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Citations relevées dans “Cambrioleurs et caroubleurs” (1890)

Cette page réunit toutes les citations relevées dans Cambrioleurs et caroubleurs, avec l'entrée qui y est attachée.

  • Dans l'argot des voleurs, « rincer une cambriole » c'est dévaliser une chambre, par extension tout un appartement ou tout un hôtel. – (rincer une cambriole)
  • Employer à cet effet [rincer une cambriole] les fausses clefs c'est « caroubler ». – (caroubler)
  • Et c'est pourquoi les Parisiens contemporains se demandent avec stupéfaction pour quelle cause mystérieuse les successeurs de MM. Debelleyme et Anglès à la Préfecture de police font si souvent buisson creux. – (faire buisson creux)
  • Il tombe cependant sous le sens que, seuls, des agents habillés en bourgeois peuvent déjouer les projets du cambriolage et du caroublage en guettant sur les trottoirs tout individu à allures louches – (caroublage)
  • Avec ses patrouilles à heures régulières, il [le gendarme] gêne aussi peu ce dernier [le voleur] que les carabiniers d'opérette, en arrivant trop tard. – (qui arrive comme les carabiniers)
  • qui ne délient complètement la langue que sur la vue de pièces sonnantes et trébuchantes. – (74762)
  • Ce verre, au surplus, s'il le paie de sa poche, n'aurait guère de chances de lui être remboursé rue de Jérusalem. – (rue de Jérusalem)
  • ils feraient mieux de s'adresser plus souvent à d'anciens militaires pourvus d'excellentes notes, qui n'auraient pas froid aux yeux et auxquels les voleurs ne croiront pas pouvoir passer facilement la jambe s'ils se croisent avec eux dans l'escalier – (passer la jambe)

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