Sujet : D'une langueur monotone
Bonsoir, il s'agit d'un poème de Verlaine une chanson d'automne
Les sanglots longs
Des violons
De l’automne
Blessent mon cœur
D’une langueur
Monotone.
Tout suffocant
Et blême, quand
Sonne l’heure,
Je me souviens
Des jours anciens
Et je pleure
Et je m’en vais
Au vent mauvais
Qui m’emporte
Deçà, delà,
Pareil à la
Feuille morte.
Comment interprétez vous une langueur monotone dans ce poème ?
Comme le mot la langueur a plusieurs sens !
Merci pour votre aide.