@Spécial oliglesias
Voici la liste des mots comportant le codon cl avec les deux notions de fermeture/retentissement qu'il évoque:
LA CLEF DU CODE
Pour le lexique en ''cl'', le schème de fermeture/enfermement semble prépondérant. Mettre les mots sous ''cl'' crée une multitude enfermée, à rendre claustrophobe :
clore (1), clos (2), enclore (3), enclos (4), déclore : enlever la fermeture (5), claquemurer (6), claustrer (7), claustration (8), claustra (9), claustrophobie (10), claustrophobe (11), réclusion (12), reclus (13), reclure (19) inclusion (20), inclure (21), inclus (22), inclusif (23), inclusivement (24), conclusion (25), conclure (26), conclus (27), forclusion (28), enclave (29), enclaver (30), cercle : courbe fermée (31), clapier (32), claire-voie (33), clayère (34) claie (35), clisse (36), clayette (37), cliquet (38), clip (39), classe : milieu social fermé (40), clause : ferme une disposition (41), clausus : numérus (42), clausule : ferme une strophe (43), cluse : vallée fermée (44) , écluse : ferme la communication de plans d'eau (45), écluser (46), éclusier (47), éclusée (48), éclusage (49), enclencher : actionner la fermeture (50), enclenchement (51), cloporte :arthropode des lieux fermés (52), bâcler : fermer une porte (53) au moyen d'une bâcle (54), embâcle : obstruction d'un cours d'eau (55), obstacle (56).
Ce PGCDS confirme que du Ku Klux Klan au water closed, cl (ou kl anglo-saxon) clôt un club (57) très fermé au cours des siècles et des siècles (58). Cl est la clef phonétique qui sert essentiellement à fermer, car la clef a bien été inventée pour fermer la porte avant de l’ouvrir ! Les hommes ont mis beaucoup de choses sous cl et les religieux en furent souvent les détenteurs. Le clergé (57) y fonde son nom, le clerc (58) de même, l'ecclésiastique (59) n'y échappe pas. La religion n'enferme pas uniquement l'esprit de l'homme dans un clan idéologique mais aussi dans des lieux bien matériels, cloîtres (59) en France, clergyman (60) en Angleterre, chiesa en Italie (le son chi est en italien l'équivalent du cl français). Dans la même famille de mots, citons : clérical (61), cléricature (62), cléricalisme (63).
La clef, symbole en relation avec son double rôle de fermeture (cl) et d'ouverture (ef) du latin (clavus), se retrouve dans clavicule, la petite clef alchimiste du Magicien. La clef possède le redoutable pouvoir d'initiation et de discrimination ce qu’indique l'attribution des clefs du Royaume à Saint Pierre. Le pouvoir des clefs, qui permet de fermer ou d'ouvrir le Ciel, est figuré dans les armoiries papales par deux clefs, d'or et d'argent, précédemment emblèmes du Dieu romain Janus. Ce double aspect du pouvoir, diurne et nocturne, correspond à l'autorité spirituelle et aux fonctions royales, dont le but respectif selon Dante, est l'accession au Paradis céleste et terrestre ou, selon la terminologie hermétique, aux Grands et aux Petits Mystères. Hermès Trismégiste, le trois fois grand, scelle dans la table d’Émeraude une clef d’or.
Cette clef d’or ''cl'' peut-elle ouvrir de nouvelles portes pour mettre en évidence le sens précis de tous les doublets de phonèmes du français ? Ce symbolisme de la clef, ouvrant la voie initiatique, s’exprime dans le Coran, où la Shahâdah, clef du Paradis, ouvre toutes les portes de la Parole de Dieu.
Ainsi "cl" résonne comme une clef phonétique ou un code secret littéral de fermeture, d’un langage inconnu, incarné dans les profondeurs archaïques du cerveau humain.
Le monde médical comporte aussi son lot de fermeture:
occlusion : fermeture du transit intestinal (64), occlus (65), occlusif (66), occlure (67), clamper (68): fermer un vaisseau avec une pince médicale, clamp (69), clip : ferme une trompe (70), clipper (71), cloque : bulle fermée (72), cloquer (73), furoncle : petit abcès fermé (74), cerclage gynécologique : fermeture du col utérin (75).
Ce sceau “cl” évoque tous les concepts de fermeture
classification : séparer en séries fermées (76), classer une affaire : la considérer comme close (77), classeur (78), classement (79), classer (80), classification (81), classable (82), classificateur (83), classificatoire (84), classique : qui appartient à une période limitée de l'antiquité gréco-latine (85), classiquement (86), classicisme (87), claquer la porte :la fermer (88), clou : qui peut fermer le cercueil (89), clouer (90) le bec ou fermer son clapet (91), clam : huître fermée (92), clovisse : coquillages qui se ferment (93), clairance :qui passe à travers un tissu fermé (94), se clapir : s'enfermer pour les lapins (95), clématite : se ferme la nuit (96), cliché : mouvement fermé (97), cloison (98), cloisonnement (99), cloisonner (100).
Cette liste de 100 mots souligne notre surdité/aveuglement. Pourquoi nos yeux réputés perçants sont restés clos jusqu'alors ? La réponse sera exposée au chapitre suivant. La fermeture des yeux réalise une occlusion visuelle, un clignement palpébral à l'origine d'une nouvelle liste de mots incluant le codon cl témoignant la prépondérance de la vision pour ces unités.
La fermeture des yeux et la chute de lumière secondaire :
D'abord un clin d'œil (101) avec le verbe cligner (102) et le substantif clignement (103). Ce clin d'œil est inscrit dans monocle (104) et binocle (105) issu de ocle, dérivant du latin oculus qui a donné occhio en italien où chi = cl, dévoilant que l'inconscient collectif italien a inscrit le clin d'œil ''macho'' dans l'œil italien ! Dans le même registre clignoter (106) (fermer et ouvrir souvent les yeux) qui par analogie s'étend à l'allumage et extinction par intermittence : clignotement (107).
Nous fermons les yeux en cas d'excès lumineux La clarté (108) fait cligner ou fermer les yeux : clair (109), clairement (110), clairière (110), clair-obscur (111), clairsemé (112), clairette (113), éclair (114), éclaircir (115), éclaircie (116), éclairer (117), éclairage (118), éclairagiste (119), éclaircissement (119). Il faut rattacher à cette liste, éclat (120) et éclatant (121) pour lesquels la présence de cl traduit cette occlusion oculaire mais s'explique aussi par une correspondance synesthésique avec l'audition, celle d'un bruit retentissant, éclatant.
On peut en rapprocher l'adjectif clinquant (122). Si l'on claque des mains après d'un nourrisson, il ferme les yeux (réflexe de Moro), révélant un lien entre un bruit assourdissant et la contraction palpébrale protectrice.
L'occultation de la lumière solaire qui nous plonge dans l'obscurité se réalise dans l'éclipse (123) à l'origine d'éclipser (123), écliptique (124). Le déclin vespéral de la lumière solaire relève d'une notion similaire avec les mots de sa famille : décliner (125), déclinaison (126). Baisser la tête c'est aussi baisser les yeux d'où s'incliner (127), inclinaison (128) , inclinable (129).
On peut concevoir que clandestin (130), clandestinité (135), clandestinement (136) renvoient à quelque chose de caché, fermé au regard. Même le concept «fermer consciemment les yeux sur» peut être entendu dans clémence (137) et clément (138).
La maison close relève de cette dissimulation au regard de tous et l'argot ne le dément pas en la nommant claque (139) ou clandé (140). La puissance de l'inconscient langagier dans la mémoire collective explique que le nom le plus retenu parmi les ''tenancières'' de prostitution moderne est celui de Madame Claude (141). L'inconscient collectif est sans doute aussi à l'origine de la mémorisation du nom de Clara Morgane pour ses films classés x !
Le climat (141) est secondaire à l'inclinaison terrestre par rapport au rayonnement solaire (degré de fermeture) : climatique (142), climatologue (143), climatologie (144), climatologique (145), climatiseur (146), /climatisation (147), climatiser (148), climatérique (149), acclimater (150) , acclimatation (151). Clinique (151), polyclinique (152), cliniquement (153), clinicat (154), renvoient aussi à une posture couchée où la lumière solaire n'est plus perçue. La déclivité (155) et son adjectif déclive (156) entrent dans cette série.
Le lit d'hôpital est aussi devenu le lieu où l'on meurt le plus en France où l'on nous ferme définitivement les yeux et le clapet juste après l'article (157) de la mort : claquer (158), clamser ou clapser (159), clabauder (160). Une question se pose sur la fermeture du genre qu'engendre l'article. La lune et le soleil en France et Der Mund et die Sonne en allemand. Pourquoi dit-on un hermaphrodite ? L'article qui précède la mort précède les noms communs en fermant l'obstacle (ic) à la méconnaissance du genre ou à l'Eternité avec le A majuscule ?
Cette liste de mots où le codon ''cl'' évoque la fermeture des yeux avec perte de vision révèle la nature incarnée, physiologique de ces unités du langage de l'inconscient.
Ainsi l’établissement du PGCDS de ces 160 mots permet de conclure à la correspondance cl / schème de fermeture et cette motivation systématique sans exception clôt le débat sur l'arbitraire du signe verbal en clouant le clapet à ses partisans. . La présence du codon ''cl'' inscrit la fermeture comme action première :
Lorsqu’on ferme en mettant bout à bout, on bou…cle (161), boucler (162), bouclage (163) et se faire boucler c'est bien se faire enfermer; lorsqu’on ferme en couvrant un récipient, on utilise un couver…cle (164). De même le cercle est une courbe fermée et le cycle (165) ferme le mouvement: bicycle (166), bicyclette (167), tricycle (168), recycler (169), recyclage (170)
La recherche submorphémique de nos jeunes chercheurs en linguistique se limite à l'invariance notionnelle des couples de phonèmes à l'initiale des mots anglais. Ils devraient étendre leur recherche à l'ensemble de la chaîne signifiante puisque le couple de phonèmes lettres ''cl'' conserve le même sens quelque soit sa position dans le mot
réceptacle (171), tabernacle (172), cénacle (173) : réunion fermée, bouclier (174) : qui ferme la garde, obstacle (175) : ferme la vue, le passage, débâcle (176) : sortie d'un endroit fermé, esclave (177) : du latin sclavus, personne captive, enfermée, siècle (178) :100 années, temps fermé, au cours des siècles et des siècles : 2 fois cl = formule de fermeture à double tour des prières, nomenklatura (179) : cercle fermé de dignitaires dans l'ex-URSS, nomenclature (180) : ensemble de termes classés, cyclone (181) :tempête qui enferme dans un cercle du grec kuklos, enclume (182) : par attraction de includere : enfermer, oncle (183) : ferme le clan, article (184): ferme le genre masculin ou féminin, tacler (185) : fermer le jeu au foot, bâcler (186) fermer une porte(sens vieilli ou argot), conclure rapidement (familier, une bâcle est une barre de bois ou de métal servant à fermer une porte de l'intérieur. Les Clarisses sont enfermées dans des cloîtres dont elles ne veulent même plus sortir parfois !
Le sens du codon cl peut être modifié par des préfixes d’origine gréco-latine : Les ouvertures ou l’absence de fermeture : ex-cl, a-cl
⁃ ex-cl : éclore (187) et : ex-cl, sortir d'une coque ou d’une enceinte fermée, exclure (188), exclusion (189). Exclusivité (190), exclusif (191) : droit réservé à un groupe fermé de personnes.
⁃ A-cl : Oracle (192), Miracle (193), spectacle (194) où il question avec le a privatif grec d'enlever la fermeture du spectre visuel pour le spectacle lorsque l'on ouvre le rideau sur la scène. Pour les deux autres sens les partipants à ce forum ne semblent pas encore prêts à l'entendre et je réserve leur sens dans mon futur bouquin à paraître en juin 18 ! Un petit coup de pub en passant pour les 2 ou 3 intéressés ici. J'ai beaucoup d'autres réseaux heureusement... plus ouvertes , moins enfermés dans le cloisonnement des classifications incluses dans leur réseaux neuronaux ! (Sourire).
Ce ''cl'' de fermeture est inclus dans des racines gréco-latines
clav (latin clavis) : clef, d’où clavicule (195) : qui ferme le haut du thorax.
cléid, du grec petite clef, muscle sterno-cleido-mastoidien (196)
cleist : du grec fermé, clyp : de clypeus (bouclier), claste (197) : klastos (brisé)
Il existe d'autres mots où ce concept de fermeture est moins évident et ne peut être appréhendé que lorsqu'on connaît le sens de la séquence signifiante associée. C'est le cas de la série de mots en rapport avec le noyau : nucleus (198), nucléaire (199), nucléé (200), nucléon (201), nucléole (202), nucléotide (203), anucléé (204), énucléation (205). En anticipant le décodage, la séquence ''uc'' évoque le concept de production soit de l'anéantissement (n) : explosion nucléaire, soit de la Vie (N) : c'est bien dans le noyau des cellules végétales et animales que siège l'ADN à la base de la vie.
2) le concept ''retentissant''
Si la majorité des mots du vocabulaire français où est inclus ce codon ''cl'' évoque la notion de fermeture, un concept visuel, le second groupe de mots définit un concept auditif retentissant ou éclatant, généralisé secondairement à la vue par correspondance synesthésique : de l'éclat visuel à l'éclat sonore, qui suscite une fermeture des yeux (réflexe de Moro du nourrisson).
Je vous invite à claquer (1) la porte à l'arbitraire pour entendre le claquement (2), un bruit retentissant associé dès l'origine au schème de fermeture. L'onomatopée ''clac''(3) traduit ce bruit sec retentissant de fermeture. Elle est similaire dans la plupart des langues européennes. Clic-clac (4) exprime un bruit sec en deux temps comme celui d'un fusil que l'on arme et désigne aussi un canapé pliant qui se ferme en émettant ce bruit. Le clic (5) dérive d'une onomatopée mimant un bruit sec issu généralement d'un mécanisme.
Le retentissement de la voix, son éclat (6) s'entend dans de nombreux mots issu du latin clamare : clamer (7), clameur, acclamer, acclamation, s'exclamer, exclamation, exclamatif, exclamatoire, déclamer, déclamation, proclamer, proclamation, réclamer, réclamation (20). Cet éclat de voix s'entend dans déclaration (21), déclarer, déclaratif (23).
Quelques noms de bruits résonnent de ce /cl/ : le clapotis (24) de l'eau, le cliquetis (25) des clefs et de manière plus retentissante le klaxon (26), un nom commercial américain formé sur le grec klazo : retentir, crier.
Les instruments musicaux retentissants nous renvoient l'écho de ce son /cl/: clairon (28) qui s'est généralisé à claironner (29), clarinette (30), clavecin (31) et clavier (32) (piano, en allemand Klavier). La clef (33) des portées musicales annonce la note retentissante. Les claquettes (34) témoignent de ce retentissement comme le clappement (35) des mains pour applaudir. Le son de la cloche (36) ou des clochettes (37) retentit comme celle des clarines (38). La polysémie du mot cloche s'explique facilement par le double sens de ce codon ''cl'': si la cloche d'église retentit, la cloche à fromages ou la cloche de plongée enferment.
Le clabaud (39) est un chien de chasse qui aboie fortement ; de même les mots clébard (39), clebs (39 bis) initiés par cl, symbole du retentissement de l'aboiement de l'animal ou du militaire (caporal), que l'on rencontre quand les jeunes s'éclatent (41), laissent éclater (42) leur joie voire leur colère en provoquant un esclandre (44). La clique (45) du régiment est un ensemble de musiciens avec tambours et clairons. Faire la claque (46) c'est applaudir très fort. La claque (47) est par ellipse un chapeau à claque qui se déploie en claquant. Une claque (48) est une gifle retentissante.
Retentissant est le bruit de l'éclatement (49) telle l'explosion d'un pétard ou d'une bombe. Il peut aussi se limiter au claquement de langue: clappement(50), clapper (51). Au cinéma le clap (52) avec sa claquette (53) permet la synchronisation du son par repérage auditif de ce clac avec l'image de fermeture.
Une série de mots à l'étymologie incertaine peuvent être regroupés à l'aulne de cette unité cl retentissante: clopin-clopant (54), clopiner (55), éclopé (56), probablement issu du bas latin cloppus, boiteux, qui peut s'expliquer par la résonance de la boiterie. Le substantif cloche-pied (57) désigne aussi un boiteux. Clocher (58) c'est boiter pour un homme et être bancal pour un objet, d'où l'origine de clochard (59). La racine latine -claud de l'adjectif claudus, boiteux, source du prénom Claudius, a enfanté en français claudiquer (60), claudication (61).
Il existe ainsi une soixantaine de mots où le codon ''cl'' porte ce sens sonore ''retentissant''. Mais la notion de retentissement ne se limite pas à la production d'un son qui résonne car au figuré il indique la production d'une forte impression, d'une vive émotion, une obtention d'effets aux répercussions remarquables, telle celle d'obtenir une forte audience. Ainsi le mot clou (62) est un signifiant dont le sens premier définit une petite pièce en métal pourvue d'une tête utilisée pour fixer, pour lequel la séquence ''cl'' peut rappeler la notion de fermeture des objets cloués et le retentissement du marteau pour les enfoncer. River le clou à quelqu'un c'est aussi lui fermer le bec ou le clapet. Mais au sens figuré le clou du spectacle est sa partie la plus retentissante, celle qui accroche l'attention. On peut en approcher le mot clown (63) qui attire aussi l'attention par ses éclats de voix, de rires et … de couleurs éclatantes. L'éclat sonore a son parallèle visuel : l'éclat tapageur caractérise ce qui est clinquant (64). Pour certains avoir la classe c'est porter des vêtements ou accessoires bling-bling, clinquants.
En indo-européen existe une racine *KLEU- en rapport avec la renommée. Il existe en latin le verbe clueo, s'entendre, avoir la réputation de et un adjectif ''inclutus'', célèbre, illustre, qui n'ont pas eu de descendance française. Mais cette racine a fourni une branche grecque : le grec ancien [kleiô], appeler, nommer, l'adjectif [kleitos], illustre et le substantif [kleos], bruit qui court, réputation, renom, gloire, qui s'est transformé en préfixe [kleo] et suffixe [-klês] inclus dans de nombreux anthroponymes célèbres :
La Muse de l'Histoire, Clio, en grec [Kleiô], celle qui donne la gloire.
La dernière Reine d'Égypte, Cléopâtre, en grec [Kleopatra], littéralement la gloire de son père.
Damoclès [Damoklès], la gloire du peuple, menacé par une épée suspendue à son insu au dessus de sa tête.
Héraclès [Hêraklès], la gloire d'Héra, célèbre pour sa force et sa victoire lors de ses douze travaux.
Périclès [Perikles], entouré de gloire; orateur et stratège célèbre
Sophocle [Sophoklès], renommé pour sa sagesse, et tragédien grec illustre (Antigone, Électre, Oedipe roi..).
Chlodovech , glorieux combattant, plus connu sous le nom de Clovis, roi des Francs
Clodoald, gloire et pouvoir, petit fils de Clovis connu sous le nom de Saint Cloud qui renonça à la royauté pour une vie d'ermite.
Kleu est aussi à l'origine d'une branche germanique : l'ancêtre germanique à qui le français doit de vieux prénoms en C(h)lod- est une forme reconstituée de *khludai à l'origine du nom de :
Chlodovech , glorieux combattant, plus connu sous le nom de Clovis, roi des Francs
Clodoald, gloire et pouvoir, petit fils de Clovis connu sous le nom de Saint Cloud qui renonça à la royauté pour une vie d'ermite.
Bien sûr cher Olivier, tout cela n'est qu'élucubration poétique selon P'tit prof ou jacquesvaissier. Je me targue d'avoir encore, malgré mon âge, quelques neurones fonctionnels. Qu'on m'explique que la présence de ce codon cl n'est en rien en rapport avec les notions de fermeture/retentissant, que des gens simples admettent sans la moindre critique ?
Certes certains mots comme clémence que vous avez cité qui est comme les autres mots un rébus qui se lit de la droite vers la gauche, est plus difficile à comprendre. Et le codon '''em'' fait partie des 5 sur 120 qui me pose encore problème. Il n'empêche que lorsque qu'on est clément (ce sont les prénoms des mes deux beaux parents: Clément et Clémence) on accepte de fermer les yeux sur le mal qu'on a fait.
PS j'attends quelques exemples avec ll espagnol ?
Science sans conscience n’est que ruine de l’âme !