Passer au contenu du forum

forum abclf

Le forum d'ABC de la langue française

Mise à jour du forum (janvier 2019)

Remise en l'état – que j'espère durable – du forum, suite aux modifications faites par l'hébergeur.

Répondre

Répondre

Rédigez et envoyez votre nouvelle réponse

Vous pouvez utiliser : BBCode Images Binettes

Tous le champs doivent être remplis avant d’envoyer ce formulaire, ou alors vous avez utilisé la fonction copier/coller qui n'est pas supportée par l'éditer de texte.

Information obligatoire pour les invités


Information obligatoire

Revue du sujet (plus récents en tête)

11

Chover a écrit:

Deux facteurs peuvent avoir joué leur rôle dans le renoncement aux signes diacritiques affectant les majuscules : l'anglais et l'écriture manuscrite. On dit que les premières machines à écrire utilisées en France provenaient des États-Unis. Et l'écriture qu'on m'a enseignée en primaire ne comportait, peut-être à l'exception du Ç, pour lequel j'ai un doute, que des majuscules simples.

IL me semble que les facteurs principaux du renoncement sont à la fois technico-économiques et esthétiques. Pour éviter de multiplier les lettres dans les casses d'imprimerie (et plus tard sur les machines à écrire), on a renoncé aux majuscules accentuées. Parfois, on les composait en mettant l'accent à côté de la lettre, ce qui était assez laid. Par ailleurs, les lettres accentuées sont plus hautes que la hauteur standard des lettres, ce qu'on peut considérer comme une rupture de l'harmonie de la phrase imprimée.

10

Encore merci.

9

Sylvain B a écrit:

Voici ce que dit le site du Dictionnaire de l’Académie française :

On ne peut que déplorer que l’usage des accents sur les majuscules soit flottant.

J'eusse préféré, sur un tel site, « On ne peut que déplorer l’usage flottant des accents sur les majuscules » !

8

Deux facteurs peuvent avoir joué leur rôle dans le renoncement aux signes diacritiques affectant les majuscules : l'anglais et l'écriture manuscrite. On dit que les premières machines à écrire utilisées en France provenaient des États-Unis. Et l'écriture qu'on m'a enseignée en primaire ne comportait, peut-être à l'exception du Ç, pour lequel j'ai un doute, que des majuscules simples.

7

Abel, Alco,
je vais ouvrir les liens et vous remercie pour vos réponses.

6

J'utilise le pilote de clavier français enrichi que vous pouvez trouver ici.
Pour le É, il suffit de presser AltGr et maj de la main droite et é de la main gauche.

5

Il n'y a pas autant de codes à apprendre. D'abord, un certain nombre de ces lettres n'apparaissent jamais à l'initiale de mots français. D'autres sont faciles à faire par une combinaison de touches, comme celles qui portent un accent grave ou un tréma. Ensuite, cela dépend de votre système. Sur mon PC, j'ai juste eu à retenir le É (j'utilise alt144) et le Ç qui sont assez fréquents.
Sinon, je recommande l'installation facile et gratuite de la petite barre Lexibar qui permet d'écrire facilement tous ces caractères.
https://www.lexicool.com/lexibar_french … s.asp?IL=1

4

Il va donc falloir apprendre tous les raccourcis ad hoc...

http://img114.xooimage.com/files/0/5/b/a-accents-5959a1d.png

3

Merci Sylvain B

2

Bonjour
Voici ce que dit le site du Dictionnaire de l’Académie française :

On ne peut que déplorer que l’usage des accents sur les majuscules soit flottant. On observe dans les textes manuscrits une tendance certaine à l’omission des accents. En typographie, parfois, certains suppriment tous les accents sur les capitales sous prétexte de modernisme, en fait pour réduire les frais de composition.
Il convient cependant d’observer qu’en français, l’accent a pleine valeur orthographique (c’est moi qui graisse). Son absence ralentit la lecture, fait hésiter sur la prononciation, et peut même induire en erreur. Il en va de même pour le tréma et la cédille.
On veille donc, en bonne typographie, à utiliser systématiquement les capitales accentuées, y compris la préposition À, comme le font bien sûr tous les dictionnaires, à commencer par le Dictionnaire de l’Académie française, ou les grammaires, comme Le Bon Usage de Grevisse, mais aussi l’Imprimerie nationale, la Bibliothèque de la Pléiade, etc. Quant aux textes manuscrits ou dactylographiés, il est évident que leurs auteurs, dans un souci de clarté et de correction, auraient tout intérêt à suivre également cette règle.