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Citations relevées dans “Blanchette, dans Théâtre complet de Brieux (tome premier)” (1942)

Cette page réunit toutes les citations relevées dans Blanchette, dans Théâtre complet de Brieux (tome premier), avec l'entrée qui y est attachée.

  • Il rentre au château, M. Galoux ? –Probable. – (probable)
  • terre que nous avons achetée […] quand le commerce allait bien ; nous avions le bureau de tabac alors ! On nous l'a enlevé pour le donner au patron de l'autre débit… parce qu'un ministre est venu demeurer dans une maison où son cousin est concierge – (bureau de tabac)
  • Tenez, vous qui avez de bons yeux, lisez cela... moi, je vais chercher les miens. / Il va prendre ses lunettes sur le comptoir, les met et revient – (yeux)
  • Si vous avez gagné votre fortune, vous, ce n'est pas en vous tournant les pouces, pas vrai, c'est en vendant des cuirs ; en en vendant dur et ferme… Moi, je ne veux pas de paresseux dans la famille – (se tourner les pouces)
  • Patience ! Patience ! C'est commode à dire. Avec tout ça, c'est toujours l'ouvrier qu'est le dindon de la farce. L'État nous trompe – (dindon de la farce)
  • en me faisant espérer un tas de choses, disant qu'elle gagnerait de l'argent, et patati et patata, lorsqu'elle aurait son brevet – (patati et patata)
  • Apporte le café, la bourgeoise – (bourgeoise)
  • Tu sais lire, pas vrai, Auguste ? –Cette bêtise ! Il a été à l'école jusqu'à douze ans et il a passé un an au régiment. Il est revenu caporal, vous le savez bien. –Bien, qu'il lise – (cette bêtise)
  • Et avant-hier, il y a l'instituteur qui était là, il a voulu causer politique avec elle. Elle lui a fermé le bec, ça n'a pas été long – (fermer le bec)
  • Il n'y en a point treize à la douzaine, des pareilles, vous savez – (treize à la douzaine)
  • Eh bien ! C'est-y pour aujourd'hui ou pour demain ? – (pour aujourd'hui ou pour demain)
  • Arrive un peu ici – (X un peu)
  • Le cantonnier, portant la main à son chapeau. –Serviteur. – (serviteur)
  • L'autre jour, il y a l'instituteur qui a voulu causer politique, elle l'a boulé comme un lapin... – (bouler qqun comme un lapin)
  • Tu te rappelles, dans le clos Guimbard, quand le garde te courait après, pour avoir volé des pommes... -...Avec son chien Pataud ! – (Pataud)
  • Mais ça, ma pauvre Blanchette, ça ne se paye pas avec des noyaux de pêche. -Je le sais bien, je serai riche. – (ne pas se payer avec des noyaux de pêche)
  • Et toute la journée, nous la passerons à nous tourner les pouces !… Rien !… on ne fera rien. Moi je veux avoir un domestique pour m'apporter mon mouchoir – (se tourner les pouces)
  • Allons, on y va... Je vas me faire beau comme un ministre – (se faire beau comme un ministre)
  • Il n'y a pas besoin d'avoir soif pour avaler ça... Ça vous donnera des jambes... – (donner des jambes)
  • Il boit. –Tu vois bien ! Il n'est pas si difficile que toi. –Pristi, c'est raide ! – (pristi !)
  • Il boit. –Tu vois bien ! Il n'est pas si difficile que toi. –Pristi, c'est raide ! – (raide)
  • Il boit. –Tu vois bien ! Il n'est pas si difficile que toi. –Pristi, c'est raide ! –Ça fait du bien par où ça passe, hein ! – (ça fait du bien par où ça passe)
  • Comment est-il ? Grand, les cheveux blancs, la barbe blanche, les yeux vifs, distingué… –Du tout : petit, gros, chauve et bégayant – (du tout)
  • Moi, je lis tous ceux qui me tombent sous la main – (tomber sous la main)
  • c'était pas la peine que ton père t'envoie aussi longtemps à l'école pour que tu soyes aussi empruntée – (46147)
  • Tiens, ça te tourne la tête, tous ces romans – (tourner la tête)
  • Mam'zelle Galoux, qui est pourtant la fille d'un homme instruit, elle n'a pas pu l'avoir ce brevet-là, elle ! -Pas possible ? -Elle a été… (A Blanchette.) Comment que tu dis ça, toi ? Elle a été collée à l'oral – (collé)
  • (Rousset, jouant.) –V'là la négresse. (Morillon.) –Du quatre. (Rousset.) –N'n'ai point. (Morillon.) –Cor du quatre. – (négresse)
  • [pendant partie de dominos] A moi la touille. – (touille)
  • Tu te montes la tête. Crois-tu que M. Galoux va donner pour femme, à son fils, la fille d'un cabaretier ? – (monter la tête)
  • Mille millions de tonnerres ! Bon sang de bon sang ! Cré mâtin ! – (cré mâtin !)
  • Mille millions de tonnerres ! Bon sang de bon sang ! Cré mâtin ! – (mille millions de tonnerres !)
  • Ah ! oui, compte dessus ! J'en remettrai, de tes drogues ! – (compter là-dessus)
  • Je cultiverai la terre comme mon père et ma mère la cultivaient, et je laisserai tous tes chimiques au diable. Tout ça, c'est des diableries, des mic-mac, des je ne sais pas quoi – (mic-mac)
  • Alors, ne t'use pas la langue pour rien – (s'user la langue pour rien)
  • –Quand je serai nommée, je vous le rendrai. –Quand tu seras nommée ! La semaine des quatre jeudis, alors ? – (la semaine des quatre jeudis)
  • On ne voudrait pas de toi. Tu ne sais rien faire de tes dix doigts – (il ne fait oeuvre de ses dix doigts)
  • Tu as des idées de grandeur... des idées de roman. C'est tout ce que tu lis qui te bourre la caboche... Tu n'es propre à rien qu'à dépenser – (bourrer la caboche)
  • Qu'est-ce que ça peut faire, la mode ? Je m'en fiche pas mal de la mode – (pas mal)
  • Je vous demande pardon, monsieur Galoux, là-dessus, je n'en ferai qu'à ma caboche... Charbonnier est maître chez lui – (n'en faire qu'à sa caboche)
  • Je vous demande pardon, monsieur Galoux, là-dessus, je n'en ferai qu'à ma caboche... Charbonnier est maître chez lui – (charbonnier est maître chez lui)
  • Mais qu'est-ce que tu as donc à être toujours fourrée chez ces gens-là ? – (être fourré qqpart)
  • On nous avait promis qu'elle gagnerait aussitôt son brevet, et pour le lui faire avoir, nous avons trimé comme des bêtes – (comme une bête)
  • Tu crois à tout cela, toi ? C'est de la frime, c'est de la comédie – (frime)
  • C'est pas bientôt fini, vos simagrées ? – (46159)
  • Tu auras beau être dans la misère jusqu'au cou, et crever de faim, il n'y aura pas ici, pour toi, le morceau de pain qu'on donne aux mendiants – (jusqu'au cou)
  • Ça me fait plaisir de revoir ce toit où vécut mon enfance, comme disait l'autre – (comme disait l'autre)
  • Alors quand j'ai su que le paternel était dans la panade je me suis dit, c'est le moment ! J'ai pris le train et me voilà – (panade)
  • Je me rappelle encore quand nous faisions les notes des cliens ; tu me trouvais bébête parce que je voulais le faire à la délicatesse – (le faire à la délicatesse)
  • Quand Auguste m'a vue, il a fait des yeux blancs… Ça m'a remuée, parole d'honneur – (yeux blancs)
  • Évidemment, tu étais fier quand je collais l'instituteur, mais tu espérais que je rapporterais de l'argent, et tu t'es lassé d'attendre – (coller)
  • Voilà toujours le liquide et le gâteau… on apporte le reste dans cinq minutes – (liquide)
  • Comme vous dites cela sérieux ! Vous avez raison, gardez vos secrets – (sérieux)
  • n'y en a-t-il pas une dont l'approche vous trouble, vous rende tout bête, tout chose, tout godiche ? – (tout chose)

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