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Citations relevées dans “Les rues de Paris. Mélodrame populaire en 6 actes et 8 tableaux. représenté pour la première fois, à Paris, sur le théâtre de l'ambigu-comique, le 26 août 1854” (1854)

Cette page réunit toutes les citations relevées dans Les rues de Paris. Mélodrame populaire en 6 actes et 8 tableaux. représenté pour la première fois, à Paris, sur le théâtre de l'ambigu-comique, le 26 août 1854, avec l'entrée qui y est attachée.

  • Ça sera-t-il long ? –Trois minutes, monsieur. –Trois minutes !… toujours la même chanson !… voilà plus d'un quart d'heure que je pose. – (poser)
  • Ça sera-t-il long ? –Trois minutes, monsieur. –Trois minutes !… toujours la même chanson !… voilà plus d'un quart d'heure que je pose. – (la même chanson)
  • Et ça va bien ? –Ça boulotte… ça boulotte ! – (boulotter)
  • La sage-femme dit que c'est tout mon portrait. – (être le portrait de)
  • Bah ! vous pensez encore à cela… au bout de deux ans… vous avez la mémoire longue. –Et vous trop courte, à ce que je vois. – (avoir la mémoire courte)
  • Parce qu'étant employé chez vous, j'ai subtilisé une légère somme de trois cents francs… à titre d'à-compte sur ma pension de retraite… voilà-t-il pas une belle affaire pour un richard comme vous… – (voilà t'y pas)
  • Parce qu'étant employé chez vous, j'ai subtilisé une légère somme de trois cents francs… à titre d'à-compte sur ma pension de retraite… voilà-t-il pas une belle affaire pour un richard comme vous… pour un banquier… – (richard)
  • Parce qu'étant employé chez vous, j'ai subtilisé une légère somme de trois cents francs… à titre d'à-compte sur ma pension de retraite… voilà-t-il pas une belle affaire pour un richard comme vous… Vous m'avez fourré à la porte… – (foutre à la porte)
  • J'ai été léger, soit, mais après tout, monsieur Dubreuil, à tout péché miséricorde. – (65625)
  • on ne fume pas ici. –Bah !… ça incommode la société ? –Certainement !… ça fait tousser Toto ! –De quoi, Toto !… votre chien ? –Mon fils, monsieur !… – (Toto)
  • un petit emploi de voyageur… pour vous représenter dans nos départements… je renonce à la pipe et je me colle du chic. – (chic)
  • je désirerais avoir une voiture de place... voyez donc aux stations environnantes. -Un cabriolet milord ?... connu !... j'y vole, mon bourgeois. – (connu !)
  • je désirerais avoir une voiture de place... voyez donc aux stations environnantes. -Un cabriolet milord ?... connu !... j'y vole, mon bourgeois. – (milord)
  • Oh ! la la !… prenez donc garde, sapristie ! – (sapristi !)
  • Regardez-moi bien… vous ne me remettez pas ? Ernest Bougival… de Lons-le-Saulnier… –Ah ! mille pardons !… j'y suis… – (remettre)
  • Regardez-moi bien… vous ne me remettez pas ? Ernest Bougival… de Lons-le-Saulnier… –Ah ! mille pardons !… j'y suis… – (j'y suis)
  • Regardez-moi bien… vous ne me remettez pas ? Ernest Bougival… de Lons-le-Saulnier… –Ah ! mille pardons !… j'y suis… – (mille pardons)
  • Figurez-vous que j'ai un guignon, un sort, une fatalité, un je ne sais quoi qui me poursuit… je ne peux pas mettre les pieds dans une rue sans qu'il m'arrive quelque chose. – (guignon)
  • mais on ne dirigera donc jamais les ballons, nom d'un petit bonhomme ! – (nom d'un bonhomme !)
  • Chacun a son rôle […] tout a sa place sur le pavé des rues de Paris ! –Je ne vous dis pas, je ne vous dis pas… mais il y en a trop de rues… – (je ne dis pas)
  • Ils se connaissent ! bigre ! – (bigre !)
  • J'ai perdu mon seul soutien, là-bas... le digne homme qui m'a élevée... -C'est-y Dieu ! possible... – (c'est-y Dieu ! possible)
  • de là à la rue de Charonne il n'y a qu'un pas... et le premier passant vous indiquera le chemin. – (il n'y a qu'un pas)
  • Une orpheline… une innocente… seule à Paris et jolie comme un coeur ! – (joli comme un coeur)
  • Une orpheline... une innocente... seule à Paris et jolie comme un coeur ! Quelle trouvaille !... et la crâne conquête que ça ferait ! – (47125)
  • La petite est charmante… et je l'apprivoiserai, ou j'y perdrai mon nom de Régulus. – (je réussirai, ou j'y perdrai mon nom)
  • Dites donc, cocher,est-ce qu'il n'y a personne dans votre voiture ? -Mais si... j'étais chargé... – (chargé)
  • Est-ce que vous avez quelque chose de cassé ? -Le verre de la montre seulement... […] -Eh ! non !... n'faut qu'un chaudronnier... pour raccommoder la bassinoire à monsieur. – (bassinoire)
  • Deux treize !… ça devait me porter malheur… – (treize)
  • Enfoncé le jobard !… un programme de la semaine dernière… – (enfoncé)
  • Enfoncé le jobard !… un programme de la semaine dernière… – (jobard)
  • une brave et digne jeunesse avec qui que j'ai grandi, et ça m'a remué le coeur de lui serrer la main. – (remuer le coeur)
  • Une jeunesse… une femme… v'là que vous n'allez plus m'aimer à c't'heure ! – (jeunesse)
  • pour mam'zelle Marguerite je me jetterais à l'eau... mais pour vous, Louisette, je me jetterais dans le feu. – (se jeter à l'eau pour)
  • travaillons quelque temps encore… et quand nous aurons le petit magot de rigueur, en avant chez monsieur le maire… – (magot)
  • repas de cinquante couverts pour les amis, assaisonné de chansons, de veau froid et de vin à quinze… rien que ça de pichenet ! – (vin à douze)
  • repas de cinquante couverts pour les amis, assaisonné de chansons, de veau froid et de vin à quinze… rien que ça de pichenet ! – (pichenet)
  • Nous nous établirons. –Un peu… monsieur et madame Michel, fruitiers… Comme ça sonne ! – (un peu !)
  • Un monsieur bien couvert, qui veut me parler... Qui ça peut-il être ?... (Agitant sa canne.) Si c'est un créancier, ce bambou aura la parole. – (65633)
  • Une chipie... une bégueule, à qui j'offre mon coeur, ma fortune et un dîner chez le père Fromage... toutes les délices de la vie, quoi ! et qui a la bêtise de faire la sucrée... – (faire sa sucrée)
  • Est-ce qu'elle vous aurait donné dans l'oeil ? – (donner dans l'oeil)
  • Va… et dès que tu sauras quelque chose, avertis-moi ! –C'est dit ! – (c'est dit)
  • À propos, vous ne pourriez pas me donner un petit à-compte ? –Voilà cinq louis. –Cinq jaunets ! merci, patron ! – (jaunet)
  • –Chut !… pas de gestes !… pas de cris !… –Ne faisons pas le main. –Aboulons gentiment. – (faire le malin)
  • –Chut !… pas de gestes !… pas de cris !… –Ne faisons pas le malin. –Aboulons gentiment. – (abouler)
  • –Chut !… pas de gestes !… pas de cris !… –Ne faisons pas le malin. –Aboulons gentiment. –Mais qui êtes-vous donc ? –C'te malice… Vous le voyez bien… Pègres à la tire. –Pègres à la tire… des filous ! – (pègre à la tire, c'te malice)
  • –Chut !... pas de gestes !... pas de cris !... -Ne faisons pas le main. -Aboulons gentiment. -Mais qui êtes-vous donc ? -C'te malice... Vous le voyez bien... Pègres à la tire. -Pègres à la tire... des filous ! – (c'te malice)
  • –Allons, aboulons la toquante. –La toquante ? –Eh ! bien… oui, la montre. –La voilà !… – (toquante)
  • Monsieur veut rire ? Tiens !… (Il lui donne un renfoncement, et lui enfonce son chapeau sur les yeux.) – (renfoncement)
  • Monsieur veut rire ? Tiens !… (Il lui donne un renfoncement, et lui enfonce son chapeau sur les yeux.) – (laissez-moi rire)
  • Oh ! les rues de Paris !… les rues de Paris ! C'est que je suis dévalisé… Volé comme dans un bois… – (volé comme dans un bois)
  • Vingt-cinq louis que je perds !… Pas un banco sans un refait ! – (47075)
  • Vingt-cinq louis que je perds !… Pas un banco sans un refait ! – (refait)
  • En voilà un raccroc de la chance [il vient de rencontrer par hasard la personne cherchée] ! – (raccroc)
  • Salut et joie !... c'est moi... bonjour, Coquerel. – (65637)
  • Mon garçon, donnez donc un coup de pied jusqu'à la rue Rochechouart, hôtel du Midi ; vous demanderez monsieur Bougival... – (donner un coup de pied jusque)
  • sans adieu, monsieur Coquerel et la compagnie... Je cours et reviens. – (sans adieu)
  • Et ce diable de Bougival qui n'arrive pas ! qui peut le retenir… je vous le demande ? – (je vous le demande)
  • Mais finirez-vous, à la fin ! – (à la fin)
  • Dites donc, nourrice, invitez-moi. –À quê ? –À dîner avec lui [le bébé]… Quand il y en a pour un il y en a pour deux. – (quand il y en a pour un, il y en a pour deux)
  • Monsieur, c'est pour dégager... –Voyons votre reconnaissance. – (38122)
  • Quand on ne reçoit rien de son père, il faut avoir recours à sa tante… (Riant.) Ah ! ah ! sa tante… c'est un mot de Paris. – (ma Tante)
  • C'est-à-dire moi, ce n'est pas ma montre… vu qu'on me l'a effarouchée. (Riant.) Encore un mot de Paris ! – (effaroucher)
  • Et comme il ne me reste en caisse que sept francs cinquante centimes… –Diable ! on ne va pas loin avec ça. – (ne pas aller loin avec ça)
  • les diamants lui venaient de son père, une vieille moustache, qui les avait rapportés de ses croisières sur la côte d'Egypte... L'or lui venait de sa mère... une vieille moustache aussi, morte vivandière à Navarin... – (vieille moustache)
  • il me fit promettre de ne jamais le vendre... je le lui jurai sur les cendres de Léonidas... – (65641)
  • –Une seconde tournée. -Qué tas de soiffeurs vous faites… y a pas moyen de rester une minute tranquille. – (soiffeur)
  • Mais vous paierez la goutte ? –Soit... entrons. –Père Mélange, vivement, un demi-setier de vieille en deux verres. – (vieille)
  • –À boire ! –Ah ! tiens !… v'là Poussard qui se réveille. –Il a son jeune homme c'te nuit. –Bah !… comme d'habitude… Il n'quitte jamais la Halle sans être un peu pochard. – (avoir son jeune homme, pochard)
  • Je vais ai déjà servi huit petits verres et… –Eh ben… après ?… Quoi que tu réclames, toi, clampin ? – (clampin)
  • C'est Poussard le maraîcher qui est paf et qui fait le méchant. – (paf)
  • Point d'orgueil à la Halle ! / Chiffonnier ou pékin, / Toute bouche est égale / Devant un arlequin – (pékin)
  • Point d'orgueil à la Halle ! / Chiffonnier ou pékin, / Toute bouche est égale / Devant un arlequin – (arlequins)
  • La Halle offre, à minuit, / Le gîte et la becquée, / Aux oiseaux de la nuit. – (prendre sa becquée)
  • La Halle offre, à minuit, / Le gîte et la becquée, / Aux oiseaux de la nuit. – (oiseau de nuit)
  • Moi, avant de le coucher, je vais me gargariser d'une douzaine d'huîtres... Faut avoir soin de son diamant ! – (diamant)
  • je ne la quitterai pas… et si quéqu'un s'émancipe… j'ai pas ma langue dans ma poche. – (ne pas avoir sa langue dans sa poche)
  • Et quant au reste... eh bien... à la grâce de Dieu. – (à la grâce de Dieu !)
  • Quatre heures passées !… Je crois qu'il est temps d'aller casser une canne. – (casser une canne)
  • D'abord, avez-vous de l'argent ? –Pas un monaco ! – (monaco)
  • je tombe de sommeil !... Où donc est ma clef ? – (65642)
  • mon fiston, tu peux aller coucher ailleurs. -Et où donc ? à l'auberge de la belle Etoile ? -Ça ne me regarde pas... – (auberge de la belle étoile)
  • Demain j'irai voir mon banquier, je vous donnerai un à-compte. -Bah ! toujours la même chanson. – (la même chanson)
  • Il paye ça dix sous… on voit bien que ce n'est pas un habitué… Enfin, il a le sac ! – (avoir le sac)
  • Celle-ci retourne à son comptoir et se rendort aussitôt. Régulus se lève, s'approche du comptoir avec précaution, comme pour s'assurer du sommeil de la débitante, puis il revient. –Un vrai loir ! – (dormir comme un loir)
  • Et elle est ?... -Ici, à la Halle... où, depuis ce matin, elle vend des fleurs. -Tiens ! comme ça se trouve ! – (comme ça se trouve !)
  • Allons, bon !… des cris !… des bagarres !… Je sors d'en prendre !… Bonsoir ! je vas me coucher ! – (sortir d'en prendre)
  • Ah ! monsieur Dubreuil, vous faites le mort !… on n'entend pas plus parler de vous que du grand-mogol… – (faire le mort)
  • vot' ami, mam'zelle… vot' ami ben triste, ben affligé de vous voir partir… et qui veut du moins vous faire la conduite. – (faire la conduite)
  • Ah ! vous ne me tenez pas encore !… (Il va pour se sauver, la garde paraît et l'arrête.) Fumé !… – (fumé)

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