Et si on veut que le monde entier ait envie de s'exprimer correctement voire noblement en français, il faudrait d'abord qu'elle redevienne la langue de prestige de la puissance politique, économique et culturelle du moment.
Et moi je dirais: non, surtout pas, justement.
Quant aux «langues instituées», la question se pose au moins, me semble-t-il, quand une langue est attachée étroitement à une religion, mais j'en ai certainement déjà trop dit.