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Citations relevées dans “La poupée, dans Racaille et parias” (1914)

Cette page réunit toutes les citations relevées dans La poupée, dans Racaille et parias, avec l'entrée qui y est attachée.

  • « Le Père Noël, c'est de la blague !… c'est les parents qui font les cadeaux… quand ils le peuvent. » – (de la blague)
  • moi, que je sois content, qu'est-ce que ça peut fiche ? – (ficher)
  • –Naturellement : moi, que je sois content, qu'est-ce que ça peut fiche ? –Mon chérie, tu sais bien… –Assez de licheries… On voit que ça ne te coûte rien !… Tu as beau faire une tête de… de… Et puis, je suis bien bon de causer… Il me les faut, ces dix francs… Voilà tout ! –Tu sais pourtant que, si je veux les garder, c'est pas pour moi… – (licherie)
  • –L'argent, qui c'est qui la gagne ici ?… Moi ou toi ? – (argent)
  • –Tu vas pourtant pas me reprocher ce que nous te coûtons, la petite et moi ! Je le gagne bien, du reste, à tenir le ménage, à cuisiner, laver, raccommoder. –N'en jette plus !… – (n'en jetez plus)
  • –Maman ! ma petite mère chérie ! –Qu'est-ce qui te prend, à toi ? –Je ne veux pas que tu aies de la peine ! –Ah ! mon trésor, mon amour ! – (mon trésor)
  • Va-t'en jouer dans ta chambre, ma poulette, que je fasse mon déjeuner tranquille… Va ! – (ma poulette)
  • Si elle ne t'avait pas, il y a beau temps qu'elle ne serait plus ici… comme une bête à l'attache ! – (comme une bête à l'attache)
  • Enfin, où que tu vas ? –Si on te le demande, tu diras que tu n'en sais rien ! – (si on te le demande tu diras que tu n'en sais rien)
  • Pour avoir, le matin, dit les mêmes mots [que sa mère] à sa poupée, Vovotte lui adressa un clin d'oeil : il traduisait sa fierté de s'exprimer, à sa guise, comme une « grande personne ». – (grande personne, clin d'oeil)
  • la poupée n'était plus, contre le coeur de l'enfant, qu'une très pauvre chose. « Elle a bien du bobo, la petite Noële… Elle a bien du bobo… » – (bobo)

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