Les gens qui tournent en rond finissent par devenir fous. Ceux qui ne tournent pas rond le sont déjà.
Il vous faudrait purger avec quatre grains d'ellébore.
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Les gens qui tournent en rond finissent par devenir fous. Ceux qui ne tournent pas rond le sont déjà.
Il vous faudrait purger avec quatre grains d'ellébore.
Il paraît que les anniversaires sont bons pour la santé. Des études prouvent que les gens qui comptent le plus d'anniversaires vivent plus longtemps.
En effet, vieillir est bien la meilleure façon de ne pas mourir jeune…
Lorsque ça devient fort de café, mieux vaut attendre que ça se tasse.
Il paraît que les anniversaires sont bons pour la santé. Des études prouvent que les gens qui comptent le plus d'anniversaires vivent plus longtemps.
Tenter de remettre un présent à un absent relève d'une absence évidente de présence d'esprit.
Paradoxalement, on a tendance à s'en vouloir quand on manque de volonté.
Les gens qui tournent en rond finissent par devenir fous. Ceux qui ne tournent pas rond le sont déjà.
Il est important de réfléchir à deux fois avant de ne rien faire, c'est toujours du temps de repos de gagné.
Le bord est sournois
Le bord est une limite dont il faut se méfier. Quand on dit d’un individu qu’il est un peu con sur les bords, rien ne prouve qu’il soit plus malin dans le Centre, du côté de Châteauroux. On ne compte plus les navigateurs qui, à trop tirer des bords, ont fini par passer par-dessus le bord, à bâbord ou à tribord, le doute reste entier, pour s’échouer sur une plage du bord de mer. Sans compter ceux, n’ayant pas forcément le pied marin, qui à force de se faire mener en bateau ont fini par virer de bord. Il arrive parfois que le problème se complique lorsqu’on nous invite à monter à bord d’un hors-bord. On a alors la désagréable impression que l’on cherche à nous pousser à bout. Le bord n’a pas de limites dans la fourberie. Pour ne rien arranger, le bord est partout, il n’a pas de frontières. On le rencontre aussi bien à Bordeaux qu’à Bora-Bora en passant par la Lorraine avec mes gros sabots.
Malheureusement, il est difficile de se passer du bord. Notamment lorsque nos ressources sont limitées, on se retrouve dans l’obligation de faire avec les moyens du bord. Encore faut-il avoir mis un peu d’argent de côté pour ne pas se laisser déborder.
Je n’irai pas plus loin avec ces histoires de bord pour ne pas vous conduire au bord de la crise de nerf.
A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !
C'est toujours pareil, dès que des différences existent, des différends surgissent.
Ce n'est jamais sans arrière-pensée que l'on pense à se mettre en avant.
Il faut parfois plusieurs lignes pour un trait d'esprit.
Le plus court chemin entre deux points est la ligne droite car il n'y a jamais personne pour vous attendre au tournant.
Il n'existe pas de recette de l'amour, ce qui n'a jamais empêché d'en faire tout un plat.
Les mots d'esprit devraient s'écrire sur du papier à lettre à en-tête.
Marée inhumaine
La surpopulation est en marche. Elle a même de plus en plus tendance à débouler en masse vers les sites touristiques. Et quand une marée humaine envahit le flanc du Mont Saint-Michel à la vitesse d’un cheval de trait au pas, flotte comme un air de déjà vécu en affrontant les vagues successives de franciliens tentant de monter dans une rame de métro un jour de grève à 18h30 à la station Saint-Michel. L’ascension de l’une des sept merveilles du monde vire à la réplique du chemin de croix vers le sommet du Golgotha, les omelettes de la mère Poulard en plus et les coups de fouet en moins. Un calvaire à faire regretter la quiétude d’une promiscuité mâtinée de crème solaire et d’huile de friture des plages de Fréjus et de Saint-Raphaël au mois d’août. A ce rythme de saturation des sites dits remarquables, la Creuse va finir par déborder, Morlaix est aux abois, le département de la Haute-Savoie se fait un sang d’encre pour le Mont-Blanc et les candidats à la visite du musée du mouchoir de Cholet risquent d’essuyer des refus, n’ayant plus que leurs yeux pour pleurer.
On aurait dû se douter qu’un jour viendrait où le tourisme de masse finirait par devenir pesant.
A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !
Le bouche-à-bouche ne s'apprend pas de bouche à oreille.
Les urinoirs sont situés derrière la salle des commisions.
A force de tuer le temps, les délais finissent par expirer.
Parler à voix basse en haute-montagne a souvent plus d'écho que parler à voix haute en rase-campagne.
C'est toujours quand un sujet devient vraiment chaud que des infos finissent par transpirer.
Ma femme a demandé un balayage à son coiffeur japonais, elle s'est retrouvée ippon en moins de dix secondes.
Il est tout de même paradoxal qu'il faille porter un uniforme pour lever des couleurs.
Pensée du jour : penser à se dépenser vaut mieux que dépenser sans réfléchir.
Bien partis pour revenir
Partir, revenir, c’est le lot de tout être sur cette Terre non irrémédiablement scotché devant des séries Netflix. Même les oignons partent, la preuve étant que beaucoup cherchent à les faire revenir.
On entend souvent dire que partir c’est mourir un peu, mais mourir un peu plus c’est être mal parti pour revenir, même si beaucoup seraient partants pour jouer les revenants. Mais revenons à nos moutons.
Historiquement et bien avant l’émergence des séries Netflix, il semblerait que la mise en place d’un impôt sur le revenu ait été le point de départ de la tendance de l’homo fiscus à freiner son inclination naturelle à partir, à l’exception de quelques représentants de l’espèce qui n’ont pas hésité à partir en Suisse. On ne sait pas d’où est partie cette hypothèse mais on y revient fréquemment, surtout du côté de Genève. Malgré ce frein malvenu, l’Homme rechigne à rester planté là, pas plus qu’ailleurs. Et ce ne sont pas Henri IV et Marat qui diront le contraire, un parce qu’ils sont morts et deux parce qu’ils avaient une tête qui a priori ne revenait pas à leurs assassins. Bien entendu, ces départs et retours successifs, en plus des bouchons sur l’A6 à hauteur du péage de Fleury-en Bière, occasionnent des frais de déplacement que l’on peut heureusement déclarer en frais kilométriques, et donc faire baisser l’impôt sur le revenu, on y revient.
Il est même possible, quoique assez rare, de partir de rien pour arriver à tout, mais face à cette trajectoire beaucoup d’observateurs n’en reviennent pas. Sans oublier celles et ceux qui pensent avoir trouvé la solution en choisissant un bon parti qui a de bons revenus, pour voir venir sans jamais être pris à partie.
A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !
Plutôt que de chercher à devenir quelqu'un, on ferait mieux de rester soi-même.
Paradoxalement, les individus qui ont réponse à tout ne se posent jamais de questions.
La folie des régimes à l’approche de la saison estivale tourne invariablement au delirium très mince.
Je me suis toujours demandé s'il était bien raisonnable de commander une Côte de Nuits avec un plat du jour.
Le séquoia est un arbre qui peut vivre jusqu'à 3000 ans. Autant dire que des conneries, il en a vues. Sans parler du chêne qui, du haut de ses 1000 ans, en a vu passer des glands.
Il faut battre le fier quand il est sot.
Des hauts et des bas
- J’ai un ami palois qui rêvait de devenir pilote de ligne. Manque de pot, il a dû tirer brutalement un trait sur cette perspective
- Il n’avait pas le bagage nécessaire ou ses notes ne décollaient pas ?
- Il a attrapé le palud après avoir joué au polo à Kampala. Et à cause de ce palud, il a été contraint de tourner la page
- Il est tombé de haut. Et depuis, il a rebondi ?
- Il s’est lié d’amitié avec son voisin de pallier à Montpellier. Il vend des palans et il lui a proposé une association
- Il avait des connaissances en palans ?
- Au début il progressait à pas lents à cause du palud puis il a vite acquis les ficelles du métier
- Et maintenant ça marche bien ?
- On peut dire que ça tourne plutôt bien. Son boulot agit comme un remontant et lui a permis de remonter la pente. Il a même participé à un télécrochet
- Il ne rechute pas par intermittence ?
- Il a des hauts et des bas. Ça lui arrive quand il est en surcharge, mais c’est de plus en plus rare et il met vite les freins
- En fin de compte, il a adopté une vie de monte-en-l’air sans voler, c’est une semi-consolation pour lui
- Tu ne manques pas d’air pour un type terre-à-terre !
A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !
"on ne mesure jamais assez l’impact à long terme de l’effet Prince charmant sur l’inconscient collectif."
non, même pas avec un pied-de-roi.
Bientôt arrive parfois bien tard.
Mieux vaut mettre les bouts avant d'en arriver à des extrémités en étant poussé à bout.
Passer son temps à attendre son heure, c'est courir le risque de voir sa dernière heure arriver sans avoir vu le temps passer.
Cole Porter faisait beaucoup mieux courir les notes que les bruits.
Si vous avez tendance à souvent jouer petit bras, portez des chemises à manches courtes.
Les années se suivent mais on est toujours dans l'attente de celle qui sera sans précédent.
God save le roi
Les temps changent. Louis XVI aujourd’hui aurait écopé dans le pire des cas de cinq ans de prison dont trois avec sursis, peine à exécuter à domicile sous bracelet électronique au Pavillon de la lanterne de Versailles. Les Français aussi ont changé. Pris par les remords ou la nostalgie, ils ne portent plus le même regard sur la royauté. Loin d’eux l’idée du régicide. Et même lorsque chaque début d’année ils tirent les rois, il est exceptionnel que des victimes soient à déplorer. A l’exception de rares cas d’allergies à la frangipane non diagnostiquées ou de fèves mal digérées, comme l’an dernier à Choisy-le-Roi. Les monarques ont largement alimenté l’Histoire du pays et les traces de leur passage sont partout. Le Louvre, Versailles, Fontainebleau, la rue François Ier, les statues de Louis XIV, d’Henri IV, le square Louis XIII, les magasins Leroy-Merlin, la chanteuse Nolwenn Leroy, pour ne citer que quelques exemples marquants. Sans oublier Gérard Larcher qui réitère souvent cette affirmation au Sénat « j’ai plus d’une corde à monarque ! ». De là à imaginer l’engouement d’une bonne partie de la population pour le couronnement d’un roi, anglais qui plus est, c’est une révolution ! Quand on pense que Charles III a réussi l’exploit de provoquer l’extase chez des octogénaires au minimum vieillesse en exhibant sa quincaillerie rutilante dont une simple pièce suffirait à leur financer une place à l’Ehpad pendant un siècle, on croit rêver Tout conte fée, on ne mesure jamais assez l’impact à long terme de l’effet Prince charmant sur l’inconscient collectif.
Mais après tout, faire tourner la tête d’un peuple qui a coupé la tête d’un roi, ce n’est qu’une juste revanche.
A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !
Comme chacun pourra le constater sur place, à Liverpool, il fait un froid de canard.
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