recrue < le recrue ; mon recrue >
(au masc.) Nouveau ; élève de première année attaché à élève de deuxième année
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(au masc.) Nouveau ; élève de première année attaché à élève de deuxième année
1842
À peine avez-vous paru, qu'une vedette vous signale, en criant : Un recrue ! ce mot produit un effet magique source : 1842. Les écoles militaires - École de Saint-Cyr, dans Les Français peints par eux-mêmes
1868
À Saint-Cyr, lorsqu'un élève de première année arrive à l'École, on lui donne, pour le dresser, un élève de seconde année. Le premier appelle le second son ancien ; le second appelle le premier son recrue. À l'École polytechnique, tout respirant la science mathématique, le recrue de l'ancien est son binôme source : 1868. Le soldat peint par son langage
1860
La première année n'est plus. – Le recrue est devenu ancien. – L'ancien n'a jamais été recrue. source : 1860. Album de Saint-Cyr
1867
Le recrue – à Saint-Cyr on dit UN recrue – était encore la veille une volaille, un cornichon : aujourd'hui que ses cheveux sont coupés à l'alignement réglementaire et qu'il a signé son engagement, il passe à l'état de Melon, de Cantaloup. Le Fléchois, qui vient du Prytanée militaire, porte, de droit, avant, pendant et après la réception, l'honorable titre de Brutium. Dès l'entrée, le recrue est accolé à l'ancien. source : 1867. Saint-Cyr – Nos officiers
<4 citation(s)>
recrue existe depuis 1833
; c'est la plus ancienne date relevée à notre connaissance.
●● n.m., élève, soldat nouvellement arrivé, Saint-Cyr, de tout temps, sold., 1833 (DHAF)
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