Sujet : les abréviations du TLFi et l'atelier étymologie
On peut dans le TLFi efectuer des recherches sur les langues d'emprunt, par exemple le portugais :
http://atilf.atilf.fr/dendien/scripts/t … 877155405; (le lien ne fonctionne pas, il faut entrer directement dans l'atilf, demander la recherche assistée et mettre port dans "langue empruntée" : on obtient tous les mots français recensés qui ont un lien avec le portugais).
Très bien mais quelqu'un sait-il où trouver la liste complète des abréviations ? L'article qui suit semble assez pessimiste sur le sujet :
L’usage massif d’abréviations est caractéristique des ouvrages de lexicographie. Cela est justifié, dans une publication, pour des raisons d’économie. Dans un dictionnaire informatisé, il était envisageable de développer ces abréviations sélectivement ou dans leur ensemble. Le TLFi a préféré opter pour une gestion par le biais du logiciel. La version du dictionnaire sur cédérom, et elle seule, propose à l’utilisateur une table à laquelle on accède par un bouton intitulé « Abrév. et bibliog. » [sic]. Celle-ci regroupe des abréviations (usuelles ou propres au métalangage des lexicographes) et des références bibliographiques abrégées.
On comprendra que je me pose la question dans le cadre du sujet sur les doublets.
Je vois qu'yd était déjà tombé sur cet article :
http://www.languefrancaise.net/forum/vi … hp?id=2083
Cette page donne quelques abréviations courantes mais pas celles qui m'intéressent :
http://www.univ-montp3.fr/~amela/Li2/TL … tlf_04.pdf
Ce document est intéressant pour mieux comprendre la méthode de rédaction des notices étymologiques (Atelier de découverte : Initiation à l'étymologie à travers le projet TLF-Étym). J'avais déjà fait allusion à ce projet dans le sujet sur les doublets.
Tous ces agents se proposent d'adopter un esprit de «chasseur», c'est-à-dire d'être aux aguets, dans leurs activités de recherche collectives et individuelles, afin de dénicher toute information apte à permettre la mise à jour d'une notice étymologique du TLFi. Le propre du projet consiste donc à capter, telle une éolienne, des énergies disponibles «gratuitement» à l'ATILF, ce qui explique le logo du projet, présent sur la page de titre de ce document.
On va leur signaler qu'on existe alors (je suis sérieux), à moins qu'ils ne nous connaissent déjà... Et en attendant, je vais faire comme proposé dans la discussion ABC précédente sur ce sujet, je vais me constituer la liste de manière empirique.