Re : Les derniers seront les premiers
Ultérieurement, le niais et la niaise se marièrent; ils furent heureux et eurent beaucoup de godiches et de gourdiflots.
Non connecté Se connecter S'inscrire
forum abclf » Jeux de mots... » Les derniers seront les premiers
Ultérieurement, le niais et la niaise se marièrent; ils furent heureux et eurent beaucoup de godiches et de gourdiflots.
Deux gourdes* y florissent, dans ce château. On peut les voir, rivalisant de sottise, affalées sur des sofas dans les salons dorés ou languissant sur des chaises-longues à l'ombre des grands arbres du parc, sirotant des sodas glacés ou chipotant autour des plateaux où le thé fume dans les tasses fines, avec des bruits de porcelaine et de biscuits qu'on croque.
*pas de liaison ici
Isques ! Huit conques rauquant l’alarme rompirent le silence ; elles annonçaient l’approche d’un drakkar remontant la Liane.
Lali, âne, ou Lalie, ânesse ? le mâle appartient à nos voisins, vous le savez bien... allô ? .... on a été coupés... zut !
Pèze, utilisé naguère pour désigner l'argent, semble, comme picaillons ou flouze, avoir laissé la place à thune.
Place à "tu" ne se fait qu'entre gens de basse condition, Duchesse... Ne nous vautrons pas dans la familiarité.
Itéropare est, en biologie, l'antonyme de sémelpare. La plupart des plantes annuelles sont dites sémelpares car elles ne se reproduisent qu'une seule fois.
Rage ou exaspération les mènent dans la rue pour exprimer leur mécontentement.
Mes comptants ? te mandais-je les tiens ? payer sans laisser trace est ma devise.
Assez Emma! deux visions en une journée, c'est vraiment trop! Et puis, comment veux-tu qu'on te croie quand tu affirmes avoir vu Napoléon en maillot de bain sur une plage de St Tropez ?
Deux saints ? trop périlleuse, votre thèse... n'en gardez qu'un et vous obtiendrez votre doctorat.
Oracle, avez-vous dit ? Figurez-vous que ma soubrette s'honore de prédire l'avenir et se ferait une joie de...Mais peut-être n'accordez-vous aucun crédit aux auspices de bonne ?
Ah! Lakata ici! Super!!!
Et bien sûr, on ne le saurait pas qu'on le devinerait à sa patte !
aucun crédit aux auspices de bonne ?
Crédios! pisse* de bonne heure tu te lèves, va donc traire la Marguerite au lieu de fainéanter! disait la Marie à son homme harassé**.
*puisque
** je fais comme Lak (mais en moins bien )
Ô Marat, c'est dans ta baignoire
Que tu finis ta courte vie.
Tu es resté dans les mémoires
Pour n'être pas mort dans ton lit.
Mordant ton livre d'heures,
Anne, ma très chère sœur
Avec une telle ardeur
Tu me fais grande frayeur.
Heureuse es-tu, Anne ma sœur,
De n'avoir eu par ta fureur
Dans ta bouche dégâts majeurs
Faisant sourire ravageur!
Va, je reconnais ta sagesse
Et dans ta grande largesse
Auprès de toi me confesse :
J'aurais agi en diablesse.
À Blessonville, dans la Haute-Marne, le blason comporte la mystérieuse roue de sainte-Catherine.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Blessonville
https://www.meubliz.com/picture/referen … e4286e.jpg
Quatre Inuits,
Passent la nuit,
Sur la glace ;
La nuit passe.
Huit passagers
américains
sont allongés
à même le train.
Aime le train-train quotidien et la douce routine.
Douze* routes
innommables
s’arc-boutent
Dans le sable.
* Oui je sais. Merci de laisser passer cette petite nuance. D'ailleurs, après plusieurs tests il semble qu'il n'y ait pas toujours de différence surtout si on ne fait pas sonner le "e" de "douce" ou de "douze".
Sa blondeur,
Ô merveilleux souvenir,
Sa rondeur,
Ô douloureux avenir.
Venir, c'était tentant
Mais qui disait venir
Pensait "ne plus partir"
Et c'était révoltant.
Tes rêves, ô le temps béni,
où nous étions encore unis,
étaient que nous vivions toujours,
d'un peu d'eau claire et de beaucoup d'amour.
Beau cou, dame,
Ouragan de mon âme
Belle flamme
Ton amour je réclame.
Clame encore, déclame
Crie, tant qu'à faire !
Mais ne fais pas un drame
Dune si petite affaire.
Taf, air triste !
Tous en piste !
C'est le boulot,
Et puis, dodo !
D'odoriférantes herbes
Aromatiques de surcroît
Se multiplient, et, superbes
Du jardinier font désarroi.
Des aroïdées odorantes
Bordaient les amaranthes,
Des renonculacées mordorées
Nous accueillaient à l'orée.
Alors, émerveillés par ces belles senteurs,
Nous prîmes le chemin qui s'ouvrait devant nous
Nous laissant enivrer par des émois si doux
Que sublimait encor la grâce des couleurs.
Des cous, leur cou est le plus doux
Leurs yeux sont fendus sur du vert
Leurs longs doigts façonnent la lumière
Et leurs voix coulent d'on ne sait où...
C’est tout pour aujourd’hui
Nous verrons ça demain
A chaque jour suffit
Son petit bout d’chemin
Mains qui se croisent, qui dansent,
Mains fascinantes vibrantes,
L’œil suit votre danse lente
L'âme glisse et entre en transe.
Tran-tran, c'est ainsi que l'on nommait le train-train autrefois, et qui désigne un quotidien répétitif et sans surprise.
Sur prise fort habile l'adversaire le battit en l'étalant sur le tatami.
Lanse ! hurle Tata, mi-agacée mi-lassée de voir sa petite nièce, le ballon dans les mains, qui tergiverse.
"J'y verse le contenu de la bouteille de façon à ce que le vin décante", commentait le sommelier. Les élèves écoutaient avec grande attention, tous, sauf un d'entre eux qui semblait dormir debout.
De boulimie de lecture en faim de culture elle avait un appétit insatiable !
Assis, hâbleur, Cagougnette dévidait ses carabistouilles devant les clients de l'estaminet.
Minet séducteur et pimpant cavalier, Cafougnette aimait à courir le jupon à Bergères-lès-Vertus.
https://en.wikipedia.org/wiki/Berg%C3%A … A8s-Vertus (51130 Bergères-lès-Vertus)
.
à courir le jupon à Bergères-lès-Vertus
Laisse vers Turin filer la marquise. Elle se croira libre et nous en profiterons pour fouiller le château. Ce sera bien le diable si nous ne dénichons pas la preuve qu'elle a empoisonné Anselme.
Elle m'a dit d'aller siffler là-haut sur la colline
de l'attendre avec un petit bouc et des glands, Tine.
J'ai porté le bouc et j'ai sifflé tant que j'ai pu.
J'ai attendu attendu, elle n'est jamais venue.
elle n'est jamais venue.
Mes vœux n'eurent pas l'heur de se réaliser. Je me demande aujourd'hui si ce n'est pas l'odeur du bouc (même petit) qui aurait, à distance, incommodé ma belle, té! Tine. Ou alors, ce serait parce que, après m'avoir entendu siffler, elle m'a vu siffler cette bouteille de vin qui me consolait alors que je me croyais tout seul et tout abandonné.
Bandes au nez ou pas, les vraies bergères ne sont point incommodées par l'odeur de bouc, même quand elles viennent de Bergères-lès-Vertus.
Les verts tumuli d'Irlande sont des témoignages impressionnants d'un passé lointain.
Restez calme, Capitaine. Vous jurez encore comme un charretier.
forum abclf » Jeux de mots... » Les derniers seront les premiers
Propulsé par PanBB, soutenu par PunBB Info.