Sujet : Question sur l'emploi de <<soustraire>>
Bonsoir,
Je trouve dans un texte l'emploi suivant du verbe <<soustraire>> qui me laisse perplexe : << L'idée que l'on ne peut aimet que ce dont on manque semble tirer l'éros du côté d'une pathologie ou d'une névrose dans laquelle l'aimé devrait forcément se soustraire à nous>>. Je ne sais, si se soustraire à quelqu'un désigne : ne lui en faire pas partie. Et je trouve ca adéquat avec l'opinion avancée : on aime ce dont on manque. Ou elle désigne : en faire partie. De sorte que cet amour en tant que pathologie tente d'absorber l'aimé; ce dont on manque.
Merci d'avance.