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Mystification, mensonge
fréquence : 002
synonyme : mensonge, insincérité
1832
1836
1836
je n'y mis aucune chaleur, aucun emportement, et je riais dans ma barbe de tous ceux qui prenaient ces jongleries au sérieux source : 1836. Mémoires, dans Mémoires de Lacenaire, avec ses Poèmes et ses Lettres, suivis de Témoignages, Enquêtes & Entretiens présentés par Monique Lebailly
<1 citation(s)>
Entrée relevée dans ces sources (sauf erreur) :
JONGLERIE, subst. fém.
JONGLERIE, subst. fém. 3. Au fig. Art de feindre, de se jouer de la bonne foi d'autrui. La prétendue tolérance de la censure n'est qu'un piège et une jonglerie (CHATEAUBR., Lib. presse, Marche et effets Censure, 1827, pp. 263-264) :
2. J'ai le malheur, car c'en est un peut-être, de n'être jamais dupe de ces jongleries sentimentales, de ces émotions à froid, de ces douleurs solennelles qu'étalent nos comédiens, et sur-tout nos comédiennes de société. JOUY, Hermite, t. 2, 1812, p. 320.
Étymol. et Hist. 2. a) 1581 « mensonge » (FAUCHET, Recueil sur l'origine de la poésie françoise, ryme et romans, p. 76); b) 1784 « toute fausse apparence ayant pour but de tromper, d'en imposer » (BEAUMARCHAIS, Lettre du 31 août ds Oeuvres complètes, éd. Pierre-Augustin, p. 38)
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