Les subordonnées complétives sont de deux types : conjonctive (Je crois qu'elle rit) et infinitive (Je pense arriver demain). Dans les phrases proposées par amalya28 ci-dessus, on a affaire à des conjonctives, bien sûr.
Le lien que vous proposez, Abel, au message 3 du présent fil, conduit à un autre échange sur abclf, où je lis le message suivant de BOUNIGNE (numéro 6) :
Ce n’est ni l’attrait de la gloire, ni celui de l’argent ou des honneurs qui commande nos actions, mais la peur de l’ennui.
Que dire des subordonnées dans ce passage ? Mon professeur de Français évite le sujet surement parce que c'est trop compliqué.
Je ne vois qu'une subordonnée, « qui commande nos actions », dans la phrase citée par BOUNIGNE. Une subordonnée qui ne saurait être nommée complétive, puisque introduite par un pronom relatif.