Annonce amicale : 30 jours pour jacter comme mézigue, de Sylvain Vanderesse, est paru.
Mots croisés et autres jeux à gogo.
Aux éditions de l'Opportun.
Citations relevées dans “Le Tigre & Coqueliquot” (1905)
Cette page réunit toutes les citations relevées dans Le Tigre & Coqueliquot, avec l'entrée qui y est attachée.
- Y fait friot, la môme ! dit-il simplement – (frio)
- giflèrent M. l'avocat général qui ne tarissait point contre son chéri elle, son Bébert aux « mirettes » couleur de ciel – (mirette)
- Vingt mois durant, M. Bébert fit la « queue de cervelas » dans le préau de la maison d'arrêt – (queue de cervelas)
- isolés dans leur passion comme deux tourtereaux au nid – (tourtereaux)
- Sans profit immédiat ou lointain pour la nation, elle ruine les combinaisons élaborées patiemment, qui leur assuraient le Bonheur – (combinaison)
- Tu seras un costeau, un vrai, en revenant des bat' d'AF'… – (Bat-d'Af')
- Fais pas le mariolle là-bas, Bébert… File doux… – (filer doux)
- Je suis ta gosse pour la vie – (gosse)
- Julot, appelé aussi La Dame, ou Canapé, parce qu'il était de charpente délicate et de moeurs dissolues [canapé : lieu de rdv, ou parce qu'on s'allonge dessus?] – (canapé)
- Flemme pas, la gosse, me faut mon prêt ou gare ! – (flemmer)
- Flemme pas, la gosse, me faut mon prêt ou gare ! – (prêt)
- Une nuit qu'elle dégustait un 'raspail' au comptoir des Dernières Cartouches, la pensée en Afrique, Mlle Coquelicot regarda beaucoup un buveur qui hâblait au milieu de quelques autres – (raspail)
- C'est la bergère au Tigre : Coquelicot, qu'on l'appelle – (bergère)
- Il m'a servi, le frère, à Montempoivre !… Le sang me pissait par le côté dans la neige… J'en ai eu pour trois mois sur le dos à me refaire – (servir)
- Il m'a servi, le frère, à Montempoivre !.. Le sang me pissait par le côté dans la neige.. J'en ai eu pour trois mois sur le dos à me refaire – (se refaire)
- M. La Teigne régalait de vin chaud la société – (régaler)
- T'as les mirettes à l'amour – (mirette)
- C'est Le Tigre, ton mec ?… J'aurai son foie !… – (avoir le foie de qqun)
- Viens à l'air, la mômiche, ça te remettra en boule – (mômiche)
- Viens à l'air, la mômiche, ça te remettra en boule – (remettre en boule)
- Y aura du rouge quand Le Tigre saura ça ! prophétisa quelqu'un – (y avoir du rouge)
- Et toi, Coquelicot, dégrouille !… – (se dégrouiller)
- Le spectacle n'était pas folâtre, de cette dame ronde qui se nourrissait l'esprit et dominait assez son émoi pour surveiller le travail qu'elle rémunérait – (17497)
- je pran la môme Coquelicot à la coule – (prendre à la coule)
- je donnerez tou mon rouge avan qu'on y touche – (rouge)
- Il répondit avec lassitude : –Ah ! la jambe !… La ferme !… – (la jambe !)
- il battit les cartes et s'arrosa la gosier d'absinthe glacée – (s'arroser le gosier)
- Tu as raison, on est vendu par ces breloques… C'est pas pour des purées comme nous – (purée)
- –Ta bouche, la môme, on marche sur des oreilles – (ta bouche !)
- –Ta bouche, la môme, on marche sur des oreilles ! – (marcher sur des oreilles)
- Faut passer comme une lettre à la poste sans qu'on nous recoque – (comme une lettre à la poste)
- Faut passer comme une lettre à la poste sans qu'on nous recoque – (recoquer)
- Y reluit dans la carrée… Pas besoin de camoufle… – (camoufle)
- Y reluit dans la carrée... Pas besoin de camoufle... – (17505)
- Y a pas de quoi renâcler et tourner à la moule – (tourner à la moule)
- T'es donc frileux d'avoir pâli le pante ! – (pâlir)
- T'es donc frileux d'avoir pâli le pante ! – (frileux)
- La Teigne, y a-t-il des fafiots dans le talbin ? – (fafiot)
- La Teigne, y a-t-il des fafiots dans le talbin ? – (talbin)
- Mlle Coquelicot avait pris un portrait de femme : –Oh ! c'te tarte, pige-moi ça ! – (tarte)
- Mlle Coquelicot avait pris un portrait de femme : –Oh ! c'te tarte, pige-moi ça ! Une bouche en cul de poule pour faire passer des yeux de merlan ! – (en cul de poule)
- Un remède à l'amour qu'il avait là, le messière ! – (mézière)
- J'ai du bon à boire et ça m'ennuie de faire suisse – (faire suisse)
- N'y touche pas, ça ferait du vilain dans la cambuse… ça remoucherait les cognes.. – (remoucher)
- Du madère, les amis ! un velours au palais et chaud sur l'estomaque – (velours)
- Moi, tu sais, j'ai jamais coupé dans le boniment des morues – (couper dans)
- Moi, tu sais, j'ai jamais coupé dans le boniment des morues – (morue)
- Coquelicot n'est qu'une flippe, et t'es refait dans les largeurs.. – (flippe)
- Coquelicot n'est qu'une flippe, et t'es refait dans les largeurs… – (dans les grandes largeurs)
- Coquelicot n'est qu'une flippe, et t'es refait dans les largeurs… – (être refait)
- Il se trouva devant les bazars, au milieu de la pouillerie indigène – (pouillerie)
- c'est l'adjudant Pastori qui est de semaine, et avec lui y a pas à truquer – (truquer)
- Tout à l'heure, j'aurais scionné n'importe quoi ! – (scionner)
- J'ai foutu le camp pour pas me larder et je me suis trouvé là, tout louf – (larder)
- T'es bu, toi ! Si je te salais ?… – (saler)
- Toi, tu paieras pour eux, tant pire ! – (tant pire)
- Au réveil de demain, on compte 914 crans, sans la permission de l'adjupète – (cran)
- Au réveil de demain, on compte 914 crans, sans la permission de l'adjupète – (adjupète)
- Ben, Bébert, c'est-y au pape que je cause ? – (causer au pape)
- Si c'est les permissions de dimanche qui te flanquent à la flemme le lundi, on verra à t'en guérir ! – (flanquer à la flemme)
- On se met sur pattes... – (se mettre sur pattes)
- Non, mais tout de même, Bébert, faudrait pas se payer ma fiole ! hurla le caporal – (se payer la fiole)
- La crapaudine, c'est pas pour les clebs – (crapaudine)
- c'est-y parce que ta marmite t'envoye de l'os, que tu ferais la loi ici ! – (os)
- Je l'ai fait ! Je l'ai dévissé… Pourquoi que j'ai fait ça, nom de Dieu ! – (dévisser)
- C'est-y que t'aurais voulu tourner de l'oeil, Bébert ? – (tourner de l'oeil)
- Paraît que le soleil t'a trop liché, hier, et que c'était de la congestion – (licher)
- T'aurais pas parlé avant midi, que tu passais l'arme à gauche, qu'a dit le major ! – (passer l'arme à gauche)
- on était loin du « petit terme » et les liaisons dangereuses ne portent leurs fruits mortels qu'au retour de l'hiver – (petit terme)
- pour contempler à loisir une chemise au col souillé de sang et un pardessus 'mastic' au dos moucheté de pois et d'étoiles bruns – (13612)
- lui rappela soudain le billet de cent francs mis en sûreté dans son chignon et que son amant l'avait chargée de « casser », loin de chez eux – (casser un billet)
- T'es donc rentier que tu te les balades ? – (se balader)
- Et ton orgue ?... On n'en joue donc plus, du moulin à café ?... – (moulin à café)
- Ça le dure.. du temps qu'tétais avec Le Tigre ! – (ça me dure)
- Si ça nousdure trop, on verra, après, à se barrer chez les Belges – (ça me dure)
- et j'ose pas.. je flanche.. peur que tu me tournes à la poire.. – (tourner à la poire)
- Tu sais, le Corse, j'aime pas le plat... – (plat)
- Je suis pas une ménesse à faire des traits à son meg ! – (faire des traits)
- Moi aussi, j'y ai été reluquer les froids… – (froid)
- Je sais bien… pour toi, faut qu'on soye bâti… et je suis resté gosse – (bâti)
- N'empêche, à tout prendre, on ne craint pas ceusses qui vous boufferaient la soupe sur les tifs… – (bouffer la soupe sur les tifs)
- Allons, donne ! puisque tu es trop moule pour casser un fafiot ! – (moule)
- C'est ce Facchino qui te fait frousser ? – (faire frousser)
- Blague pas, La Teigne, faut ouvrir l'oeil de ce côté-là… Y sent le roussi, le frère – (sentir le roussi)
- Blague pas, La Teigne, faut ouvrir l'oeil de ce côté-là… Y sent le roussi, le frère – (frère)
- Et je parierais que le Corse a l'oreille aplatie sur la cloison comme une escalope – (esgourde)
- T'es bête, La Teigne, si je l'ai vu, le pante, c'est à la boîte aux refroidis ! – (boîte aux refroidis)
- C'est parce que je m'en méfie que j'ai laissé le bleuet dans mes peignes – (bleuet)
- Ge tenvoye un cigue cè tou ce ke gè pu lui caché – (cigue)
- Au plus fort d'un «polignac» ou d'une «manille», M. La Teigne avouait des ennuis domestiques – (polignac)
- Elle me bat job, la môme, et les purges ne la dressent plus – (battre job)
- Elle me bat job, la môme, et les purges ne la dressent plus – (purge)
- Ça me pue au blair de sentir qu'elle blanchit du foie !… – (puer au blair, blanchir du foie)
- Avec un gonsse comme mézig qui trempe dans le beurre et la connaît dans les coins, ça tournera au rouge ! – (tremper dans le beurre)
- Avec un gonsse comme mézig qui trempe dans le beurre et la connaît dans les coins, ça tournera au rouge ! – (y avoir du rouge)
- Biches, morues, dossières ou roulasses, c'est de la bouscaille, ni plus ni moins, sur quoi qu'y faut cogner ou planter ! – (roulasse)
- Biches, morues, dossières ou roulasses, c'est de la bouscaille, ni plus ni moins, sur quoi qu'y faut cogner ou planter ! – (dossière)
- Biches, morues, dossières ou roulasses, c'est de la bouscaille, ni plus ni moins, sur quoi qu'y faut cogner ou planter ! – (biche)
- Biches, morues, dossières ou roulasses, c'est de la bouscaille, ni plus ni moins, sur quoi qu'y faut cogner ou planter ! – (bouscaille)
- Biches, morues, dossières ou roulasses, c'est de la bouscaille, ni plus ni moins, sur quoi qu'y faut cogner ou planter ! – (planter)
- T'es t'y un homme ou une chiffe, La Teigne ? – (chiffe)
- Faut dresser ta largue ou tu seras plaqué, aussi vrai que mon glacis est sec ! – (être plaqué)
- Faut dresser ta largue ou tu seras plaqué, aussi vrai que mon glacis est sec ! – (sec)
- Je m'enfilerais bien un rhum, mais j'ai pas le rond – (s'enfiler)
- Je m'enfilerais bien un rhum, mais j'ai pas le rond – (rond)
- –Je m'enfilerais bien un rhum, mais j'ai pas le rond. –C'est bon, je régale ! – (régaler)
- Au lieu qu'elle me rapportait ses vingt balles du persil… – (aller au persil)
- On avait trouvé de quoi lézarder, tu comprends, alors… – (lézarder)
- si adroitement assassiné que la police y perdait son flair – (flair)
- j'ai mené la môme à Joinville voir couler l'eau et pousser les fleurs… Ça y a tourné la tête… Elle ne veut plus rien savoir du turbin – (tourner la tête)
- Elle ne veut plus rien savoir du turbin, que je la raisonne ou que je lui frotte le dos – (frotter le dos)
- J'ai que tu es plus poire que si tu serais sur une assiette ! – (poire)
- Ton zig, c'en est un qu'elle se paye, la Coque… – (se payer)
- La preuve ?… Ah ! mince !… On n'a qu'à fouiner !… – (fouiner)
- T'en as trop dit pour me lâcher… – (lâcher)
- Pour moi y a pas d'erreur… nib de Facchino là-haut ! – (nib)
- Monte.. Je vas me creuser le citron en t'attendant.. – (se creuser le citron)
- Ah ! mon vieux !… Faut que je les mange !… Je sens plus mes poings !… – (manger qqun)
- Acrè ! souffla-t-il. Je les renifle ! – (renifler)
- Moi, je suis Marie la Nèfle... On a biché ensemble à Grenelle... Le béguin me dure toujours pour toi. – (bicher ensemble)
- Le béguin me dure toujours pour toi – (béguin)
- Ah ! ma claque de vos giries, les gosses ! – (en avoir sa claque)
- Ah ! ma claque de vos giries, les gosses ! – (giries)
- Avez-vous requinqué ma môme, d'abord ? – (requinquer)
- Incrédule et fataliste, M. La Teigne conclut, lissant ses accroche-coeurs – (accroche-coeurs)
- C'est tant pire, si les poteaux rigolent de nos viandes ! – (viande)
- En liquette, les punaises ! – (punaise)
- On est d'attaque ! fit M. Le Barbillon par jeu – (d'attaque)
- leur imputant à crime la défection des autres et à honte d'être mal taillés pour la lutte – (être taillé)
- Barrez-vous, les gosses, y a que du lait dans vos bras et le rouge pas pisser ici ! – (que du lait dans les bras)
- Barrez-vous, les gosses, y a que du lait dans vos bras et le rouge pas pisser ici ! – (rouge)
- Vas-tu te faire la paire aussi, toi ? – (se faire la paire)
- –Vas-tu te faire la paire aussi, toi ? –Je suis pas flemme, quoi ! protesta l'autre – (flemme)
- T'inquiète pas pour moi, je connais le mec… Pour toi, ça ferait du vilain… Trotte ! que je te dis !… – (du vilain)
- T'inquiète pas pour moi, je connais le mec… Pour toi, ça ferait du vilain.. Trotte ! que je te dis !… – (se trotter)
- Si jamais tu touches au petit, t'es donné, je te préviens… et tu montes à la butte… – (être donné)
- Si jamais tu touches au petit, t'es donné, je te préviens.. et tu montes à la butte.. – (monter à la butte)
- Il chercha du regard M. Le Barbillon qui s'était esquivé et, fermant son couteau, haineux, renié de tous, il murmura : - Ah ! flippe !.. on se reverra ! – (flippe)
- Mince de rigolade, alorsse ! – (mince !, alorss)
- Ben, quoi ? mets-toi au panier ! lui conseilla M. La Dame – (panier)
- –Ben, quoi ? mets-toi au panier ! lui conseilla M. La Dame. –Tiens, c'est vrai, je suis là que je prends racine… – (prendre racine)
- –Les priantes, on n'est pas embêté avec ? – (priante)
- Celle-là, c'est du pain blanc.. On l'appelle soeur Sainte-Apolline.. Y aurait qu'elle, ah ! tout le bat' serait là à sucer des tisanes ! – (c'est du pain blanc)
- Elle [bonne soeur] vous barbe bien un peu, avec ses histoires de ratiche – (ratiche)
- mais ça n'empêche, elle ne cafarde rien au sonde… – (sonde)
- Bébert !… Le Tigre !… Tu dors ?… J'ai le taf… – (taf)
- j'y mangerai le coeur et le glorieux cuira ses tripes !... – (glorieux)
- Ça te regarde-t-y, toi ? Bas les pattes !… – (bas les pattes !)
- M'en as-tu assez jaspiné pour me dégoûter d'elle ! – (jaspiner)
- c'est des nouvelles de Paris qui me font louf… – (louf)
- On ferait une bouchée de toi, avec un peu de colère !… C'est ça, que je te gobe… et t'es quand même un homme – (gober)
- on peut jamais se gaffer dedans [tes yeux]… Ne bouge plus… là… ouvre-les, tes clairs… cherche au fond des miens… – (gaffer)
- Ne bouge plus... là... ouvre-les, tes clairs... cherche au fond des miens... – (clair)
- Tu sais, avec une gueulette comme ça, tu pourrais faire le mômaque... – (gueulette)
- Tu sais, avec une gueulette comme ça, tu pourrais faire le mômaque.. – (momacque)
- C'est histoire de causer, quoi ! Môssieu ne va pas mousser pour un mot ? – (mousser)
- D'abord, moi, je méprise personne… que les riches, parce que ceux-là !… les lopes y font pas de tort au monde, en tout cas – (lope)
- je peux jurer que t'es le preu que Coquelicot lui a ouvert son coeur – (preu)
- Et d'avoir bu de son sang, dans la neige que le mien me frottait sur les baiseuses, j'ai cru à des choses – (baiseuses)
- J'avais pas d'homme à moi !… on s'est mis ensemble !… – (se mettre avec)
- Mais c'est pas le Tigre, ah ! non !.. Celui-là les châsses n'y tournent pas et y tape par-devant – (tourner les châsses)
- leurs muscles l'avaient pipé et ils l'avaient ébloui de la joie dont elle distribuait tant par servitude – (piper)
- Alors, c'est vrai, Facchi, tu manges à la Judée !.. Toi !.. Une casserole !.. – (manger à la Judée)
- Alors, c'est vrai, Facchi, tu manges à la Judée !… Toi !… Une casserole !… – (casserole)
- Tes boniments, tes lichades, c'était de la frime !… un battage pour poser ton gluau !… – (frime, lichade, battage, poser un gluau)
- Qu'est-ce que t'attends donc pour m'emballer ?… Saint-Lago, c'est pour les poufiasses comme moi – (Saint-Lago)
- Qu'est-ce que t'attends donc pour m'emballer ?… Saint-Lago, c'est pour les poufiasses comme moi – (pouffiasse)
- Sans toi, La Teigne serait à l'ombre en espérant la juste et la butte au bout de son rouleau ! – (la juste)
- Sans toi, La Teigne serait à l'ombre en espérant la juste et la butte au bout de son rouleau ! – (espère un peu)
- Sans toi, La Teigne serait à l'ombre en espérant la juste et la butte au bout de son rouleau ! – (17599)
- et elle zézaya : –Je m'ai un peu mordu la menteuse… On n'en claque pas, vas !… – (menteuse)
- Elle tira une langue sanglante et déchirée qu'elle eût voulue atroce, pour apitoyer davantage le petit homme. Affairé, il emplissait la chambre de sa gesticulation vive : –Ah ! tu t'es fadée, on peut le dire !… Faut laver ça… – (se fader)
- se battant les hanches pour indiquer combien elle souffrait : - Elle me cuit, la garce – (17601)
- Tu m'as flairé comme, moi, je t'avais reconnue – (flairer)
- On ne se parlait pas, du temps que tu marmitais avec Le Tigre – (marmiter)
- Mais comme je rentrais, une nuit, je vous ai senti un trac, à La Teigne et à toi – (trac)
- Je vous rembroquais, l'esgourde collée au mur – (rembroquer)
- Ça me chantait de savoir… – (chanter)
- Bref, notre métier, quand on y est, on l'a dans la peau – (avoir dans la peau)
- –Quel métier ? –Fais pas ta Sophie, quoi !… J'en suis de la rousse, parbleu ! – (faire sa Sophie)
- À cause que je marque bien, on m'avait mis à surbiner les types de la haute – (marquer)
- A cause que je marque bien, on m'avait mis à surbiner les types de la haute – (surbiner)
- À cause que je marque bien, on m'avait mis à surbiner les types de la haute – (la haute)
- Sans faire ma poussière, je peux dire qu'y m'avait remouché dans ses sorties – (faire sa poussière)
- Alors, tu le vois bien, les affaires de ton mec, c'est pas ma partie… – (partie)
- Tout de même, j'étais en goût de connaître pourquoi que jaspiniez à la muette – (être en goût de)
- Tout de même, j'étais en goût de connaître pourquoi que jaspiniez à la muette – (à la muette)
- et puis y t'a fait allumer la camoufle... J'ai entendu craquer la soufrante – (soufrante)
- 'Six cents balles !' que gueulait La Teigne.. Tu parles, si je voulais vous renarder, après ça ! – (renarder)
- À la voir claquer de taf, quand t'as eu crié : « On n'a rien fait ! » j'ai compris qu'il avait dû machiner un sale coup – (machiner)
- Le gobage m'a fait louf auprès de toi, quand La Teigne a roupillé – (gobage)
- Le gobage m'a fait louf auprès de toi, quand La Teigne a roupillé – (louf)
- À la morgue, où t'étais à lorgner le macchabée, j'ai eu peur que tu te livres !… C'était plein de mouches… – (mouche)
- La « jeunesse des Écoles », attirée par sa nouveauté, lui jeta le mouchoir – (jeter le mouchoir)
- Ah ! ma crotte !… mon gosse !… mon Jésus doré ! s'écria-t-elle – (ma crotte)
- J'étais avec lui quand il a descendu le singe... – (singe)
- Tant pire ! Il me faut de l'air quand même !.. C'est de la bidoche à marrons, ces vendus-là ! – (bidoche à marrons)
- S'il avait moins chéri l'absinthe, le mêlé-cassis et les 'pompiers', selon l'heure des journées, au cours de sa carrière martiale, ce héros disponible aurait peut-être mieux résisté au sommeil – (pompier)
- 'La pâlotte renifle, bon Dieu', murmura-t-il – (pâlotte)
- D'un danger, M. Bébert tomba dans un autre : le clair de lune divulguait les formes à une extrême distance et il n'y avait de sécurité nulle part. « La pâlotte renifle, bon Dieu ! » murmura-t-il. – (renifler)
- C'est le jorne !… Faudrait voir à caleter – (jorne)
- C'est le jorne !… Faudrait voir à caleter – (calter)
- Le chameau !… Me crosser avec !… Le sonner, là !… – (crosser)
- « Oh ! un singe ! » La vue d'un officier qui venait, raide, à quelques mètres, lui arracha cette exclamation – (singe)
- Une fois ou deux, elle avait tenté de séduire ce Français robuste aux prunelles impassibles. Ses agaceries savantes ne le troublèrent pas – (17614)
- Gueule pas, l'Arbi, ou je te fricasse ! – (fricasser)
- Et qu'on me prenne pas dans ta niche à poux, où je me paierais sur ta carcasse ! – (niche à poux)
- Allons, ouste, la Fatmuche, faut y passer ! s'écria le Joyeux – (fatmuche)
- Allons, ouste, la Fatmuche, faut y passer ! s'écria le Joyeux – (y passer)
- T'es trop moche, la rouquine, pour qu'on y retourne à te faire boum ! C'est bon quand on est sur le sable, fauché de sa largue et dans la mouise, à claquer des dominos dans le vide – (faire boum)
- T'es trop moche, la rouquine, pour qu'on y retourne à te faire boum ! C'est bon quand on est sur le sable, fauché de sa largue et dans la mouise, à claquer des dominos dans le vide – (fauché)
- T'es trop moche, la rouquine, pour qu'on y retourne à te faire boum ! C'est bon quand on est sur le sable, fauché de sa largue et dans la mouise, à claquer des dominos dans le vide – (claquer des dominos dans le vide)
- Ah ! rouchie ! te faudrait de la carotte d'Afrique et que je tourne en poire jaune !.. – (carotte d'Afrique)
- Ah ! rouchie ! te faudrait de la carotte d'Afrique et que je tourne en poire jaune !.. – (17620)
- Les michetons, faut qu'y gantent... ou tu prendras la pipe !... – (ganter)
- Les clients, faut qu'y gantent… ou tu prendras la pipe !… – (filer la pipe)
- ça fait huit jours qu'elle s'a trotté, et ça fait huit jours qu'on carapate, La Teigne et moi, à fouiner partout Reuilly – (carapater)
- ça fait huit jours qu'on carapate, La Teigne et moi, fouiner partout Reuilly, où qu'elle se piaulle avec sa fausse-couche ! – (piauler)
- Nib de leur viande ! – (viande)
- ça fait huit jours qu'on carapate, La Teigne et moi, à fouiller Reuilly, où qu'elle piaulle avec sa fausse-couche ! Nib de leur viande ! Pas plus de traînée qu'un becquant dans l'air ou un pâmeur en Seine – (becquant)
- Pas plus de traînée qu'un becquant dans l'air ou qu'un pâmeur en Seine – (pâmeur)
- Pas plus de traînée qu'un becquant dans l'air ou un pâmeur en Seine, ni vu ni connu, débrouille-moi ça, Thomas ! Il en rote, le mec, et c'est pas de briffer !… – (en roter)
- C'est la môme Coquelicot qu'y veut !... et ça lui cavale dur la sorbonne... Mezig en a sa claque de trotter... – (cavaler dur la sorbonne)
- Va-t-y rabouler, dis, Le Barbillon ? – (rabouler)
- Tiens, c'est toi, Marie la Nèfle ?… T'en rigoles, du frère ?… Ça te venge de l'autre soir qui t'a bafrée sa détosse ? […] –J'y en veux pas pas, à La Teigne… Y me prendra quand y voudra… – (détosse)
- –[…] Y me prendra quand y voudra… –Rien que ça pour ta crigne, La Nèfle ! – (crigne)
- Après Coquelicot, il y trouverait un cheveu, à te faire duchesse !… – (cheveu)
- Après Coquelicot, il y trouverait un cheveu, à te faire duchesse !... – (duchesse)
- Elle se sentit rougir, vida d'un trait son 'raspail' – (raspail)
- N'empêche que le pognon radine et qu'une feignante et moi ça fait pas les deux soeurs – (radiner)
- N'empêche que le pognon radine et qu'une feignante et moi ça fait pas les deux soeurs – (ça fait pas les deux soeurs)
- Y a plus de vent que de solide dans sa panse plate.. ça l'aide à marcher ! – (plus de vent que de solide dans sa panse plate)
- Vas-y d'un rhum !… – (y aller de)
- –Ça boulotte, La Nèfle ? – (boulotter)
- –Ça colle, chochotte, on ira demain ! – (chochotte)
- Il se racontait, avec la coquetterie des jeunes hommes qui ont beaucoup vu et pataugé dans la boue sociale – (76438)
- quand j'y vois pas, c'est que je boucle mes clairs – (boucler)
- Tu voudrais poser ta praline en douceur, petit chameau ? – (poser sa praline)
- Y a pas la presse de s'offrir aux marrons pour un mec qu'aura rien de plus pressé que de prendre ma place au chaud… – (pas la presse)
- Y a pas la presse de s'offrir aux marrons pour un mec qu'aura rien de plus pressé que de prendre ma place au chaud.. – (s'offrir aux marrons)
- Quand Bébert y sera là, y aura plus personne que lui pour ma peau et que moi pour la sienne ! – (peau)
- –C'est bon !… La ferme !… si t'as pas mieux à bonir ! – (la fermer)
- –C'est bon !… La ferme !… si t'as pas mieux à bonir ! – (bonnir)
- J'en ai marre de ce mec-là, tu sais, la Coque ! Veille à ce qu'y ne me pue pas trop au nez à force d'entendre tes chansons ! – (puer au nez)
- J'en ai marre de ce mec-là, tu sais, la Coque ! Veille à ce qu'y ne me pue pas trop au nez à force d'entendre tes chansons ! – (chanson)
- On va toujours voir, à Reuilly, si y a une babillarde.. Et des fois que le chiffon serait aux serres de La Teigne, on y causerait ! – (chiffon)
- On va toujours voir, à Reuilly, si y a une babillarde.. Et des fois que le chiffon serait aux serres de La Teigne, on y causerait ! – (serre)
- et ça, « c'est couru », comme disent les barons du crottin ! – (couru)
- et ça, 'c'est couru', comment disent les barons du crottin ! – (baron du crottin)
- Je me planterai en bas, sur le trottoir, en face de la croisée – (se planter)
- –[…] Tu vas pas croire que c'est la trouille de La Teigne qui me fera rester ?.. - Loufeton, va ! – (loufeton)
- Tu lui dis que j'attends… et que dans cinq broquilles… – (broquille)
- si tu ne reviens pas avec la lettre, c'est bibi qui monte la chercher et le paroissien avec – (paroissien)
- Je mange pas du pain de Judée – (manger du pain du Judée)
- Fais pas de magnes !… – (magne)
- Si y avait du raffut là-haut, à se cogner, ça pourrait mal tourner pour lui – (raffut)
- –La fuite, wagon à bestiaux, ponante, casserole ! – (wagon à bestiaux)
- On m'attend en bas, avec la babillarde du Tigre que t'as barbotée – (barboter)
- La Nèfle !.. Mes compliments, La Teigne, t'as de quoi nager !.. Y a plus frais, mais y a plus dégueulasse que ta Marie !.. et c'est encore trop bath pour tes foies pâles !.. – (nager)
- La Nèfle !… Mes compliments, La Teigne, t'as de quoi nager !… Y a plus frais, mais y a plus dégueulasse que ta Marie !… et c'est encore trop bath pour tes foies pâles !… – (foies pâles)
- Rembroque voir celui qui poireaute en face… ça te coupera la chique… – (couper la chique)
- Vaut mieux connaître contre qui on met ses brêmes – (brême)
- S'agit que d'avancer dans ta piaulle et la colique te mord !.. – (mordu par la colique)
- Y n'aurait qu'à monter ici… et tu serais fauché… – (être fauché)
- Le refroidi du boulevard Diderot, ça lui trotte dans la toupie... – (toupie)
- Sans moi, tu serais à l'ombre, y a beau ! – (y a beau)
- Allons, refile moi la lettre, ou le gosse va t'amener la reniflette ici ! – (reniflette)
- Elle m'en aurait pas dit la moitié, qu'elle la dansait par la fenêtre – (la danser par la fenêtre)
- T'oserais pas dire que j'ai le trac de Coquelicot et de son demi-setier ? – (demi-setier)
- Et je descends mon type sans broncher… à preuve, celui qu'elle disait… que j'ai dégelé sur le boul' Dide' – (dégeler)
- Et je descends mon type sans broncher… à preuve, celui qu'elle disait… que j'ai dégelé sur le boul' Dide' – (boul' Dide')
- Y a rien de cassé, mézig est bon ! – (mézigue)
- Ah ! la gironde !… la femelle !… Quelle panuche à menouille on en ferait, à Pantruche ! murmura-t-il. Il entendait ainsi que la vénusté de Mlle Fathma impressionnerait les Parisiens et qu'ils lui feraient largesse – (panuche)
- Ah ! Fathma !... Tu m'enfrayes !... tu m'engueuses !... T'es trop bath !... – (enfrayer)
- Ah ! Fathma !… Tu m'enfrayes !… tu m'engueuses !… T'es trop bath !… – (engueuser)
- Ah ! Fathma !… Tu m'enfrayes !… tu m'engueuses !… T'es trop bath !… – (trop X)
- Y a que Bébert, je te dis !.. Y a que Le Tigre, ça se sait l'Arbiche ! – (arbiche)
- Il priait Allah de guérir sa pupille du « roumi » et d'en purger la maison – (roumi)
- Alors, tu me cherches ? demanda l'autre, prêt à frapper – (chercher qqun)
- C'est mon dardant, mon grand, mon beau, mon roi ! Je suis mûre, rien que d'y penser ! – (dardant)
- C'est mon dardant, mon grand, mon beau, mon roi ! Je suis mûre, rien que d'y penser ! – (mûr)
- Si j'aurès de l'instruksion ge te diret mieu se ki ma passez par le battant à voire ta laitre – (battant)
- Tu peut leur dirre à Reuilli ke cet pas ton Bebert kon pace au jône ! – (passer au jaune [?])
- t'as l'air soûle à s'y gourer ! dit-il – (gourer)
- Tout ça pour un bout de papier où que le mec bat des bancs – (battre des bancs)
- Et coupes là-dedans, une dégourdie comme toi ! – (dégourdi)
- Lis ce qu'y met, Facchi, avant de baver dessus… – (baver)
- Tu me fais pas crème, va !.. C'est Bébert que t'as dans la peau ! – (faire crème)
- –On peut se mettre là, Facchi ? proposa-t-elle, ayant reconnu le cabaret. -C'est gai !... Un vrai chopin, le bazar !... – (chopin)
- –On peut se mettre là, Facchi ? proposa-t-elle, ayant reconnu le cabaret. –C'est gai !… Un vrai chopin, le bazar !… – (bazar)
- J'en ai mare, tu sais, ma petite, de faire les extras ! – (extra)
- Je me dégoûte à manger du blanc – (manger du blanc)
- Je vas reprendre le turbin… Y sont pas durs à la Judée pour les frères – (Judée)
- Pas besoin de faire une tête comme si tu bouffais une loche ! – (faire une tête comme si tu bouffais une loche)
- Après La Teigne, c'est toi, pauvre môme, qu'y va purger ! – (purger)
- T'es mon pépin, toi, ma gosse, ma largue… et je lui défends de te toucher… – (pépin)
- Tant qu'à moi, je reprends mon orgue demain… je retourne à Jérusalem… – (Jérusalem)
- Laisse pisser le mérinos, ma fille.. Tout s'arrange dans la vie ! – (laisser pisser le mouton)
- Si je tombais dans la sauce, tu viendrais y goûter... – (sauce)
- Y les enflera toutes, le mec, et, des dattes, qu'on le pigerait ! – (enfler)
- Y les enflera toutes, le mec, et, des dattes, qu'on le pigerait ! – (piger)
- Qu'est-ce que t'aurais mangé, toi qui pose au fendant... – (poser)
- Qu'est-ce que t'aurais mangé, toi qui pose au fendant... – (fendant)
- Y a besoin que d'un oeil, Tourmort, pour dégoter que la trouille te coupe les flancs ! – (couper les flancs)
- Me cherche pas, le fourbi te cuirait – (fourbi)
- –Me cherche pas, le fourbi te cuirait… espèce de gau ! –C'est toi qui me cherches, guiche à la manque !… Et d'abord, répète un peu que je suis un gau ! – (gau)
- C'est toi qui me cherches, guiche à la manque ! – (guiche)
- On te mangerait, si t'étais pas si sale – (manger qqun)
- Avance, que je te crève l'autre, escargot ! – (escargot)
- c'est-y quand vos dames ont des ennuis qu'on va se bouffer le nez !… C'est le moment qu'y faut s'unir… au contraire… – (se manger le nez)
- Le Barbillon, t'as commencé : tu y es de la première tournée.. – (y être de)
- Tant qu'à moi, j'offre la belle.. pour qu'y ait pas de jaloux ! – (belle)
- Le bistro a raison – (bistrot)
- Qu'est-ce que tu prends ?… Moi, ce sera une menthe verte, patron. –Itou, dit M. Tourmort, offrant sa blague à tabac – (itou)
- Y a plus d'hommes, misère !… Les engueulades, ça tourne en eau de boudin ! – (tourner en eau de boudin)
- Ta bouche, Croquignole, ou bien on te sort ! menaça le limonadier placide – (sortir qqun)
- trapue, le regard canaille, un nez flaireur et bref, orienté au plafond – (canaille)
- Regardez si c'est chouette ! montra l'amant. Le mufle y a enlevé deux piltoches des plus moutes… et ça y fait un trou quand elle rigole – (piloche)
- Regardez si c'est chouette ! montra l'amant. Le mufle y a enlevé deux piltoches des plus moutes.. et ça y fait un trou quand elle rigole – (mout)
- Moi aussi, le cochon m'a fait sauter un domino sur le devant ! – (domino)
- Faut pincer ce mec-là, que je te dis, et en faire du froid ! – (faire du froid)
- Elle aussi, la camelotte, a fallu qu'elle y passe – (camelote)
- Allons ! fais voir… espèce de cruche ! – (cruche)
- Y lui a tiré deux crocs… en plein milieu ! – (croc)
- Tu pouvais donc pas te garder à carreau !… – (à carreau)
- Ça donne confiance au miché, tu parles !… T'as l'air plombée, avec tes claquantes en moins !… – (plombé)
- Ça donne confiance au miché, tu parles !… T'as l'air plombée, avec tes claquantes en moins !… – (tu parles !)
- Ça donne confiance au miché, tu parles !.. T'as l'air plombée, avec tes claquantes en moins !.. – (claquante)
- Suffit pas de zerver comme une Wallace ! – (zerver)
- Du vitriol pour moi… Un vinéraire pour la gosse – (vitriol)
- C'est-y pour demain, tortue ? – (tortue)
- Pictanche, va, ça te remettra les sangs pour jaspiner !.. – (remettre les sangs)
- Dis ce que t'as à dire, sans chichi – (chichi)
- Y m'a causé… au coin de la rue de Chaligny… Un type ronflant, avec des bottines à boutons, du linge et une redingue… – (ronflant)
- Y m'a menée sous un mouchard à bec : 'Fais voir tes dents', qu'y me dit – (mouchard à bec)
- On a été chez Thomas… où que c'est propre… vu qui marchait pour un cigue – (marcher)
- C'est bon… Quoi ! tu vas pas nous montrer ta tirelire ! interrompit M. La Teigne. D'un doux regard de ses yeux très bleus, elle lui reprocha les mauvais rires déclanchés par se remarque obscène – (tirelire)
- Après, y s'est frusqué en deux temps… – (frusquer)
- Qu'est-ce que ça peut bien être, que ce mastic-là ? – (mastic)
- Croquignole, si tu nous coures, on te sort, tu sais ! – (courir)
- Une vieille comme bibiche, ça en a vu de toutes les couleurs, mon petit – (bibiche)
- Et si je n'en prends que quatre ronds, de ta saloperie, ça prouve pas que ma pauvre gueule de détosse ne s'a pas rincée avec du champagne, du temps qu'elle faisait risette à des marquis… à des huppés… oui, môssieu ! – (détosse)
- du temps qu'elle faisait risette à des marquis… à des huppés… oui, môssieu ! – (huppé)
- Heu ! heu ! mes caillettes.. je suis été où vous n'irez pas ! – (caillette)
- T'as bien l'oignon de me croire, La Teigne ! – (avoir l'oignon de)
- on l'a coffré.. et il a passé à la poivrière.. – (poivrière)
- Y ne faisait pas ça par vice, le cochon, comme y en a de ces hommes à passions.. – (homme à passions)
- C'était un dentiste… Comme celui d'aujourd'hui, y ne levait que le plus bath en fait de dents… pas des clous de girofle… – (clou de girofle)
- Pourquoi qu'y faisait ça, ton quenottier, la petite mère ? Ça n'est pas le Pérou, une piltoche ! – (quenottier)
- Pourquoi qu'y faisait ça, ton quenottier, la petite mère ? Ça n'est pas le Pérou, une piltoche ! – (pas le Pérou)
- N'empêche qu'à piquer des orphelins, on nourrit son homme ! – (piquer)
- N'empêche qu'à piquer des orphelins, on nourrit son homme ! – (orphelin)
- Quelle tourte ! dit-il – (tourte)
- Les tracasseries d'une magistrature paperassière, si elles avaient isolé M. Vérougnat à l'ombre d'un cachot, lui valurent ensuite la considération des aristocrates fraternels et turbulents de Reuilly – (paperassier)
- Et puis, tiens, vlà La Teigne qui va annoncer l'atout – (annoncer l'atout)
- À toi de tenir le crachoir !… C'est tes affaires, après tout – (tenir le crachoir)
- Qu'est-ce que t'as à ribouler des calots comme un meulard qu'on va saigner, hein ? – (ribouler des calots)
- Qu'est-ce que t'as à ribouler des calots comme un meulard qu'on va saigner, hein ? – (meulard)
- On t'a dit de quoi y bat, sacristain ? – (battre)
- On t'a dit de quoi y bat, sacristain ? – (sacristain)
- et t'as plus qu'à savoir une chose : c'est qu'on t'envoie dormir si quelqu'un nous dérange ! – (envoyer dormir)
- Manque la môme Tambour… Cette rosse-là, faut toujours qu'elle pose du lapin ! – (poser un lapin)
- Ben quoi, La Teigne, t'as l'air de refouler ? – (refouler)
- Ma v'là, mes crottes, et si je suis en retard, je peux dire que j'ai tricoté ! – (tricoter)
- Tâte, pour voir, Titine, dit-elle, et elle porta la main à son front, sous les mèches frisées, la main de Mlle Titine. Celle-ci témoigna : –C'est vrai, qu'elle est en eau ! – (en eau)
- Montons, la coterie ! – (coterie)
- T'as qu'un clair et t'y vois double, guigne à gauche ! – (guigne à gauche)
- Y voit mieux, avec un clignot, que toi avec ta paire, mon petit – (clignot)
- Mince de tronches, oh ! la la ! – (tronche)
- Ton plomb, Titine ! Y a du friquet… – (fermer son plomb)
- Ton plomb, Titine ! Y a du friquet… – (friquet)
- Du friquet ? T'as ça dans le caisson, pas possible ! – (caisson)
- Y en a, que je te dis ! hurla M. La Teigne… On nous regonse… Nous avons une mouvette sur le poil ! – (regonser)
- Y en a, que je te dis ! hurla M. La Teigne.. On nous regonse.. Nous avons une mouvette sur le poil ! – (mouvette)
- Y en a, que je te dis ! hurla M. La Teigne… On nous regonse… Nous avons une mouvette sur le poil ! – (sur le poil)
- C'est pourtant pas pour les clebs qu'y tourne son moulin, le raille ! – (tourner son moulin)
- Je l'ai reluqué : il en est ! – (en être)
- Bien sûr, La Teigne, que t'as pas peur !… T'en boufferais dix comme Tourmort, si tu te montrais ! – (bouffer)
- Y a pas le temps de flemmer… En route ! – (flemmer)
- Toi, l'Auverpin, c'est compris ?... Pour neuf heures, et nib de viande là-haut... – (nib de viande)
- Et turbine, tu sais ! – (turbiner)
- Fais pas du mauvais... ça porte jamais chance.. – (faire du mauvais)
- N'oublie pas de faire tomber la chaise quand ce sera mûr de nous montrer – (mûr)
- En se penchant à peine, Mme Vérougnat aperçut le passager pour Cythère – (passager pour Cythère)
- Un sifflement vrilla : « pi-ouit ! ». Un autre, lointain, répondit – (pi-ouit)
- Tu finis par me trotter, à me servir tes raisons de boche, Tourmort ! – (trotter)
- Tu finis par me trotter, à me servir tes raisons de boche, Tourmort ! – (servir)
- Tu finis par me trotter, à me servir tes raisons de boche, Tourmort ! – (raisons de boche)
- T'as la gueule à l'envers, La Teigne... T'es donc qu'une chiffe, quoi ! – (avoir la gueule à l'envers)
- T'as la gueule à l'envers, La Teigne… T'es donc qu'une chiffe, quoi ! – (chiffe)
- Si t'as la flemme, tiens le rif… que je fasse le fourbi – (rif)
- Si t'as la flemme, tiens le rif... que je fasse le fourbi... – (fourbi)
- je vas-t-y lui faire du tilleul, à ce bourgeois qu'a esquinté mes largues ! – (bourgeois)
- Quand tu m'as parlé, ça m'a fait plaisir, parce que t'as le genre anglais… Moi, je les gobe, les Angliches – (angliche)
- Qu'est-ce que t'attends, petite pie, pour te déshabiller ? – (pie)
- Fadez-le, les hommes !… Ah ! je voudrais l'entendre gueuler, le cochon ! – (se fader)
- Nom de Dieu ! je vas y serrer la vis... comme à un cleb... – (serrer la vis)
- Laisse-le… ou je te brûle ! ordonna M. La Teigne à voix basse. M. Tourmort restait sur les genoux, devant le revolver qui le menaçait – (brûler)
- Ben quoi !… tu la perds !… – (la perdre)
- Tu veux donc qu'y chante à la rousse… – (chanter)
- Tu vois donc pas qu'il est cramsé… – (clamsé)
- Je veux sa peau, au frère… je la veux !… – (vouloir la peau de)
- N'y touche pas, Tourmort, ou je fais cracher le bagof !… – (bagof)
- t'ostine pas... Le pante est fait, je crois bien... – (être fait)
- On se reverra, soulasse ! dit-il – (soulasse)
- on saura t'empêcher de nager à Reuilly.. – (nager)
- je te sauterais dessus… pour bouffer tes sales foies blancs ! – (avoir les foies blancs)
- Sonde les profondes.. et pose tout sur la table.. – (sonder)
- C'est la môme qui va carmer en bas d'une tune ! – (carmer)
- La petite a filé !… Je me suis fait entôler !… – (entôler)
- Votre affaire est nette, tas de fripouilles ! – (3078)
- Pour ce qui serait de se payer ma tronche, je m'appelle Le Tigre, ici comme à Reuilly où que le plus costeau ne s'y frotterait pas ! – (se payer la tronche)
- Tu crânerais pas tant, si tu n'avais pas toute cette séquelle de cabots et d'hommes pour défendre ta peau ! – (cabot)
- M. Le Tigre le vit piquer des deux, prendre la tête de la caravane – (piquer des deux)
- Oh ! mince… les zouzous ! Je leur en souhaite, aux birbes ! – (zouzou)
- Oh ! mince… les zouzous ! Je leur en souhaite, aux birbes ! – (birbe)
- Y n'auront toujours pas ma carne, les cochons – (ma carne)
- Elle ne partira donc jamais dans le jus, cette sale carcasse de bateau ! – (jus)
- Ça sera du pareil au même avec toi, La Teigne : Bébert te cassera... – (casser)
- Tu baves et tu crois qu'y lansquine ! – (baver)
- La Teigne est dans le sac... Il était de l'affaire du Poirier... Je l'avais donné – (être dans le sac)
- Ça c'est écrit quelque part… Un testament, quoi ! si t'avais des fois l'idée de me faire moucher par l'autre ! – (moucher)
- on le cueillera… comme une poire – (cueillir)
- Et je serai là pour piger la hure qu'y fera – (hure)
- Peuh ! Tu ne seras jamais qu'un broche à la mie de pain ! – (broche)
- Ensuite, elle se chatouilla les lèvres, d'un bâton de rouge gras… Elle se poudra les joues, refit ses accroche-coeurs à l'Espagnole – (accroche-coeurs)
- Je suis parée, faut larguer !' s'écria-t-elle. Et elle dit encore : 'C'est l'heure de battre mon quart...' – (17719)
- Je suis parée, faut larguer ! s'écria-t-elle. Et elle dit encore : « C'est l'heure de battre mon quart… » – (quart)
- Ayant compté l'argent qu'elle possédait, elle se parla ainsi : « On est braisarde, la petite mère […] » – (braisard)
- Ici, ça schlingue le roussi ! – (schlinguer)
- Je suis gironde à les dégotter toutes – (dégotter)
- Mange-le, Tourmort ! cria quelqu'un – (manger qqun)
- et si on n'a pas vengé nos femmes, c'est que le trac lui vidait les boyaux ! – (trac)
- On me connaît à Grenelle et ici !… Je sais manger du pain rouge, Tourmort, et tu feras accroire à personne que La Teigne y flanche ! – (manger du pain rouge)
- Coquelicot peut le dire, si tu t'époufferais pas devant Le Tigre, si y radinait – (s'épouffer)
- y rappliquera Bébert pour te mettre un tabac !… – (tabac)
- y reviendra Bébert pour te mettre un tabac !.. T'en sues des tifs et les fumerons te manquent sous le ballon ! – (en suer des tifs)
- y reviendra Bébert pour te mettre un tabac !... T'en sues des tifs et les fumerons te manquent sous le ballon ! – (les fumerons te manquent sous le ballon)
- Viens-y donc, que je te bouffe, gouache en meringue ! – (gouache en meringue)
- Comme la porte du fond cédait derrière lui, il recommanda au 'verseur' qui nettoyait : - Tu mettras du sable.. – (verseur)
- Aboule ma masse ! commanda-t-il – (12301)
- un flot de larmes noya les myosotis tendres de ses yeux. - J'aime pas les chialleuses, La Nèfle ! dit l'homme cyniquement – (chialleuse)
- Quoi ! faut pas se laisser aller, Bébert !… On arrive… y a rien de fêlant à ça !… on arrive, vlà tout – (fêlant)
- on connaît Coquelicot, ta môme.. Et t'es renoblé !.. – (être renoblé)
- Y a qu'un tigre à Parouart – (Parouart)
- On a enflacqué ma gonzesse et je bouffe du vent – (enflaquer)
- On a enflacqué ma gonzesse et je bouffe du vent – (bouffer du vent)
- Je la crève – (la crever)
- entrons icigo ! C'était une buvette obscure – (icigo)
- la lame brilla moins que le regard exalté dont il suivait les mouvements de l'arme solide à son poing. –C'est bon !… Ça tient bien en croche… – (croche)
- Une môme à relever… à la Basto… je me barre ! – (la relever)
- Une môme à relever.. à la Basto.. je me barre – (la Basto)
- y m'a refilé le surin… c'est pas des façons de Judée, tout de même ! – (Judée)
- Ah ! que je le déterre, bon Dieu ! – (17731)
- Je m'en doutais.. vois-tu.. je traînassais.. je voulais pas rappliquer.. – (traînasser)
- Lui ou moi, y en a un qui doit fader l'autre avant qu'on se piaulle – (se fader)
- Lui ou moi, y en a un qui doit fader l'autre avant qu'on se piaulle – (piauler)
- T'attendras bien une heure la pauvreté ! – (pauvreté)
- tu lui couleras ça dans l'esgourde.. que je l'attends.. sur la berge.. – (couler en douceur qqchose à qqun)
- Ses deux « épouses » l'y visitaient, rapportant qu'il divaguait – (épouse)
- Y a le barbillon qui marmiterait bien avec toi, La Nèfle – (marmiter)
- Y cligne à gauche.. ça fait que tu pourrais te payer des fantaisies à droite.. des fois que ça te dirait – (cligner à gauche)
- Fais pas ta chipie, va ! – (chipie)
- Fais pas ta chipie, va !… C'est un chopin que ce type-là, et t'es pas si dessalée d'abord ! – (chopin)
- Fais pas ta chipie, va !… C'est un chopin que ce type-là, et t'es pas si dessalée d'abord ! – (dessalé)
- Je veux que tu causes, La Nèfle… ou tu vas la danser ! – (la danser)
- Et toi, Barbillon, décolle ta viande ! – (décoller sa viande)
- Si y m'attend… y a pas de presse… – (pas la presse)
- Nom de Dieu ! une verte, que j'ai dit !… pas une môminette ! – (mominette)
- T'es pas le curieux tout de même… pour me tirer les vers du taze ! – (tirer les vers du nez)
- T'es pas le curieux tout de même… pour me tirer les vers du taze ! – (tasse)
- Je suis vannée...Viens nous pieuter... Je finirai de bonir en béquillant... – (béquiller)
- Tu défargues… T'es vert… de trac ! – (défarguer)
- il est pas sur terre et sa dabesse est claquée – (dabesse)
- Et l'autre ?… Y caponne, hein ? – Y me suit… la trouille au ventre – (caponner)
- –Chut !… Y a du pet !… Allume !… – (pet)
- –Chut !… Y a du pet !… Allume !… – (allumer)
- y ne bougera pas du rendez-vous… à preuve qui vient de dévisser… Il est bon le frère – (dévisser)
- y ne bougera pas du rendez-vous… à preuve qui vient de dévisser… Il est bon le frère – (être bon)
- et du savant édifice de sa coiffure, il ne demeura que les deux accroche-cœurs plaqués sous ses tempes – (accroche-coeurs)
- Je peux pourtant pas poireauter ici… comme si j'attendais le roi d'Angleterre – (poireauter)
- j'aurais dû te sentir !… Tu rôdais… On t'avait allumé… au bar… sale Corse ! – (allumer)
- C'est pour toi, que je n'ai pas livré La Teigne !.. Oui, il aurait mangé chez le juge.. – (manger sur qqun)
- Oui, il aurait mangé chez le juge… pour le bonhomme que vous avez esquinté ensemble… et t'aurais été dans le sac ! – (esquinter)
- Oui, il aurait mangé chez le juge.. pour le bonhomme que vous avez esquinté ensemble.. et t'aurais été dans le sac ! – (être dans le sac)
- Y a pas de mec pour te tirer de là !.. Y en a pas un qui pourrait me faire le poil, nom de Dieu ! – (faire le poil)
- Dis donc où qu'elle t'a pigé, ta vieille, que t'es si moute – (piger)
- Y les enflera toutes, le mec, et, des dattes, qu'on le pigerait ! – (des dattes)
- Dis donc où qu'elle t'a pigé, ta vieille, que t'es si moute – (mout)
- Ah ! dis-moi quelque chose... petit chameau... au lieu de te laisser faire... à la coule... en peinard... – (à la coule)
- Ah ! dis-moi quelque chose… petit chameau… au lieu de te laisser faire… à la coule… en peinard… – (peinard)
- Y en aura pas deux… sur toute la terre… pour se gaffer comme nous ! – (gaffer)
- Moi, y pouvait me reconobrer… À cause que j'y avais passé mon lingue… j'avais qu'à pas me montrer – (reconobrer)
- Jy ! maintenant le v'là bon : Biribi pour le moins.. – (être bon)
- Biribi pour le moins… La Nouvelle, pour sûr, quand la juste l'aura salé – (la Nouvelle)
- Biribi pour le moins… La Nouvelle, pour sûr, quand la juste l'aura salé – (la juste)
- Biribi pour le moins… La Nouvelle, pour sûr, quand la juste l'aura salé – (saler)
- aboule-moi le perlot – (perlot)
- Oui, quoi ! remue-toi les puces... dégrouille... les cibiches sont là... contre mon galurin – (se remuer les puces)
- Oui, quoi ! remue-toi les puces… dégrouille… les cibiches sont là… contre mon galurin – (cibiche)
- Oui, quoi ! remue-toi les puces… dégrouille… les cibiches sont là… contre mon galurin – (galurin)
- Assez de plat, la môme ! – (plat)
- Le paquet et du rif… qu'on en grille une ! – (rif)
- Le paquet et du rif… qu'on en grille une ! – (griller)
- Ah ! la ferme, tu sais ! Il est fauché… faut plus en causer… – (être fauché)
- On s'arrangera pour qu'y n'en bave pas trop sur toi… chez le curieux – (baver)
- Et si je n'en prends que quatre ronds, de ta saloperie, ça prouve pas que ma pauvre gueule de détosse ne s'a pas rincée avec du champagne, du temps qu'elle faisait risette à des marquis... à des huppés... oui, môssieu ! – (môssieu)
- Après le turbin, t'es à moi, mets-toi bien ça dans la citrouille !... – (se mettre qqchose dans la citrouille)
- De vrai ? disaient les auditeurs incrédules. –Vrai, comme j'ai qu'un oeil ! affirma M. Le Barbillon [borgne]. Il se mouilla les phalangettes de salive et il étendit sa droite au-dessus du comptoir, avant de reprendre – (pour de vrai)
- De vrai ? disaient les auditeurs incrédules. –Vrai, comme j'ai qu'un oeil ! affirma M. Le Barbillon [borgne]. Il se mouilla les phalangettes de salive et il étendit sa droite au-dessus du comptoir, avant de reprendre – (vrai comme [argument authentique])
- De vrai ? disaient les auditeurs incrédules. –Vrai, comme j'ai qu'un oeil ! affirma M. Le Barbillon [borgne]. Il se mouilla les phalangettes de salive et il étendit sa droite au-dessus du comptoir, avant de reprendre – (70308)
- je vous le dis, ça fait huit jours qu'elle s'a trotté – (se trotter)
- ça fait huit jours qu'on carapate, La Teigne et moi, à fouiller Reuilly, où qu'elle piaulle avec sa fausse-couche ! Nib de leur viande ! Pas plus de traînée qu'un becquant dans l'air ou un pâmeur en Seine – (nib de viande)
- ça fait huit jours qu'on carapate, La Teigne et moi, à fouiller Reuilly, où qu'elle piaulle avec sa fausse-couche ! Nib de leur viande ! Pas plus de traînée qu'un becquant dans l'air ou un pâmeur en Seine – (pas plus de X qu'un becquant dans l'air ou un pâmeur en Seine)
- Pas plus de traînée qu'un becquant dans l'air ou un pâmeur en Seine, ni vu ni connu, débrouille-moi ça, Thomas ! – (ni vu, ni connu)
- La gerse, c'est tout de même pas ce qui manque, observa un disciple ingénu de Schopenhauer. – (gerce)
- C'est la môme Coquelicot qu'y veut !… et ça lui cavale dur la sorbonne… Mezig en a sa claque de trotter… – (mézigue)
- C'est la môme Coquelicot qu'y veut !… et ça lui cavale dur la sorbonne… Mezig en a sa claque de trotter… – (en avoir sa claque)
- Y a même plus un verre au bout, tellement que la purée le garnit !… –Ah ! mince !… – (purée)
- Y a même plus un verre au bout, tellement que la purée le garnit !… –Ah ! mince !… – (mince !)
- Y a même plus un verre au bout, tellement que la purée le garnit !... –Ah ! mince !... – (au bout)
- Va-t-y rabouler, dis, Le Barbillon ? – (dis)
- Suffit pas de zerver comme une Wallace ! – (comme une wallace)
- –Te fais pas de mousse !… Là… on connaît Coquelicot, ta môme… Et t'es renoblé !… Y a qu'un Tigre à Parouart ! – (se faire de la mousse)
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