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Le forum d'ABC de la langue française

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Revue du sujet (plus récents en tête)

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Abel Boyer a écrit:

Serait-ce une consolation… ?

Oui ! Mais il n'y a pas mort d'homme !

18

Serait-ce une consolation si je vous disais que je ne comprends pas plus, ni sur le fond, ni sur la forme singulière finale ?

17

florentissime a écrit:

Il y a le grand sujet, celui de tout le discours, et les petits sujets, souvent accidentels, ceux des phrases qui le compose.

Avec une certaine gêne, je dois dire que je ne comprends guère cette phrase.

16

Il y a le grand sujet, celui de tout le discours, et les petits sujets, souvent accidentels, ceux des phrases qui le compose.

Le jour où tu auras à prononcer un hommage public, tu le sauras.

15

florentissime a écrit:

Avec la préposition "à", donc en construction trivalente pour le verbe "prendre", "mon amie" paraît comme objet, donc comme un terme essentiel du prédicat.
Cependant, ce n'est pas encore assez. Pour ma part, j'en ferais l'interlocutrice de mon discours :

Mon amie, le destin a repris ta vie... Tu ...

Mais… cette deuxième personne ne paraîtrait-elle pas plus naturelle si, justement, elle rendait compte de la trivalence de « reprendre » ? Mon amie, le destin t'a repris la vie

14

C'est un bon argument.
Avec la préposition "de", "mon amie" apparaît comme un complément de nom, ce qui en fait un terme accessoire du prédicat.
Avec la préposition "à", donc en construction trivalente pour le verbe "prendre", "mon amie" paraît comme objet, donc comme un terme essentiel du prédicat.

Cependant, ce n'est pas encore assez. Pour ma part, j'en ferais l'interlocutrice de mon discours :

Mon amie, le destin a repris ta vie... Tu ...

13

écrivailleur a écrit:

bonsoir, merci à tous les participants. Je souhaite écrire un texte sur le décès d'une personne et j'hésitais entre "à" ou "de". si je modifiais la forme de la phrase, comme certains le préconisent, cela ne correspond pas à la rime et à la longueur de la phrase. Je retiendrai cette forme "la vie à".

La préposition « à » me paraît trouver davantage sa justification dans la nature trivalente du verbe « reprendre » que dans le nom « la vie ». Ce verbe n'a pas pour C.O.D. « la vie à mon amie » mais seulement « la vie ».

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bonsoir, merci à tous les participants. Je souhaite écrire un texte sur le décès d'une personne et j'hésitais entre "à" ou "de". si je modifiais la forme de la phrase, comme certains le préconisent, cela ne correspond pas à la rime et à la longueur de la phrase. Je retiendrai cette forme "la vie à".

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Dans les cas où deux constructions sont en balance, il faut éviter des remplacements trop massifs qui modifient nécessairement l'équilibre de la phrase  et peuvent privilégier artificiellement une construction aux dépens de l'autre. Je préfère une modification limitée comme :
La vie de mon amie, le destin l'a reprise.
La vie, le destin l'a reprise à mon amie.

10

J'en étais bien conscient en procédant au remplacement. Mais la simple possibilité de ce remplacement m'a paru constituer un argument en faveur de « à ».