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Revue du sujet (plus récents en tête)

5

Vous avez six mois d'avance sur le Premier Avril !

4

Il y a bien deux choses que je me demande:

1. Comment peut-on écrire un livre pareil?
2. Comment peut-on le lire?

3

A propos de ce type de questions littéraires, je signale aux amateurs le site de la SAECM, "Société des Amis d'Etienne Carcel-Mouillon". C'est assez savoureux.

2

Cet Igor Nawakh est en effet moins connu que son frère, Porth Nawakh. Ecrivait-il en verlan hongrois ?

1

Récemment, je suis tombé sur un ouvrage du 19ème siècle écrit par un auteur hongrois fort peu connu (qui n'est même pas googlisé, pour vous dire) et cet ouvrage (datant de 1917 me semble t'il) m'a fait poser énormément de questions et j'aurais voulu votre opinion sur le sujet.

Le livre raconte la vie d'un écclésiaste vivant dans une zone rurale très reculée et tourne essentiellement autour de ses pensées et de ses tergiversations. Les propos de son auteur, Igor Nawakh, sont essentiellement la difficulté d'un homme de foi à accepter que ses agissements d'enfant aient pu être dirigé dans une autre direction que celle du Christ et de sa Sainteté.

Cependant, il n'y a pas que ça, et je serais bien sot de m'emporter pour si peu. Il va même jusqu'à condamner la littérature française comme étant le "berceau de pensées insipides sur la foi"

Peut-on laisser dire cela ? Je me le demande...