Bonsoir,
Je travaille mon français avec un livre dans lequel il parle du point et il raconte à son sujet qu'ils marquent les pauses et les inflexions de la voix dans la lecture et fixent les rapports entre les propositions et les idées.
Cela semble intuitif pour vous aussi : vous l'avez mis correctement votre point. Une phrase avec un sujet, un verbe, un complément et une proposition relative qui précise le complément.
En gros, tout comme pour une syllabe, il faut une voyelle, pour une phrase, il faut un verbe (il arrive qu'il soit implicite, il arrive que la phrase soit onomatopéique). Et si un seul verbe ne suffit pas à exprimer l'idée que vous voulez exprimer, vous allez en ajouter un autre avec une coordination, une subordination, etc.
En vous expliquant ceci, je crois deviner ce que voulait dire l'auteur de :
fixent les rapports entre les propositions et les idées
La proposition serait la syntaxe, la construction, les idées, ce que pense la personne.
Il est sympa mais c'est un branquignol.
Il est sympa. Mais c'est un branquignol.
Les propositions sont identiques. Il y a certainement une nuance dans ce qui est exprimé (l'idée). En partant du principe que ce soit une même personne qui écrit. S'il s'agissait de moi, la version un, traduirait une certaine sympathie, la version deux, une idée de catastrophe. Il n'est pas dit, que quelqu'un d'autre ait les mêmes nuances en tête.
C'est une réponse à votre question initiale, ce n'est pas forcément la bonne. Je ne suis pas dans la tête de l'auteur. Et je ne suis pas d'accord avec la première partie de ce qu'il écrit : tous ces points qui ne feront jamais partie d'un texte lu à haute voix...