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Citations relevées dans “Paris passionnément” (1970)

Cette page réunit toutes les citations relevées dans Paris passionnément, avec l'entrée qui y est attachée.

  • À dix-neuf ans, j'étais de ces gamins qui se prennent pour des « tombeurs » parce qu'ils ont peloté les nichons de quelques jouvencelles ou planté leur queue dans la conasse trop hospitalière de deux ou trois putains. – (tombeur, queue)
  • mon père était alors cloué sur une chaise longue par une sciatique – (cloué au lit)
  • Et je n'aurais rien pu lui apprendre de l'amour puisqu'en ce domaine, j'étais un cancre. – (cancre)
  • Durant toute notre vie nous aurions donc continué, elle, de m'ouvrir ses cuisses avec résignation, uniquement par devoir conjugal, moi, de la tringler comme un béotien, soit pour l'engrosser, soit afin de vider égoïstement le trop plein de mes burnes. – (écarter les cuisses, tringler, béotien, engrosser, se vider les couilles)
  • Bref, nous aurions connu la triste existence de bien des couples pour lesquels le birouttage se résume à une simple formalité hygiénique. – (birouttage)
  • livrant passage à une jeune femme dont l'élégant tailleur noir sculptait un corps dont il n'était certes pas exagéré de qualifier le sex appeal de « tapageur ». – (40853)
  • Quoi ? s'exclama-t-elle, vous n'allez tout de même pas me dire qu'à votre âge vous êtes puceau ? Évidemment, je m'empressai de lui affirmer que j'avais déjà trempé mon goupillon dans quelques bénitiers. – (puceau, tremper son goupillon dans un bénitier)
  • Aussi, dus-je avouer que les quelques pouffiasses que j'avais enfilées s'étaient préoccupées davantage du contenu de mon portefeuille que de mon érudition érotique. – (pouffiasse)
  • Vous voudriez donc vous marier, s'indigna-t-elle, sans même avoir appris à mignoter une moniche ?… Mais vous allez au-devant de la catastrophe. – (moniche)
  • –Taquine-moi le bouton, dit-elle…, lentement… Obéissant, je glissai mon index entre les nymphettes. Et je trouvai aisément le clitounet fièrement érigé. – (bouton, 57517, clitounet)
  • Ses soupirs, ses gémissements m'avaient mis en confiance. Et d'un pouce impérieux, je lui ramonai le vagin. –Oh ! chéri, cria Mariana…, chéri, comme tu me branles… – (ramoner)
  • chéri, comme tu me branles… ah !… mais tu vas me faire jouir… aah !… aah !… Sa chagatte était pleine de mouille. Ça coulait le long de mes doigts. – (chagatte, mouille)
  • Deux cuisses, riches de chair saine, se refermèrent instantanément sur mon visage tandis que des effluves de con exaspéré, de vagin bouillonnant de jus, pénétraient mes narines. – (jus)
  • –Suce-moi… […] Vite, chéri…, gougnote… j'attends… j'ai besoin que tu me suces… […] ne te fais pas prier… remue-la, ta langue… occupe-toi de mon gentil clitounet. – (gougnotter, clitounet, sucer)
  • Aussitôt, je me mis à lécher ce qu'il est convenu de considérer comme le lieu géométrique des jouissances lesbiennes. – (76111)
  • Chéri…, plonge ta langue dans mon con, maintenant… plus loin… encore plus loin… fais-la tournoyer dans ma chagasse… que je la sente partout… ah !… chéri ! – (chagasse)
  • Oh ! la belle bite, dit-elle…, ce qu'elle est grosse… ce qu'elle est dure… ce qu'elle est longue… tu es bien monté, mon chou…, tu auras de quoi l'amuser, ta bergère. – (être bien monté, bergère)
  • il ne suffit pas de posséder un bel engin… encore faut-il savoir s'en servir. – (engin)
  • Un cul, me dit alors ma compagne, ça a été créé pour être mignoté. Alors, vas-y ! Ne te gêne pas. De mes mains, guère assurées, j'effleurai ces rondeurs bondissantes. – (rondeurs)
  • Désirs lubriques qui me poussèrent à approcher mes doigts de l'anus, à glisser un index sournois dans le trou de balle. –Oh ! Tony, cria ma partenaire… oui… branle-moi le troufignon… – (trou de balle, troufignon)
  • Je n'aurais jamais cru qu'une femme – hormis les détraquées et les putasses – puisse jouir en se faisant masturber l'anus. J'en avais des choses à apprendre ! – (putasse)
  • –Tu aimes me renifler le cul ? demanda Mariana. –Oui, j'aime… –Tu aimerais me le sucer ? –Je… oui…, bien sûr… J'étais littéralement stupéfait. Gougnoter le troufignon d'une fille, jamais je n'aurais osé le faire. – (gougnotter)
  • Retirant mon doigt de l'anus, j'approchai de la divine rosace une bouche gourmande. J'adorais sucer le doux oeillet au parfum de merde… – (rosace, oeillet)
  • Comme la jeune femme était penchée en avant et que je m'énervais un peu, je tardai à enfoncer mon braquemart dans le con. N'en pouvant plus d'attendre, Mariana glissa une main entre ses jambes, s'empara de ma bite et l'enfouit elle-même dans sa baveuse. Aussitôt, je me découvris une impétuosité de pirate. – (baveuse)
  • J'éperonnais la chagatte avec une fureur de corsaire se lançant à l'abordage. – (chagatte)
  • ce que tu es brutal… oh !… quand tu dépucelleras une jouvencelle, il faudra y aller un peu plus en douceur, Tony… – (dépuceler)
  • j'adore que tu me prennes comme un barbare… ta femme aussi tu la prendras ainsi… mais auparavant, il aura fallu que tu passes des heures à lui limer consciencieusement le cui-cui, à le creuser, à l'élargir aux dimensions de ton boute-joie… – (prendre, cui-cui, boute-joie)
  • Il y a une certaine période pendant laquelle nous ne risquons pas de tels désagréments [de tomber enceinte]. Aussi, avant de vider tes couilles, dois-tu t'assurer si ta partenaire peut accueillir ton sperme… – (se vider les couilles)
  • Mon petit, la plupart des donzelles aiment qu'on leur ramone le cul. Évidemment, au début, il faut se montrer très doux, très compréhensif… – (ramoner)
  • Tout d'abord, tu te contentes de lui caresser l'anus, de le lui branler… puis tu suces, tu lubrifies son orifice de salive… enfin, tu essayes de glisser dans l'anus le bout de ta queue… à la première plainte, tu interromps l'enculette… – (enculette)
  • peu à peu, tu te rendras compte que le troufignon assimile plus aisément ton braquemuche. Et soudain tu seras tout surpris d'y enfoncer ta pine sans que ta compagne ait même protesté… – (braquemuche)
  • D'une voix toute cassée, elle m'apprit que sa rondelle ayant été perforée depuis belle lurette, je n'avais pas besoin, avec elle, de prendre de telles précautions. – (rondelle)
  • Nerveusement, avec des gestes maladroits, j'approchai ma queue de la rosace. – (rosace)
  • Ah ! que c'était bon… Comme je me trouvais bien dans ce boyau étroit qui faisait à ma queue une gaine de chairs brûlantes. Il me semblait que ce fourreau vivant aspirait tout mon vit… – (étroit boyau, fourreau)
  • Aussi, à peine eus-je donné trois ou quatre coups de bite que je déchargeai. – (bite)
  • à peine eus-je donné trois ou quatre coups de bite que je déchargeai. J'avais fait preuve d'une hâte intempestive. Mariana en parut atrocement déçue. –Gâcheur ! dit-elle…, tu aurais au moins pu attendre que j'aie joui. – (gâcheur)
  • elle me quittait en me souhaitant de remporter durant mon séjour à Paris, d'éclatantes victoires et de devenir ainsi un maître du birouttage. – (birouttage)
  • –Pour se maintenir en excellente condition physique, je connais un sport bien plus efficace que le trop classique footing. Elle n'ajouta pas que ce sport était le fameux zizi-panpan… mais je le compris aisément – (zizi-panpan)
  • Comme elle me branlait, la garce ! Ce qu'elle le manoeuvrait, le capuchon de peau. – (27670)
  • Durant un court instant, secouant lentement ses fesses, elle frôla mon braquemart de son humide toison. C'était délicieux, sur le gland, ce doux, cet exaspérant effleurement pileux. – (toison)
  • Soudain, poussant un cri d'hystérique, elle s'embrocha à ma hallebarde. Ce fut rapide mais si sauvage que je crus que cette refoulée se transperçait jusqu'à la matrice. – (hallebarde, embrocher)
  • Chaque fois qu'elle s'empalait à mon mandrin, j'avais l'impression qu'elle allait réduire mes couilles en bouillie. – (mandrin)
  • Elle s'agitait avec une violence sans cesse redoublée. Et la bite meurtrie, les testicules en marmelade, j'avais l'impression d'être un fragile esquif à la merci d'une tempête qui allait devenir un cyclone – (en marmelade)
  • elle se contenta d'effleurer de ses mains maladroites, soit ses petits nichons déjà gonflés de sève, soit ses cuisses parcourues de mille frémissements, soit encore sa motte sur laquelle foisonnaient quelques touffes de poils blonds. – (motte)
  • Puis peu à peu, ses doigts se firent plus habiles et ses caresses plus précises. Elle apprit à se chatouiller le clito. Elle apprit à se branler la chagasse. – (clito, chagasse)
  • Aussi, lorsque ses amis lui présentèrent Hervé, elle crut, en présence de cet athlète au profil viril et aux épaules de déménageur, se trouver devant un de ces biroutteurs qui étaient devenus les héros de ses rêves. – (biroutteur)
  • Un flot de chaleur incendiant ses joues, envahissant jusqu'à sa minouche, la jeune fille se découvrit alors si vulnérable qu'elle n'eut pas le courage de simuler la moindre résistance. – (minouche)
  • Index de magicien qui se faufilait entre les nymphettes, effleurait une crête de chair, toute durcie, puis avec mille précautions, s'enfonçait dans la moniche encore si serrée. – (57517, monticule de chair)
  • Et presque aussitôt, la jeune femme sentit contre le velours interne d'une de ses cuisses toute la dureté d'une biroutte qu'elle était prête à accueillir jusqu'au plus loin de son mirely. – (biroute, mirely)
  • après avoir jeté un timide regard vers ce qui aurait dû être une vigueur triomphante, elle s'aperçut qu'à la place de cet obélisque de chair, il n'y avait plus qu'un atroce néant. – (obélisque de chair)
  • Comme il chatouillait son bouton, cet index de virtuose. Comme il la branluchait, cet index de corsaire. –C'est trop bon… – (bouton, branlucher)
  • cet amas de mousse blonde qui foisonnait au-dessus de ses cuisses de nymphette. – (mousse)
  • Se faire mignoter le cui-cui, elle savait déjà que c'était délicieux. Mais par contre, elle n'aurait jamais soupçonné que se laisser masturber le troufignon pourrait à ce point l'exciter. – (cui-cui)
  • Elle avait envie qu'une bite lui perfore le cul et lui défonce la moniche. – (perforer)
  • Durant quelques jours, la jeune femme ne connut de l'amour que des caresses, des branlettes, des gougnotages qui, au lieu de calmer les exigences de sa chair, ne faisaient évidemment que les aviver, les rendre presque insupportables. – (gougnotage)
  • une main, brûlante de désir, s'égara au-dessus des jarretelles sur un anneau de chair frissonnante – (anneau de chair)
  • la jeune femme laissa un doigt tentaculaire se glisser dans sa moniche déjà toute dégoulinante de jus. – (jus)
  • Pourquoi faire ta chichiteuse ? lança-t-il. Tu as envie d'une queue. Je le sais. Alors, laisse-moi t'enfiler. – (chichiteux)
  • C'est bon ? demandait-il parfois tout en lui ramonant le vagin d'un pouce agissant. –Oh ! oui, c'est bon… – (ramoner)
  • je me cacherai dans la salle de bains… ton partenaire ne soupçonnera pas ma présence… j'ai envie de voir ta conasse enquillée par une grosse bite… – (enquillé)
  • Hervé l'avait si bien branluchée que lorsque l'inconnu toqua discrètement contre la porte, ce fut une diablesse qui lui ouvrit. Et, s'agenouillant sur le bord du lit, les reins creusés, la croupe tendue, Pascaline se laissa enfiler avec des brâmements de plaisir. – (branlucher)
  • Son mari qui, des lueurs de démence dans le regard, ne devait pas quitter des yeux cette verge vigoureuse par laquelle son épouse était magnifiquement enquillée. – (enquillé)
  • La belle queue !… qu'elle est grosse… elle a encore envie de moi, cette biroutte… – (biroute)
  • Moi je te boufferai le conin, dit-il. Quant à ce garçon, il s'occupera activement de ton troufignon. – (conin)
  • Son mari se mit de nouveau à gougnoter la mosette qui était à hauteur de sa bouche. – (mosette)
  • –Non, dit Mariana…, si la mosette se caresse avec douceur, maintenant [avec le cul] il te faut agir comme un soudard. – (mosette)
  • Et elles m'excitaient ces petites fesses rebondies. De les voir s'agiter, tressauter, ça me scalpait les nerfs. – (76126)
  • Tenant mon engin à pleine main, j'en dirigeai le gland vers le trou de balle qui avait été déjà gaillardement éperonné, car je n'eus aucune difficulté à y introduire mon hallebarde. – (hallebarde)
  • ah !… être tout à la fois gougnotée et enculée, c'est atrocement bon… – (gougnotter)
  • Je me fracassais rageusement dans ce troufignon. –Tiens, je t'enquille, salope… il est content, hein, ton mari ? –Oui, gémit Pascaline, il est heureux que tu me rendes heureuse. –Il aime ça que je te lime le cul ? […] Ça l'excite de te lécher la conasse pendant que je t'empapaoute ? – (enquiller, empapaouter, limer)
  • –Vous êtes des cinglés ! –Oui, Tony !… –Vous êtes des détraqués ! –Oui, Tony… –Vous êtes de la graine de partouzards ! –Oui, Tony. – (partousard, graine de X)
  • mon mari et moi, nous sommes des désaxés, des anormaux, des monstres… mais qu'importe, puisque nous nous aimons ! – (désaxé)
  • Mais il suffisait d'imaginer ce gros lard en caleçon court et support-chaussettes, des masses de graisse croulant de toutes parts et la sueur luisant sur sa peau de pachyderme pour comprendre que seule l'importance de son compte en banque pouvait lui permettre de remporter des succès qui, en l'occurence, n'avaient rien de flatteur. – (gros lard)
  • Tandis qu'une chanteuse réaliste essayait d'encanailler son public, je ne cessais de fixer Lolita, assise en face de moi. Parfois, les nerfs scalpés, je croyais la revoir en train d'escamoter un jupon blanc – (76126)
  • elle m'apparaissait debout sous le feu des projecteurs, telle une statue de chair, un mince triangle flamboyant se découpant à la fourche de ses cuisses – (triangle)
  • Il faut admettre que dans son bled [en province], l'effeuillage ne se pratique guère que dans la secrète intimité de l'alcôve. Et encore, il paraît que certaines provinciales n'osent même pas dévoiler leurs charmes devant leur mari ! – (bled, effeuillage)
  • comme c'était la première fois que je pénétrais dans un hôtel en galante compagnie, je m'étais senti stupidement mal à l'aise sous les regards égrillards du larbin au gilet tigré – (larbin)
  • dans cette chambre aussi anonyme que toutes celles accueillant des couples illégitimes et les habitués du « cinq à sept » – (cinq-à-sept)
  • Et Lolita laissa échapper un soupir quand, ayant frôlé un mamelon charnu, tout hérissé, je le fis rouler entre le pouce et l'index avec une douceur exaspérante. – (51404)
  • tandis que son slip, à fine résille rose, ne cachait rien ou presque de l'étrange fleur sombre qui s'épanouissait à la fourche des cuisses. – (76127, fourche)
  • je m'agenouillai à ses pieds, les yeux braqués sur les profondeurs de sa chagasse au-dessus de laquelle l'épaisse fourrure noire se profilait comme un bouclier. – (chagasse)
  • Et de l'index je me mis à titiller le clitounet, érigé comme une bite de chiot. – (clitounet)
  • Soudain, elle bascula en arrière, sur le lit. Cette fois, me glissant au-dessus d'elle, ce fut dans la vivante chair de ses doudounes entre lesquelles coulait un mince ruisselet de sueur que j'enfouis ma bouche. – (doudounes)
  • Faisant rouler entre mes dents un mamelon aussi savoureux qu'une framboise des bois, je le mordillais tendrement, avec une évidente gourmandise. – (framboise)
  • Accrochée à mes épaules, elle se soulevait vers moi, donnait de frénétiques coups de reins qui me permettaient de la défoncer avec encore plus de violence. – (coup de rein)
  • Puis ma langue frétillante effleura la rosace mordorée de l'anus avant de plonger dans des profondeurs où stagnait une odeur fétide qui exaspéra mes sens. – (rosace)
  • Ayant craché un peu de salive dans l'étroit orifice, je m'empressai d'y introduire mon pouce. Lolita se mit à gueuler de plaisir. – (orifice étroit)
  • Et j'agis en l'occurrence avec la maîtrise d'un sodomiste accompli. –Oh ! le salaud, hurlait Lolita…, aah !… bandit… brigand !… ce que tu as déjà dû en ramoner des trous de balle… – (74388)
  • mon orgueil satisfait, je réalisai alors que les leçons de Mariana et mon expérience avec Pascaline avaient porté leurs fruits. Désormais rassuré sur mon avenir de biroutteur, je déchargeai dans ce con de putasse. – (biroutteur, putasse)
  • Les muscles meurtris, le crâne douloureux, le cerveau vidé jusqu'à la moelle, je ne songeais plus également qu'à sombrer dans un sommeil réparateur. – (jusqu'à la moelle)
  • Une fois dans ma chambre, je roulai tout habillé sur le lit. Et je m'endormis comme une brute. – (dormir comme une brute)
  • Un instant plus tard, je me trouvai chez Merlot, un escogriffe au crâne en pain de sucre et dont la seule passion, dans l'existence, semblait être de collectionner les soldats de plomb. – (crâne en pain de sucre)
  • Ayant pu me débarrasser, non sans mal, de ce pot de colle, je quittais l'immeuble – (pot de colle)
  • Et mes lèvres insatiables s'égaraient maintenant sur la chair ferme d'un sein d'albâtre, effleuraient une aréole blonde, toute durcie, au centre de laquelle se hérissait une savoureuse framboise que je mordillais savamment – (framboise)
  • Impossible d'aller faire dodo, sans avoir tout d'abord enfilé quelque conasse accueillante. Je me mis en chasse. Je draguai sur les boulevards, dans les bars, dans les dancings. Mais ce soir-là, toutes les filles comestibles étaient déjà en main. – (être en main, comestible)
  • malgré le désir qui me taraudait, je me refusais à forniquer de laissés pour compte. Grimper une matrone toute débordante de graisse ou essayer de me divertir avec le sac d'os de quelque maigrichonne, très peu pour moi. – (grimper, laissé-pour-compte, sac d'os, maigrichon, très peu pour moi)
  • Évidemment, vers la Madeleine, je rencontrai bien quelques nanas aux charmes éloquents… Mais ces charmes, elles les monnayaient ces putasses ! – (putasse)
  • Mais ces charmes, elles les monnayaient, ces putasses ! Depuis quarante-huit heures, j'avais remporté des succès trop flatteurs pour me résigner à jouer le rôle humiliant du « miché ». – (miché)
  • Lorsque j'en eus assez d'arpenter les rues à la recherche de l'oiseau rare, il fallut bien me résoudre à rejoindre la pension de famille. – (oiseau rare)
  • Et comme, une fois seul dans ma chambre, je ne pus trouver le sommeil, je m'employai activement à vider le trop plein de mes couilles… – (se vider les couilles)
  • Mon mari ne s'est jamais occupé de moi […] Seuls l'intéressent ses soldats de plomb. De plus, en amour, c'est un véritable iceberg. Si, d'aventure, il vient se glisser dans mon lit, ce n'est pas de désir que je frissonne, mais de froid. – (froid comme un iceberg)
  • elle s'allongea sur la mousse, les bras en croix, ses jambes repliées et légèrement écartées ne cachant rien de son cui-cui… […] je m'agenouillai près de ma compagne et jetai aussitôt ma main vers cette minouche… – (cui-cui, minouche)
  • Je lui ramonai la chagasse à un rythme de plus en plus rapide. Son con était si plein de mouille que mon index y entrait comme dans un bloc de margarine fondue. – (chagasse)
  • Chéri…, prends-moi… je la veux, ta queue… j'en ai besoin… mon mari me la met si rarement… et encore, ce gougnafier fait l'amour comme les oiseaux… trois coups de pine et hop ! il décharge, sans se soucier de moi… – (mettre, gougnafier, hop !)
  • Me jetant sur Edwige, je lui écartai les cuisses. Et je m'apprêtais à l'enquiller lorsque soudain, poussant un cri de frayeur, cette garce me fit rouler à son côté. – (enquiller)
  • La garce ! Mais elle prenait un malin plaisir à me mettre dans tous mes états ! – (53391)
  • alors que j'étais déjà prêt à planter mon étendard en terre conquise, Edwige avait, une fois de plus, joué les biches effarouchées. – (planter son étendard, jouer les biches effarouchées)
  • malgré ses protestations, je l'aurais défoncée avec une ardeur décuplée par l'attente qu'elle m'avait imposée. Je l'aurais empapaoutée. Je lui aurais limé la moniche. – (limer)
  • bouche gourmande qui devait aimer gougnoter les moniches, pomper les grosses bites, se régaler indifféremment de mouille et de sperme – (pomper)
  • Tenant toujours une de ses doudounes à pleine main, j'en approchai le mamelon de mes lèvres, comme s'il s'était agi d'un biberon. Et je me mis à aspirer ce bouton de rose, tout érigé, tout durci. – (doudounes, bouton de rose)
  • Je la pilonnais. Je lui démolissais la matrice. – (pilonner)
  • Je continuais de l'éperonner. Je poussais de plus en plus fort, de plus en plus loin. C'était comme si j'avais voulu que mon engin l'étripaille, la pourfende jusqu'au gosier, ressorte par sa bouche. – (éperonner)
  • Et tu jouiras salope ? –Oh ! que je jouirai… –Alors, vas-y !… tiens… envoie-toi en l'air… –Aah ! Tony !… Tony !… –Tu jouis ? –Je jouis, Tony…, aah !… je jouis !… – (s'envoyer en l'air)
  • On ne t'a donc jamais ramoné le trou de balle ?… –Jamais, chéri… Suppliante, elle ajouta : –Tu ne vas pas essayer, n'est-ce pas ?… non… je ne veux pas… ça me ferait trop de mal… non, Tony… J'aurais bien voulu lui casser le pot à Edwige. – (casser le pot)
  • –Tu n'as donc encore jamais savouré de sperme… –Oh ! non…, même si mon mari avait voulu, j'aurais refusé. –En quoi tu aurais eu tort… toutes les donzelles adorent se régaler de cet élixir… – (élixir)
  • Retirant ma queue de sa cramouille, j'allai m'agenouiller au-dessus du visage de la jeune femme. – (cramouille)
  • Elles se tordaient au sol, comme des couleuvres en amour. – (71288)
  • Tout en offrant son cui-cui à ma bite, Malou ne cessait de branlucher sa partenaire. Et ces deux putasses haletaient. – (branlucher)
  • Cette fois, ce fut au-dessus d'Edwige que je m'accroupis. Je la barattai. Je la forniquai. – (baratter)
  • De nouveau, ce fut le con de Malou que je ramonai. Durant de longs instants, il en fut ainsi. À la fin, je ne savais plus très bien quelle était la moniche que j'étais en train d'empapaouter. – (empapaouter)
  • ma queue faisant preuve d'une endurance étonnante, je ne pensais plus qu'à enfiler ces cons de putasse… … à les pilonner… …à les défoncer. – (pilonner)
  • qui me poussèrent à approcher mes doigts de l'anus, à glisser un index sournois dans le trou de balle. […] Mon doigt naviguait dans l'étroit boyau. – (étroit boyau)
  • M'étant installé dans un compartiment vide, je m'écroulai comme une masse sur la banquette. – (s'endormir comme une masse)
  • Mon sommeil ne tarda pas à être hanté par toutes les baiseuses qui, durant mon séjour à Paris, avaient transformé le gamin ignare que j'étais en un tringleur accompli… – (baiseuse, tringleur)

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