Re : Jouons avec nos gallicismes.
Ah!................! Enfin! J'attendais votre prose Lakata, et avec impatience.
J'aime beaucoup cette phrase.
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Ah!................! Enfin! J'attendais votre prose Lakata, et avec impatience.
J'aime beaucoup cette phrase.
Ylou...comment vous dire...j'ai l'impression que vous gagnez à être connue... comme à être lue !
Elle avait bien un pansement sous la main, mais avec ces foutus stilettos, c'est aux pieds qu'elle avait mal.
Elle était du reste pas mal casse-pieds à faire des pieds et des mains pour participer à ce concours en prétendant qu'elle le réussirait haut la main alors qu'on la savait bête comme ses pieds.
Il avait l'estomac dans les talons et pourtant le cœur au bord des lèvres.
Il regarda sa dame de coeur coiffée comme l'as de pique et se dit que finalement il ne voyait pas clair dans son jeu. Il décida de jouer sa dernière carte. Il ne lui dirait pas qu'il était plein aux as mais qu'au contraire il était sur le carreau. Bon! il avait bien d'autres atouts.
C'est alors qu'elle se décida à jouer carte sur table et lui dit de se tenir à carreau parce qu'elle avait vu dans son jeu.
Quand il la vit arriver de chez le coiffeur en retard et avec sa nouvelle coupe, ses cheveux à lui se dressèrent sur sa tête, et comme il était de mauvais poil il lui tomba sur le poil et lui passa un savon mémorable. Elle saisit l'occasion par les cheveux et ressortit aussitôt.
...et ressortit aussitôt tout en pensant : "Pour la "récré", il pourra se brosser !"
Aucune illustration disponible pour la "récré". Vous m'en voyez désolée.
À force de [loger le diable dans les poches],hugo se decide de... [prendre le taureau par les cornes]... pour gagner son pain.
Ce pauvre Hugo tirait le diable par la queue depuis trop longtemps. Lorsqu'il prit le taureau par les cornes et que celui-ci l'envoya au diable Vauvert, il fut tout à fait prêt à vendre son âme au diable pour quelques sous.
Merci Ylou d'avoir ranimé ce fil.
Quant aux Clopinettes, si j'ose dire, je sèche.
Gustave Eiffel n'avait peut-être qu'une tour dans son sac mais quant à faire le pont, et pas le pont aux ânes, il s'y entendait !
Ah.......... (ce "ah" est une onomatopée de satisfaction)
Bon. (ce "bon" signifie "savoureux".
Précisions utiles car à me relire je ne comprenais moi-même pas ce que j'avais voulu dire
La moutarde lui monte au nez et le sang à la tête. Imaginez le spectacle. Je lui ai dit qu'il devait arrêter de monter sur ses grands chevaux pour un oui pour un non. Maintenant il monte dans les tours. A cheval. Parfois même sur son cheval de bataille.
Pourtant ce n'est pas un cheval trop vache pour une bourrique. (BOB : Faux frère (nouvelle), dans Les enquêtes de Nestor Burma et les Nouveaux mystères de Paris)
Elle était tellement chocolat qu'elle en avait toujours sur elle et,que lorsque, après en avoir offert à la ronde, il ne lui en restait plus, c'était encore un bonheur parce qu'elle se retrouvait elle-même chocolat.
J'en suis encore sous le choc; ho là là !
Caïn n'arrivait pas à fermer l'œil. Même la nuit.
(emprunt à feu Michel Laclos)
Il avait un bon coup de fourchette et celui qu'il asséna sur la tête de sa femme porta. Elle tomba dans les pommes, plus exactement dans la compote de pommes qu'elle avait le matin-même confectionnée dans une immense marmite. Voilà, lui dit-il quand enfin elle ouvrit les yeux, ça t'apprendra : tes salades ne passent pas! . Je ne comprends pas, protesta-t-elle, ce ne sont pas des salades qu'il y a sur la table mais de la compote de pommes. Tu me prends pour une pomme? ajouta-t-il. Mets-toi bien dans la tête que je ne suis pas une poire!
Comment se fait-il qu'une tête brûlée puisse garder la tête froide? Qu'on puisse tenir tête à quelqu'un qui nous prend la tête?
Lorsqu'on porta le nain en terre, un de ses voisins ne put s'empêcher de dire que son cercueil, c'était de la petite bière.
C'est d'un goût !
Excellent!
N’y comprenant plus rien – à quoi bon se mettre martel en tête conclurent les clous du cercueil.
Voilà qui vaut vraiment le coup de prendre une bonne bûche, non ?
À vos cognées !
(remords...)
Le manchot était un fainéant notoire, ne faisant rien de ses cinq doigts.
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Le manchot était un fainéant notoire, ne faisant rien de ses cinq doigts.
C'est finalement dans le négoce des sacs à main qu'il sombra.
Il avait dû perdre son habitude de faire des pieds et des mains pour obtenir ce qu'il voulait, alors il passa la main qui lui restait au mousse qu'il l'accompagnait, et qui, pour en faire, de la mousse, essayait de prévenir tous ses désirs. Il ne réussissait pourtant pas toujours haut la main à satisfaire son pirate-maître (qu'il lui arrivait, dans son ignorance d'appeler "Périmètre" mais finalement et à son insu, à juste titre puisqu'il était désormais son unique horizon).
À la fin de l'envoi, il lui lança un vers qui comprenait deux pieds de nez.
Superbe!
Lakata, vous faites vraiment dans la dentelle.
Et j'ai pourtant passé l'âge de jouer des fuseaux, Alco !
Mais vous ne refuseriez pas une partie de petits écheveaux.
Petits, oui, car plus faciles à monter, et surtout pas filés d'un mauvais coton !
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