais compris, si nécessaire) avec facilité et rapidité, même au-delà de la période sensible : en France, il a été établi que ce sont les sujets bilingues français/langue régionale qui obtiennent dans le second degré les meilleurs résultats dans l’étude des langues étrangères.[...]

"L'on" le constate, mais encore ?.. Un bilingue français-catalan apprendra plus facilement l'espagnol ou le portugais, mais j'ai beaucoup de doutes quant au chinois, l'arabe ou le russe. Et puis, quand on parle déjà 99 langues, on apprend la centième en une heure smile

Portant l’altérité en eux-mêmes, ces sujets bilingues ont enfin, envers d’autres langues et d’autres cultures, une attitude d’ouverture qui est à l’inverse de la xénophobie.

J'ai vu plein d'exemples du contraire.

Des études suggèrent que l’agileté mentale requise pour parler deux langues ou plus pourrait empêcher un déclin mental et retarder l’apparition de la démence.

Comme n'importe quelle autre activité intellectuelle...

l’étude confirme l’importance de l’anglais en tant que langue commerciale mondiale

... où les gens dont l'anglais n'est pas celui d'un natif se font arnaquer en signant des contrats mal compris...

Mais contrairement à une opinion trop répandue, ce n’est pas le niveau en anglais qui pose problème, mais bien le manque de commerciaux pouvant communiquer dans la langue du pays concerné

Et pourtant il est connu depuis longtemps qu'il faut vendre dans la langue du client...

La Suisse, l’un des plus riches, plus beaux et plus performants pays au monde, a 4 langues officielles. Ces barrières linguistiques ne causent manifestement aucun problème, au contraire elles enrichissent la variété culturelle du pays !

S'il n'y a aucun problème, pourquoi l'anglais se hisse petit à petit au rang de la langue d'échanges en Suisse?

Parce que les femmes russes sont belles et préfèrent qu’on leur parle en français ou en italien

big_smile big_smile big_smile

Mais je ne pige pas vraiment un truc : l'article veut-il dire qu'il faut d'abord apprendre à bien manier l'anglais, et ensuite étudier d'autres langues ?.. Ça revient à la situation quand on oblige quelqu'un à manger tous les jours un très gros plat de haricots verts en l'encourageant à manger la même quantité d'autres légumes - à condition qu'il mange d'abord la totalité dudit plat.

Les adeptes des religions judéo-chrétiennes ont choisi le mot paradis qui provient du persan « paridaiza », si j’en crois mon vieux dico.

Les adpetes des religions judéo-chrétiennes ne parlent pas tous la même langue et, par conséquent, n'utilisent pas tous ce mot.

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