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Citations relevées dans “Deux frères - flic et truand, deuxième partie (Bruno) [le flic]” (1999)

Cette page réunit toutes les citations relevées dans Deux frères - flic et truand, deuxième partie (Bruno) [le flic], avec l'entrée qui y est attachée.

  • Comme tous les gosses, j'avais des modèles pêchés dans les on-dit, les histoires narrées par les grands. – (pêché)
  • –Mais gone, pour être motard, il faut tes deux bacs ! C'est pas possible ! – (gone)
  • cet homme simple, dont les ambitions avaient été bridées par une jeunesse trop tôt laissée au placard et par une vie de labeur. – (placard)
  • Gégé est un quinquagénaire de belle taille, à la stature athlétique un peu enveloppée. – (enveloppé)
  • Constant son mari, parfois surnommé La Rouille en raison de sa tignasse rousse, bien blanche aujourd'hui. – (La Rouille)
  • Ils se rendent depuis longtemps, les week-ends, dans une ancienne petite ferme louée pour une bouchée de pain. – (pour une bouchée de pain)
  • Quant à moi, […] j'ai craqué pour ces hameaux parsemés dans les creux, aux sommets ou aux flancs des collines. – (craquer)
  • Michel [son frère] avec lequel je n'ai plus de contact depuis plusieurs années. J'ai peur pour lui. J'étais fâché avec Michel, mais je souffrais et je traînais derrière moi ce boulet. – (traîner son boulet)
  • Elle aussi divorcée d'un Italien disparu dans la nature, sans enfant et le regrettant – (dans la nature)
  • La Papa était employé six jours par semaine, dix heures par jour, dans une société de vente en gros et demi-gros de beurre-oeuf-fromage, BOF, comme on disait. – (B.O.F.)
  • Une tournée consistait à partir le matin entre 6h30 et 7 heures à bord d'un fourgon Peugeot […]. Il le chargeait de BOF pour vendre ensuite la marchandise à la vingtaine d'épiciers, crémiers et restaurateurs visités jusqu'au soir. – (B.O.F.)
  • Tous habitaient avec leur mère rue Vaudrey dans le quartier de la Guille, comme on dit familièrement lorsqu'on est un gone de la Guillotière. – (quartier de la Guille)
  • Quand je n'étais pas au siège social, je partais en tournée avec mon père ou un autre placer-livreur jusque tard le soir. Bonjour la facilité pour la drague et les minettes ! – (bonjour X)
  • Quand je n'étais pas au siège social, je partais en tournée avec mon père ou un autre placer-livreur jusque tard le soir. Bonjour la facilité pour la drague et les minettes ! – (drague)
  • Mon enfance a été celle d'un gosse de quartier populaire, identique à bien d'autres. […] Mes soeurs me chouchoutaient. – (chouchouter)
  • L'aîné, notre copain Ramo, partit un jour du domicile. Il avait dix-huit ans. Ramo, un garçon de taille moyenne et râblé, ruait dans les brancards de la vie. Il avait besoin de s'affirmer – (ruer dans les brancards)
  • C'était une Libéria 125 cm3. Dieu que j'étais fier ! On disait à tous que c'était une 250. La frime, déjà. – (frime)
  • Mais une automobile pour emmener les copains et les copines, avec de petits revenus, c'est la porte ouverte à toutes les erreurs. – (la porte ouverte à)
  • Avec deux autres copains un peu plus jeunes, ils venaient de casser une villa située dans une petite ville du bord de Saône – (casser)
  • Vous aurez les flics aux trousses avant la fin de la semaine ! – (60656)
  • Tu vois, j'avais bien raison de ne pas l'emmener ! Il aurait tout fait foirer ! – (foirer)
  • Interpellation du licencié, perquisition fructueuse chez celui-ci, aveux, nouvelle interpellation, rebelote et Michel était ensuite arrêté rue de Marseille chez notre saint patron. – (rebelote)
  • Une dernière bravade pour masquer son désarroi, un rire à la cantonnade devant la public de la rue et madame… la patronne, ce qui lui valut une claque retentissante administrée par un gendarme. À pleurer. – (à pleurer)
  • je vis arriver Ramo qui s'était mis en cavale. – (cavale)
  • j'avais été dragué par une magnifique brune de dix-sept ans qui attendait comme moi la visite. Je n'avais pas assuré. Trop intimidé par cette beauté dévergondée et plus âgée, je n'avais pas su l'entreprendre. – (assurer)
  • j'avais été dragué par une magnifique brune de dix-sept ans qui attendait comme moi la visite. Je n'avais pas assuré. Trop intimidé par cette beauté dévergondée et plus âgée, je n'avais pas su l'entreprendre. – (entreprendre qqun)
  • Nos préparateurs nous ont forgé un moral d'acier. – (60659)
  • Mon collègue de gauche me regarde et je constate qu'il a pris une belle teinte verte, ainsi que, d'ailleurs, la quasi-totalité du stick. – (stick)
  • Merde, mais le sol me monte à la gueule ! Pieds joints, jambes semi-fléchies, roulé... crac ! Une gamelle mémorable dans un buisson de ronces. – (crac !)
  • Merde, mais le sol me monte à la gueule ! Pieds joints, jambes semi-fléchies, roulé... crac ! Une gamelle mémorable dans un buisson de ronces. – (gamelle)
  • Je commence à être entraîné à plat ventre par ce singulier voilier. Ah oui, tirer sur les suspentes du bas, et la voilure se dégonfle. C'est fait et tout va bien. Brassage du pépin et regroupement. Que des visages radieux ! – (pépin)
  • j'ai appris à sortir de l'avion en saut de l'ange, les yeux grands ouverts pour profiter du spectacle – (60664)
  • C'est une sensation [émotions fortes] à laquelle on est accro. – (accro)
  • Mais la meilleure des préparations ne suffira jamais face aux imprévus, au grain de sable qui fait tout basculer. – (grain de sable)
  • En cas de nécessité, BRI et RAID travailleront sur les mêmes clients, en parfaite collaboration. – (client)
  • J'ouvre grands les yeux et les oreilles pour me mettre au diapason. – (ouvrir les oreilles)
  • Tout le monde se regarde, un peu las, pas très chaud pour passer encore des heures hors de sa famille. – (ne pas être chaud)
  • Francine était depuis longtemps habituée à mes horaires tordus. – (tordu)
  • Francine est bien tristounette quand je pars avec Stef à l'heure dite. – (tristounet)
  • Nous partons non pas pour la tournée des grands ducs, mais pour une recherche fastidieuse des plus discrètes, avec l'espoir d'apercevoir nos voyous – (tournée des grands-ducs)
  • Tu parles, on ne craint plus la police maintenant ! On se permet même de nous demander des comptes quand on fait un contrôle de bar. Il faut y aller avec de plus en plus de gants ! Tout ça ne profite qu'aux voyous… – (prendre des gants)
  • Je me rends bien compte que mon expérience de policier de la route est à cent lieues du travail de péjiste... J'ai tout à apprendre. – (péjiste)
  • Et surtout que le cinéma et les feuilletons policiers ne sont que foutaises par rapport à la réalité. – (foutaise)
  • Regarde bien, on va passer devant. Ils jouent à la babasse à gauche de l'entrée ! – (babasse)
  • Il fait chaud, ils sont habillés légèrement et ne semblent pas être calibrés. – (calibré)
  • Si on avertit les collègues de la tenue, on risque de déclencher un fort Chabrol ! – (tenue)
  • Si tu le sens, j'entre d'abord seul. Je me place devant le comptoir […]. Tu entres après et tu fixes tout le monde. Ça me permet de sortir mes pinces et de les accrocher ensemble. – (le sentir)
  • Si tu le sens, j'entre d'abord seul. Je me place devant le comptoir […]. Tu entres après et tu fixes tout le monde. Ça me permet de sortir mes pinces et de les accrocher ensemble. – (fixer)
  • Si tu le sens, j'entre d'abord seul. Je me place devant le comptoir […]. Tu entres après et tu fixes tout le monde. Ça me permet de sortir mes pinces et de les accrocher ensemble. – (accrocher)
  • Si tu le sens, j'entre d'abord seul. Je me place devant le comptoir […]. Tu entres après et tu fixes tout le monde. Ça me permet de sortir mes pinces et de les accrocher ensemble. – (pinces)
  • Il accroche en même temps les deux poignets, clac ! clac ! – (clac)
  • Je risque un oeil à travers la porte vitrée et je constate que tout est en place. – (risquer un oeil)
  • Quand à Louis, c'est un ténor de la procédure. Il le prouvera bientôt quand il sortira major de sa promotion de l'École des commissaires de police – (ténor)
  • Cette main opérée il y a quelques années après une arrestation mouvementée avec l'un des protagonistes du gang des ripoux lyonnais. – (ripou)
  • Il a été jugé dernièrement en passant aux assiettes. Il a pris trente ans. – (assiettes)
  • Il a été jugé dernièrement en passant aux assiettes. Il a pris trente ans. – (prendre)
  • une des deux têtes du gang surnommée Le Taureau. C'était un quadragénaire de taille moyenne, mais effectivement planté comme un taureau. – (planté comme un taureau)
  • Un autre dispositif était chargé de l'autre cerveau, un sous-brigadier de police en congé maladie depuis longtemps. – (cerveau)
  • le commissaire attribua les rôles : moi au contact sous sa protection, les trois autres en couverture devant pénétrer dans le parking voisin du box par une autre entrée. – (contact)
  • Je le ceinture alors qu'il fait face à Philippe. Il tourne la tête vers moi, nous sommes bugne à bugne. Son regard est gravé dans mon esprit. – (bugne à bugne)
  • Philippe entame la poursuite avec moi, mais il est gêné par la rupture d'un ligament de la cheville. Il vient de se blesser en me prêtant main-forte durant le premier contact. – (contact)
  • Je tire deux coups de semon en l'air en sommant Le Taureau de s'arrêter. Autant pisser dans un violon. – (pisser dans un violon)
  • Le téléphone sonne, je décroche... Le ciel me tombe sur la tête [sa mère l'appelle enfin après des années de silence] – (le ciel me tombe sur la tête)
  • J'ai trente-deux ans. Presque trente ans que ma mère m'a laissé sur le carreau. – (laisser sur le carreau)
  • C'est en définitive la seule technique que je préconise aujourd'hui : présence et cohésion dans l'effort et l'adversité, mais, aussitôt que possible, le repos du guerrier, chacun se reposant à sa manière, pourvu qu'il ne mette pas en danger ses copains. – (repos du guerrier)
  • C'est un garçon sympathique, toujours habillé smart et portant des petites lunettes cerclées de métal. – (smart)
  • Les costauds [voyous] n'ont pas fait de détail et ont plombé proprement les deux hommes au calibre 12 et au 38 spécial, dans un guet-apens en pleine ville. – (plomber)
  • Les costauds [voyous] n'ont pas fait de détail et ont plombé proprement les deux hommes au calibre 12 et au 38 spécial, dans un guet-apens en pleine ville. – (ne pas faire de détail)
  • Mais il faut de tout pour faire un monde, même des flics ! Alors pourquoi pas des légistes ? – (il faut de tout pour faire un monde)
  • Je prends le temps de monter le gyro sur le toit, et en avant. – (gyro)
  • Il tient quelque chose dans une main qui me fait penser à un PA qu'il cherche à dissimuler. – (52865)
  • Il tient quelque chose dans une main qui me fait penser à un PA qu'il cherche à dissimuler. Il porte manifestement une moumoute sur la tête. – (moumoute)
  • J'appuie sur le discret de la radio en avançant doucement – (discret)
  • Jo et Gibus peuvent s'interposer, et on peut fixer les braqueurs sur place dans leur véhicule avant qu'ils n'en descendent. – (fixer)
  • Jo et Gibus peuvent s'interposer, et on peut fixer les braqueurs sur place dans leur véhicule avant qu'ils n'en descendent. Un écueil cependant : il y a beaucoup de piétons. Attention à la bavure… – (bavure)
  • Non, Bruno ! On filoche, on verra plus tard ! – (filocher)
  • Jo est chef d'un des groupes de la BRI. Je ne le contrarie pas car c'est à lui qu'on demandera des comptes si ça tourne mal. Je lui reconnais volontiers le droit de ne pas sentir ce coup-là. – (le sentir)
  • C'est une forte côte avec une succession de courtes lignes droites et d'épingles. – (60675)
  • On accroche le 190 pour essayer de recoller, car on les voit plus. – (accrocher)
  • On accroche le 190 pour essayer de recoller, car on les voit plus. – (recoller)
  • La 505 de Jo et Gibus a disparu dans le hameau après un coude à gauche. – (coude)
  • Le PC nous avise de l'arrivée de plusieurs voitures. On va forcément les prendre en sandwich. – (prendre en sandwich)
  • Elle [la voiture des truands] revient sur moi. Ils sont à trente mètres. […] Le veau ou le boucher ? Pas le veau ! Je fais mon choix aussitôt en braquant à fond à gauche. La GTI est en travers de la route. Je jaillis […] en braquant un 357 vers la 205 – (le veau ou le boucher)
  • Je lâche trois coups dans la calandre – (lâcher un coup)
  • Et merde, nom de Dieu de putain de merde ! Je ne les ai pas. Ils se tirent. – (nom de Dieu de putain de merde !)
  • Je jaillis encore comme un forcené pour pour tirer sur la tôle à deux mains. Pchchch... J'entends ce bruit en même temps que je ressens une violente douleur. Je viens de me faire frire huit doigts sur la tôle surchauffée par le frottement. – (pschü)
  • Je suis à la fenêtre de l'appartement de Gwenn. C'est un deux pièces plutôt classe dans un immeuble ancien et cossu. – (classe)
  • Cette entrée dessert l'arrière de l'immeuble [de Lyon] duquel on peut trabouler par deux montées d'escaliers directement dans l'avenue du dessus. – (trabouler)
  • je fais partie d'un dispositif qui doit appréhender un braqueur de vingt-cinq, trente ans logé dans l'immeuble des traboules. – (logé)
  • Notre oiseau va arriver le soir. Nous nous disposons à planquer tout l'après-midi pour l'attendre – (planquer)
  • nous sommes bien gênés pour riposter, car une brave mémé commence à descendre l'escalier un peu au-dessus de notre braqueur. – (mémée)
  • Nous allons devoir rédiger cette fameuse procédure si lourde et si contraignante. Ce fameux Droit avec un grand D que nous devons respecter à la lettre. – (X avec un grand Y)
  • En sortant de l'établissement, ils remarquent sur le parking un bonhomme qui attend paisiblement au volant d'une Renault 4. – (bonhomme)
  • ils démarrent en trombe et quelques centaines de mètres plus loin, boum ! Ils percutent avec leur BM un autre véhicule – (boum)
  • ils démarrent en trombe et quelques centaines de mètres plus loin, boum ! Ils percutent avec leur BM un autre véhicule – (BM)
  • Dans le choc, les portières s'ouvrent, une grenade roule sur le sol. Ambiance ! – (ambiance !)
  • Nos malfrats s'évaporent dans la nature. – (dans la nature)
  • L'arrivée du prisonnier à la PJ ne passe pas inaperçue : le bipède, un peu grassouillet, a manifestement fait du sport : il a pris une bonne suée et on dirait qu'il s'est roulé dans la boue. Il clopine lamentablement – (bipède)
  • L'arrivée du prisonnier à la PJ ne passe pas inaperçue : le bipède, un peu grassouillet, a manifestement fait du sport : il a pris une bonne suée et on dirait qu'il s'est roulé dans la boue. Il clopine lamentablement – (suée)
  • L'arrivée du prisonnier à la PJ ne passe pas inaperçue : le bipède, un peu grassouillet, a manifestement fait du sport : il a pris une bonne suée et on dirait qu'il s'est roulé dans la boue. Il clopine lamentablement – (grassouillet)
  • L'arrivée du prisonnier à la PJ ne passe pas inaperçue : le bipède, un peu grassouillet, a manifestement fait du sport : il a pris une bonne suée et on dirait qu'il s'est roulé dans la boue. Il clopine lamentablement – (ne pas passer inaperçu)
  • Bien entendu, il clame son innocence, il était là par hasard et il ne comprend pas du tout ce qu'on peut bien lui vouloir… Manque de bol, les collègues de la BRI reconnaissent en lui un zigue qu'ils ont eu l'occasion de filocher – (bol)
  • Le sous-chef […] décrète le branle-bas de combat, tout le monde sur le pont, répartition du boulot entre les équipes – (tout le monde sur le pont)
  • je prends en main le groupe qui a pour mission d'aller piquer le surnommé Milou qui fait partie de la joyeuse bande. – (piquer)
  • À notre arrivée, vieil immeuble, quatrième ou cinquième étage, personne. Notre fidèle serrurier casse la porte et nous voilà dans l'antre, désert, de notre ami. – (casser une porte)
  • C'est à ce moment que notre homme, arrivant trop tôt, méfiant comme tout en montant l'escalier, aperçoit un collègue posté sur le pallier supérieur et file comme une fusée. – (X comme tout)
  • C'est à ce moment que notre homme, arrivant trop tôt, méfiant comme tout en montant l'escalier, aperçoit un collègue posté sur le pallier supérieur et file comme une fusée. – (comme une fusée)
  • Milou vient de sortir de prison. Naturellement maigre et pâle, notre ami est blanc comme une pâte – (blanc comme une pâte)
  • une bonne dame à laquelle on demande de dégager, mais qui reste figée sur place et nous regarde avec des yeux ronds. – (avec des yeux ronds)
  • Pour un enquêteur, avoir un client hospitalisé pendant sa garde à vue, c'est la galère ! – (galère)
  • l'installation vaut le coup d'oeil : Milou amarré à la porte d'une armoire métallique avec une paire de menottes, assis sur une chaise et la jambe blessée posée sur une autre. – (amarré)
  • quand nous pointons finalement à la porte de la maison d'arrêt [etc] – (se pointer)
  • Mon patron direct, commissaire, vient me chercher. Il me prie de l'accompagner pour aller voir le big boss qui m'a demandé dans son bureau au dernier étage. – (boss)
  • Bien que de taille moyenne, il en impose. Il a la faculté de pourrir les commissaires sous ses ordres et de sympathiser avec les inspecteurs. – (pourrir qqun)
  • Je savais qu'il se passait quelque chose, mais j'avais fermé mes écoutilles et je faisais l'autruche. – (fermer ses écoutilles)
  • Je savais qu'il se passait quelque chose, mais j'avais fermé mes écoutilles et je faisais l'autruche. – (autruche)
  • qu'aurait-on pensé de moi au SRPJ si j'avais accepté l'invitation ? Une carrière en berne, évidemment. – (60691)
  • Je quitte le bureau du boss dans le brouillard. Tout se bouscule dans ma tête : mon frère, mon métier, ma famille. C'est le chaos. – (être dans le brouillard)
  • Ce Prisu était assez imposant alors que les petits commerces étaient les rois en France. – (Prisu)
  • la même population en palabres, dont les habitudes maintenant solidement ancrées n'ont pas varié d'un pouce – (pas d'un pouce)
  • Je n'ai qu'un regret, celui de courir en solitaire. Je dois souvent me donner des coups de pied au cul pour faire mon tour au moins une fois par semaine. – (se donner un coup de pied au cul)
  • À vingt ans, mon poids idéal oscillait autour de soixante-neuf kilos. À cinquante-trois, j'en suis à un peu plus de soixante-douze. Il faut que j'en perde deux pour être au top. – (au top)
  • l'un [coup de fil] de Gwenn pour savoir si elle a pu bousculer ses freins et se rendre libre ce week-end – (60694)
  • mais je suis en bonne forme malgré les cicatrices. Pourtant, dans ma tête et dans mon coeur, ce n'est pas toujours le beau fixe. – (ne pas être le beau fixe)
  • la conséquence des émotions des nombreuses émotions de cette chienne de vie. – (chien de)
  • Deux bicyclettes volées à côté de la même station de métro, des clés chapardées, des garages en sous-sol régulièrement visitées dans le quartier – (être visité)
  • Un freinage énergique n'a pu éviter l'accrochage […]. Ce qui est le plus râlant, c'est que nous n'avons pas rempli le constat amiable sur place parce qu'elle était en retard. – (râlant)
  • Quelques jours plus tard, bien remontée par son jules [non prostitutionnel], elle ne reconnaissait pas ses torts, et nous devrons probablement partager les responsabilités. – (Jules)
  • Quelques jours plus tard, bien remontée par son jules [non prostitutionnel], elle ne reconnaissait pas ses torts, et nous devrons probablement partager les responsabilités. – (remonté par)
  • J'ai déjà été envoyé deux fois au tapis par des automobilistes imprudents, qui ne voient pas les motos – (au tapis)
  • Ma DR 800, une superbe Suzuki style Paris-Dakar en a pris un sacré coup. Bonjour la douloureuse quand il faudra payer les réparations. – (en prendre un coup)
  • Ma DR 800, une superbe Suzuki style Paris-Dakar en a pris un sacré coup. Bonjour la douloureuse quand il faudra payer les réparations. – (douloureuse)
  • Ma DR 800, une superbe Suzuki style Paris-Dakar en a pris un sacré coup. Bonjour la douloureuse quand il faudra payer les réparations. – (bonjour X)
  • Je me suis laissé surprendre par deux paramètres [chute à moto] : le gros mono et la glisse. En effet, la DR 800 est un gros monocylindre qu'il faut manier avec douceur à l'accélération. – (mono)
  • Je me suis laissé surprendre par deux paramètres : le gros mono et la glisse. En effet, la DR 800 est un gros monocylindre qu'il faut manier avec douceur à l'accélération. Le fameux coup de pied aux fesses, bien connu des motards avertis, est réel. – (coup de pied aux fesses)
  • En effet, la DR 800 est un gros monocylindre qu'il faut manier avec douceur à l'accélération. Le fameux coup de pied aux fesses, bien connu des motards avertis, est réel. Cette forte énergie qui débaroule d'un seul coup sur la roue arrière. – (débarouler)
  • Après une série de virages glissants, je suis arrivé sur une partie sèche. J'ai ouvert fort en sortie de virage avec une bonne inclinaison à gauche. On s'est retrouvés par terre sans rien pouvoir tenter. – (ouvrir)
  • C'est décidé ! La trois et demi est commandée. C'est une Suzuki DR 350 SE superbe ! – (trois et demi)
  • Bien sûr, elle [moto de 350 cm3] n'aura pas la pêche de la 800, mais elle est légère et puissante. – (pêche)
  • Je suis impatient, mais je me retiens en revenant sur la fourrure douce dans laquelle je perds mon visage en respirant les parfums de la nuit. – (fourrure)
  • Je n'ai jamais sniffé ni tiré sur un joint. – (sniffer)
  • Dans sa générosité suprême, presque sans intervenir, elle m'accompagne en augmentant mon trouble jusqu'à ce que je plonge définitivement dans l'émoi suprême. – (émoi suprême)
  • Ma GTI est stoppée au-dessus de la Saint-Sé – (Saint-Sé)
  • Le braqueur solitaire, maîtrisé et menotté, est à plat ventre sur la chaussée […]. Mes collègues flics arrivent de toute part pour prendre le train en marche et procéder aux constatations. – (prendre le train en marche)
  • À l'époque, les ruelles de la colline étaient parsemées de mille métiers à tisser accompagnant notre marche de leur clic clac sonore. Ce bruit lancinant faisait partie du paysage urbain. – (clic-clac)
  • lors des fondations du funiculaire Croix-Paquet, la seconde ficelle de la Croix-Rousse […] On pouvait accéder, en partant de la Presqu'île lyonnaise, à la colline de la Croix-Rousse au moyen de deux funiculaires surnommés « la ficelle ». – (ficelle)
  • comment auraient-ils réagi [les ouvriers] devant le scénario qui venait de prendre fin en cet auguste endroit ? Ils étaient probablement du même bois que la brave retraitée qui semblait attendre mon retour sur la scène, à côté de la GTI. – (être du même bois que)
  • Le scénario contraire à tout ce que nous préconisons, celui qui mène les braqueurs à tenter une sortie en force et à tirer sur tout ce qui bouge – (tout ce qui bouge)
  • Mais la chance comme ce jour-là à pointer son nez pour la police – (pointer son nez)
  • Filature discrète dans le but d'interpeller sans casse. – (casse)
  • Mais je reste seulement un peu en retrait car je sens venir la patate ! Le commissaire otage roule trop vite. Ça devient vite très difficile car B. semble vouloir faire cavalier seul ! – (patate)
  • C'est un numéro de voltige qui pour l'instant tourne rond. – (ne pas tourner rond)
  • Quand c'est chaud, il faut s'entendre parfaitement. Chef ou pas chef. – (chaud)
  • Un camion s'était intercalé entre nous […]. Le feu passe au rouge. Bruit d'air comprimé, le camion stoppe devant moi, pchchch... – (pchchch)
  • et je vois la Super 5 filer comme le vent tout en haut de la rue. – (filer comme le vent)
  • Clac ! Clac ! Mes deux rétroviseurs extérieurs sont rabattus violemment – (clac)
  • Nous sommes au cul de la Super 5. Salopard ! Tu me lâcheras pas. – (être au cul de)
  • Droit devant moi, à quarante kilomètres à vol d'oiseau, je vois la plaine de la Limagne et Clermont-Ferrand au pied du puy de Dôme. – (à vol d'oiseau)
  • Je repense à mon baptême du feu, du moins le premier risque que j'ai rencontré dans ce métier. – (60708)
  • Tous ces sujets n'étaient pour moi que des révisions de choses apprises dans les paras. – (para)
  • On apprenait aussi à remplir la déclaration d'un contrevenant au code de la route, ainsi que quelques notions absolument nécessaires avant d'être lâchés sur le terrain. – (sur le terrain)
  • cet enseignement était amplement suffisant puisqu'il était suivi d'une formation continue régulière. Mais pour ceux qui, comme moi, avaient accès à une brigade départementale (la Blanche), c'était un peu court. – (être court)
  • Je n'ai jamais retrouvé cet accueil et cet esprit d'entraide ailleurs. À l'exception, bien sûr, de certains de mes amis sur les coups chauds à la PJ. – (coup chaud)
  • Au départ de la patrouille, il a pris l'habitude de gratter un ou deux PV dans l'agglomération de Chalon, c'est toujours ça de gagné, avant de rejoindre la RN 6. – (gratter)
  • Je fais donner les chevaux qui malheureusement rappellent plus des percherons que des fougueux mustangs. – (faire donner les chevaux)
  • Mais je vois la voiture fugitive, en position haute, qui semble se jouer des difficultés. Quelle déveine ! – (déveine)
  • Son conducteur sait que sur la route, c'est pour nous. Il a retourné les choses en sa faveur. Il doit bien me rendre vingt kilomètres à l'heure ! – (rendre X à)
  • Nous allons pouvoir téléphoner. Eh bien, je vous le donne en mille ! Un café sans téléphone, ça n'existe pas ? Mais si ! Le seul café sans bigophone de la région, c'est celui-là ! – (le donner en mille)
  • Nous allons pouvoir téléphoner. Eh bien, je vous le donne en mille ! Un café sans téléphone, ça n'existe pas ? Mais si ! Le seul café sans bigophone de la région, c'est celui-là ! – (bigophone)
  • Je devais apprendre quelques mois plus tard que le conducteur avait été couché par la rafale du pistolet-mitrailleur d'un gendarme dans la région bordelaise. – (couché)
  • Ma 205 GT, dans les meilleures conditions, doit se contenter d'un bon cent quatre-vingt chrono. – (chrono)
  • J'espère que la BM des voyous se tiendra dans les normes, sinon, je me vois mal parti. – (être mal parti)
  • Nous n'avons pas l'intention de la perdre, et je veux être encore dans le dispo sur la promenade des Anglais. – (dispo)
  • ce n'est pas de pot, car le conducteur nous donne du fil à retordre depuis plusieurs semaines en raison de sa conduite très rapide. Le bébé se présente mal. – (le bébé se présente mal)
  • Mon pied droit est vissé sur l'accélérateur. – (vissé)
  • En contact radio avec les autres véhicules, je suis parfois largué, au point de ne plus être à portée. Notre liaison devient défectueuse en raison de l'éloignement. C'est ce qu'on appelle «être dans le vent» – (largué)
  • En contact radio avec les autres véhicules, je suis parfois largué, au point de ne plus être à portée. Notre liaison devient défectueuse en raison de l'éloignement. C'est ce qu'on appelle «être dans le vent» – (laisser dans le vent)
  • Ça porte ses fruits car je recolle ainsi à plusieurs reprises le contact radio. Je ne vois personne du dispositif, mais je sais qu'il est à moins de un kilomètre. – (recoller)
  • C'est bon, les gars. Ils dorment là ! J'ai localisé l'appart et je les ai entendus à travers la porte. On peut décrocher. – (décrocher)
  • Après on ira manger un morceau, et dodo ! – (dodo)
  • C'est pourquoi je me retrouve devant ce jury bien décidé, apparemment, à me passer à la moulinette ! – (passer à la moulinette)
  • Il avait accumulé des tonnes d'expériences et savait les mettre à profit – (des tonnes)
  • s'agit d'un braquage avec prise en otages des membres de cette famille, action vulgairement dite saucissonnage. En effet, pour mener à bien leur forfait, les malfaiteurs ont ligoté –saucissonné– à leur domicile l'épouse et les enfants du chef de l'agence. – (saucissonnage)
  • La délicate décision d'intervenir est à prendre par le chef du dispo. – (dispo)
  • Il faut avoir des nerfs d'acier pour diriger ce type d'opération [prise d'otages]. – (nerfs d'acier)
  • Je reprends ma course vers le J9 qui pousse sans ménagement la pauvre R11 qui s'écarte comme un fétu de paille. – (comme un fétu de paille)
  • Chaque véhicule se positionne, quadrillant ainsi le quartier. Les piétons (passagers des véhicules), équipés de radios portables discrètes, prennent place à des points stratégiques – (piéton)
  • En revanche, pas question d'intervenir à chaud ! Gare aux conséquences sur le public... – (à chaud)
  • Notre patron vérifie les emplacements de chaque véhicule. Il contrôle la qualité de la liaison radio et pose une vigie à vue directe de l'établissement. […] Priorité radio à la vigie ! – (vigie)
  • Gaffe les gars ! Prudence… – (faire gaffe)
  • Allons bons ! S'ils vont jusque-là, on est bons pour y aller aussi ! – (être bon)
  • Comme quoi il ne faut pas être trop impatient quand une affaire ne sort pas tout de suite. On se retrouve toujours. – (sortir)
  • Pour initier les jeunes policiers à la recherche et à la découverte d'éléments permettant d'accrocher en procédure les voyous avant de les arrêter, nous les exerçons à la filature – (accrocher)
  • Charles et moi sommes les plastrons, nous jouons les bandits qu'il faut suivre pour découvrir d'éventuels points de chute et autres contacts. – (plastron)
  • nous nous amusons à jouer un tour aux stagiaires filocheurs et nous savons qu'ils nous ont perdus de vue. – (filocheur)
  • Nos antennes sont déployées au maximum, nous ne pouvons compter que sur nous-mêmes. – (antenne)
  • Cette fois, nos Beretta jaillissent et braquent vivement les voyous, les fixant sur leurs sièges. – (fixer)
  • Certains Blancs sont cependant habitués à faire des virées. Les gazelles sont souvent attirantes. – (gazelle)
  • Si elle ne débarque pas dans les minutes qui suivent, il devra absolument retrouver son calme. Sinon, il en sera réduit à mobiliser la veuve poignet. – (veuve poignet)
  • ces fellations grandioses quand elles vont chercher jusqu'à la dernière goutte de lait, comme elles disent [les Africaines], qu'elles avalent goulûment – (lait)
  • –Regarde bien. Je vais te le donner. / Ce disant, elle écarte ses fesses des deux mains, dégageant un oeil de bronze phénoménal. Ses poils sont à peine crépus. – (oeil de bronze)
  • Nom de Dieu, elle m'a donné encore envie. Je vais la lui foutre bien profond ! – (la foutre bien profond)
  • Ainsi calée, elle lâche un de ses appuis et atteint sa minette d'une main. –Ne le touche pas encore, s'il te plaît. Je veux que tu admires bien ma cramouille et mon petit trou. – (minette)
  • Ainsi calée, elle lâche un de ses appuis et atteint sa minette d'une main. –Ne le touche pas encore, s'il te plaît. Je veux que tu admires bien ma cramouille et mon petit trou. – (cramouille)
  • Il [le majeur] va de bas en haut et de haut en bas, dans le sens de la fente, caressant alternativement le trou du cul et la chatte qui s'humidifie de plus en plus. – (trou du cul)
  • Elle remue son cul en le montant plus haut encore chaque fois que sa main qui l'anus pour rejoindre le clito. – (clito)
  • L'homme a les yeux exorbités. Sa queue est dressée presqu'à la verticale. Cette salope le fait bander comme un bonobo. –Bouffe-moi le cul, salaud ! – (bander comme un bonobo)
  • Sa queue est dressée presqu'à la verticale. Cette salope le fait bander comme un bonobo. –Bouffe-moi le cul, salaud ! / Il ne se fait pas prier et plonge sur l'anus qu'elle dilate en poussant et qui s'ouvre. Il y enfonce sa langue – (bouffer le cul)
  • Bien remplie par la bite blanche, elle pousse vers l'arrière et sent bien les couilles qui lui battent la chatte. – (bite)
  • les fesses et le vagin ouverts, laissant filtrer de temps en temps quelques gouttes de nectar doré. – (nectar doré)
  • Les « y a qu'à-faut qu'on », les donneurs de leçons, ceux qui s'imaginent détenir la vérité, ceux, enfin, qui pensent aussitôt que je suis bien naïf. – (y a qu'à-faut qu'on)
  • Tout se passe en un éclair. […] À peine ai-je mis les pieds dans la rue que deux mains s'abattent violemment sur mes épaules – (en un éclair)
  • Mis au parfum par des taupes Place Beauvau, l'Élysée, qui soupçonne sans preuve une tentative de mise en place d'un réseau de financement occulte, contre-attaque. – (taupe)
  • Le ministre pose une seule condition au journaliste de l'AFP : « Ne rien sortir avant qu'il ait apporté sa démission au Premier ministre. » – (60965)
  • Patrick Rougelet est carrément présenté comme un trafiquant de voitures avec les pays de l'Est, également mêlé à des «barbouzeries» sanglantes en Afrique. – (barbouzerie)
  • Chevènement se saisit du thème des violences urbaines que la DCRG lui offre sur un plateau. Il devient le ministre qui va régler le problème des « sauvageons ». – (apporter qqchose sur un plateau)
  • Marcel. Nous avons fait équipe assez longtemps. Il m'a beaucoup appris. C'est un des piliers de la PJ. Nous avons trimé ensemble, mais nous avons aussi beaucoup ri. – (trimer)

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