Le bouche-à-bouche ne s'apprend pas de bouche à oreille.
Les urinoirs sont situés derrière la salle des commisions.
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Le bouche-à-bouche ne s'apprend pas de bouche à oreille.
Les urinoirs sont situés derrière la salle des commisions.
A force de tuer le temps, les délais finissent par expirer.
Parler à voix basse en haute-montagne a souvent plus d'écho que parler à voix haute en rase-campagne.
C'est toujours quand un sujet devient vraiment chaud que des infos finissent par transpirer.
Ma femme a demandé un balayage à son coiffeur japonais, elle s'est retrouvée ippon en moins de dix secondes.
Il est tout de même paradoxal qu'il faille porter un uniforme pour lever des couleurs.
Pensée du jour : penser à se dépenser vaut mieux que dépenser sans réfléchir.
Bien partis pour revenir
Partir, revenir, c’est le lot de tout être sur cette Terre non irrémédiablement scotché devant des séries Netflix. Même les oignons partent, la preuve étant que beaucoup cherchent à les faire revenir.
On entend souvent dire que partir c’est mourir un peu, mais mourir un peu plus c’est être mal parti pour revenir, même si beaucoup seraient partants pour jouer les revenants. Mais revenons à nos moutons.
Historiquement et bien avant l’émergence des séries Netflix, il semblerait que la mise en place d’un impôt sur le revenu ait été le point de départ de la tendance de l’homo fiscus à freiner son inclination naturelle à partir, à l’exception de quelques représentants de l’espèce qui n’ont pas hésité à partir en Suisse. On ne sait pas d’où est partie cette hypothèse mais on y revient fréquemment, surtout du côté de Genève. Malgré ce frein malvenu, l’Homme rechigne à rester planté là, pas plus qu’ailleurs. Et ce ne sont pas Henri IV et Marat qui diront le contraire, un parce qu’ils sont morts et deux parce qu’ils avaient une tête qui a priori ne revenait pas à leurs assassins. Bien entendu, ces départs et retours successifs, en plus des bouchons sur l’A6 à hauteur du péage de Fleury-en Bière, occasionnent des frais de déplacement que l’on peut heureusement déclarer en frais kilométriques, et donc faire baisser l’impôt sur le revenu, on y revient.
Il est même possible, quoique assez rare, de partir de rien pour arriver à tout, mais face à cette trajectoire beaucoup d’observateurs n’en reviennent pas. Sans oublier celles et ceux qui pensent avoir trouvé la solution en choisissant un bon parti qui a de bons revenus, pour voir venir sans jamais être pris à partie.
A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !
Plutôt que de chercher à devenir quelqu'un, on ferait mieux de rester soi-même.
Paradoxalement, les individus qui ont réponse à tout ne se posent jamais de questions.
La folie des régimes à l’approche de la saison estivale tourne invariablement au delirium très mince.
Je me suis toujours demandé s'il était bien raisonnable de commander une Côte de Nuits avec un plat du jour.
Le séquoia est un arbre qui peut vivre jusqu'à 3000 ans. Autant dire que des conneries, il en a vues. Sans parler du chêne qui, du haut de ses 1000 ans, en a vu passer des glands.
Il faut battre le fier quand il est sot.
Des hauts et des bas
- J’ai un ami palois qui rêvait de devenir pilote de ligne. Manque de pot, il a dû tirer brutalement un trait sur cette perspective
- Il n’avait pas le bagage nécessaire ou ses notes ne décollaient pas ?
- Il a attrapé le palud après avoir joué au polo à Kampala. Et à cause de ce palud, il a été contraint de tourner la page
- Il est tombé de haut. Et depuis, il a rebondi ?
- Il s’est lié d’amitié avec son voisin de pallier à Montpellier. Il vend des palans et il lui a proposé une association
- Il avait des connaissances en palans ?
- Au début il progressait à pas lents à cause du palud puis il a vite acquis les ficelles du métier
- Et maintenant ça marche bien ?
- On peut dire que ça tourne plutôt bien. Son boulot agit comme un remontant et lui a permis de remonter la pente. Il a même participé à un télécrochet
- Il ne rechute pas par intermittence ?
- Il a des hauts et des bas. Ça lui arrive quand il est en surcharge, mais c’est de plus en plus rare et il met vite les freins
- En fin de compte, il a adopté une vie de monte-en-l’air sans voler, c’est une semi-consolation pour lui
- Tu ne manques pas d’air pour un type terre-à-terre !
A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !
"on ne mesure jamais assez l’impact à long terme de l’effet Prince charmant sur l’inconscient collectif."
non, même pas avec un pied-de-roi.
Bientôt arrive parfois bien tard.
Mieux vaut mettre les bouts avant d'en arriver à des extrémités en étant poussé à bout.
Passer son temps à attendre son heure, c'est courir le risque de voir sa dernière heure arriver sans avoir vu le temps passer.
Cole Porter faisait beaucoup mieux courir les notes que les bruits.
Si vous avez tendance à souvent jouer petit bras, portez des chemises à manches courtes.
Les années se suivent mais on est toujours dans l'attente de celle qui sera sans précédent.
God save le roi
Les temps changent. Louis XVI aujourd’hui aurait écopé dans le pire des cas de cinq ans de prison dont trois avec sursis, peine à exécuter à domicile sous bracelet électronique au Pavillon de la lanterne de Versailles. Les Français aussi ont changé. Pris par les remords ou la nostalgie, ils ne portent plus le même regard sur la royauté. Loin d’eux l’idée du régicide. Et même lorsque chaque début d’année ils tirent les rois, il est exceptionnel que des victimes soient à déplorer. A l’exception de rares cas d’allergies à la frangipane non diagnostiquées ou de fèves mal digérées, comme l’an dernier à Choisy-le-Roi. Les monarques ont largement alimenté l’Histoire du pays et les traces de leur passage sont partout. Le Louvre, Versailles, Fontainebleau, la rue François Ier, les statues de Louis XIV, d’Henri IV, le square Louis XIII, les magasins Leroy-Merlin, la chanteuse Nolwenn Leroy, pour ne citer que quelques exemples marquants. Sans oublier Gérard Larcher qui réitère souvent cette affirmation au Sénat « j’ai plus d’une corde à monarque ! ». De là à imaginer l’engouement d’une bonne partie de la population pour le couronnement d’un roi, anglais qui plus est, c’est une révolution ! Quand on pense que Charles III a réussi l’exploit de provoquer l’extase chez des octogénaires au minimum vieillesse en exhibant sa quincaillerie rutilante dont une simple pièce suffirait à leur financer une place à l’Ehpad pendant un siècle, on croit rêver Tout conte fée, on ne mesure jamais assez l’impact à long terme de l’effet Prince charmant sur l’inconscient collectif.
Mais après tout, faire tourner la tête d’un peuple qui a coupé la tête d’un roi, ce n’est qu’une juste revanche.
A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !
Comme chacun pourra le constater sur place, à Liverpool, il fait un froid de canard.
On ne vit qu'une fois mais ça n'a jamais empêché personne d'avoir une double-vie.
On s'est laissés envahir par le numérique. L'arrivée du téléphone portable aurait dû nous mettre la puce à l'oreille.
Il n'est jamais trop tard pour bien faire mais quand ça commence à bien faire, il est déjà trop tard.
Je crois aux fantômes depuis que j'ai vu de mauvais esprits se mettre dans de beaux draps.
Il n'y a pas plus singuliers que des mots qui n'ont pas de pluriel.
Les polyglottes ne sont pas des humains. Non contents d'être dotés de plusieurs glottes, ils sont pourvus de plusieurs langues.
Voyages dans le temps
L’Histoire des modes de transport ne date pas d’hier. Considérant à juste titre que marcher commençait sérieusement à lui casser les pieds, non protégés à l’époque par des crocs mignons, l’Homme des cavernes se mit à la recherche de nouveaux moyens de locomotion utilisant la force motrice des animaux environnants. En excluant la libellule, il était préhistorique mais pas complètement con. Après quelques tentatives de dressage d’espèces peu coopératives telles que les tigres à dents de sabre et les mammouths, tentatives aussi courageuses qu’hasardeuses qui ne sont pas sans rappeler celles de l’usager du RER parisien à l’assaut d’un wagon à 18h à La Défense, il finit par se rabattre au fil du temps sur le cheval, le chameau et le bœuf. Plus tard, l’un des représentants de l’espèce humaine plus malin que les autres et fier comme un paon, inventa la roue alors qu’il revenait de faire un tour. C’est à partir de ce moment-là que le mouvement s’accéléra. Les chevaux demeurant le principal moteur de traction d’engins roulants jusqu’au jour où la vapeur mis les gaz, donnant au cheval-vapeur une notoriété que le bœuf mironton et le chameau à l’étouffée n’ont jamais pu égaler. Trouvant la vie duraille et lassés de parcourir les chemins de traverse, d’autres esprits malins décidèrent par la suite de placer des traverses sur le chemin et d’y poser des rails avec entrain. La mobilité progressa alors à fond de train jusqu’à l’explosion du moteur à explosion, le bien-nommé. Le succès donnant des ailes, l’avion décolla dans la foulée et l’Homme moderne put enfin se rendre en vacances à Ibiza pendant ses congés payés.
A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !
Il y a un paradoxe dans le fait que pour gagner sa vie, il faille parfois se tuer au boulot.
Mieux vaut passer sa vie au Tréport que passer de vie à trépas.
On a beau faire, les questions de fond refont toujours surface.
Si les antihistaminiques peuvent être efficaces contre le coryza, aucune étude n'a démontré que les anti-hispaniques soient d'une quelconque utilité contre la corrida.
Une amie dessinatrice a renoncé à acheter une jupe-crayon, elle taillait trop juste.
Certains sont très à cheval sur les principes, d'autres s'assoient dessus, il y a moyen de s’entendre.
De bonne guerre
Pour faire la guerre, le belligérant doit commencer par se trouver un ennemi suffisamment intime pour qu’il accepte sans rechigner de lui expédier des missiles dernier cri (aaah…) qui coûtent la peau des fesses. Car comme s’accordent à le préciser tous les bons manuels militaires, un combattant sans adversaire, comme un far breton sans pruneaux, c’est du flan. L’étape préliminaire et essentielle pour lui est donc d’en dénicher un qui vaille le déplacement, quand il n’a pas commencé à nous envahir. S’il n’en trouve pas, foutez-lui la paix, il n’y a pas plus irascible qu’un belligérant sans ennemis, craignant par-dessus tout de passer pour un va-t-en-paix. Écartons cette hypothèse improbable tellement il est simple d’en trouver au moins un, ne serait-ce que le maniaque de la perceuse du 5ème étage ou la sans-gêne au téléphone dans le bus. Pour un conflit digne de ce nom, il est préférable d’élargir le panel, on ne mobilise pas une armée pour combattre un forcené du perforateur ou une névrosée du smartphone, même bien équipés, sans susciter des railleries légitimes. Une fois l’ennemi identifié, tout bon guerrier digne de ce nom depuis l’invention du gourdin et de la fléchette au curare entreprend de lui tailler des croupières avant que celui-ci ne le réduise en bouillie. Après avoir laissé passer un temps suffisant pour que le nombre de victimes collatérales s’affiche à un niveau raisonnable, le chef des plus décimés siffle la fin de la récré et se résout, la mort dans l’âme et sur les champs de bataille, à ranger l’artillerie jusqu’à la prochaine bataille rangée. C’est inéluctable, il y aura toujours une paix pour venir contrarier les guerres. Mais c’est de bonne guerre.
A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !
Mieux vaut attraper une tumeur bénigne au Mali qu'une tumeur maligne au Bénin.
Alors, « Honni soit qui Bénin pense » s'impose dorénavant !
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