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Le forum d'ABC de la langue française

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forum abclf » Messages de cargo06

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Sujets de cargo06 Recherche définie par l’utilisateur

Messages trouvés [ 1 à 50 sur 142 ]

C'était aussi mon impression.
Merci Abel Boyer d'avoir levé mon doute.

Bonjour à tous,
je me pose une question :
peut-on (doit-on) écrire : De son déplacement, de sa convocation, de ses intentions de séjourner quelque temps dans la capitale pour rencontrer ses camarades, elle ne pouvait qu’informer Maxime
ou : De son déplacement, de sa convocation, de ses intentions de séjourner quelque temps dans la capitale pour rencontrer ses camarades, elle ne pouvait qu’en informer Maxime ? J'ai ici l(impression que le en est pléonasmique.
Si on met la phrase "dans le bon ordre", on écrirait :
Elle ne pouvait qu’informer Maxime de son déplacement, de sa convocation, de ses intentions de séjourner quelque temps dans la capitale pour rencontrer ses camarades
Le fait d'inverser la phrase change-t-il la règle ?
Merci de vos lumières.
cargo06

3

(6 réponses, dans Réflexions linguistiques)

Merci aussi à vous Abel Boyer.
Vous me confortez dans mon intention de ne mettre aucun "ne".

4

(6 réponses, dans Réflexions linguistiques)

Merci Chover pour vos explications.
J'y apprends que "pas" n'était pas à l'origine une négation.
Donc dans ma phrase le "n'" négatif ("ce n'étaient pas plus…") n'est peut-être pas utile.
Et merci de me rappeler la différence entre le "ne" explétif et le "ne" de négation.

Bonjour à tous,
une petite question :
dans la phrase « pas plus de deux mille cinq cents satellites actifs évoluaient… », faut-il mettre un ne explétif : n'évoluaient ?
Je ne trouve rien dans mes usuels.
Merci de vos lumières

Merci à tous pour vos réponses très documentées.

Bonjour,
j'ai une question à vous poser.
Dans la phrase « ainsi que le dit l’adage, la première chose à faire, pour dire la vérité, c’est de porter un masque ! », le "de" est-il nécessaire ?
N'est-il pas mieux (plus élégant) d'écrire « ainsi que le dit l’adage, la première chose à faire, pour dire la vérité, c’est porter un masque ! » ?
Merci de vos lumières.

8

(8 réponses, dans Réflexions linguistiques)

Merci Chover et Levine, c'est plus clair pour moi.

9

(8 réponses, dans Réflexions linguistiques)

Chover a écrit:

Tout me paraît analysable grammaticalement. Mais cela peut sembler lourd. Pourquoi « une forme » d'apogée ?

C'est l'auteur qui apporte cette nuance, je ne touche pas.

10

(8 réponses, dans Réflexions linguistiques)

Merci Chover de tes réponses.

Chover a écrit:

Je ne vois pas quoi lui reprocher, il est complément du nom maîtresse, me semble-t-il.

Oui, mais il paraît être complément de "monarque", non ?

11

(8 réponses, dans Réflexions linguistiques)

Décidément, je suis fâché avec dont :
Un siècle plus tard, c’est bien cette école dont l’œuvre de Thomas Lawrence d’une part, et celles de Constable et Turner de l’autre, marquèrent une forme d’apogée, et dont ils promurent l’excellence et la primauté sur la scène artistique européenne.
Est-ce correct ?
J'ai envie d'écrire :
Un siècle plus tard, c’est bien de cette école que l’œuvre de Thomas Lawrence d’une part, et celles de Constable et Turner de l’autre, marquèrent une forme d’apogée, et qu'ils promurent l’excellence et la primauté sur la scène artistique européenne.
Merci de vos lumières.

12

(8 réponses, dans Réflexions linguistiques)

Bonjour,
je m'interroge sur la construction de la phrase suivante :
« dans l’intimité du nouveau monarque, dont il fait le portrait de la dernière maîtresse connue, »
Le "dont" est-il correct ?
Il fait le portrait de la maîtresse du monarque.
La formulation
« dans l’intimité du nouveau monarque, de la dernière maîtresse connue duquel il fait le portrait, » me semble lourde et sûrement fautive.
Qu'en pensez-vous ?
Merci de vos avis

13

(3 réponses, dans Écriture et langue française)

bonjour,
2 sujets = propagent

P'tit prof a écrit:

... et qui, donc, supervisait la reproduction de ses esclaves...

Exactement !
Et merci Chover, c'est plus clair pour moi

exactement !

En fait Sha(e)fer était un nazi réfugié au Chili, directeur de la Colonia Dignidad, tortionnaire, assassin et violeur pédophile…

merci Abel Boyer, si la syntaxe est juste, la morale est sauve !

Bonjour, je n'ai pas visité ce forum depuis longtemps, mais aujourd'hui je me(vous) pose un question.
Je m'interroge sur la dernière partie de la phrase suivante, qui me paraît bizarre :
« Sa première fuite, il la tente avec sa compagne enceinte d’un enfant que Schafer ne les a pas autorisés à concevoir.
Est-elle correcte ?
Je vous remercie de vos lumières.

Merci Abel Boyer, dans ma recherche de "dater vers" sur google books je n'avais pas pensé à le mettre rentre guillemets, résultat : pas de réponse.
Je vois donc que cela se fait, bien que je n'aime pas la tournure, et que la remarque de Chover sur sa signification stricte me semble tout à fait justifiée.
Merci à tous deux de m'avoir donné du grain à moudre.

Bonjour,

dans un texte que je relis je trouve régulièrement la tournure "je pense pouvoir dater cette œuvre vers 1615".

Cela me semble incorrect, il faut écrire "dater cette œuvre de vers 1615".

Mais ce "de vers" me gêne. Au-delà de sa lourdeur, est-il correct ?

(ou pourrait aussi écrire "dater cette œuvre d'autour de 1615" ou "dater cette œuvre d'environ 1615")

Qu'en pensez-vous?

Merci de vos lumières

21

(9 réponses, dans Écriture et langue française)

Oui, on comprend mieux son périple ici. Mersey est écrit correctement (pas Mercey). Et le mot "malle" pour traduire "packet" semble tout à fait idoine : la malle de Liverpool.

22

(9 réponses, dans Écriture et langue française)

À part ces considérations sur la traduction, on peut aussi lire que le bateau part de New York et se dirige vers l'ouest (bound to the westward). Il va se retrouver dans les plaines du Midwest !
Et puis il se retrouve dans la "Mercey", il est donc parti vers l'est. Ouf !

oui oui, bien sûr, comme tout le monde l'a dit : quelque

Lévine a écrit:

Par contre, "quelque" est en effet superflu dans les deux cas, vu que l'imprécision est suffisamment bien exprimée par les numéraux coordonnés par "ou".

Oui, et même redondant, comme le serait "environ" dans "environ quatre ou cinq".

Merci Ylou pour ces précisions très utiles.

Abel Boyer a écrit:

Votre interprétation est la bonne, 'Anissa'.
Il en irait autrement si vous aviez dit : "je doute que tu n'aies pas d'enfants. "

"je doute que tu n'aies pas d'enfants" veut dire "je pense que tu as des enfants".

Pour dire "je pense que tu n'as pas d'enfants", comme veut le dire Anissa, il faudrait dire :
"Je doute que tu aies des enfants."

glop a écrit:

L’abréviation MO (utilisée aussi bien pour le maitre d’œuvre que pour le maitre d’ouvrage) peut prêter à confusion lors de la lecture des documents.

À ma connaissance, on utilise MOE pour maître d’œuvre et MO pour maître d’ouvrage.

28

(12 réponses, dans Réflexions linguistiques)

Bouss a écrit:

C'est la richesse qui complique la vie !

C'est la complexité qui enrichit la vie !

Non, il a été retenu, dans le sens de sélectionner.
Mais avant sa sélection, on pourrait éventuellement (c'est presque un pléonasme) dire qu'il a été promu par certaines personnes, c'est-à-dire mis en avant, soutenu, favorisé, etc.
Promouvoir veut dire, en l'occurrence, encourager, favoriser, soutenir ou, dans un autre sens : mettre en avant, chercher à attirer l'attention sur.

Si le sondage sortie des bureaux de vote laissait prévoir un 6 - 0 en faveur du non accord, il semblerait qu'au fur et à mesure du dépouillement nous nous acheminions vers une forte remontée de l'accord…

3 - 0

Et vous, aCOSwt, quelle est votre position ?

aCOSwt a écrit:
cargo06 a écrit:

C'est pas grave, je m'en fous.

Alors là c'est plus ambigu.
Vous vous foutez de ce que votre avis compte ou ne compte pas ou vous foutez de l'accord ou de l'invariabilité ?

Non non, je ne me fous pas de l'invariabilité, ça c'est quelque chose d'important, que dis-je ? de vital.
Quant à mon avis, qu'il compte ou pas, c'est très secondaire.

On aurait dit que la pluie normande était jetée par une main furieuse

"La pluie normande" n'est pas le COD de "aurait dit", même placée avant le verbe.

J'écrirais donc "une pluie normande qu'on aurait dit jetée par une main furieuse".

Ce sidi, je ne compte pas parmi les "bons" auteurs, ni même parmi les auteurs tout court, alors peut-être que mon avis ne compte pas.

C'est pas grave, je m'en fous.
Et bonne soirée.

"C'est pourquoi" peut sans problème être suivi d'une virgule, s'il s'agit de la première virgule d'une incise :

C'est pourquoi, malgré son grand âge, il ne renonçait pas à courir la bergère dans les prés. (Là, je fantasme !)

Sans incise, je ne vois pas de raison de mettre une virgule, ainsi qu'il a été exposé.

Je dirais pour ma part que le qualificatif "techniquement" a été analysé très justement par nos collègues.
Quant au "pratiquement", c'est-à-dire "dans la réalité", on sait qu'avec la grinta, le fighting spirit, la gagne, une équipe techniquement moins forte mais "morte de faim" peut l'emporter par son envie de gagner sur des super techniciens "repus".

36

(10 réponses, dans Réflexions linguistiques)

Ylou a écrit:

Question à laquelle je ne trouve pas de réponse : la tournure est-elle figée? Comme vive, soit...? ou bien y a-t-il accord avec ce qui suit ?
Pas de problème évidemment lorsque ce qui suit est une proposition : passe encore qu'elle soit venue à pied, mais devant un nom, doit-on écrire :
Passe encore les cours, qui sont inintéressants, mais...ou Passent encore les cours, qui sont inintéressants, mais... ?
Je penche pour le singulier car ce ne sont pas les cours qui passent, mais une invitation à passer dessus.

Oui, tout à fait d'accord, ce ne sont pas les cours qui passent.

37

(4 116 réponses, dans Réflexions linguistiques)

Il est vrai que mon "commentaire" était un peu ambigu, comme était perplexe mon esprit.

Je ne sais pas précisément ce que mes parents désiraient comme enfant, à part les "passe d'abord ton bac", ce que j'ai fait, et les pressions pour tenter l'X, ce que je n'ai pas fait. Donc oui, votre interprétation peut fonctionner. Mais n'est-ce pas le souhait de tous les parents que leurs enfants maîtrisent leur langue et leur tête ?

Et basta l'humilité !
OG

38

(4 116 réponses, dans Réflexions linguistiques)

Hi hi ! Merci pour l'analyse.
og

39

(4 116 réponses, dans Réflexions linguistiques)

chrisor a écrit:

L'un des sens du codon ''og'' évoque le passage par la tête. Or les mots tels progestérone, oestrogène, androgène ou ostéogenèse sont nés plus d'un siècle avant que l'on découvre que les hormones stéroïdiennes sexuelles sont contrôlées par l'hypophyse et l'hypothalamus intracrâniens  et que  l'ostéogenèse est contrôlée par la leptine cérébrale.

Je reste donc à la disposition de ceux qui sont curieux d'une nouvelle lecture de nos mots.

Bonsoir, mes initiales sont og.
Dois-je en apprendre quelque chose ?
Merci
og

Bien que le féminin de passeur soit peu usité, il n'est pas faux et il est très explicite, et se trouve dans le Petit Robert.

J'écrirais d'ailleurs : J’espère devenir un véritable as du français et une passeuse entre nos deux pays. Merci pour votre écoute !

Bonjour Jingyi, j'ai corrigé directement dans votre texte, qui est presque parfait. Il y a des corrections typographiques (majuscules, accents…) qui ne s'entendent pas à l'oral mais que j'ai quand même faites. J'ai aussi fait un peu de réécriture. Je crois que c'est mieux comme ça. N'hésitez pas à poser plus de questions, et bonne chance ! (et une plaisanterie au sujet de la Longue marche !)

Bonjour, je m’appelle Zhang Jingyi et maintenant je suis étudiante de deuxième année à l’Institut de Diplomatie de Chine. Collège, lycée, puis université, cela fait 8 ans que j’apprends le français. À vrai dire, mon « mariage » avec le français paraît un effet du destin. Tout a commencé il y a 10 ans. Pendant les Jeux olympiques de Beijing, j’avais à peine 11 ans. Le soir du 8 août 2008, j’ai suivi en direct à la télévision la cérémonie d’ouverture des JO de Beijing (supprimer pour cause de répétition). Je fus alors émerveillée, entre autres, par les spectacles fascinants, par les feux d’artifice multicolores, par une ambiance de fête, et aussi par ma première rencontre avec une langue que je n’avais jamais entendue, si charmante et élégante que je n’ai pas pu m’empêcher de demander à mes parents ce que c’était que cette belle langue et, de ce fait, le mot « français » est entré dans mon esprit. Depuis cette date, cette langue m’a beaucoup influencée. La langue de Molière m’a ouvert une nouvelle fenêtre sur la France et les Français : en 2013, j’ai participé à un programme d’échange et fait mes études pendant 2 mois à Avignon, une ville au sud-est de la France. J’ai été reçue chaleureusement par la famille d’accueil. Tous les jours, nous partagions nos idées, tant sur la France que sur la Chine. En m’intégrant dans leur quotidien, j'ai pu connaître à fond le mode de vie des Français. Durant ces deux mois, j’ai aussi visité plusieurs villes dans le Sud de l’Hexagone, à savoir Marseille, Toulouse, Nîmes, Montpellier… Chacune a sa spécificité culturelle et j’hâte de retrouver de nouveau leurs paysages magnifiques !

Il est à noter que le français est considéré comme une des langues officielles des Nations unies, particulièrement comme une langue diplomatique. Pour parfaire mon savoir et pratiquer la langue, je prends part à la Simulation des Nations unies organisée dans notre université. Faire des recherches, prendre la parole, former des blocs (des groupes ?), rédiger des documents, c’est tout ce que je dois faire à chaque séance. Au début j’étais un peu stressée, mais peu à peu, je me sens plus à l’aise et peux manier la langue française avec plus de sûreté et de précision.

Apprendre le français, c’est une longue marche (Mao !). J’espère devenir un véritable as du français et passeuse entre nos deux pays. Merci pour votre écoute !

Pour moi, c'est une manière assez cavalière de parler du mari de la femme du président !
D'ailleurs, dans la langue parlée, ça se prononce "son président d'mari".
Légèrement péjoratif, est-ce que ça conviendrait aux ors et pompes de l'Élysée ?

Bonjour,
je réponds sur votre texte.

1. Point de suspension-La première lettre après ... doit-elle être en majuscules ?
Non, pas toujours, selon qu'ils terminent une phrase ou non

2. Les guillemets :

A titre d'exemple-----

Il dit : « Je suis professeur. »---Ici le point doit être mis devant le guillemet fermé ?
Oui

3. deux points :
A titre d'exemple-----

On trouve des fruits de toutes sortes dans ce marché : pommes, bananes, pêches, etc. ---Ici ce P doit-il en majuscules ?
Non


4. point virgule :
Est-ce que le point virgule est considéré comme point, qui marque la fin d'une phrase ? La première lettre après ;doit être  en majuscules ?
Non

Je vous conseille de vous référer au Traité de la ponctuation française de jacques Drillon.
Bon dimanche.

44

(15 réponses, dans Réflexions linguistiques)

éponymie a écrit:
cargo06 a écrit:

Mais bon, ma réflexion ne va pas plus loin…

Nous voilà bien avancés... Surtout que je ne comprends pas :

- je le fais changer de place : il change lui-même de place 
- je lui fais changer le motif : il change le motif

Pour moi,  je lui fais changer de place et je le fais changer le motif sont tout aussi acceptables.

Si tu le dis …
En fait, si je comprends bien, on peut dire l'un ou l'autre.
Horrible liberté !!!

45

(15 réponses, dans Réflexions linguistiques)

À mon avis il y a une différence de nature entre le et lui dans les exemples tirés de ton lien, vh :

- je le fais changer de place : il change lui-même de place 
- je lui fais changer le motif : il change le motif                 

le et lui ne sont pas interchangeables.

Mais bon, ma réflexion ne va pas plus loin…

46

(15 réponses, dans Réflexions linguistiques)

Merci Vh, éponymie et Ylou, me voilà bien avancé !

Mais l'exemple de Vh me fait réagir à contrario : je ne fais pas changer à Toto d'idée, je fais changer Toto d'idée.

En attendant une certitude : je le fais changer d'idée.

47

(15 réponses, dans Réflexions linguistiques)

Bonsoir,
dans la phrase suivante, je me demande s'il faut écrire
… d’essayer de lui faire changer d’idée.
ou
… d’essayer de le faire changer d’idée.
Perso, je pense pour "le", mais je ne saurais pas expliquer pourquoi.

« Peut-être que mon père est devenu gâteux et complètement obsédé par le passé, mais je te demande d’essayer de lui faire changer d’idée.

Merci de votre avis.

un mensonge ? (je voudrais supprimer ma réponse idiote mais ne sais pas comment faire). Ce n'est pas un mensonge. Peut-être une périphrase.

poulloux13 a écrit:

Bonjour à tous,

J'ai un énorme doute sur la phrase suivante : "La manière dont vos peintures arrivent à s'inscrire dans l’ère du temps et à la rendre compréhensive (* sous-entendu : l'ère du temps*) m’intéressent."

Pour deux raisons :

-> Doit-on dire "le" ou "la" pour l'ère du temps ? L'ère ou le temps ?
--> "m'intéressent" ou "m'intéresse" ?

Merci beaucoup !!!

Marie

1 - j'écrirais "l'air du temps" plutôt que "l'ère du temps".
2 - votre question tombe, l'air et le temps étant masculins : donc "le". Sinon, ce serait "la" (l'ère). Lalalère !
3 - "m'intéresse". Le sujet est "la manière".

Je vous réponds après Lamaneur, qui avait repéré le "compréhensive" à la place du "compréhensible".

P'tit prof a écrit:

L'ile a retrouvé son  nom primitif d'Hispaniola ce qui dissipe toute ambiguité : Hispanola est partagée en deux Etats, Haïti et Santo-Domingo. La Dominique, Dominica est en effet une autre  île.

Je n'ai trouvé nulle part que l'île d'Haïti avait retrouvé son ancien nom d'Hispaniola, nom donné par Christophe Colomb. Mais si vous avez des infos fiables plus récentes à ce sujet, je suis preneur.
Par ailleurs, l'île d'Haïti est partagée entre deux États : la République dominicaine (capitale Santo Domingo) et la République d'Haïti.

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