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Citations relevées dans “Le crime à deux - Essai de psycho-pathologie sociale” (1910)

Cette page réunit toutes les citations relevées dans Le crime à deux - Essai de psycho-pathologie sociale, avec l'entrée qui y est attachée.

  • il y a aussi une catégorie plus dangereuse de criminels qui imite indifféremment le type de l'escarpe qui vole et tue – (escarpe)
  • Dans l'affaire Campi (1884), le témoin Arnaud, mouton placé dans la cellule de l'accusé pour essayer de surprendre son secret, déclara que Campi avait tellement excité ses co-détenus que l'un d'eux […] s'était résolu à tuer […] sa femme – (mouton)
  • M. Carlyle ne lui parlait jamais pendant des mois entiers, ne s'occupait pas d'elle, même lorsqu'elle était malade, la forçait à assister à ses 'flirtations' avec les dames de l'aristocratie anglaise – (flirtation)
  • en favorisant de toutes les façons son ivrognerie excessive, en le forçant à boire soir et matin une horrible drogue préparée par elle-même et qui se composait de trois-six, de genièvre et de je ne sais quelles autres liqueurs fortes et malsaines – (trois-six)
  • femme galante qui depuis longtemps a passé la première jeunesse, voudrait épouser son dernier « amant de coeur » – (amant de coeur)
  • et l'article de Benjamin Waugh sur les « faiseuses d'anges » dans la Contemporary Review du mois de mai 1890 – (faiseuse d'anges)
  • couple que l'on trouve plus fréquemment dans le milieu de la prison ou dans les tavernes où se trouvent mêlés les criminels et les vagabonds, les fruits secs et les paresseux, tous les aspirants, en somme, à une place dans l'armée du crime – (fruit sec)
  • Il faut te décider : si tu ne veux pas tuer mes beaux-parents, à peine sorti de prison, je te ferai ton affaire – (faire son affaire)
  • Couper la caboche à un homme, qu'est-ce que cela ? disait l'assassin Prévost, c'est du chocolat, c'est du velours ! – (velours)
  • Couper la caboche à un homme, qu'est-ce que cela ? disait l'assassin Prévost, c'est du chocolat, c'est du velours ! – (c'est du chocolat)
  • Il serait difficile de concevoir, si les faits n'étaient pas là pour le prouver, jusqu'où arrivent le despotisme du souteneur sur sa marmite, et le dévouement exagéré, je pourrais dire furieux, qu'elle a pour lui – (marmite)
  • L'une d'elle, voyant son « homme » rentrer dans Paris dans un état complet d'ivresse, le suivait de loin pour le surveiller – (homme)
  • il était certain que sa marmite avait bien travaillé, et il l'embrassait alors en la câlinant – (travailler)
  • Inutile d'ajouter que, pendant sa détention, sa maîtresse l'assistait de son mieux – (assister)
  • Il choisit pour sa marmite les quartiers et les rues où il est plus facile de travailler, et lui indique dans la foule les gogos qui ont l'air de devoir céder à ses avances et de bien payer – (travailler)
  • Il choisit pour sa marmite les quartiers et les rues où il est plus facile de travailler, et lui indique dans la foule les gogos qui ont l'air de devoir céder à ses avances et de bien payer – (gogo)
  • Les tribades sont d'ordinaire des femmes de vingt-cinq à trente ans, mises sans ostentation, mais avec un certain chic – (chic)
  • Nous avons une preuve dans la « tante », qui se vend à qui le paye, homme ou femme, et qui à tour de rôle se trouve l'amant d'une fille publique ou le complice d'un sodomiste – (tante)

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