Prenez le train si vous n'aimez pas l'avion
Et pâle à Vion, sur les rotules à Sablé, j'ai dû abandonner.
Non connecté Se connecter S'inscrire
forum abclf » Messages de Chover
Prenez le train si vous n'aimez pas l'avion
Et pâle à Vion, sur les rotules à Sablé, j'ai dû abandonner.
Je vois que dans trente et une pages j'avais apparemment tort de mettre les tirets, je les enlève, et mets en bleu.
Sauf erreur, les rectifications de l'orthographe de 1990 proposent au contraire des traits d'union pour tous les nombres de forme composée jusqu'à neuf-cent-quatre-vingt-dix-neuf-mille-neuf-cent-quatre-vingt-dix-neuf (999 999). C'est tellement simple !
Et encore plus sous la forme neuf-cent-nonante-neuf-mille-neuf-cent-nonante-neuf !
Or un verre n'est pas un ballon et un ballon n'est pas un verre.
Dans les sens généraux habituels de ces deux mots, non. Mais ne peut-on pas dire que, dans l'expression « verre ballon », le verre est un ballon ou, pour le moins qu'il équivaut à un ballon ? En revanche, avec « Porte A », il ne me semble pas que l'on puisse tenir le même raisonnement.
C'est amusant ! Le même Robert en ligne explique au milieu de cette page:
Difficulté : Par simplification, certaines grammaires considèrent les cas de ce type comme des appositions :
des fraises chantilly ; des œufs cocotte.
Il ne s'agit pas là d'appositions puisque l'apposition suppose toujours une relation d'équivalence. Il s'agit plutôt de groupes nominaux composés d'un nom et d'un complément du nom dans lesquels la préposition est sous-entendue. C'est pourquoi, dans ces cas-là, l'accord dépend du contexte !
des fraises chantilly (= des fraises avec de la chantilly)
des œufs cocotte (= des œufs en cocotte)
des bateaux pirates (= des bateaux de pirates)
Je suis d'accord avec l'essentiel de ce passage. Mais sa dernière ligne m'interroge : signifie-t-elle que l'on doive écrire « un bateau pirates » ?
Il n'est plus temps de jouer sur ton téléphone
« Et von est peut-être la préposition allemande la plus connue des franco… phones ! », aimait dire mon professeur.
Il est fort possible que les annonces de la SNCF privilégient "voie une" et donc que votre oreille ait pris cette habitude qu'elle tient pour une règle irréfragable. Mais pour ma part, "voie un" ne me choque nullement, pas plus que "page un" que je dis très régulièrement.
Du reste, cet accord de "une" n'est qu'une sorte de tolérance pour oreille sensible, puisque grammaticalement, il n'y a aucune raison d'accorder.
D'ailleurs, ainsi que l’explique Perkele au message 8, si l'on accorde, ne transforme-t-on pas l'adjectif numéral en qualificatif, au sens proche de « unique », à l'instar de ce qui se passe dans l'expression « la république une et indivisible » ?
Tous les ordinaux sont invariables.
Je ne pense pas ! Perkele avait à l'esprit les seuls adjectifs numéraux ordinaux à l’apparence de cardinaux, comme dans « la page trente-et-un ». Les ordinaux classiques comme « premier », « deuxième », « trente-et-unième »… varient en nombre, voire en genre et en nombre.
En fait, je crois qu'il n'y a pas de "numéro" sous-entendu. Simplement, on dit "voie 1, voie 2", comme on dit aussi "voie A, voie B, etc.". On pourrait tout aussi bien avoir un signe cabalistique, la "voie ☼" ou "la voie ☾" (la voie soleil ou la voie lune) : on affecte à la voie un signe de reconnaissance quelconque, et ce signe est en apposition. Le nom de ce signe n'a aucune raison de s'accorder, mais l'usage (un certain usage) a ses raisons que la raison ne connaît point.
L'apposition suppose une relation d'équivalence. « Dans « Mon père, ce héros au sourire si doux », HUGO affirme que son père est un héros et que le héros au sourire si doux qu'il évoque est son père. « Les enfants, affamés, se précipitent à la cuisine » signifie que les enfants sont affamés ou que les personnes affamées sont les enfants qui se précipitent à la cuisine.
Je ne vois pas cette relation entre « voie » et « 1 » dans « voie 1 » ou entre « porte » et « A » dans « porte A », où je préfère imaginer une préposition sous-entendue : voie avec le (numéro) 1, porte avec (la lettre) A. « 1 » et « A » ne sont-ils pas là compléments de nom ? La voie n'est pas un numéro, la porte n'est pas une lettre.
Ce Manceau de nos amis accepte de l'épouser malgré sa grossesse
« Agro » s'est sacrément imposé comme préfixe. Mais cette observation n'étonnera ni les Manceaux ni les autres Sarthois !
Très bon argument, me semble-t-il.
Merci, Abel.
le château des ducs de La Trémoille et les remparts
Mouillez l'aire en partant, vous serez sûrs que personne n'y viendra pendant votre absence !
on dit salle "un" par rapport au numéro de la salle , d'où la salle numéro un.
on dira la salle "une", quand il est question de parler de la première salle, "une" est liée ici à première, d'où la salle "une" qui donne le 1 référencé à première salle, d'où la salle "une". Les deux expressions sont valables à mon sens.
Si les salles ne sont pas numérotées, j'évite de dire « la salle une », je lui préfère « la première salle ».
Andreas a écrit:Et pourquoi dit-on "à la une" (page 1) ?
Que devrait-on dire ? «Une» ici est substantif ; appartient au vocabulaire de l'imprimerie et du journalisme.
http://www.google.fr/search?source=ig&a … &meta=
Sous ce lien, on trouve « la Une ». Je ne vois aucune raison de ne pas écrire « la une ».
Il n'est pas question de contester ce nom bien établi, quand bien même il abrège probablement, à son origine, « la page une », à quoi on s'accorde aujourd'hui, je crois, à préférer « la page un » (la page numéro un).
Andreas a écrit:Et pourquoi dit-on "à la une" (page 1) ?
Pour les mêmes raisons qui font que Radio-Trafic nous parle de l'autoroute A une.
Je ne mettrais pas sur le même plan « l'autoroute A une », que je considère comme fautif, et « la une du journal ».
le château des ducs de La Trémoille et les remparts
Aillez l'aire en partant, vous serez sûrs que les vampires n'y viendront pas pendant votre absence !
Un cru si vert ! Bistrot de néophytes ! Servez-moi du meilleur de votre cave.
Joli.
Istanbul aussi connut des périodes de colère noire
Les Renoir les plus connus peuvent atteindre plusieurs dizaines de millions d'euros. C'est le cas de la toile Au Moulin de la Galette.
les autres membres de la bande du panthéon, Isis et Osiris
Ose « ire historique » ! « Ire » n'est ignoré d'aucun cruciverbiste.
elles sont venues saccager mon champ fraîchement ensemencé
En ce « Mens sérieusement ! », d'aucuns voient un oxymore. Ce n'est pas mon avis.
semblait échapper à la fuite du temps
« Huit E » dut tant étonner tes lecteurs qu'aucun n'eut envie de chercher le mot.
Impressionnant !
la phrase qu'elle a surlignée sur la photocopie ! regarde
Pire garden-party de toutes celles où je suis allé, te dis-je ! Musique insupportable, plus rien à boire après quinze heures, un monde fou, impossible de se déplacer sans se faire écraser un pied !
de quel pote parles-tu ? il en a tellement
Ilan n'attèle Mandoline au sulky que si son copain Paul dispose de Myrtille. Les deux juments s'entendent à merveille.
Dans les trois Mousquetaires, Alexandre Dumas écrit la version où on doute avec "sang doute", ce qui expliquerait le double sens.
Bienvenue à vous, Phil B. Ne craignez pas de réagir aux réflexions que pourrait amener votre intervention.
Pourriez-vous indiquer le passage des Trois mousquetaires où l'on trouve « sang doute » ?
L'atténuation du sens de « sans doute » a son équivalent en allemand, où ohne jeden Zweifel, sans aucun doute, peut être préféré à ohne Zweifel ou à son synonyme zweifellos, lorsqu'il s'agit d'insister sur la certitude de l'information.
Profite donc bien de tous les instants
Leysin stambouliote ! Nos quelques concitoyens d'origine turque vont rire !
Excellent.
J'aime l'antiphrase « on déguste ».
Vh, c'est un nouveau jeu ???
Mais, avec « titrec », vh reprend bien la fin de ma phrase (« comme titre ») !
moterelle, motteux, tourne-motte
Eu, Tours* ne m'autoriseront sûrement pas à faire ces reportages sur leurs anciens maires.
*Le nom de Tours dérive de celui des Turones, un peuple gaulois qui vivait sur le site il y a plus de 2 000 ans (Wikipédia).
moqueuse définition de la ville de Jérusalem
Et « Ruse à Laimont » te plairait comme titre ?
Remarque subsidiaire : j'aurai / j'aurais tendance à... Quand j'ai un doute entre futur et conditionnel, je passe à la deuxième personne : diras-tu « tu auras tendance à dire » ou « tu aurais tendance à dire ? » (évidemment, cette astuce ne fonctionne que si on maîtrise suffisamment l'oral).
Conversation sur un réseau social :
SANDRA : Cette situation me rappelle quand Annick avait perdu ses papiers à Marseille.
BERNARD : Étant donné l'actualité d'Annick, je me garderai bien de faire de l'humour.
SANDRA : Bernard, ce n'est pas de l'humour, juste une constatation.
BERNARD : Sandra, ton anecdote concernant Annick m'a réjoui ! Je n'ai pensé qu'à moi en écrivant "je me garderai bien de faire de l'humour" ! J'ai voulu dire "je ne vais pas faire de l'humour".
Manifestement, Sandra prend le futur pour un conditionnel ([Si j'étais toi,] je me garderais…). En français, certaines ignorances peuvent conduire à des fâcheries !
huit pas, tu franchiras le gué
Alle gehen heute Nachmittag ins Konzert!*
huit pas, tu franchiras le gué
« Ralle » guérira-t-il notre ami de son aversion pour les vieux mots ?
* Tout le monde va au concert cet après-midi !
Bon dimanche à tous.
Si vous en êtes d'accord, on continue donc sur
l'exploitation a perdu de sa renommée.
Aucun souci !
ce qu'il léguait à ses petits-enfants
Tisant fantastiquement, bringuant plus que de raison, ses cinq petits-enfants portaient peu d'intérêt à la vieille bagnole !
Les interjections de la langue des jeunes: "La loose ou la honte", quand on fait référence à la malchance, sont-elles encore employées ?
Je ne sais pas si l'expression « La loose ou la honte » se dit ou s'est dite. « Loose » et « honte » apparaissent dans ce forum de 2009. Le langage des jeunes connaît des évolutions rapides.
Quoi qu'il en soit, « La loose ou la honte » ne comporte aucune interjection.
Je préfèrerais, par exemple, « Loir arborant un pelage gris pouvant tirer sur le brun… ».
Ce lama va vous cracher à la figure, capitaine
Qu'à « pitais » n'ait réagi à peu près personne ne m'étonne guère : ce verbe est d'un emploi rare.
Anglais comme français ou néerlandais se prononce désormais très souvent avec un /e/ et si ce n'est pas encore la
norme j'ai l'impression que ça ne saurait tarder.
Je suis moins frappé que vous par cette évolution.
le nom scientifique du Zébu
Que « d'user bure et lin » ait déconcerté certains de tes élèves ne m'étonne pas tant que cela.
Le monde est peuplé de personnes méritantes, dont un certain nombre qui méritent des baffes.
Contradictoire.
Tout le reste m'a beaucoup plu, par exemple :
avec le risque que l’histoire vire à la boucherie sans eau.
une demi-douzaine d'enfants de chœur
N., dans « fendes que rondins et bûches », on reconnaît évidemment la fin de la phrase « Je veux que tu ne fendes que rondins et bûches ».
Merci à vous. Très intéressant.
en + le = el, ou [u ] ; en + les = es (cf. FM docteur ès-lettres). Ces dernières contractions ne sont pas systématiques.
Les formes comportant un [l] apparemment non vocalisé ne sont pas nécessairement plus anciennes que les autres : elles semblent surtout résulter d’un scrupule étymologique du scribe ; aux XIème et XIIème siècles, ce [l] se prononçait [u ] depuis fort longtemps…
Faut-il comprendre que el a pu se prononcer /ɛu/ ?
La sonorisation de la sourde /k/ devant une sonore dépend chez moi de la nature de la sonore : comme à peu près tout le monde, je crois, je suis incapable de prononcer [ʒakvabʁ] (Jacques Vabre) sans marquer un temps entre /k/ et /v/ : cela devient [ʒagvabʁ] dans ma bouche. En revanche, [ʃakʒuʁ] (chaque jour), sans coupure, m'est assez naturel.
Des cris rauques semblant provenir du cercueil interrompirent l'éloge funèbre
« Je fus » n'est bredouillé que parce que celui qui le lit ne le comprend pas !
petit pois ou un pois chiche dans la tête ?
Bienvenue à vous, mathias458.
Ce jeu ne consiste pas à reprendre le ou les derniers mots d'une phrase mais son ou ses derniers phonèmes, dans d'autres mots, ainsi que vous l'indique agathe ci-dessus : de « favorable aux petits pois », elle passe à « type oisif ».
Amicalement.
n'en prenons pas ombrage
« Ont bras généreux et sourire facile » devient plus compréhensible quand on lit ce qui précède : « Les nourrices ».
Bienvenue à vous, Oliivier44 (avec trois i ?).
Je trouve votre texte amusant. Merci. Pardon, mer-ci !
Deux petites remarques : le sigle SNSM signifie Société Nationale de Sauvetage en Mer. « Mer » porte une majuscule dans les toponymes comme Cagnes-sur-Mer.
Amicalement.
Au sens figuré, des mains en or (celles d'une personne très habile dans les travaux manuels), un cœur d'or ou en or
Oui. Au sens figuré, « d'or » et « en or » me paraissent à peu près interchangeables. Abel a expliqué ci-dessus qu'il n'en va pas exactement de même au sens propre.
Vous abondez dans mon sens.
L'antériorité de votre message aurait dû me pousser à écrire plus modestement : J'abonde dans votre sens.
déclara Hercule Poirot
Eh, Clara, « air qu'eut le pois romain » veut dire ce qu'il veut dire : chez vous, le climat est particulièrement favorable aux petits pois.
À Cheix tu ne bois tantôt que du jus de fruit.
Tantôt prend, selon les régions, le sens de « dans peu de temps », « il y a peu de temps », « cet après-midi » ou un après-midi quelconque.
Voire « à tel moment » ou « à tel autre moment » dans l'expression « tantôt…, tantôt… ».
Pour mon message numéroté 12921, qui vous a peut-être inspiré, j'ai préféré vérifier que le sens « cet après-midi », qui m'était familier jadis, était toujours attesté.
ou un après-midi quelconque
Emmi* dit qu'elle conquerra un jour son indépendance.
* Qu'on n'hésite pas, si on en éprouve le besoin, à me demander la traduction d'une ou deux phrases sous ce lien !
Le verbe durer exprime déjà une notion de temps, donc pourquoi ne pas rester simple : "elle durera ce que tu veux" ou "elle durera ce que tu voudras"
Je trouve que cela se tient tout à fait. Imaginant plutôt que la décision sera prise au moment de l'expérience, j'ai une petite préférence pour le futur « voudras ».
Toutefois, l'usage, l'habitude valident depuis longtemps « ne durer qu'un temps » (dont s'inspire peut-être « durer le temps que… »), « durer longtemps » (certes plus ou moins pléonastique)…
Et c'est de « durer le temps que… » et de l'éventuel subjonctif à sa suite que l'initiateur de ce fil souhaite parler !
Pour ces phrases, il faut voir, me semble-t-il, des compléments de mesure dans « ce » et « le temps » ou mieux, peut-être, dans « ce que tu voudras » et « le temps que tu voudras ».
mon nounours répondit Jeannot
Dis-je « anneau » ou « annelet » ? J'hésite… Le diminutif me tente…
« Elle durera le temps que tu voudras qu'elle dure » comporte un subjonctif, dure. Il exprime l'incertitude quant à la durée de la chose (Elle). En utilisant l'indicatif « voudras » pour l'amener, l'auteur de la phrase manifeste, je crois, sa conviction (éventuellement feinte) quant à la volonté de son interlocuteur (tu) de décider de cette durée.
Toutefois, « le temps que » peut être suivi d'un subjonctif : dans « Le temps qu'elle réagisse, je serai loin », l'incertitude quant au moment de la réaction me paraît indéniable. Et… « Le temps qu'il veuille bien réagir, j'aurai fait l'achat » me paraît pareillement irréprochable ! Bon, cette fois, la volonté de la personne est nettement mise en doute et « vouloir bien » diffère un peu de « vouloir ».
D'autres avis ?
Je n'imagine guère que « Elle durera le temps que tu voudras qu'elle dure ».
C'est un peu la même question que « une tassse à café / une tasse de café ».
Je ne suis pas tout à fait de cet avis ! Qu'on parle d'une médaille d'or ou d'une médaille en or, la médaille contient de l'or, tandis que seule la tasse de café contient du café.
Il est vrai qu'on entend de plus en plus souvent « tasse de café » dans le sens « tasse à café ». Pour moi, une bouteille d'eau n'est plus qu'une bouteille à eau quand on l'a vidée ! Je ne compte guère persuader grand monde à faire ce rappel mais je tiens à cette différence ! D'ailleurs, qui, même de nos jours, confondrait un panier à salade (au sens propre) et un panier de salade, une boîte à sucre et une boîte de sucre, un verre à vin et un verre de vin, un « sac à viande » et un sac de viande… ?
Je découvre votre message, Alco, au moment de publier le mien. Vous abondez dans mon sens.
Joli !
tu fais combien de points, avec mimosa
« Mime "Aux abris !" » : voilà ce qu'on m'a demandé pour ma cinquième épreuve !
Bon dimanche.
Splendide version.
La personne que j'évoque parfois remarque un rythme de valse dans certains passages, tandis qu'il n'en est rien dans d'autres.
Elle explique aussi qu'il arrive à RAVEL de se tromper dans certains intitulés : Dans Cortège et gavotte, la « gavotte » n'en est pas une. La personne demande ce que vous pensez, de ce point de vue, des Valses nobles et sentimentales. J'ai une idée de la réponse.
clisse est issu par aphérèse du mot éclisse
Ohé, Clissonnaises et Clissonnais ! Vous êtes attendus à votre stand.
« Équipement » se défend, en effet, mais il me paraît avoir l'inconvénient de son sens collectif. Je ressens un peu la même chose pour « matériel » : un ballon est-il un matériel ?
L'étymologie d'« ustensile » justifierait son emploi dans les cas que vous citez, forano0, mais son sens s'est restreint au fil des siècles.
forum abclf » Messages de Chover
Propulsé par PanBB, soutenu par PunBB Info.